Collection Étrange Phénomène. Le Parchemin Diabolique (3/22)

Venue à Chazal dans le Doubs, village où je venais dans ma jeunesse de Dijon où nous habitions avec mes parents, chez ma grand-mère, hélas décédée.
C’est au vide grenier annuel du village que j’achète une boîte en cuir, même si j’ignore à quoi elle sert afin de tromper la vendeuse, c’est la soupière avec la vaisselle dépareillée qui m’intéresse.
C’est ma méthode pour acheter peu cher l’objet que je convoite en endormant le vendeur.

Hier, je me suis guinée avec mon amie d’enfance, Martine, jeune femme séparée d’un autre ami d’enfance, Jean-Marie, quand la boîte m’ayant échappée s’est ouverte.
L’ayant quittée pour retourner chez moi et retrouver ma boutique d’antiquités, ma voiture tombe en panne sur l’autoroute, le dépanneur me conduit dans un garage. Elle me sera rendue que le lendemain en fin de matinée.
Le soir, dans la chambre d’hôtel, la boîte s’ouvre, je me masturbe sans grand succès aussi je vais dans un club privé pour finir par me retrouver dans mon hôtel, un étage plus bas que ma propre chambre avec un homme inconnu qui me comble et me fait jouir.
Quand je me retrouve dans ma chambre, le parchemin est rentré dans sa boîte ayant fait de moi une parfaite salope.

Je quitte l’hôtel en fin de matinée, ayant pris mon petit déjeuner dans mon lit.
Que suis-je devenue, moi la femme de médecin, si paisible d’habitude, je regarde la soubrette qui vient poser des serviettes dans la chambre d’une manière peu orthodoxe.
Coup de chance, la boîte que j’ai remise dans mon sac, doit être isolée, j’admire simplement son cul et la laisse quitter ma chambre pour qu’elle vaque à ses occupations.

Voiture récupérée, papier pour la garantie remplie, à quelques kilomètres de Dijon, un accident important à eu lieu, deux voitures et un camion que les services sont en train de dégager, passant au ralenti, j’arrive en ville, je vais jusqu’à ma boutique ayant un accès pour décharger, ces petites rues piétonnes étant interdites à la circulation la plupart du temps.



• Jennifer bonjour, je suis de retour, si je te racontais tout ce qui m’est arrivé pendant mon voyage, mais le plus important, c’est les objets dans mon coffre, la vaisselle, tu la nettoies, attention à la soupière, c’est une pièce rare.
La petite commode, tu appelles Laurent et tu lui demandes de la restaurer, nous verrons après pour les prix, je vais garer ma voiture.
Laisse, j’irai au garage dès que ce sera fait, monte chez toi, ton mari vient de rentrer.

Je vais vers le fond de ma boutique et je monte à l’étage, Benoît est allongé sur notre lit, j’avais prévu de mettre la boîte et son parchemin en vente, j’ai conscience qu’elle a une valeur inestimable, mais surtout je voudrais savoir jusqu’à où elle va me conduire.
Benoît est nu et dors, il a dû bosser toute la nuit, c’est souvent le cas à l’hôpital.

Je mets mon portable en charge. Benoît étant nu, je me mets dans la même tenue, je m’allonge à ses côtés, les galipettes avec mon inconnu et les derniers kilomètres, avant d’arriver m'ont épuisée, je dors.
Je sens le bras de mon mari, m’entourer sa main venant sur mon sein.

• Tu es rentrée, ma biche.

Il se retourne sans ouvrir un œil, nous dormons.
Mince, la boîte a dû s’ouvrir dans mon sac, je sens une bouche sur mon sein, à mon tour, j’ouvre un œil, ma chatte est chaude, mais de manière identique aux autres fois où Benoît tient à me faire l’amour.
J’ai envie d’aller voir mon sac, mais c’est trop bon, je me retourne et nous nous embrassons, il me caresse la chatte et je sens que je mouille, il me prend divinement, l’amour dure le temps que je jouisse, mais d’une manière plus tendre qu’avec mes amants ou amantes.

• Où étais-tu, j’ai essayé de te joindre plusieurs fois, j’ai eu ton répondeur.
• Comme je te l’ai dit sur la boîte vocale, je suis allée dans le Doubs, ma voiture est tombée en panne, un problème d’électronique, cela arrive même aux voitures neuves, pour tout arranger, j’avais oublié mon chargeur.

Et toi, Jennifer m’a dit que tu avais été obligé d’aller en urgence à l’hôpital.
• Camion et voitures sur l’autoroute, j’ai réduit des fractures, heureusement aucun mort.

L’accident que j’ai vu sur l’autoroute, quand je suis passée, mais il retourne à son travail, il y a bien longtemps que nos conversations se cantonnent aux minimums.

Je reprends ma vie normale oubliant la boîte et le parchemin, jusqu’au jeudi midi ou profitant d’un beau soleil, je vais déjeuner sur la place du Palais des Ducs à la terrasse d’un café.
J’ai par inadvertance posé mon sac sur la table, je commande le plat du jour avec un verre de bourgogne, le serveur vient de partir quand un voleur passe en courant et att mon sac.

