Les Aventures De Dje 60

LES AVENTURES DE DJE 60
EP 60 : NOS VIEUX COPAINS 02


Un autre soir Luc et moi nous retrouvions avec deux amis, Grégoire que je connaissait depuis la maternelle et Michaël que mon frère connaissait lui depuis la maternelle … On se connaissait donc depuis très longtemps tous les quatre ! Nous n'avions pas abordé le sujet du dispositif de chasteté ensemble, et de toutes évidences nos deux amis n'étaient pas porteur.

Moi : Alors toi Greg tes études ça se passe bien ?
Greg : Littérature dans une bonne université, ouai, ça se passe bien, j’adore ça et … J'ai une nouvelle copine !
Moi : C'est cool ça !
Greg : Mouai ! Pas tant que ça !
Moi : Des problèmes ? Vas y raconte !
Greg : C'est son père ! Il m'a vu venir de loin ! Dès le début il m'a pris à part, m'a fait la morale et m'a clairement présenté les choses …
Luc : Son père … Ohhh je redoute le pire !
Greg : Il m'a clairement dit : '' Si tu veux sortir avec ma fille, je te conseille d'être sérieux ! '' … Alors moi je lui ai répondu : '' Mais je suis sérieux M'sieu, je vous jure '' … Lui il a dit alors : '' Ouai je les connais les garçons comme toi, tu me le fais pas à moi ! J'étais pareil à ton âge et à dix huit ans j'étais déjà père de famille !'' … Moi je lui ai dit : '' Mais j'ai déjà vingt et un ans et je suis pas comme, ça moi ''

On rigolait tous à cette histoire … Il continuait.

Greg : Sur ce il a rajouté : '' Ne me prend pas pour un blaireau ! Je les connais je te dis les garçons comme toi … A ton âge on est tous pareil … C'est les hormones qui commandent ! J'ai pas quarante ans et je me sens trop jeune pour devenir grand père !'' . J'essayais bien de lui expliquer que je savais rester sérieux que … Il me coupait la parole et me disait directe : '' Si tu es sérieux comme tu le dis … Tu vas porter une de ces nouveaux dispositif, je te l'offre, tu vas aujourd'hui dans un centre PK, il y en a un qui vient d'ouvrir pas loin, je vérifie que tout est en ordre et je garde les clés ! ''
Luc et Moi : Alors ?
Greg : Je porte ce truc depuis maintenant plus d'un mois …

Il se levait et baissait son pantalon pour nous montrer … C'était un modèle en titane …

Luc : Et ta copine elle en pense quoi !
Greg : Elle ! Elle est très sage, trop sage … Elle est ravie que j'ai accepté, elle considère que c'est une marque d'amour et me montre beaucoup de tendresse maintenant … Mais !
Moi : Mais ?
Greg : C'est pas facile tous les jours !
Michaël : ( qui n'avait rien dit jusque là ) Moi aussi j'en porte un !

Il se levait lui aussi et baissait son pantalon pour faire comme Grégoire.

Il avait choisi un modèle marron transparent en plastique. Quand j'étais venu l'été dernier, de tous les amis que j'avais ici il n'y en avait aucun qui portait ce genre de truc … On parlait déjà de ce dispositif mais j'étais le seul porteur. Aujourd'hui, en seulement quelques mois la situation avait bien changée. Plus d'un de mes amis me surprenaient. Pour Grégoire et Michaël par exemple, il y en a un des deux que je connais depuis ma maternelle et l'autre depuis que mon frère à fait sa maternelle, c'est dire si je les connais depuis longtemps … Je n'aurais jamais imaginé qu'ils étaient porteurs …

Brusquement je me levais, je baissais mon pantalon, le repoussais du pied me retrouvais entièrement nu et me laissais retombé sur le fauteuil !

Luc : Alors bravo Jérémy ! Tu ne portes toujours pas de sous vêtements !
Moi : La ferme !

La pression devenait folle mon dispositif se relevait, quand on ne bande pas il pendouille entre nos cuisses, mais là encore une fois il ne pendouillait pas mais pas du tout, j'étais sous tension, j'étais à cran, j'avais envie de baiser, de défoncer un cul, une fille à la rigueur, et j'avais une envie folle de me faire défoncer le cul par une grosse bite, un mec par exemple …

Luc se levait et retirait lui aussi ses vêtements.

Moi : Tiens tu as oublié de mettre un sous vêtement ?
Luc : Commence pas toi. Je suis le p'tit frère et je comme mon mon grand frère !

