Domination De Couple - Épisode 5 - Pauline Torturée

Domination de couple - Épisode 5 - Pauline torturée


Ce soir-là, nous ne sommes pas allez plus loin. Une fois la pression redescendue, nous nous sommes douchés individuellement et changés, avons finit la soirée et buvant tranquillement et écoutant de la musique.

Nous étions un peu en transe, le temps semblait suspendu, la situation était unique… C’est devant la porte au moment de partir que Pauline est revenue à l’assaut :

- « Ça vous tente de se revoir demain aprèm ?
- Avec grand plaisir » lui répondit Léa. « Vous voulez faire quoi ?
- Continuer » répondit-elle simplement avec un sourire entendu.

Léa lui rendit et nous donna rdv chez elle à 14h. Puis, sans aucuns signes avant-coureurs, elle saisit Pauline par la nuque et l’attira vers elle pour l’embrasser sauvagement. L’intéressée rougit lorsque sa maitresse du moment la lâcha, elle semblait toute gênée mais contente. Pour ma part, Léa se contenta d’une bise sobre, d’un clin d’œil et d’une tape entendue sur le cul lorsque je passai à côté d’elle.

Et on est rentré se coucher.

Et on a dormi comme des pierres.

Ni le soir, ni le matin, nous n’avons ressenti le besoin d’en parler. Le moment des justifications et des doutes était passé. Si l’un d’entre nous n’était plus à l’aise avec le concept on se le dirait, mais plus besoin de prendre des pincettes en permanence… c’était assez libérateur !

Bref, on a passé la matinée lové l’un contre l’autre au lit à se dire des mots doux et à regarder des conneries sur YouTube. On grignota un bout à midi, puis on se prépara pour retourner chez Léa.

Pauline s’était maquillé, avait passé une robe élégante qui s’enroulait autour de sa taille, sur le même fonctionnement qu’un peignoir. Elle portait une paire de botte en cuir qui lui remontait jusque sous les genoux.

Pour ma part, j’avais fait l’effort habituel : jean-Tshirt.

Ouhaou, bravo Fab’ tu y mets du tiens !
Peut-être que ça leurs donnera envie de me le faire payer… l’idée ne me laissait pas indifférent.

Re-bref, nous partons chez Léa.

Elle mit un moment à répondre à l’interphone. Lorsque nous rentrons dans l’appartement, nous comprenons pourquoi : elle n’avait pas chômé !

D’abord parlons d’elle. Je préfère prévenir, j’ai l’impression de me répéter lorsque je décris ses tenues. Pourtant elles font toujours autant d’effet… Elle portait un corset de cuir noir très strict qui laissait voir la pointe de ses tétons. Un pantalon en vinyle tout aussi sexy, qui moulait parfaitement son cul et contrastait avec ses talons élégants rouge vif. Des bijoux en or pour mettre le tout en valeur, une nœud rouge vif pour tenir sa tresse… Le tableau était magnifique. Je sentis d’ailleurs immédiatement que ça faisait de l’effet à Pauline.

Celle-ci ne dit rien, se contenta de fixer notre maitresse du moment droit dans les yeux avant de défaire le nœud qui tenait sa robe, comme un paquet cadeau.
C’est un peu l’effet que ça faisait d’ailleurs. Quand l’emballage tomba au sol, je pu constater que ma compagne avait opté pour un ensemble soutien-gorge – string – porte jarretelle rouge que je voyais pour la première fois et des bas noirs élégants.

Eh merde, moi j’avais juste un T-shirt quoi… tâche le mec.

Léa me regarda avec un sourire mi- amusé, mi- dédaigneux avant de soupirer.

- « Je vois que tu as fait un effort toi aussi… à poil ! » sa cravache s’abattit sur mon cul. Ce qui fit bien évidemment pouffer de rire Pauline.
- Oui maitresse » lui répondit-je simplement.

Lorsque ce fût fait, mon érection était bien visible pour mes deux compagnes de la journée. Léa nous guida vers le salon que l’on pressentait changé depuis l’entrée… Et à juste titre.

