Les Vacances 8: Je Découvre Le Côté Pervers De Mon Infirmière

Je me réveille de bonne humeur, après une petite toilette en solo en attendant l’arrivée de Marie Anne je vais à la cuisine. Stéphane dort encore, hier il est sorti quand je suis allé me coucher, à mon avis il ne va pas se réveiller tout de suite. Je me prépare un café que je bois en rêvant un bon moment autour de la piscine.
 
C’est la grand-mère de mon cousin qui l’a faite construire, du coup il y a des marches mais aussi une descente avec une rampe. Je me dis qu’une baignade peut être possible avec le fauteuil que m’a ramené mon cousin hier. Comme l’heure tourne et que je commence à avoir faim je retourne à l’intérieur faire un peu de bruit. Stéphane ne se réveille pas.
 
Je me prépare une omelette pendant que je fais griller du pain. Le salaud, le bruit ne le tire pas de son sommeil mais l’odeur de la bouffe oui! Je lui demande s’il veut que je lui en prépare une, il me répond positivement et file à la salle de bain. Quand il revient je bats les oeufs, il me prend le bol des mains et me dit d’aller manger qu’il va s’en occuper.
 
Pendant qu’il boit son café et que nous mangeons nos omelettes, la sienne à l’air meilleure que la mienne, il me reparle de Marie Anne. Il veut savoir ce que je prévois pour aujourd’hui, je réfléchis un moment et je lui réponds que vu le tempérament de mon infirmière particulière je pense que je vais me laisser faire. Mon cousin rigole et me dit:
« Je vois que tu l’as vite cernée! »
 
Notre discussion est interrompue par son téléphone, il me laisse seul et parle un long moment dehors. Pendant ce temps je débarrasse et je vais dans ma chambre chercher un livre. Quand je reviens Stéphane a disparu mais j’entends l’eau de la douche. Je sors lire à l’ombre et quand mon cousin réapparaît il est en costume.
 
Mon air interrogateur ne m’oblige pas à poser de questions, il me dit directement:
« C’était ton oncle, je dois aller chez eux, un problème de boulot à régler suivi d’un diner barbant.

 »
Il part finir de se préparer et quand il revient il me demande ce qu’il peut faire pour m’aider vu que je vais rester un long moment seul. Je lui dis de ne pas s’inquiéter, que je me commanderai une pizza.
 
L’après-midi est long, j’ai fini mon livre et en été il y a vraiment rien à la télé en journée. J’aimerai bien me baigner mais je préfère ne pas tenter mon idée sans être accompagné, on ne sait jamais. Je somnole un moment dans mon fauteuil et quand je me réveille il n’est même pas 17 heures. Je décide de sortir mon ordinateur et d’écrire mon expérience avec Christelle l’infirmière de l’hôpital. 
 
Le temps passe plus vite et quand j’entends du bruit dehors je me dépêche de refermer le texte que j’écris. Même si Marie Anne est bien cochonne je préfère ne pas lui faire part de ce côté de ma vie. Quand elle se penche vers moi pour me dire bonjour, je tends mes lèvres mais elle n’y pose que sa joue. Un peu déçu mais tout va bien, nous allons faire la douche.
 
Après avoir retiré mon pansement et protégé ma plaie, elle m’aide à passer sur le fauteuil roulant en plastique et retire mon caleçon. Quand mon sexe se libère, il est face à ses yeux, elle le regarde mais ne fait rien même si je suis déjà un peu excité. Mon infirmière ouvre l’eau pour qu’elle chauffe et commence à se déshabiller. Je suis rassuré son côté nympho reprend le dessus, elle remarque que je l’observe alors elle me dit:
« J’ai pas envie de mouiller mes habits et moi aussi j’ai besoin d’une bonne douche. »
 
Je lui souris et je me fais rouler jusqu’au jet d’eau, alors que je me savonne le torse et les bras, elle me rejoint et je me penche pour qu’elle s’occupe de mon dos. Ensuite je me soulève un peu pour qu’elle me lave les fesses avant qu’elle s’occupe de mes jambes. Nous n’échangeons pas un mot alors pendant qu’elle me savonne les pieds je lui dit:
« C’est quand même handicapant! »
Alors que ses mains remontent sur ma cuisse gauche elle me dit:
« Tu t’en tire bien! Ca pourrait être pire! »
Je lui réponds un « ouais » pas convaincu.

