Véhicule Motorisé, Au Chalet, Chapitre 3 Volet 2
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Véhicule motorisé,
Au chalet.
Chapitre 3, volet 2
Lentement, je reviens à moi.
Je suis étendu sur un divan-lit.
J'ouvre les yeux.
Je suis dans la pénombre éclairé par un plafonnier dont l'éclairage a été tamisé.
Je suis nu de la tête aux pieds.
Je sens de la douleur au petit orteil de mon pied droit, douleur compensée par la jouissance d'une fellation que me prodique Charles.
Il est a genoux à cote du divan lit où je suis couché sur le dos.
Le coté gauche de son visage est appuyé contre le bas de mon ventre.
Du bout des doigts de sa main droite il tient mon pénis alors que du bout de sa langue, il en titille le gland.
La jouissance que me prodigue Charles compense amplement pour le douleur que je ressens.
Je pose ma main droite contre le coté droit de la tête de Charles pour lui indiquer que je reprend vie.
Charles continue à me caresser pendant quelques secondes avant de retourner son visage vers le mien.
Il me chuchote :
« Merci pour avoir accepter de vous laisser r de la sorte. »
« J'ai adoré de me laisser r par vous deux! »
« Même si.......? »
« Oui, même si.......! »
« Au sujet de votre ongle, Maurice s'est chargé de vous faire une petite opération esthétique de sorte que plus rien n'y paraît. »
« Ça me fait toujours mal! »
« Le mal va s'estomper. »
« Vous allez me ramener chez moi? »
« À moins que vous acceptiez de passer à l'étape suivante. »
« Qui est? »
« Relevez-vous et regardez le petit orteil de votre pieds droit. »
Je m'assied sur le divan-lit, je me tourne vers l'extérieur du lit et je pose mes pieds par terre.
Je me penche et je regarde le petit orteil de mon pied droit.
Il y a un ongle : je me demande si j'ai fait un cauchemar et si Charles ne m'a jamais arraché mon ongle.
« Vous ne m'avez pas arraché mon ongle? »
Charles tend la main vers moi et il l'ouvre : je vois dans le creux de sa main l'ongle qu'il m'a arraché.
« Oui, je vous ai arraché l'ongle mais Maurice a corrigé la situation de sorte que votre pied ne soit pas mutilé et qu'il soit toujours aussi excitant. »
« Merci! »
« La prochaine étape, si vous l'acceptez, se passera dans le chalet. Tout ce que nous vous ferons endurer sera enregistré en haute défiition pour en faire un vidéo porno sadomaso. »
« Vous allez le diffuser sur le web? »
« Oui et plus précisément sur le site XXXXX,com : vous le connaissez? »
« Bien sur, c'est même mon site préféré! »
« Mais avant d'en arriver là, je dois vous faire une offre. »
« Qui est? »
Charles me tend une enveloppe :
« Ouvrez-la.! »
J'ouvre l'enveloppe et je constate qu'il y a de nombreux billets de cent dollars.
« Nous vous offrons la somme de 5 000,00$ en billets de 100,00$ si vous acceptez de venir dans le chalet. »
« Mon visage sera à découvert? »
« Il serait préférable que votre visage soit à découvert. »
« Si j'accepte d'être à visage découvert, accepteriez-vous de doubler la mise? »
« Faudrait que j'en discute avec Maurice : pour un tel montant, vous devrez accepter que les sévices que nous allons vous faire subir soient beaucoup plus sévères »
« Il en va de soit! »
« Avant que vous acceptiez ou que vous refusiez notre proposition, vous devez savoir que l'intérieur du chalet est un donjon équipé de tous les instruments de s possibles. Si vous acceptez, votre décision sera irrévocable. »
« Vous savez que je suis marié! »
« À partir du moment où vous acceptez de pénétrer dans le chalet, Maurice et moi, nous n'en tiendront plus compte. »
« Mon corps va donc porter des traces des s? »
« Surement, même si nous allons faire notre possible pour qu'elles soient le moins apparentes possible. »
Selon les conditions que nous venons de discuter, j'accepte de me présenter au chalet et de me laisser r à visage découvert. »
« Maurice et moi, n'avons jamais rencontré un homme aussi masochiste que vous.
« Non, je vais vous obéir : je serai vêtu pour vous exciter au plus haut point quand j'irai vous rejoindre dans le chalet. »
« Vous m'excitez au plus haut point: avant de vous quitter, je ne peux résister à vous demander ceci. Couchez-vous sur le ventre et relevez votre derrière. »
« Comme ceci? »
Je prend la position demandé.
« Votre cul, il est tentant! »
« Vous allez m'enculer? »
« Oui, je vais vous enculer : écartez vos jambes. »
J'écarte mes jambes.
