Les Aventures De David 17
LES AVENTURES DE DAVID 17
Ep 17 : LE RETOUR DE PHILIPPE
David arrivait juste à l'heure. C'était comme avec un vrai chauffeur qu'il donnait des consignes à sa voiture, lui demandant le venir l'attendre après avoir conduit François et de l'informer par SMS s'il y avait un contre temps
François écoutait comme pétrifier.
François : C'est fou ça, tu lui parles comme on parle à quelqu'un
Tu crois que je peux en faire autant.
David : Bien sûr, simplement mes ordres auront priorité sur les tiens et temps que tu ne contredis pas les consignes que je lui donne elle est à ton service maintenant !
François : Et si je lui demandais de m'emmener faire
Je sais pas moi
Le tour du monde ?
David : Tu es un marrant toi ! Elle doit m'attendre à la sortie de ma réunion, donc si tu lui demande de t'emmener trop loin elle ne pourrait pas revenir à temps
Elle m'informerait donc de ta demande avant de l'exécuter !
François : C'est vraiment étonnant ! Je crois que je ne m'y ferai jamais !
David s'éloignait en regardant son camarade qui semblait émerveillé de se retrouver là à commander un tel engin !
François : Voiture
Toi pouvoir me conduire à la bibliothèque de ville !
David éclatait de rire
Et pendant que la porte se rabaissait doucement une voix douce lui répondait
''
Si j'ai bien compris votre requête vous souhaitez que je vous conduise à la bibliothèque de la ville ?
'
David : Parle lui normalement, elle nous comprend !
François : Euh
Oui
C'est ça
La voiture démarrait et François avait l'air d'un gamin avec un grand sourire béat dans cette étonnante voiture !
Sans plus attendre David entrait dans la fac en courant et se rendait au bureau du directeur, le concierge le laissait passer sans poser de questions. Arrivé au bureau de son directeur la secrétaire lui ouvrait la porte en lui disant qu'on n'attendait plus que lui.
David entrait.
Le directeur : Ah David ! On n'attendait plus que toi !
Le maire : Mr Brosso, c'est toujours un plaisir de vous rencontrer
Quelques autres personne moins connus étaient présents, il y avait le voisin du rez de chaussée de David, José, qui assurait la gestion du patrimoine de la PK dans la région
Le maire : Bien nous pouvons commencer
Nous allons bientôt fêter le centenaire
comme vous le savez il y a cent ans le jeune Jérémy Brosso, un aïeul de notre directeur Mr David Brosso, arrivait dans notre ville, il était étudiant et il s'inscrivait à notre université
La suite nous la connaissons tous et c'est cet événement que nous allons fêter
'' Mais il y va un peu vite lui
Se disait David
Je ne suis pas encore le directeur, pour le moment je ne suis qu'un étudiant en première année
en début de première année ''
David apprenait ensuite que la construction d'un immense local venait d'être terminée, au fond de la galerie marchande qui s'ouvrait juste à coté de la banque. Il était prévu d'en faire un musée automobile, on devrait y exposer les véhicules ayant appartenu à la famille des dirigeants de la PK depuis un siècle.
José sortait Les photos des voitures et David reconnaissait l'endroit ou elles étaient prises. C'était dans son sous sol. La discussion continuait on placerait à l'entrée la très belle Rolls qui avait appartenu à Mr Le Conte un siècle plus tôt, C'était un véhicule dexception que nombre de musées de ce genre allait envier, David l'avait vu quelques jours plus tôt et en effet il s'en souvenait, elle était magnifique
Juste après on pensait mettre la première voiture que Jérémy Brosso s'était payé, une très belle voiture Allemande, elle paraissait presque banale à côté de la première même si elle avait tout de même, elle aussi, beaucoup de classe
Viendraient ensuite les voitures qui avaient appartenu à Luc Brosso, celui là il avait craqué sur la voiture de Mr Le Conte quand il était monté à bord et il était passionné par ces voitures de très grands luxe Anglaises , et rien que dans le sous sol de David on trouvait une demie douzaine de ses Rolls-Royce, il y en avait encore autant et même plus dans d'autres abris
David prenait le temps de regarder les photos puis s'arrêtait brusquement sur une voiture qui lui était familière
David : Cette voiture me rappelle quelque chose
José regardait le dos de la photo
José : C'est une voiture qui appartenait à votre père il y a quelques années.