 
Plus ses mains se rapprochent de mon entrejambe plus je bande. Elle commence par me laver rapidement mais agréablement les couilles. Ses deux mains remonte le long de ma tige, insiste sur le gland puis fais 2 allers retours avant de me quitter. J’attends avec impatience la suite du programme mais elle se relève.
 
Elle déclenche le pommeau de douche pour que je me rince pendant qu’elle se savonne mais comme elle le ferait seule, sans aucune sensualité. Une fois que j’ai fini de me rincer, elle m’aide à enlever la fin de la mousse et se rince à son tour. Je commence à me sécher et pendant ce temps je me demande ce qui a pu se passer pour qu’elle soit si peu tactile aujourd’hui.
 
Quand elle a fini sa douche, je décide de prendre les choses en main et commence à la sécher. Mais elle ne me laisse pas faire et me prend la serviette des mains. Elle passe un petit coup dans ses cheveux et s’entoure de la serviette au-dessus de ses petits seins. Elle m’aide à complètement me sécher et je passe tout seul sur le fauteuil sec pendant qu’elle s’occupe d’elle.
 
J’attends qu’elle m’aide à mettre mon caleçon mais elle me pousse vers la chambre et m’aide à m’allonger sur le lit. Alors que je suis totalement nu et elle uniquement entouré d’une serviette elle refait mon pansement. Toujours dans un grand silence, je ne sais pas trop de quoi parler. Ensuite elle sort de la chambre et reviens avec 2 foulards dans les mains.
 
Elle effleure mon bras gauche avec et en attrapant mon poignet elle me dit:
« Tu te plains de ta jambe »
Elle remonte mon bras vers la tête de lit et m’attache avec un des foulards, elle contourne le lit et quand elle att mon bras droit elle rajoute:
« Imagines si tu avais les deux bras dans le plâtre! ».
Une fois que mes mains sont totalement immobilisées elle se met à caresser ma bite qui n’arrête pas de gonfler.
 
Elle passe de mon gland à ma tige puis s’attarde sur mon frein avant de retourner sur mon champignon… J’aimerai lui défaire sa serviette, la caresser… mais je suis incapable d’agir avec mes mains attachées.
Elle me regarde fixement avec un sourire coquin alors qu’elle me frotte le bout de la bite et m’avoue:
« J’ai passé la journée à penser à ta queue! »
Elle dépose un baiser sur mon gland et m’abandonne.
 
Elle revient de l’autre côté du lit, en chemin elle ouvre de façon très sensuelle sa serviette et me dévoile lentement son corps. Une fois à ma hauteur je veux la toucher, la caresser mais je ne peux pas. Marie Anne monte sur le lit et vient s’allonger en 69 sur moi. Je soulève la tête pour aller à la rencontre de ses grandes lèvres mais je l’entends me dire:
« Non, pas celui-là!! »
 
Avec sa croupe elle appuie sur mon visage pour m’allonger totalement sur le matelas. Elle s’assoit sur mon visage et fait basculer son bassin, ma langue qui ne la quitte pas descend de ses lèvres intimes à son périnée puis rentre dans sa raie. Quand mes lèvres sont autour de son petit trou et que ma langue s’agite dessus elle rajoute:
« Voilà! »
Et Marie Anne se penche pour gober directement ma bite.
 