Les meubles avaient bougé : le canapé était dans le coin. Un beau fauteuil trônait au milieu de la pièce.
Une corde avait été tendue juste en face en passant au-dessus de la poutre du plafond. En dessous, un matelas avait été positionné. Enfin, la porte du placard était ouverte, les tenues avaient été enlevées pour qu’on en voit bien le contenu : les martinets, cravaches, fouets, menottes, baillons… etc… qui pendaient, les tiroirs ouverts en escalier avec vibro et gode au premier étage, plug au deuxième, accessoires divers et variés au 3ème.

Pauline avait repris son teint pivoine habituel. Elle semblait mal à l’aise avec sa nudité partielle… Si le jeu ne commençait pas rapidement j’avais peur qu’elle en perde l’envie. Léa, qui comme à son habitude devait savoir parfaitement dans le moindre détail ce qui nous passait par la tête, s’approcha d’elle et lui parla doucement en lui caressant le visage :

- « Bon qu’est-ce que tu veux faire aujourd’hui beauté ?
- Je sais pas trop moi… Ce que vous voulez ?

Je ne sais pas si j’étais inclus dans le vous ou si elle vouvoyait sa maîtresse… toujours est-il qu’elle était clairement en position de soumission.

- « Très bien ma belle, j’ai deux options à te proposer : on ton homme qui n’a clairement fait aucun effort toutes les deux… Ou bien je joue avec vous deux toute l’après-midi. »

Pauline n’hésite qu’une fraction de seconde avant de répondre très timidement :

- « Moi aussi j’aimerais bien voir ce que ça fait d’être torturée… »

Elle avait dit ça d’une voix très basse, mais il n’en fallu pas plus à Léa. Elle la prit par la main et l’amena jusqu’au placard. Là, elle lui passa 2 menottes molletonnées au poignets et 2 aux chevilles. Elle l’accompagna ensuite jusqu’à la corde qui pendait sous la poutre et y attacha ses poignets. Elle prit ensuite une barre d’écartement dans le placard et y fixa ses 2 chevilles. Enfin, elle retourna vers l’autre extrémité de la corde qui était attaché dans un coin de la pièce et elle tendit la corde au maximum.

Pauline était donc attachée les bras en l’air, sur la pointe des pieds avec les cuisses grandes écartées.
Léa observa son œuvre, lui tourna autour, se colla dans son dos et l’embrassa dans le cou en la caressant par-dessus son string et son soutien-gorge du bout des doigts. Pauline ronronnait doucement de plaisir.

Ça commençait super bien.

Léa sembla soudainement se rappeler de ma présence. Elle claqua des doigts avant de pointer le fauteuil de son index. Je pense que ça signifiait que je devais m’y installer, ce qui je fis immédiatement.

Notre maîtresse du jour me tira les mains en arrière sans ménagement et les attacha ensemble avec de la corde. Cette même corde séparée ensuite en 2 partie partait sous l’assise de pour m’attacher les 2 chevilles aux pieds du fauteuil.

Je regardais Pauline dans les yeux, en face de moi. On ne s’est rien dit… mais quelque chose est passé. Une complicité, une manière de partager ce moment. C’était difficile à décrire.

Léa, qui devait l’avoir remarqué avec sa capacité surnaturelle de lecture de pensée, nous laissa partager ça quelques secondes. Puis elle prit la parole.

- « Voilà le deal. Pauline, a ta requête, je vais jouer avec toi… Lui, il va nous regarder en essayant de ne pas jouir. S’il jouit avant toi, il doit te remplacer jusqu’à ce que ce soit ton tour. Des questions ? non, tant mieux. »

Apparemment, elle était pressée de commencer.

- « … avec une petite surprise en plus ! »

Et elle retourna vers le placard. Je pouvais la voir mais Pauline non, elle m’interrogeait du regard sans oser me demander à voix haute ce qui se passait. Avant d’avoir eu l’occasion de comprendre, elle poussa un petit cri et sursauta quand un bandeau vient lui bloquer la vue. J’entendais déjà ses gémissements avant même qu’on ait commencé… elle était à fleur de peau !