David : C'est vrai ! Mais j'ai tendance à oublier que mon père aussi est un héritier de la PK
C'est sans doute parce quil ne m'a jamais parlé de cette société
José : Vos parents on été invité pour linauguration, Toute la famille aura une place d'honneur.
David : Une voiture qui a appartenu à mon père, je m'en souviens j'étais encore
Même les voitures de mon père
José : Mais votre père aussi est un Brosso
Il reçoit une rente, tout comme vous
Et tout comme vous il ne paye pas ses voitures
La réunion se prolongeait encore un long moment, on lui montrait une maquette, des plans
Le musée présenterait bien sûr des voitures d'exception, mais ce qui comptait surtout ici, c'est que c'étaient les véhicules ayant appartenu à la famille Brosso, il y aurait un espace pour les motos, quelques scooters, pas de vélos, bons là il ne faut pas exagérer
David se disait : '' Grand père avait raison, ici on nous voue un véritable culte
C'est un peu trop quand même
Je finirai peut être par faire comme lui et ne plus revenir ici que rarement !
Quand la réunion se terminait enfin, David retrouvait sa voiture qui l'attendait devant le bâtiment. Le toit se relevait et la portière de la voiture s'ouvrait à l'approche de son passager.
'' Je suis heureuse de vous revoir Mr Brosso, j'ai conduit votre ami comme vous me l'avez demandé. Rentrons nous à la maison maintenant ? ''
David : A la maison oui, la réunion a durée plus longtemps que je ne le pensais, et je suis fatigué !
La voiture faisait route, sans personne pour la conduire, sa manière de se déplacer était à la fois rapide, fluide et précise. David se laissait aller à se détendre et à fermer les yeux, s'amusant de la situation
De retour à la maison, David et ses camarades se commandaient une pizza.
François venait de plus en plus souvent à l'appartement, il n'était pas rare qu'il y passe la nuit. David organisait une soirée repas tous les vendredi soir pour marquer le début du week-end, plus raisonnable que la dernière fois mais en se faisant plaisir tout de même, le habitués y étaient conviés, parmi eux on retrouvait Linda, ses amours avec Mathieu étaient turbulentes, mais le plus souvent ces deux là étaient réconciliés.
Ce jour là David avait emmené son ami visiter le sous sol, François n'en revenait pas, ce sous sol était un véritable musée automobile ! Des voitures de luxe partout, les clés étaient dessus et elles étaient toutes en état de rouler
François en choisissait une de belle taille, très confortable
Il ouvrait la portière, attrapait David et lentraînait à l'intérieur. Il le jetait sur la banquette, elle était large spacieuse et terriblement moelleuse
David ne résistait pas, même pas un tout petit peu !
David se retrouvait allongé sur le dos sur le siège arrière d'une voiture centenaire, François sallongeait sur lui, le prenait dans ses bras et l'embrassait tendrement. David le serrait fort contre lui, il aimait de plus en plus la douceur de cette peau qui lui rappelait tant de souvenirs chez son grand père. Rapidement il ouvrait la chemise de son camarade qui se relevait alors pour la jeter sur la moquette.
François se penchait de nouveau vers David et lui glissait les mains sous sa chemise, il relevait les bras en arrière pour laisser son camarade faire il était en toute confiance et aimait tellement ces caresses contre son ventre puis contre son torse. Déjà il gémissait de plaisir, et déjà la pression dans sa cage de chasteté se faisait sentir, une fois encore elle devenait trop petite mais toujours elle retenait sans difficultés ce qu'elle était destiner à contenir
David caressait les bras de son amant, il avait ouvert la chemise et embrassait le torse de David alors que ses mains s'étaient glissées derrière ses épaules et le soulevait avec force et douceur. David enlaçait son amant et ne résistait pas. Sa chemise tombait à son tour sur la moquette. Il faisait frais dans ce sous sol mais dans la voiture il faisait chaud !