Alors que ma langue masse sa rondelle qui s’ouvre de plus en plus, j’aimerai lui caresser les cuisses, remonter sur ses fesses pour les écarter et admirer son oeillet s’ouvrir… mais je ne peux pas. Je me rends compte qu’elle a raison, ça aurait pu être pire ou… au contraire me donner encore plus d’occasion de baiser!
 
En tout cas pour le moment je n’ai pas à me plaindre, la main gauche de mon infirmière particulière me tâte les couilles alors que sa bouche coulisse le long de mon sexe. Sa langue virevolte autour de ma tige pendant que ses lèvres me massent avec différentes pressions. En plus son oeillet vient de céder et ma langue commence à la sodomiser lentement.
 
Une fois qu’elle est bien ouverte je fais rentrer et sortir ma langue à la même vitesse que ses lèvres glissent sur mon mât rempli de désir. Nous jouons buccalement pendant un bon quart d’heure quand son postérieur se soulève suivi de tout son corps.
Le dernier contacte de nos peaux se fait entre sa bouche et mon sexe. Marie Anne se tient debout au-dessus et face à moi, ses pieds entourent mon corps.
 
Comme la veille, mon infirmière commence à s’accroupir, elle empoigne ma bite mais au lieu de poser mon gland entre ses lèvres intimes, elle le glisse entre ses fesses. Elle étale sa salive, toujours sur mon membrane, sur son petit trou puis continue de s’assoir mais très lentement pour faire pénétrer ma queue dans ses entrailles.
 
J’ai envie de poser mes mains sur elle, caresser ses petits seins, lui titiller le clito, l’attr par la taille pour l’aider dans ses mouvements. Mais je ne peux rien faire d’autre que d’admirer sa chatte et voir chaque centimètre de mon sexe coulisser dans son cul. En posant ses fesses sur moi elle pousse un grand râle de satisfaction les yeux fermés.
 
Quand elle commence à onduler du bassin, elle ouvre ses paupières et me fixe du regardant en me disant avec une voix de salope:
« Depuis cette nuit j’attends ce moment! »
Elle pose ses mains sur moi et se relève lentement pour me faire déculer. Quand le replis de mon champignon est contre son trou elle redescend tout aussi lentement. 
 
Elle ne prend pas le temps de s’assoir qu’elle se relève un peu plus rapidement, fait taper la tête de ma bite contre l’entrée de ses entrailles et se rassoie d’un coup sec. Maintenant ses vas et viens sur ma tige son beaucoup plus rapide, ils deviennent même rapidement bestial. J’aimerai un plus participer mais je ne peux que manifester mon plaisir et profiter, je ne m’en prive pas.
 
Marie Anne s’assied complètement sur moi, elle se penche en arrière et prend appuis avec sa main droite. La gauche passe devant son corps et lui caresse ses grandes lèvres. Ses mouvements sont tellement amples qu’elle tripote aussi la base de ma bite. Je sens ses sphincters se contracter, elle retire immédiatement sa main et se soulève tout doucement.
 
J’admire ma queue sortir lentement d’entre ses fesses, quand elle sent que sa pastille entoure mon gland elle se contracte. Mon champignon est écrasé par son petit trou, à mon grand regret elle relâche la pression rapidement et me fait déculer. Alors qu’elle finit de se mettre debout, son con perle sur moi. Elle se retourne pour me tourner le dos et s’accroupie de nouveau.
 
Mon infirmière empoigne mon sexe, cette fois elle ne me frotte pas contre son petit trou mais m’enfonce directement en elle. Une fois que mon gland est passé elle relâche ma bite et se penche en avant. Dans cette position je vois distinctement mon pieu rentrer entre ses fesses jusqu’à complètement disparaitre. Je regrette juste de ne pas pouvoir écarter ses globes pour encore mieux profiter du spectacle.
 