Léa se colla à nouveau derrière elle et commença à jouer… une caresse par-ci… une petite claque par là… elle faisait glisser sa langue dans son cou, tout en lui donnant quelques tapes sur son cul cambré.
Je bandais comme un fou à la regarder jouer avec sa victime. Pauline continuait de gémir.

- « Je me suis un peu égaré » chuchota Léa dans son oreille, « il faut que je m’occupe un peu de ton homme mais je reviens très vite… »

Une claque qui résonne sur son cul et la fait sursauter, et ma future tortionnaire était devant moi.

- « Bon, qu’est-ce que je vais faire de toi pendant que je joue avec notre amie… Je sais ! »

Elle retourna au placard et revins avec les mains cachées dans le dos.
Elle me prit la queue bandée sans aucune délicatesse et elle m’enfila une gaine en silicone qui me prenait de la garde au gland. Puis elle appuya sur un bouton et la gaine se mit à vibrer doucement.

- « Un dernier détail. »

Elle me passa un bâillon-boule qu’elle serra.

- « Comme ça tu ne pourras pas prévenir mon jouet des souffrances qui l’attendent… »

Pauline avait le visage tourné pour orienter ses oreilles dans notre direction. A mon grognement étouffé, elle dut comprendre que j’étais bâillonné. Puis plus un son… Elle tourna la tête dans un sens, puis dans l’autre, à essayer de détecter par quelle direction elle allait être attaquée. Mais Léa se déplaçait sur la pointe des pieds autour d’elle, comme un chat.

La respiration de Pauline s’intensifiait… Et CLAC !
La cravache venait de s’abattre sur son cul. Pas méchamment, pas très fort, mais suffisamment pour lui arracher un petit cri. De surprise plus que de douleur.

Léa vient enlacer sa soumise :

- « Tu vois ça fait pas bien mal…
- Non maîtresse…
- On va s’amuser tu vas voir… mais avant qu’on s’amuse, j’aimerais que tu me rappelles les safeword dont on a discuté.
- … Jaune si je veux ralentir, rouge si je veux tout arrêter.
- Très bien ma chérie »

Et elle lui roula un patin du tonnerre… avant de lui mordre la lèvre. Pauline couina, toujours plus de peur qu’autre chose. Léa prit cette fois ci la langue de sa soumise entre ses dents… Celle-ci était arc bouté vers l’avant par peur irrationnel de voir sa langue arrachée. Puis Léa la lâcha, lui passa un coup de langue sur ses lèvres maintenant fermée et prit un peu de distance.

Pauline haletait doucement.

Léa prenait position derrière elle, à proximité de son placard d’outils de s.

Moi, je me contentais de bander et de prendre du plaisir… pas mal comme programme.
Notre domina commença par jouer avec sa cravache sur le cul de Pauline. La peur passée, celle-ci se concentrait sur les claquements du cuir sur ses fesses exposées et poussait de petit gémissement à mi-chemin entre plaisir et douleur. Léa la fit tourner sur elle-même pour que je puisse voir son cul rougir au fur et à mesure, ce qui contribuait à la montée de mon plaisir. Surement le but, d’ailleurs.

Lorsque celui-ci fut bien rouge et que Pauline poussait des grognements de plus en plus appuyés, sa tortionnaire changea d’outil et commença doucement à lui marquer la poitrine avec un martinet.

Au premier contact des lanières, Pauline poussa un cri de surprise. Celle-ci n’avait pas vu venir le changement et anticipait un coup sur ses fesses. Puis, sa réaction au contact des lanières évolua à nouveau pour repartir dans des gémissements à mi-chemin entre plaisir et douleur.

Le phénomène suivant est très difficile à expliquer… le cerveau est une machine fantastique. Face à cette scène, j’ai eu l’impression pendant quelques instants d’avoir un arrêt sur image, comme au cinéma. Laissez-moi vous peindre le tableau.