Nos deux camarades nous regardaient ils avaient l'air surpris mais il ne tardaient pas à faire comme nous. Tous les vêtements se retrouvaient en tas dans un coin de la pièce …

On s'était rassis et on sirotait une bière …

Michaël : Oué !
Moi : Oué … quoi ?
Michaël : Oué … je sais pas je dis ça comme ça !
Greg : Vous faites comment vous ? Pour tenir ?
Michaël : Oué parce que c'est pas toujours facile … Moi, ça fait un mois !
Moi : C'était ça le '' Oué !''
Michaël : Oué !
Luc : On a un truc pour tenir le coup nous !
Greg : Raconte !
Luc : On passe par derrière !

Ils nous regardaient sans trop réagir, sans comprendre.


Luc : Un petit massage de la prostate, c'est absolument divin !

Suivait un moment de silence …

Greg : Et comment tu fais ça ?
Luc : Avec un peu de tendresse et un gros câlin, c'est le pied !
Greg : Gros câlin ! Pourquoi pas ! Je suis partant !

Sans hésiter d'avantage mon frère se levait, prenait la main de Grégoire puis le tirait vers lui. Grégoire se levait, un peu hésitant, Luc s'approchait, les deux corps se frôlaient, se touchaient, Luc penchait la tête sur la poitrine de Grégoire qui le laissait faire et lui donnait un baiser.

Je voyais les réactions immédiates qui s'en suivaient. Leurs dispositifs de chasteté se relevaient fièrement devant eux, le mien en faisait déjà de même depuis un bon moment. Je jetais un regard vers Michaël, il était dans le même état, et ne pouvait plus détacher son regard de nos deux camarades qui maintenant se tenaient enlacés, chacun caressait tendrement le dos de l'autre. J'entendais Michaël avaler sa salive avec un ''gloup'' bizarre, je tournais ma tête vers lui, il me regardait …

Ses yeux semblaient me dire … '' Fais quelque chose, j'en peux plus ''. J'attrapais son bras et le tirais vers moi, il ne résistait pas, je m'allongeait sur le dos, il s'allongeait sur moi, posait ses lèvres sur les miennes et je n'avais pas besoin d'insister pour partager avec lui un long moment de tendresse également.

La douceur de ses caresses, la chaleur de sa peau me transportait rapidement, ma bite tapait de plus en plus fort contre les parois de ma cage de chasteté, à ce moment précis je n'avais qu'une seule envie … Lui défoncer le cul avec ma queue, le limer sans ménagement, le faire gueuler de plaisir ou de douleur, m'en foutais, et enfin après l'avoir retourné dans tous les sens, jouir … Laisser exploser mon plaisir dans son cul avant de recommencer encore, encore et encore … Recommencer ça toute la nuit … Ne m'arrêter que quand j'en pourrais plus, sans m'inquiéter de ce qu'il en penserait … J’avais une énorme pression contre mon torse, une énorme pression qui poussait ver l'extérieure et me donnait l'impression que je pouvais exploser !

Michaël ne se retenait plus, il se lâchait, il se frottait contre moi, m'embrassait dans le coup, sur les épaules, sur le torse.
Je luis mordillais doucement les tétons, il gémissait. Je le repoussais d'un geste rapide, il se laissait tomber sur le lit et je me laissais tomber sur lui. Des deux mains je lui maintenait fermement les poignée au dessus de sa tête et lui caressait la poitrine avec mon nez en lui donnant de temps en temps un baiser. Il se tortillait, gémissait mais ne résistait pas. Il se donnait à moi, à mes caresses. Je relevais la tête et encore une fois je sentais ma bite qui poussait de toutes ses forces pour sortir … Sans espoir, je le savais mais elle ne voulait pas le savoir elle ! Toujours pas !


Luc et Grégoire en était à peu près au même niveau, Luc avait passé une main sous les fesses de son camarade, et lui caressait déjà l'anus avec un doigt. Grégoire semblait un peu inquiet mais le laissait faire.

Tout en glissant une main sous les fesses de Michaël, je descendait mon visage vers son nombril, toujours en lui donnant des baisers et lui caressait doucement l'ouverture de son cul avec un doigt. Il faut y aller doucement toujours doucement, surtout au début, surtout la première fois. Un autre chose est très importante … Ne jamais essayé d'y glisser un doigt à sec, toujours lubrifier … Ça peut faire la différence entre le plaisir et la douleur gratuite et inutile ! Je lubrifiais avec un peu de salive !

