Consolation...
- Rodolphe me trompe, Alain ! Tu entends, IL
ME
TROMPE.. Fit Florence en se laissant tomber sur le siège à côté du mien, après avoir ouvert la portière à la volée. Fort embarrassé, je ne savais plus quoi dire. Jaurai souhaité quelle ne soit pas dans ma voiture.
- Tu en es sûre ?
- Non
mais je le suppose
- Tu ne las pas vue de tes propres yeux ?
- Non. Mais je le sens
- Oui, je vois cest seulement une intuition ?
- Je ne sais pas pourquoi mais jai lair de te faire chier là. Je me trompe ?
- Mais non ! Où va tu cherchais ça ?
- Je ne sais pas ! Cest limpression que tu me donnes
- Tout au contraire. Je suis flatté que tu viennes men parler. Tu le sais depuis longtemps ?
- Un certain temps.
- Je vois
Elle a gardé un instant le silence avant dajouter :
- OUI ! Bon
je reconnais, que je ne suis pas moi-même, toujours très sage. Mais il sagit que de passades sans importance, de désirs qui sévanouissent aussitôt satisfaits.
Je lai écouté attentivement tout en regardant machinalement les passants. Je savais par la bouche de mon collègue, (lépoux de Florence), que leur couple battait de laile. Ils étaient mariés depuis onze ans. Lâge de leur fils. Il mavait confessé quil commençait sérieusement à sennuyer avec sa femme. Là-même qui à son tour, ne se gêner pas de dénigrer dans le dos de son mari à chacune de nos rencontres. Se lamentant de sa froideur. Comme chaque fois, je me montrais compréhensif compatissant avec les deux parties. Tâchant de réconforter, la ou le pleurnichard.
- Ah ! Si seulement il pourrait être aussi gentil que toi ! Lentendais-je me dire, alors que jétais canaliser dans mes pensées. Je ne sais pourquoi, poursuivit-elle, mais jai comme un grand besoin aujourdhui de soulager mon cur
Je sais quavec toi je peux me confier, sans crainte
De mouvrir sans détours
Tu sais écouter les femmes en détresse comme je le suis ses derniers temps.
- Si jai un conseille à te donner, cest celui de dialoguer avec lui.
- Oh ! Il ne mécoutera pas
- Essaye.
- Cest cause perdue, mon cher Alain. Dailleurs depuis des mois il me délaisse, sexuellement. Oui, si tu veux savoir. Mais pourquoi je te dis cela
fit-elle prenant un air énervé.
- Un besoin de vider ton sac, sans aucun doute. Répliquais-je, comme pour la soulager.
- Si tu savais le bien que cela me fait de le vider. Je te remercie de mécouter. Rien que ta compagnie mest infiniment agréable.
- Si cela peut tapaiser, tant mieux
.
Elle ma fixé un instant, sans quun seul mot ne sorte de sa bouche. Comme si elle était en train de réfléchir à ce quelle sapprêtait à me dire.
- Tu sais ce que jaimerai à cet instant ?
- Non, mais je ne vais pas tarder à le savoir ?
- Je ne sais pas si je dois te le dire. Non
je ne devrais pas ! Que je suis bête
fit-elle en respirant profondément, comme si elle manquait dair.
- Non ! Jinsiste. Aller quest-ce que tu avais à me dire ?
Elle souffla un grand coup comme pour se donner du courage, puis se lança :
- Cest très difficile à dire
crois-moi ! Voilà, je vais me lancer ! Je ne serai pas contre davoir une relation avec toi.
Je mattendais à tout, mais pas à ça. Elle mavait pris au dépourvus.
- Je ne sais quoi te répondre. Tu men bouche un coin, là, ma chère Florence.
- Oui, je comprends bien
mais je voulais que tu le sache. Maintenant je ne te pousse pas à la consommation.
- Florence ! Tu es plein de surprise, à ce que je vois. Tu ne penses pas que le fait que ton couple tangue un peu, cela te fait dire nimporte quoi ?
- Non ! Non ! Pas du tout. Cela fait déjà pas mal de temps que je tai dans mon viseur. Mais putain ! Que marrive-t-il. Je suis vraiment en train de perdre les pédales
je mexcuse, Alain.
- Tinquiète, la soulageais-je, comme tu sais cela restera entre nous.
- Oui
cest ça, nen parlant plus.
Cela ne dura que quelques secondes avant quelle senflamme à nouveau.
- Excuse-moi de te le dire, mais si tu savais dans quel état dexcitation je me trouve à cet instant. À en avoir la culotte toute mouillée. Cela faisait longtemps que cela ne métait pas arrivé. Je meurs denvie de faire des folies de mon corps, si tu veux le savoir. Je dirai même que je grille en cet instant pour toi.
Voilà ! Cétait dit. Une confession comme une autre, me direz-vous. Je suis resté un instant songeur. Un scénario ma traversé même lesprit, où je commandais à Florence de retirer sa culotte et de me la donner. Mais pas le temps de mattarder sur le sujet que déjà ma chère passagère me ramena à la réalité. Elle était toute rouge dexcitation. Tous les traits de son visage sétaient contractés. Un tic nerveux agitait sa lèvre inférieure. Je me mis tout de suite, mentalement en guette dun endroit où nous pourrions être tranquilles pour consumer notre effervescence réciproque.
Une fois le lieu défini en tête, je nai pas tardé à mettre le contact pour aller le rejoindre. Du coin de lil, je me suis rendu compte que Florence a niché sa main entre ses cuisses. Vue comme ça bouger sous sa jupette, il était facile dimaginer ce quelle était en train de faire. À mon tour jai glissé ma menotte droite sous sa jupe, pour me joindre à la sienne. Pour cela jai écarté lélastique de sa culotte. Au toucher, jai jaugé qu elle était en dentelle. Pour me faciliter laccès, elle sest soulevée légèrement et fit glisser sa culotte le long de ses bottes jusquau plancher. Puis elle sest avancé sur son siège, écartant les cuisses pour mieux soffrir à ma main fouineuse. Sa respiration sest accélérée au fur et à mesure que je la fouillais de mes doigts. Elle les a enduit de sa mouille.
