La Mauvaise Surprise

Quelques semaines étaient passées depuis notre week-end a la côte.
De temps en temps je discutais sur un site très populaire de discussion en ligne. Je recevais, malgré mon âge affiché beaucoup de messages venant de toutes les tranches d 'âges.
Bien sur, quand la discussion allait plus loin, neuf fois sur dix la personne disparaissait, ne restait que ma génération qui je dois bien l'avouer, ne m'intéressait pas vraiment.
Je n'avais pas besoin de quelqu'un de l'âge de mon mari, cela n'aurait rien changé pour moi.
J'avais quelques fois mon amie au téléphone, je ne lui racontait pas mes recherches, je gardais cela pour moi, je la trouvais trop incontrôlable.
Elle voyait toujours mon premier marocain, ils avaient fait un plan a trois avec un autre gars, un pote a lui. Elle me demandait si cela me disait, je répondais que non.
Bien sur, cela m'attirait mais je ne voulais plus la mettre au courant de mes histoires de cul. Pour elle, après l'épisode du jeune, j'étais redevenue madame tout le monde.

Un matin, je discutais sur mon site avec un jeune de 23 ans, étudiant , il avait envie "d'essayer une vieille". Si elle était comme moi, bien en chair, c'était encore mieux.
On parlait de nos fantasmes, envies, rencontres passées.
D'après lui, il ne baisait que des jeunes de son âge toutes minces. Une vieille grosse ca la changerait.
On s 'envoyait quelques photos, il était très beau mec, bien fichu.
Ses envies étaient moins lisses, Il voulait insulter, données des fessées, éjaculer dans une bouche.
Au fur et a mesure de nos conversation, il devenait de plus en plus chaud. Les "bonjour madame " du début étaient devenu des " salut vieille chienne".
Cependant, il était compliqué d 'avoir un rendez vous avec lui, toujours occupé, en examen, a l'étude, en stage.

Il fallu au moins deux mois avant d 'obtenir un rendez vous.
Nous devions nous rencontrer a la cafeteria d'un hôpital très connu de la ville et ensuite on aviserait.

Il pouvait m'emmener a son kot qui n'était pas loin.
Le jour du rendez vous, j'étais stressée, un rendez vous en publique était risqué même si ce n'était pas mon quartier.
Je mettais une robe et un string que j'avais été acheter pour l'occasion vu qu'il adorait ca.
Je prenais place dans la cafeteria, je commandais un café et j'attendais. Vint le moment de l'heure du rendez vous et il n'était pas encore la.
10 puis 20 minutes de retard, j'envoyais un message.

" En retard ? j'attend encore ou pas ?"

Je ne recevais aucunes réponses, je décidais de m'en aller. Une fois sur le parking, je reçu un message de lui.
Il était a la cafet' mais n'avait pas osé venir me parler.

"Tu y est encore ?"
"oui"

J'y retournais un peu ennuyée quand même et je ne le voyait pas, je commençais a penser qu'il se fichait de moi.

"Je te vois, mais ne suis pas celui que tu penses" Me dit il dans son message suivant.

Evidement, fallait que cela m'arrive. Fini le mec étudiant de 23 ans au corps de rêve, je me demandais maintenant a qui je parlais depuis tout ce temps.

" Bon, j'en ai assez, soit tu te me fais signe maintenant, soit je m'en vais" dis je a mon tour fâchée !

Un homme assis seul leva la main, je m'approchais de lui. En effet , il n'avait rien a voir avec le gars des photos. La cinquantaine, gros, barbu.

"Et ben quelle surprise" Lui dis je.
" Désolé, j'ai déconné"
"Pourquoi mentir comme ca ?"
"Je ne pensais que parler"
"fallait pas me donner un rendez vous alors au final"
"A force de parler, j'ai vraiment été excité, je baise plus avec ma femme. Nos conversation était chaude, ce me plaisait"

On parlait encore de tout et de rien quelques minutes, je n'avais pas envie de me fâcher. Apres tout, je devais me douter qu'il y avait un truc qui clochait quelque part.
Le gars n'était pas un mauvais gars, il c'était laissé embarqué dans son délire. N'obtenant jamais de réponses ou de rendez vous, il c'était inventé un profil et profitais des conversations pour éprouver un plaisir sexuel en se masturbant.
Je trouvais ca limite triste au final.