« Vos fesses? »»
« Vous voulez que je les écarte avec mes mains? »
« Oui! »
J'écarte mes fesses.
Charles se positionne entre mes jambes très écartées.
Je sens un filet de salive entre mes fesses : il glisse et atteint la rosace de mon cul
« Je vais vous faire très mal! »
« Le contraire m'étonnerait! »
Je devine que le bout du gland du pénis de Charles se positionne directement sur ma rosace.
Les muscles de mon sphincter s'écartent pour permettre l'introduction du bout du gland du pénis de Charles dans mon cul.
Son pénis me semble d'une grosseur et d'une dureté extrême. Je connais la longueur de son instrument.
Il se penche au dessus de moi et pose l'intérieur de ses mains contre le matelas, de chaque coté de mes épaules.
Il y a surement un espace de plusieurs pouces entre son bassin et le bas de mon dos.
Je sens le bout de son gland forcer les muscles de mon sphincter.
« Rrrrrraaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhh! »
Son pénis pénétre aux fonds de mes intestins d'un coup sec.
« Ooouuiiiiii, c'est bonnnnnnnnnn! »
Charles reste appuyé contre mes fesses un long moment.
« Vous avez mis un condom? »
« Non: je vais éjaculer dans vos intestins de pute. »
« Oui, faites de moi, votre pute! »
Je sens son pénis sortir en presque totalité de mes intestins.
Charles maintient sa position pendant quelques secondes.
« Prenez-ça! »
Il se propulse à nouveau de toutes ses forces dans mes entrailles.
« Salaaauuuddddd : jouissez de ma souffrance!»
À nouveau, l'entièreté de son pénis est au plus profond de mes entrailles.
Je referme mes jambes et contracte les muscles de mon sphincter afin de créer une compression sur le membre qui me sodomise.
« Vicieux, vous voulez amplifier ma jouissance? »
« Ce n'est pas ce que vous souhaitez? »
Charles commence à me pistonner les entrailles avec force.
Son bassin hurle mes fesses à répétition.
Son pénis sort à nouveau en presque totalité de mes entrailles pour mieux y replonger avec une vigueur décuplée.
« Vous aimez souffrir, ma pute? »
« Ouuuiiiiii, mon Maître! »
« Je vais venir! »
« Je n'attend que votre semence! »
Son pénis sort à nouveau en presque totalité de mes entrailles et y replonge avec une extrême violence.
Charles se laisse choir contre mon dos.
Ses mains se glissent sous mes bras avant de les ramener derrière mon cou.
Le haut de mon corps est entièrement à la merci.
Il se propulse une dernière fois aux plus profonds de mes entrailles.
Je sens son sperme gicle.
Je l'entend râler de jouissance :
« Hhhhhaaaaaaaaaaaaaaaaaa! »
Son râle se termine par une douleur extrême ressentie sur le dessus de mon épaule droite.
Il me mord et ses dents s'incrustent dans le chairs de mon épaule.
Je colle mon visage le plus que je peux dans l'oreiller pour un hurlement de douleur.
« Ma pute, j'adore vous entendre hurler de douleur.
« Même, même pas le Doc? »
« Le Doc ne m'a jamais permis de l'enculer. »
« Et lui, il vous a déjà enculé? »
« Je suis son soumis : oui, il m'a enculé plusieurs fois. »
« Quand il vous encule, il vous fait aussi mal que vous quand vous m'enculer? »
« Beaucoup plus sadique que ce que je viens de vous faire endurer. »
« Vous voulez m'en dire plus? »
« Non, car il va surement vous enculer de la manière la plus douloureuse possible. Il va se servir d'un appareil qui va mutiler l'intérieur de vos intestins. Les cicatrices ne seront pas apparentes mais très douloureuses. »
« Je suis excité par ce que vous venez de me dire! »
« Votre bouche va maintenant devoir servir au nettoyage de mon membre. Couchez vous sur le dos! »
Charles se dégage de moi et s'écarte du divan-lit.
Lentement, je me tourne sur le dos et je me positionne de façon à ce que ma tête dépasse le bord du lit de sorte que je puisse la pencher par en arrière pour faciliter l'introduction du pénis de mon Maître à l'intérieur de ma bouche.
J'entrouvre ma bouche et, de ma langue, j'humidifie mes lèvres.
« Cette position vous convient? »
« Putain de garce que vous m'excitez! »
« Laissez-moi dégager votre membre de mes sécrétions intestinales. »
J'ouvre ma bouche et je sort ma langue.
« Garce, vous me provoquez? »
« Oui, je vous provoque : ma bouche est entièrement à votre disposition! »
Charles s'agenouille devant mon visage : son pénis se trouve à la hauteur de mon visage.