Florence a poussé de petits cris de plaisir, agitant sa chatte contre mes doigts. Très vite son corps sest tendu et son plaisir a éclaté.
Encore quelques tours de roues, et nous sommes arrivé à lendroit désiré. Je fis quelques manuvres pour mieux me camoufler derrière un bosquet, sous le regard de la coquine. Les joues aussi rouges que la culotte quelle sétait ôtée quelques instants plus tôt. Alors que je me préoccupais à me débarrasser de pantalon et slip, elle a pris place sur la banquette arrière. Dans la position la plus femelle qui soit. Je me suis empressé de la rejoindre. À moitié agenouillé derrière elle, mes pieds en chaussettes hors de la voiture. Ma tête rentrée dans mes épaules pour ne pas me cogner dans lencadrement de la portière ouverte. Jai contemplé un instant le spectacle qui métait offert. Surtout le cul nu de Florence que je voyais pour la première fois, nu. Je lai jugé magnifiquement. Plein, large, blanc. Elle a creusé ses reins comme pour le faire encore mieux saillir. Cétait un spectacle assez fascinant. Surtout le sillon profond qui partageait les fesses, avec les ourlets rose tendre du sexe déjà ouvert, sans doute à cause de la position.
Jai guidé ma verge dune main. Elle a eut un gémissement quand jai plongé au fond de son sexe dune seule poussée. Les muscles de son ventre se sont contractés, comme si elle cherchait à expulser son urine. Jai fouillé sa chair tendre, qui laisser échapper des bruit de sucions. Jallais et venais à une cadence hâtive. Mes couilles, claquant contre son fessier. Florence se mit à murmurer. Jai eu du mal à comprendre ce quelle disait. Dans un geste désordonné, ma queue est sortit de son fourreau. En plein euphorie, jai pressé sur ses épaules pour quelle se courbe un peu plus en avant et prenne appui des deux coudes sur la banquette. Dans cette position, la tête basse, les jambes tendues. Elle ma présenté son petit trou très poilu. Jai posé le bout de mon sexe sur lanus. Ses chairs ont lutté quelque instant contre la formidable puissance de ma verge. Mais elles ont abdiqué.
- Putain jai envie de chier ! Me lança-t-elle.
Pour toute réponse, jai claqué mon ventre contre ses fesses, qui se tortillait en cadence.
- Ça me plaît, murmura-t-elle. Je ne sais pas si je peux jouir par là
Je suis sorti de nouveau de son cul pour mieux linvestir linstant daprès. Une vraie merveille. Elle a cambré ses reins pour mieux subir ma cadence. Très vite je suis arrivé au sommet de la courbe de ma jouissance. Le plaisir allait se déclencher dun moment à lautre, en moi. Je suis resté immobile, frémissant, soudés à elle, le souffle court, le cur battant à se rompre.
- Je jouis ! Hurla-t-elle.
Il men a fallut pas plus pour me déverser en elle. Jai attendu que ma verge débande un tant soit peu pour mextirper du trou du cul. Aussitôt Florence sest retournée pour sinstaller sur la banquette. Sans doute pour récupérer, pensais-je. Mais ce nétait sans compter sur la faim sexuelle de la belle. Elle ma désigné alors de son index sa toison luxuriante. Une épaisse touffe bouclée en relief, divisé dune fente toute luisante. Jeux une lueur dincompréhension. Son rire résonne encore à mes oreilles.
- Alors ! Quattends-tu !
Jai obéi, et me suis agenouillé à ses pieds. Je me suis attardé sur la longue fente aux chairs rouges et gluantes. Jai retardé le moment où je devrais me décider. Une odeur épicée envahit mes narines. Impatiente, elle a posé sa main mes cheveux et ma attiré contre elle. Ma bouche est entrée tout de suite en contact avec les muqueuses luisantes. Un fort goût me vint à mes lèvres.
Jai passé la pointe de ma langue dans les replis trempés de la vulve. Cétait chaud. Cétait bon, au point que je me suis mis à explorer le sexe ouvert. Jai léchais les bords du vagin, remontant pour titiller le clitoris tendu. Un goût musqué a imprégné ma bouche, agissant sur moi comme un aphrodisiaque. Je me mis à sucer plus fort, plus profond. À men décrocher la mâchoire. Puis je suis remonté pour enrouler ma langue autour du clitoris. À chaque fois, le contact de ses poils sur mes lèvres ajoutait un surcroît de frisson. Florence se mit à me donner de grands coups de hanches.
- Vas-y ! Continus, tu fais si bien
Cria-t-elle tandis que son bassin chaloupait à un rythme de plus en plus convulsif.
Javais mon nez, ma bouche, mon menton, enfouis dans la moiteur tropicale de son ventre, alors que cette dernière tressautée. Elle se mit alors à donner des ordres saccadés.
- Oui ! Oui, plus vire ! Vas-y plus loin ! Oui
oui, plus haut ! Plus fort
Oh oui
comme ça
cest bon
hurla-t-elle.
Elle sest cabrée, soulevée. Cognant si fort mon visage avec son bassin, quelle a faillit méjecter de son sexe. Jai attendu quelle est eu un autre orgasme pour me poser à mon tour sur la banquette, près delle. Le visage luisant de son humidité. La mâchoire douloureuse, avec un goût salé dans ma bouche.
Voilà le résultat de notre petite récréation
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