"Il peut se passer quelque chose entre nous ?" me demanda t 'il gêné.
"Je n'en sais rien, faut avouer que cela change tout non ?"
"Oui c'est vrai"
"Moi j'aime les situations spéciales, c'est ma recherche. Suivre un jeune Appolon dans son kot et lui servir de fantasme était excitant"
"Et me suivre aux toilettes pour me vider non ?"

Je ne pouvais m'empêcher de rire, au moins il avait réussi cela. D'après lui, il y avait aux étages des toilettes assez grande et des étages calme. Je me demandais comment il savait tout cela.
Il m'avoua avoir été se faire sucer par un mec dans ces toilettes. Il était grave en manque.
Je refusais la proposition, on discutait encore un peu, il devait y aller, il s 'en alla.
Je restais un moment a finir mon verre en pensant a la désillusion.
J'étais passée d'un moment dans un kot étudiant a me faire prendre sauvagement par un jeune musclé a une discussion stérile avec un gros quinqua dans une cafet' d hôpital.
Avant de m'en aller, je voulais voir les fameuse toilettes, je ne sais pas pourquoi. Il m'avait dit 6 -ème étage a la sortie des ascenseurs.
En effet, il y avait bien des toilettes assez tranquilles, spacieuse. Il y en avait d 'eux de chaque côtés des ascenseurs, si bien que si quelqu'un devait y aller, il irait a l'autre voyant que celle ci était occupée, cela limitait les risques de se trouver dans une situation compliquée,
avec une autre personne devant la porte qui attend son tour.
Je restais un moment enfermée a penser. Je me retournais contre le mur, posais un genoux sur la cuvette pour imaginer la position. Je remontais ma robe, je pouvais voir mes fesses dans la glace sur l'autre mur. Je me trouvais débile.
j'avais terriblement envie maintenant. Tellement que j'aurais baisé avec n'importe qui.
J'envoyais un message au gars, je me disais qu'il avait prétendu devoir partir pour se trouver une excuse.

" Toujours dans le coin ?"
"Pas loin pourquoi ?"
"je suis dans tes wc a 4 pattes sur la cuvette"
"mmmmmmm, serieux ????"
"J'envoyais une photo de la vue dans la glace"
" WOUAWWWW, je bande direct la, je viens ???"
"Oui viens"

Je sortais des toilettes au cas ou, il arrivait 15 min plus tard. Sans rien dire je retournais aux wc et il me suivait.

"Tu as changé d 'avis comme ca ? ton string rouge m'a trop chauffé"

Je me mit a genoux sans rien dire, il baissa son froc et je bouffais sa bite a travers son slip.
Il baissa le slip et j'engloutissais sa queue comme une vraie salope, je n'avais jamais sucé de cette façon avec tellement de passion et d 'excitation.
Il ne me laissait pas faire longtemps, me donnant une capote a lui mettre. Je plaçais la capote et le suçait encore mais il me tirait par les cheveux pour m'en empêcher.

"Je veux ta chatte salope , a genoux sur la cuvette"

j'obéissais, il remontais ma robe et contemplait mon gros cul de vieille. Il reniflait ma chatte par derrière, se redressa , écarta mon string pour m'enfoncer sa queue. Il me baisait assez fort, pas vite, mais des coups sec et puissant, la toilette faisait du bruit.

" Viens a terre"

Je me mit a 4 pattes et lui derrière moi sur ses pieds pour bien m'enfiler a fond. Il m'avait déçu et ne me plaisait pas physiquement mais c'est avec lui que j'avais le plus de plaisir.
Sans rien me demander , il présenta sa queue sur mon anus mais elle n'entrait pas, il prit alors un peu de savon d'un distributeur et se badigeonnât la bite.
Elle rentra ensuite sans difficulté.

"MMMM, il est bon ton cul"

Il restait dedans sans bouger, je bougeais un peu le cul moi même, j'adorais la sensation.

"Tu vas me faire cracher"

Je sentis a ses spasme qu'il éjaculait au fond de mon cul. Dans sa capote bien sur, mais j'avais un plaisir a imaginer qu'un mec avait bon en se vidant dans mon cul et dans un endroit pareil.
il retira sa capote et me fît lécher sa queue qui dégoulinait encore un peu.

"On se revois bientôt ?" Demanda t 'il
"Peut être oui"

Il sortait des toilettes et s 'en allait. Je restais la un moment, couchée au sol, l'étage avait l'air calme.
Je prenais la capote qu'il avait jeté dans la poubelle. Je reniflais l'odeur du sperme et de mon cul tout en me caressant sauvagement la chatte. Je jouissais comme rarement auparavant.

A Suivre