Michaël se crispait et relevait son dos ! J'y allais doucement et l'embrassais avec beaucoup de tendresse pour le rassurer. Il me laissait faire . Lentement mon doigt entrait, le majeur, il est plus long. Le plaisir dans cette situation ne viendra pas ou peu du massage du muscle qui referme l'anus mais d'un long massage de la prostate. Quand on a l'habitude on profite des deux mais là … Chaque chose en son temps …

J'entendais Grégoire qui commençait à pousser quelques gémissements, Michaël suivait lui aussi à son tour. C'était le même mouvement qu'on fait quand on nage, on bats les jambes de haut en bas, mais là c'était avec un seul doigt et c'était contre la prostate.
Il faut là aussi y aller doucement au départ, tout doucement puis plus fort, plus vite, puis plus lentement, tout doucement … Michaël cambrait son dos mais ce n'était pas par la douleur, il gémissait mais ce n'était pas pour se plaindre … Bien au contraire … je l'entendais murmurer …

Michaël : Ooooh oui … C'est bon … Vas y … C'est génial …

Il tremblait rapidement de plaisir, son souffle devenait déjà irrégulier. Je faisais une pause mais ne retirais pas mon doigt.

Michaël ne se relevait pas, il se laissait aller, il respirait doucement, il avait un grand sourire sur son visage. Grégoire devait être à peu près dans le même état, lui aussi restait allongé et pour lui aussi Luc gardait toujours un doigt dans son cul …

Grégoire : ( en relevant la tête ) C'était super ton truc !

Luc et moi nous regardions, je comptais … Trois … Quatre et ensemble nous recommencions à masser la prostate de nos camarades qui aussitôt poussaient un gémissement de plaisir … Grégoire laissait retomber sa tête, et je sentais Michaël détendre tous ses muscles, puis respirer fort, très fort …

Un moment plus tard, on faisait de nouveau une pause … Nos deux camarades gémissaient ensemble de plaisir, ils se répondaient l'un à l'autre …

… C'était bon …
… Oh oui, c'était bon …
… Super bon …
… Super,super bon …

On les laissait souffler un moment, puis encore une fois j’échangeais un regard avec mon frère et on reprenait ensemble le mouvement. Là ce n'était plus un simple petit gémissement de rien, mais un cri de plaisir que poussaient nos deux camarades. Un cri suivi aussitôt par des encouragement …

… Encore …
… Oui c'est bon …

Leurs respirations devenaient irrégulières et fortes et rapidement anarchiques et violentes, les deux corps se crispaient, se contractaient. Quand Michaël relevait frénétiquement son bassin, il gueulait et je voyais une grosse giclée de sperme s'éjecter par l'ouverture de sa cage de chasteté, suivait une autre, les mouvements de son corps devenaient des convulsions, une troisième giclée, puis une quatrième et dernière … Le flot continuait encore mais rapidement le liquide blanc se tarissait … Je n'avait pas encore arrêter le massage et Michaël poussait un long gémissement qui ressemblait à une plainte, il se tordait dans tous les sens …

Moi : Tu veux que j'arrête ?
Michaël : Aaah … Aaaa rr êê … Aaaah !

Je n'arrêtais toujours pas, Grégoire jouissait également et poussait lui aussi des cris et gémissements du même genre …

Moi : Tu veux que j'arrête ?
Michaël : Aaa rr ! Oui ! J'en p … J'en peu … Plus … Arrête !

J'arrêtais et retirais mon doigt … Michaël était essoufflé, il retombait de tout son poids, il tremblait, je lui touchais doucement la cuisse et il réagissait pas une véritable convulsion … Grégoire était dans le même état, ils avait tous les deux une grosse tache de sperme sur le ventre …

Michaël : Oui arrête, j'en peux plus … C'est trop ton truc … Arrête !
Grégoire : Ouai t'as raison mais je sais pas si tu sais mais il a déjà arrêté !

Les deux garçons éclataient de rire. Luc et moi étions toujours tendus, nous on n'avait eu droit à rien du tout … Encore une fois … Les dispositifs de nos copains qui étaient sous pression et bien relevés retombaient et recommençaient à pendouiller mollement alors que pour Luc et pour moi … C'était pas ça … Mais pas du tout ça … Je me souviens que cette nuit là j'ai eu du mal à m'endormir …

Je finissait enfin par trouver le sommeil et là je rêvais qu'on m'enculait mais que je ne ressentais rien, je rêvais d'un mec avec une bite géante qui voulait me prendre mais ça ne rentrait pas, ça résistait, je ne ressentais rien et je m'en inquiétais mais ça résistait et rapidement il laissait tomber en me disant que finalement je n'avais peut être plus de cul … Je me sentais désespéré et je me réveillais … J'avais éjaculé, sans aucun plaisir mais j'avais éjaculé … Je m'était vidé les couilles, je n'en avais pas profité, et je ne me sentais pas plus détendu pour autant. Ma PK gardait encore cette position redressée !