Il me prend par les épaules et me tire vers lui de sorte que ma tête soit à la renverse et dégagée du lit.
« Vous allez devoir commencer par dégager mon pénis de vos sécrétions intestinales qui ont servies de lubrifiant à la pénétration de mon pénis dans vos intestins. »
« Approchez votre pénis de ma bouche. »
« Maintenez votre bouche ouverte et ne la refermez sous aucun prétexte. »
Le gland du pénis de Charles glisse sur mes lèvres.
« Lécher le bout de mon gland et sucer le de sorte que mon urètre se vide de ma semence qui s'y trouve encore. »
Je passe ma langue tout autour du gland et je le suce.
« Une vraie garce de putain! »
Je suce son gland et je me délecte des quelques gouttes de semence et de mes sécrétions intestinales.
Le goût de mes sécrétions est acre mais non répulsif.
Je suce son gland avec un peu plus de force.
« Votre bouche est aussi excitante que votre cul! »
Ce membre bandé à l'extrême et d'une longueur plus que normale pénètre lentement dans ma bouche.
« Laissez votre bouche ouverte que je vous pénètre jusqu'au fond de la gorge. »
J'ouvre ma bouche un peu plus.
« Laissez mon pénis glisser sur toute sa longueur contre votre langue. »
Le membre glisse sur ma langue jusqu'à ce qu'il atteigne le fond de ma gorge.
J'avale ma salive qui a un goût acre mais qui ne me déplaît pas du tout.
Charles pose une main sous mon menton : je ne puis faire aucun mouvement du recul pour me soustraire à aucun geste répugnant qu'il puisse vouloir tenter de me faire subir.
« Tu t'es rassasié de tes sécrétions, tu vas maintenant te désaltérer de mon urine. »
« Ouuuuuuuiiiiiiiiii! »
Je sens son pénis prendre encore plus d'ampleur.
Le bout de gland de son pénis atteint mon pharynx.
Il pose son autre main sous ma tête et de ses deux mains, il la tire vers lui.
« Abreuvez-vous de mon nectar! »
Un jet d'urine chaude atteint le fond de ma gorge.
Je n'ai même pas de haut de cur quand ce liquide chaud coule dans mon eusophage.
J'ouvre ma bouche le plus possible de sorte qu'il n'y ait aucune obstruction à la pénétration de ce liquide et que je puisse m'en régaler.
Une fois sa vessie vidée, alors que son pénis sort lentement de ma bouche, j'appuie mes lèvres contre son membre pour me permettre de lui faire une dernière fellation.
« C'est une première? »
« Oui, Maître! »
« Où avez-vous appris à être une telle salope? »
« C'est mon secret! »
« Je ne voudrais pas vous laisses sans...........! »
« Sans me
.......?
« Déplacez-vous de sorte que je puisse placer un oreiller sous votre tête. »
Je me glisse sur le lit : ma tête repose contre le matelas.
Charles se positionne au-dessus de moi, ses genoux de chaque coté de mon bassin.
Il soulève ma tête et y place un oreiller.
Charles se couche par dessus moi de sorte que nos deux bassins soient l'un au dessus de l'autre.
Nos pénis se touchent et s'excitent mutuellement au contact de l'un et de l'autre.
Il place ses mains de chaque coté de mon visage : il approche sa tête vis à vis la mienne.
« J'ai hâte que vous soyez dans le chalet pour vous faire souffrir! »
« J'ai hâte que vous me fassiez souffrir! »
« Garce de démonnnnnnnnneeeeeeeeeeeee! »
Charles baisse lentement sa tête jusqu'à ce que nos lèvres soient en contact.
J'entrouvre ma bouche.
Il passe sa langue sur mes lèvres.
Je sort légèrement ma langue pour qu'elle effleure la sienne.
Nos lèvres se soudent.
Nos bouches s'entrouvrent et nos langues explorent nos bouches avec frénésie.
Des flots de salive coulent dans ma bouche; je les déguste avant de les avaler.
Nos bouches demeurent en contact pendant de nombreuses minutes alors que nos langues explorent nos bouches avec vigueur.
Au bout d'un long moment qui m'a paru très court, nos bouches se dégage l'une de l'autre et Charles de dégage de sur mon corps et il se lève.
« Maurice et moi nous allons vous attendre dans le chalet. Soyez la plus sensuelle possible : chaussez des souliers à talons hauts et portez du linge de femme. »
« Je vous promets de ne pas vous décevoir. »
« A bientôt! »
Charles quitte le motorisé.
Je m'assied dans le lit et je jette un rapide coup d'oeil autour de moi.
Je vois devant le lit un garde-robe double et dans le coin de la chambre, une porte que je présume donne accès à la salle de bain.
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