Les deux amants s'embrassaient en se tenant l'un l'autre fermement.
François caressait les cheveux de David, appuyant doucement sur la tête tout en donnant de légers coups de bassin. David avait maintenant l'habitude d'avaler cette queue et de toutes évidences il aimait ça. Il tirait son camarade vers lui quand celui-ci appuyait sur sa tête et avançait le bassin. Les mouvements devenaient plus puissants, plus rapides
Les râles de plaisir de François devenaient plus sonores, il ne se retenait pas de gueuler de plaisir, d'encourager son camarade
Mais il est vrai que ces voitures sont insonorisées
François était nu allongé sur le dos, David nu également allongé sur son camarade le caressait avec tout son corps, l'embrassait, le caressait, revenait sur son sexe qu'il gobait avec plaisir et expertise puis sur ses lèvre qu'il embrassait avec avidité. Toujours cette pression dans sa PK, toujours cette tension
Il respirait fort et râlait lui aussi de désir.
La queue de François se relevait, David prenait position, il s'asseyait dessus, doucement pour commencer
La queue de François appuyait sur l'anus de David
Plus fermement David sentait la pression qu'il provoquait . Il sentait son cul se détendre et s'ouvrir. Il se sentait pénétré puis remplis
Il s'appuyait complètement et il sentait la queue de son camarade s'enfoncer complètement et presser sur sa prostate
Puis sans que rien ne prévienne il sentait du sperme couler de sa cage de chasteté. Il baissait les yeux, il jutait.
Le plaisir qu'il ressentait venait de sa prostate pas de sa queue. Il jutait sans jouir
Sans jouir mais pas sans plaisir
C'est toujours une sensation étrange que de voir couler son sperme et déprouver du plaisir par une autre partie de son corps que de sa queue
Pour finir David se laissait tomber de tout son poids sur la queue de son camarade et se retrouvait empalé pour le plaisir.
François se relevait et prenait David dans ces bras. Ils se retrouvaient enlacés, François assis en tailleur sur la moquette, David empalé sur son ami, les jambes croisées dans son dos. François se balançait doucement d'avant en arrière et David gémissait fort à chacun de ses mouvements, il jutait toujours mais moins que tout à l'heure
François repoussait son ami en arrière, sa queue toujours très dure lui appuyait alors plus fortement sur la prostate
David gémissait, il poussait de vrais cris de plaisir. François lui relevait les jambes en lui posant les chevilles sur ses épaules et commençait à lui pilonner le cul, doucement pour commencer puis plus fortement et pour finir sans aucune retenue.
David se retenait aux bras de son amant, il râlait de plaisir, il respirait fort, il gueulait en redemandait. Il se retrouvait dans une position ou il ne pouvait que subir, il subissait avec plaisir. La pression dans sa PK ne diminuait pas et ses gémissements se transformaient en plaintes
Des plaintes qui par moment ressemblaient à des sanglots. Il jouissait, maintenant il jouissait même s'il ne jutait plus !
D'un geste vif François le retournait et David se retrouvait à quatre pattes, les mains appuyées sur la portière. François continuait à lui défoncer le cul dans les règles, c'est à dire sans aucune retenue, il y allait de bon cur et terminait chaque mouvement par un violent coup de reins qui arrachait un cri de plaisir à David, un cri de plaisir, un gémissement, une plainte.
Il faisait maintenant très chaut dans la voiture et les vitres étaient recouvertes de buée. On ne pouvait plus voir ce qui se passait dehors, mais de l'extérieur on devait facilement deviner qu'il se passait quelque chose dedans
De lextérieur on pouvait voir la voiture bouger et on voyait aussi, et c'était la seule chose qu'on voyait d'ailleurs, la paume d'une main appuyée contre la vitre recouverte de buée à l'intérieur de la voiture.