Le lendemain Luc me racontait que lui aussi avait éjaculé, sans s'en rendre compte, sans plaisir … Mais lui il était content de lui ! Et pendant qu'il me racontait ça je l'imaginais nus avec un gode ceinture en train de se masturber le gode … J'aurais aimé avoir un gode ceinture pour pouvoir me soulager, j'avais la cervelle en feu, le cul en feu, la bite en feu, le corps … Bref ! Je brûlais de l'intérieur !

C'est finalement frustrés comme jamais que nous quittions notre famille et nos amis. Enfin je rectifie, j'ai écrit 'frustrés' je devrais plutôt écrire 'frustré' car j'étais seul dans ce cas ! Luc le p'tit malin avait retrouvé une de ses anciennes conquêtes, il me racontait, un gars avec qui il était sorti plus d'un an plus tôt et qui ne portait pas de dispositif de chasteté. Le gars lui avait bien ramoné le cul et ça l'avait bien soulagé lui … Encore une fois il était content de lui le p'tit malin !

Il est futé mon p'tit frère !

On faisait route, Luc téléphonait au Château pour s'assurer qu'on serait reçus. On nous confirmait qu'il n'y avait pas de problème, c'était un peu la panique, il y avait une nouveau contingent de stagiaire en formation pour assurer la gestion des nouveaux bureaux de la PK ( épisode précédent ) … Mais on nous confirmait qu'on serait reçus. Nos amis Antoine et Mathias venaient d'arriver, on nous réservait à tous les quatre une grande chambre.

Moi : Une chambre pour quatre ?
Luc : Bein oui, c'est ce que Bruno m'a dit !
Moi : Ça doit vraiment être la panique alors !
Luc : Ça devrait être intéressant de voir comment se passe la formation des nouveaux vendeurs.

…

Moi : Et c'était un bon coup ? … Ce Bruno !
Luc : Djé ! ( sans cacher son agacement )

D'habitude mon petit frère m'appelle toujours par mon prénom entier … Jérémy … Mais si je le taquine un peu trop il m'appelle Djé. Mais uniquement quand je l'agace. C'est bien le seul d'ailleurs à ne pas m'appeler Djé. Tout le monde m'appelle comme ça maintenant, il y en a même qui ne savent pas que mon prénom c’est Jérémy !

L'arrivée au château se faisait comme d'habitude, la porte s'ouvrait devant la voiture sans que personne ne contrôle rien, on était à la fois connus et attendus ! Luc ne s'en étonnait plus, il savait ou on était et se sentait comme chez lui ! Je garais la voiture juste devant l'entrée principale et donnais la clé à un employé qui venait nous accueillir, un autre ouvrait déjà le coffre pour en retirer tous nos bagages, enfin, les deux sac à dos … On aime bien voyager légers !

Antoine était là bien sûr et arrivait vers nous les bras grand ouverts pour nous accueillir, juste derrière lui suivait Mathias qui avec un grand sourire ne cachait pas le plaisir de nous revoir !

Antoine : Tu verrais comment on est reçus !
Mathias : N’exagère pas ! La chambre est confortable !
Antoine : Oui mais on va être quatre dans la chambre !
Mathias : Et alors on nous en a réservé une avec bain moussant !
Moi : Il y a tellement de monde ?
Mathias : Oui, c'est un peu la panique, je n'ai jamais vu ça !

En montant dans notre chambre, on racontait à nos camarades le passage dans ce bureau de la PK ( Ep 58), sans oublier les détails … On était entre intimes ! C'est vrai qu'on était quatre dans le chambre, mais il ne fallait pas exagérer, elle était de belle taille, on avait une grande salle de bain et un petit coin salon … Deux costumes avaient été délicatement posés sur nos lits ( pour Luc et pour moi, ici on s'habille toujours pour le souper ), des souliers au pied du lit … Le tout à notre taille bien sûr.

Le château ne déméritais pas sa réputation et je savais qu'on y serait très bien pendant la semaine à venir !

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