• Au voleur, au voleur mon sac.

Un jeune garçon qui passait a vu la scène et se met à courir avant de rattr mon voleur le plaquant aux jambes, deux policiers municipaux en faction devant le Palais interviennent et menottent mon voleur.

• Madame, venez porter plainte avec nous au commissariat.
• Je passerai demain, j’ai un plat chaud qui m’attend.
• Regardez si vous avez bien tout !

J’ouvre mon sac, la boîte est là fermée.

• C’est bon, tout y est, jeune homme pour vous remercier, je vous invite à déjeuner.
• Inutile, c’était mon devoir, je suis rugbyman pour moi plaquer ce voleur, ou plaquer les trois quarts adverses, c’était facile.
• J’insiste.

Plein de muscles, en temps normal, j’aurais regardé ce jeune homme avec envie, mais me gardant bien de penser me faire baiser, au dessert, il se lève.

• Excusez, je vais aux toilettes.

Ces mots correspondent au début du phénomène d’échauffement de ma chatte, j’ouvre mon sac, la boîte est ouverte, je pensais que le fait d’être dans mon sac me protégeait de son influence, c’était un voeux pieux.
J’entre à mon tour, je connais les toilettes, elles sont à l’étage, je vois le jeune homme y entrer, il se retourne et doit me voir le suivre.

Aussitôt la porte franchis, il me plaque le long de la paroi et me met directement la main sous ma jupe, je suis dégoulinante comme toutes les fois, où cet étrange phénomène se déclenche.
Je sens qu’il défait son jean et d’un coup me cloue au mur, je hurle de plaisir, il me laboure bien à fond, est-ce sa jeunesse ou la puissance de sa verge, est-ce la situation insolite, qui me fait jouir comme je jouis et dire qu’hier, je disais que c’était la jouissance de ma vie.
Il est impossible que les clients soient sourds à mes cris surtout ceux qui sont à l’intérieur du restaurant, mais je m’en contrefiche, je suis une salope, je le sais, surtout depuis quelques jours.
Au moment où son sperme me remplit, je bénis les dieux qui m’ont fait acheter pour une bouchée de pain cette boîte en cuir.
Quand il me quitte, j’ouvre mon sac pour récupérer mon rouge à lèvres, la boîte est fermée, tout est redevenu normal, je sors persuadée d’être le point de mire de tous les clients, la boîte ouverte doit me mettre dans une sorte de bulle, aucun regard suspect de qui que ce soit.
Je retourne à ma table, le garçon est parti, son travail d’étalon terminé, je paye au serveur qui passe et je retourne à ma boutique, je sors la boîte de mon sac la retournant dans tous les sens, mais quelle est son mystère ?
Ai-je vraiment envie de le savoir, du moment qu’elle m’apporte des situations insolites qui embrasent mes sens, pourquoi chercher à savoir ou à comprendre !
Je viens d’ouvrir ma boutique quand mon portable sonne.

• Maman, c’est Adrien, êtes-vous là, ce week-end avec papa ?
• Moi, oui, papa, tu sais avec son travail.
• Je vais te présenter une jeune femme que j’ai rencontrée à la fac, elle fait médecine comme moi.
• Une fiancée, tu remplis de bonheur ta maman.
• Tout doux, maman, on s’entend bien, il y a surement quelque chose entre nous, mais nous voulons finir nos études avant de prendre une décision sur notre avenir.

• Comment s’appelle-t-elle ?
• Lison, sa maman habite dans le Doubs.

Ma boîte a-t-elle d’autres vertus que mon seul plaisir, a-t-elle des actions à distance pour rapprocher les gens, je crois que je fantasme, les petits sont sur le même campus, il était facile qu’ils s’y retrouvent.
Le lendemain, il est midi quand je vais pour fermer ma boutique, j’ai des papiers à faire, un pied coince la porte, je lève la tête, le garçon rugbyman est là, je le laisse entrer, je suis seule, Benoît est à l’hôpital.
Il me prend aux épaules et m’embrasse, je devrais lutter, mais j’ai pris goût à ces moments de plaisir, quand il s’assoie dans un fauteuil Voltaire, il soulève ma jupe baisse ma petite culotte et me mange la minette.
Sa langue est aussi douée que celle de Martine, il est marrant qu’en si peu de temps, moi qui faisais l'amour classiquement, homme ou femme m’indiffèrent du moment que j’ai du plaisir.
Une nouvelle fois, il ouvre son jean, c’est moi qui vient m’empaler sur sa verge, il semble que quelque chose soit différent, pendant que je manœuvre sur la verge de mon amant, je me rends compte que la chaleur irradiante chaque fois que le parchemin est sorti était absente au début de notre rapport.
Malgré ça, j’ai un orgasme, Christian risque de venir me voir fréquemment, la porte lui sera toujours ouverte.
Je dis Christian, c’est le nom qu’il me donne quand il a éjaculé, me remplissant la chatte avec autant de longs jets qu’hier.
Grâce à la peau dans sa boîte, je découvre le sexe et les positions, mais surtout le sexe très intense.

• Allô, Martine, que fais-tu samedi, serais-tu disponible pour venir me voir à Dijon…

Merci à Anne

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