David sappuyait contre la vitre quand François se lâchait et jouissant dans son cul
Les deux amants restaient là un moment,encore mélangés, sans rien dire sans bouger... Des bruits venaient de l'extérieur
Rapidement ils se rhabillaient, se rendaient présentables et allaient sortir au moment ou la portière s'ouvrait
David voyait alors apparaître son grand père Philippe
Philippe : Ah tu es là toi ! Ça fait un moment que je te cherche partout .. Tu me présentes ?
David faisait les présentations. Finalement les deux garçons sortaient de la voiture
David : Je faisais visiter le garage à mon camarade
David et François réajustaient leurs pantalons
Philippe : Tu sais David
Je suis loin de pouvoir imaginer ou supposer ce que vous faisiez tous les deux mais
Comment dire
J'ai l'impression que vous vous êtes trompé de chemise quand vous vous êtes rhabillé
David se retournait vers son camarade et
En effet ils avaient inversé leurs chemises
David devenait tout rouge et son camarade probablement aussi mais, lui, ça se remarquait beaucoup moins
Ils échangeaient à nouveau leurs chemises rapidement sous le regard rieur de Philippe
François : Je suis confus Monsieur, Je vous jure que ne ce n'est pas ce que vous croyez
David le regardait l'air incrédule et se demandait
'' Comment va-t-il terminer son explication celui là ? En général quand on commence comme ça on s'enlise
''
Philippe : Que ce n'est pas ce que je crois ! Mince alors moi qui croyais que vous étiez seulement en train de visiter un garage rempli de magnifiques voitures
Philippe prenait alors la direction de la sortie en rigolant
François regardait David lair incrédule. David lui répondait en hochant les épaules et en lui faisant un sourire béat et idiot
Philippe : J'ai vu que tu avais acheté une voiture
Tu exagères tout de même
Ton banquier à pris ta défense en mexpliquant que tu n'avais pas le choix puisque tu n'as pas ton permis
Quand je tai dit qu'ils ne te refuseraient pas grand chose
Je ne pensai pas qu'ils iraient jusque là
Une voiture à près d'un million !
David : Je ne savais pas que tu devais revenir
Philippe : Mais c'est à cause de l'exposition, le directeur de la PK m'a demandé si je voulais bien superviser son organisation
David : Et tu es repassé en Afrique ?
Philippe : Oui entre autre.
David : Tout le monde va bien ?
Philippe : Tout le monde va très bien ! Tu aurais vu ça, quand je suis arrivé ils m'ont presque sauté dessus pour avoir de tes nouvelles. Ils tont adopté tu sais
David : Moi aussi, j'ai passé deux mois absolument merveilleux là bas.
Philippe : Mais je vois qu'ici aussi ça se passe bien. ( en jetant un il vers François )
François avait l'air confus, il suivait sans oser rien dire et à cette dernière réflexion il regardait ses chaussures, il était visiblement embarrassé, ce qui amusait beaucoup Philippe
David lui prenait la main pour le réconforter, dans un premier réflexe François tentait de se dégager mais comme David insistait il finissait par laisser faire.
Philippe : J'ai vu Matthieu à l'appartement, tu as suivi mon conseil finalement
David : Bein oui !
Philippe : Laisse moi deviner
Matthieu il ne porte pas ?
David : Bein non !
Philippe : C'est aussi pour cela que tu l'as choisi ?
David : Bein oui !
Philippe : Et ton copain François
Il ne porte pas non plus ?
David : Bein non !
Philippe : Et c'est aussi ce qui t'attire chez lui ?
David : Bein oui !
François : David
S'il te plaît
Philippe : Ne soit pas gêné mon garçon. On est en famille !
David : Au fait qui va venir exactement ?
Philippe : Ton père m'a fait savoir qu'il ne viendrait pas !
David : Et pourquoi ?