Une fois qu’elle est assise sur moi, elle commence tout de suite à me chevaucher ardemment. Une de ses mains se pose vers nos entrejambes et passe de son clito à ses grandes lèvres et vient même me tâter les couilles avant de remonter. A chaque fois qu’elle contracte ses muscles autour de ma tige je vois aussi ses fesses se refermer. 
 
Toutes ces sensations plus la vue m’excitent au plus haut point, je sens déjà mes couilles se remplir. Je la préviens que je suis au bord de l’orgasme, je ne sens plus sa main descendre sur mes couilles. Elle doit se concentrer sur elle pour jouir en même temps que moi. Je contracte mes muscles du périnée pour faire vibrer ma bite dans son petit cul et lui donner encore plus de plaisir.
 
Sa réaction est instantanée, elle ne gémit plus mais hurle sa jouissance, ses muscles se contractent autour de ma tige. Elle ne desserre pas l’étreinte mais au contraire l’augmente, sa main recouverte de sa cyprine enserre une de mes couilles. Je sens mes veines s’agiter et elle aussi puisqu’elle s’empale complètement sur ma queue.
 
Ses muscles se relâchent un instant, comme elle le ferait pour reprendre sa respiration et m’enserre à nouveau mais encore plus fort. Je ne résiste plus et me vide dans son petit cul alors qu’elle continue à faire palpiter sa rosette autour de moi. Elle reprend ses allers retours sur moi avec les fesses toujours bien serrées, son cul m’aspire tellement que j’ai l’impression d’éjaculer une nouvelle fois!
 
Elle se rassoit sur moi et commence à tourner son corps en me laissant bien planté en elle. Quand nos visages se retrouvent face à face, elle s’affale sur moi, ses lèvres se posent sur les miennes. J’aimerai la prendre dans mes bras mais mes mains sont toujours attachées. Heureusement elle défait mes liens et recolle nos bouches, mes bras un peu endoloris se referment sur elle.
 
Je ne sais pas combien de temps après un bruit me réveille, comme je gigote un peu mon infirmière ouvre les yeux. Elle regarde l’heure sur sa montre et s’agite, nous réalisons au même moment que ma bite est toujours dans son cul. Elle me fait sortir tout doucement, sa rosette est très fermée autour de moi. Puis quand l’odeur de nos sécrétions nous monte au nez elle déclare:
« Je vais me doucher ».
 
Elle quitte délicatement le lit et file dans la salle de bain. Je me glisse dans mon fauteuil roulant nu et la rejoins dans la salle de bain pour me rincer l’entrejambe. Quand je rentre elle est déjà entrain de se sécher et me dit qu’elle est super en retard, son mari doit l’attendre. Elle aussi est mariée, toutes des cochonnes ses infirmières!
 
Je lui parle rapidement de mon idée pour la piscine, elle me dit que l’on verra ça demain. Elle se rhabille en vitesse, fais vite un texto à son homme et part sans même me dire au revoir. 30 secondes après la porte s’ouvre, elle rentre et vient m’embrasser. Elle me dit que demain elle viendra vers 17h mais qu’il ne faudra pas s’endormir. Marie Anne m’embrasse encore une fois et disparait.
 
Une fois que je suis seul je réalise que je suis nu, j’essaye d’enfiler un caleçon mais en vain. Je me commande une pizza et après avoir regardé un film je vais me coucher dans mes draps qui sentent de plus en plus le sexe.
J’ai déjà hâte d’être le lendemain 17h pour retrouver mon infirmière particulière et découvrir ce qu’elle me réserve.
 
 
Malheureusement le lendemain matin je reçois un message de Marie Anne qui me dit:
« J’ai une urgence familiale, je ne serai de retour que lundi ou mardi. En attendant je te trouve une remplaçante mais j’en ai choisi une que tu n’auras pas envie de toucher! »
 
Un peu déçu je me dis que le week-end va être long surtout si mon cousin sort pas mal mais je me rassure car dès le retour de mon infirmière particulière, ça va être la fête…

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