Léa à le bras en plein revers de martinet. Elle a une expression sur son visage qui mélange excitation, concentration, sadisme, peur d’en faire trop, envie de continuer… sa tresse est immobilisée en plein rebond contre sa poitrine à cause du mouvement. Ses tétons dépassent désormais fièrement de son corset, qui comprime tout de même le bas de sa poitrine. Sa position est légèrement penchée en avant, ce qui fait ressortir son cul parfaitement moulé par son pantalon ajusté en vinyle. Son autre main est prête à réceptionner son jouet après contact.

Les lanières noires sont figées dans l’air, on peut presque sentir le cuir imprégné de l’odeur de Pauline.

Celle-ci a une expression complexe à déchiffrer. Sa bouche est entre-ouverte, dans une position qui évoque le plaisir. Ses traits sont figés, évoquant plutôt la douleur. L’ensemble laisse imaginer une excitation omniprésente, une envie de repousser ses limites, une volonté de continuer à tenir, une fierté d’avoir tenu jusque-là… Ses jambes ne la portaient presque plus, elle était maintenue par ses poignets solidement attaché au-dessus de sa tête. Ses sous-vêtements étaient en pagaille, ses seins sortaient à moitié des bonnets de son soutien-gorge. On voyait une tâche d’humidité sur son string au niveau de son entrejambe.

Et CLAC !

Le temps reprit son court comme si rien ne s’était passé. Pauline poussa un long gémissement plaintif. Léa réceptionna parfaitement les lanières qui venaient de frapper les seins de sa soumise. J’observais la scène terriblement érotique en gardant mon tableau gravé dans le cerveau. J’avais de plus en plus peur de ne pas tenir et de jouir avant Pauline.

Celle-ci semblait à la limite de ce qu’elle pouvait supporter. Léa s’en rendait bien compte et rangea son outil. Elle vint se coller dans le dos de sa soumise, enrouler un bras autour de son cou pour approcher l’oreille de sa soumise de sa bouche. Elle lui chuchota des mots doux, lui répéta à quel point elle était fière d’elle en lui caressant le clitoris par-dessus son string.

Vu les émotions qui l’avaient agitée jusque-là, Pauline semblait sur le point de jouir. Et ça s’entendait. Elle gémissait, s’agitait dans ses liens, criaient à moitié… Léa la tenait toujours fermement par le cou en lui chuchotant des paroles inaudibles depuis mon trône.

- « Maitresse je veux jouir…
- Ce n’est pas comme ça qu’on demande… Pour ta peine tu dois attendre encore un peu !
- Pitié, je vous en supplie, je ne vais pas tenir…
- Je te conseille vivement de le faire ! »

Moi, de mon côté, j’espérais surtout qu’elle lui accorde vite… J’avais passé le point de non-retour. Avec le vibro ça montait tellement longtemps que j’avais encore 30 bonnes secondes avant de basculer mais au-delà il serait impossible de temporiser. Je m’agitais donc, ce que Léa ne manqua pas de remarquer.

Elle tendit le bras qui tenait précédemment le cou de sa soumise pour rejoindre le placard… Et en sorti un glaçon. Elle me sourit.

Non. La sadique… je voyais d’ici ce qu’elle allait faire. Je grognais dans mon bâillon pour prévenir Pauline mais rien d’intelligible ne sorti. De son côté, elle entendit que Je m’agitais mais ne savait pas ce que tramait sa maitresse.

Celle-ci relâcha quelques secondes à peine la main qui maltraitait le clitoris de son jouet. Pauline grogna doucement de mécontentement, mais continuait de supplier en continu pour un orgasme. La suite se déroula en 4 temps très proches les uns des autres.

D’abord, Léa Plaqua sa main qui tenait le glaçon sur le clitoris de Pauline.
Ensuite, elle vint plaquer sa deuxième main sur la bouche de sa soumise pour le long cri qu’elle poussa.
Léa susurra à l’oreille de sa soumise qui se débattait son autorisation de jouir, ce qui était rendu impossible par le glaçon qui remplaçait le plaisir par une glaciale.
Face à cette scène excitante au possible, je joui dans un long grognement étouffé par mon bâillon.