Philippe : Tu sais que je suis contre et même formellement contre le fait de faire porter de force notre dispositif de chasteté
Ton père a refusé ! C'est pour cela qu'il n'est pas sur la liste des héritiers
Il n'est d'ailleurs pas allé dans cette université
Il préfère rester en retrait vis à vis de la PK
David : C'est dommage ! J'airais bien aimé le voir, lui montrer ou j'habite
Philippe : Il viendra mais à titre privé et un peu plus tard quand les festivités seront terminées
Les trois hommes remontaient et s'arrêtaient au premier étage
Philippe : Au fait mon valet de chambre qui s'assure que mon appartement est toujours en état de me recevoir m'a signalé qu'il devait régulièrement renouveler le stock de champagne
David : Du champagne ? Il y en a
! Je ne te dis pas ... ! Qui sont sans gêne
Philippe : C'est bien vrai ça ! Surtout si c'est quelqu'un qui est trop jeune pour en acheter lui même
Il faut avoir vingt et un ans comme tu le sais
David : Mais moi grand père je n'en ai que dix huit
Tu le sais bien !
Philippe : Bourrique !
François rigolait doucement en les écoutant
Philippe : Bon tu manges avec moi ce soir, je compte sur toi aussi François ! Je vous laisse il faut que j'aille acheter du champagne
David et François remontaient au second étage
François : Ça ne va pas faire de problème ça ?
David : Quoi ?
François : Les bouteilles de champagne ?
David : Non, si grand père avait vraiment voulu m'engueuler il l'aurait fait ! La c'était juste une manière gentille de me dire de ne pas trop exagérer
Le reste de l'après midi David racontait à son copain ses vacances en Afrique chez son grand père, François comprenait rapidement la complicité qu'il y avait entre ces deux personnages. Histoire de rigoler et de surprendre son grand père, David proposait de s'habiller, costume, cravate et tout
C'est donc tout beaux qu'ils sonnaient à la porte de l'appartement du premier. Philippe ouvrait
Lui était resté en tenue décontractée, jeans t-shirt pantoufle
Philippe : Oui je vois ! Là David tu me cherches. Bon installez vous là les jeunes je reviens
Ça ne durait pas longtemps, Philippe revenait quelques instants plus tard en tenue de sortie lui aussi, costume de grande marque, souliers, gourmette en or et montre de grande marque en platine
Philippe : Comme ça, ça ira ?
David : Tu es superbe Grand Père !
François aussi avait le sourire.
Philippe : Bien ! Puisque c'est comme ça
On ne va pas manger une pizza comme j'avais prévu
On est obligé de sortit maintenant. Tu nous conduit dans ta nouvelle voiture David ?
David : C'est parti !
Il décrochait son téléphone
Philippe : Il fait quoi là ? ( à l'intention de François )
François : Il téléphone à sa voiture.
Philippe : A sa voiture ?
François : Oui je sais au début ça surprend
Après on s'y fait !
Quand ils arrivaient à la porte de l'immeuble, la voiture les attendait, au moment ou ils en approchaient le toit se soulevait et deux marches sortaient du bas de caisse. Philippe connaissait bien la marque mais là il ne cachait pas sa surprise
Philippe : Décidément cette marque me surprendra toujours !
Au début François restait intimidé par le Grand Père de David, mais Philippe était très sympathique et savait détendre le jeune homme. Ils allaient finalement dans un restaurant très chic et très cher
François était un peu embarrassé de la situation mais David lui rappelait que c'était son grand père qui invitait
Philippe : Il y a longtemps que vous êtes ensemble ?
David : Quelques semaines, tu sais très bien que je ne suis pas là depuis bien longtemps
Philippe : Et tu fais quoi dans la vie François ?
Ta as fait tes études dans cette ville ?
Philippe en profitait pour mieux connaître le nouveau petit copain de son petit fils
En fin de soirée
Philippe : J'espère que tu pourras venir à l'inauguration du musée, c'est dans quelques semaines
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