J’avais perdu. Léa lâcha Pauline. Celle-ci avait les bras tirés en l’air, ses jambes à moitié repliées ne la portait plus du tout. Elle alternait entre gémissements, halètement, pleurs un peu… Elle était à bout.

Léa lui détacha ses jambes, laissa ses mains attachées mais les déconnecta de la corde qui pendait du plafond. Puis elle l’aida à s’allonger et enleva son bandeau. Elle poussait des sanglots étouffés, entrecoupés de petits gémissements.

- « Je veux jouir… je veux jouir, je l’ai mérité… »

Et elle se remit à doucement sangloter. Léa s’allongea entre ses cuisses et commença à doucement lui lécher le clitoris. A chaque petit coup de langue, l’intéressée tressautait, un réflexe à mi-chemin entre peur et surprise. Après quelques minutes de ce traitement, les sanglots se sont progressivement transformés en gémissements de plaisir. J’avais une vue sur le cul relevé de Léa et sur sa tête entre les cuisses de sa soumise, qui elle-même m’offrait sa poitrine complètement sortie de son soutien-gorge et son visage qui se déformait progressivement par le plaisir. Ses mains attachées, initialement immobilisées au-dessus de sa tête, finir par aller trouver la tresse de sa maitresse pour guider sa langue.

De mon côté, je bandais à nouveau. On est d’accord que cela va sans dire, mais ça va mieux en le disant. Les quelques minutes post-orgasme ou la gaine avait continué à vibrer avait été une mini- au fait. Non mais quand même, faut le dire, pauvre moi. Je n’avais bien évidemment pas osé m’en plaindre vu la situation.

Bref, côté cunnilingus ça avait l’air de bien se passer. En tout cas, Pauline avait l’air remise de sa à elle ! Léa s’arrêta un instant pour lui parler tout en gardant ses lèvres à quelques millimètres de son clitoris :

- « Tu peux jouir quand tu veux, je t’en ai donné le droit… Mais si tu le souhaites je peux te laisser finir ça avec ton homme. »

Pauline, n’hésitas qu’une seconde avant de répondre :

- « … Oui, oui je veux. Mais reste avec nous… »

Léa aida sa soumise à se lever. Elle s’apprêtait à la détacher quand celle-ci lui dit « non ». Elle s’arrêta donc et la guida jusqu’à moi. Pauline m’enleva la gaine pendant que Léa passait derrière pour me détacher. A nouveau, celle-ci prononça un simple « non » très explicite. Léa se remis à côté de moi et pointa mon bâillon du doigt. Nouveau signe négatif de la tête de la soumise.

Celle-ci, aidée de sa maitresse qui la portait d’un bras et écartait son string de l’autre, passa une jambe de chaque côté de moi sous l’accoudoir pour venir s’empaler sur mon membre dressé dans un long soupir. Elle passa ses mains attachées autour de mon cou pour m’attirer vers elle, planta son regard dans le mien et commença un lent va et vient. Elle me déposait de petits baiser sur mon bâillon, jouait avec sa langue sur mes lèvres et gémissait doucement en gardant son regard ancré dans le mien.

Par-dessus son épaule, je voyais Léa qui m’observait. Elle gémissait aussi, je compris donc qu’elle s’était installé aussi un jouet vibrant. Elle avait une main qui pétrissait un sein de Pauline et l’autre qui lui caressait le cul.

Pauline poussa soudain un gémissement plus long et plus profond que les autres et je sentis soudain une présence qui me caressait à travers la paroi de son vagin. Léa lui avait glissé un doigt dans le cul et me caressait doucement dans Pauline.

Celle-ci, au bord de l’orgasme, accélérait le rythme. Je vis dans son regard qu’elle allait jouir. Ce qui se vit donc dans le mien. Léa, elle aussi au bord de l’orgasme, bascula en pinçant le téton de Pauline. Qui bascula à son tour. Son vagin se contracta sur ma bite et enfin, je jouis à mon tour.

Pauline s’effondra sur moi. Léa était effondrée sur elle. On était épuisé, mais heureux…

A suivre...

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