Surprise À L'Auberge De Jeunesse

Cet été là, j'ai 23 ans. Je voyage à travers la France à bicyclette, réalisant des étapes de 100 km en moyenne. Pas besoin de décrire que je suis en forme et particulièrement affûté.
Selon les étapes, je suis hébergé chez des amis ou des parents. J'utilise aussi les auberges de jeunesse. C'est dans l'une d'elles que j'ai vécu une aventure inattendue.
J'arrive dans un village du Lot, où j'ai prévu de faire étape.
Je cherche l'auberge de jeunesse qui s'avère être fermée.
Je m'adresse au bistrot du coin, qui contacte l'employé municipal susceptible d'ouvrir ladite auberge.
Il s'agit en fait d'un modeste dortoir équipé de douches et coin cuisine.
Quelques instants plus tard, arrive un homme d'une cinquantaine d'années, bedonnant, à moitié chauve, vêtu d'un short et marcel, en sueur. En cet fin d'après midi, il fait encore très chaud.
Il me salue et s'exprimant avec l'accent rocailleux des gens de la campagne, il m'explique que le local est peu utilisé. J'y serai probablement seul.
Il m'ouvre et me présente les lieux. C'est relativement propre, le coin cuisine est fonctionnel. Les douches sont communes comme dans un vestiaire de sport. Il me demande d'où je viens, où je vais et si j'ai le nécessaire pour la toilette et dormir. Voyageant le plus léger possible avec mon vélo, je lui demande s'il peut me prêter une serviette, du savon, un drap. Je vais te trouver ça me répond l'homme après un moment de réflexion.
Un moment plus tard, il revient avec une serviette, un morceau de savon, un vieux drap. Ouf ! Sauvé ! Je vais pouvoir me laver, prendre une douche réparatrice, relaxante. Je le remercie vivement. Finalement, je le trouve sympathique, malgré son côté un peu rustre.
Pas de quoi rétorque le bonhomme, avec un grand sourire. Il me donne quelques consignes pour le départ du lendemain et il s'en va.
Je décide d'aller me laver et rafraîchir sous la douche. Il y en a trois. Je choisis celle du milieu.

L'eau est fraîche, mais bienfaisante. Après quelques minutes, mon corps s'est habitué à la fraîcheur de l'eau qui coule sur ma peau. Je ferme les yeux et savoure ce moment.
C'est alors que j'entends la voix du bonhomme m'interroger : tout va bien ? L'eau n'est pas trop froide ? L'homme est là, m'observant sous la douche. J'ai un mouvement de surprise. Je ne m'attendais pas à ce qu'il revienne me surprendre ainsi. A son regard concupiscent sur ma nudité, je comprends que j'ai affaire à un "vieux" vicieux. Je devrais lui demander de partir, mais je me contente de bafouiller que c'est agréable et bon.
Pour incongrue qu'elle soit, la situation m'émoustille en fait. J'aime être maté.
Il me complimente à propos de mon physique. Merci, lui dis-je. Je remarque qu'il y a une bosse sur le devant de son short. Cet homme n'a vraiment rien d'attirant, mais il dégage quelque chose de viril. Il me propose de me savonner le dos. Je suis conscient que la situation prend une tournure sordide. Il est encore temps d'y mettre fin. Mon cœur bat plus fort et plus vite. Malgré moi, la situation m'excite. Au lieu de le chasser, je réponds en riant bêtement "vous allez vous mouiller". Tu as raison, réagit il. Si ça ne te dérange pas, je vais me doucher aussi, j'en ai sacrément besoin. Euh non, si vous voulez, je bafouille..Sans attendre, il enlève son marcel, ses sandales et son short. Il apparaît nu. Sous son ventre, à moitié bandé, un sexe épais et imposant sur un buisson de poils noirs et une grosse paire de couilles. Mon regard sur sa virilité l'amuse. Hé bien, mon garçon, tu n'as jamais vu une bite ? Pas grosse comme ça, je lui réponds. Il se met sous la douche et s'ébroue à son tour.
Puis, il s'approche de moi et me savonne. Je le laisse faire. Ses gestes sont lents et doux. Je lui tourne le dos qu'il savonne, puis mes jambes, mes fesses. Furtivement, sa main s'insinue dans ma raie fessière. Je frémis. De plus en plus excité, je bande. Retourne toi m'ordonne-t-il. Je lui fais face. Son sexe a pris du volume et pointe obscène vers moi. Je n'en reviens pas de sa grosseur.
Il savonne mon torse. Puis sa main saisit ma queue dressée et la caresse. Il s'agenouille et met dans sa bouche mon gland gonflé.Tout en suçant mon chibre, ses mains saisissent mes fesses. Je sens son doigt presser sur ma rosette. Avec le savon, le doigt glisse facilement dans mon anus. Je ne peux retenir un gémissement de plaisir. Mon tortionnaire se relève et me sourit. Tu aimes ça on dirait.
Oui et aussi son braquemart qui me fascine. Suivant mon regard, il prend ma main et la pose sur sa queue. Tu peux toucher, caresser, sucer si tu veux.
A cet instant, j'ai très envie de toucher, soupeser ce sexe lourd. Dans mes mains, je sens le poids du chibre, la douceur de la peau, la rondeur des couilles. Il me fait agenouiller et m'ordonne de le sucer.
Du bout de la langue, je lèche son gland champignonesque, sa hampe veinée. Cette soumission me surexcite. Je lèche, suce un long moment, jusqu'à ce qu'il m'arrête "tu vas me faire jouir". En me relevant, il me dit, je vais te bouffer le cul. Tu vas aimer. Il me retourne et me fait pencher en avant. Ses mains écartent mes fesses et sa langue vient titiller ma rosette. C'est la première fois qu'on me lèche le cul, et je découvre que j'adore cet anulingus. Les jambes écartées, la croupe cambrée, je m'offre totalement. Sa langue tournicote sur ma rosette, en excercant une pression, comme pour la pénétrer. C'est une sensation nouvelle et terriblement excitante. La sensation est de plus en plus forte entre mes fesses, à en gémir de plaisir. Je découvre une jouissance nouvelle, moins fulgurante que l'éjaculation, mais différente, plus longue, une succession de flashs. Plus tard, c'est le mot orgasme qui me viendra à l'esprit pour définir ce que je ressens.
Au bout d'un moment, il se redresse en me disant : ben mon garçon, t'es un drôle de coco toi. Tu aimes vraiment ça. Faut dire qu'un cul pareil, c'est fait pour jouir.
Dis-moi, tu t'es déjà fait prendre ou t'es vierge ? Non, jamais. On m'a doigté, c'est tout. D'accord, alors je vais te dépuceler.
Je proteste, sans grande conviction. Votre sexe est trop gros, je vais pas pouvoir.. T'inquiète. Je vais y aller en douceur. Joignant le geste à la parole, il me pénètre avec un doigt, puis deux. Je sens ses doigts qui assouplissent ma rosette, écartent l'anneau musclé. Voilà, détends toi, petit, tu vas t'ouvrir. Il me penche en avant, tiens-toi au robinet me dit-il. Il écarte mes jambes, positionne ma croupe à hauteur de son membre toujours bandé. Il l'enduit de savon, puis ma rondelle sur laquelle je sens son gland presser. Je crains d'avoir mal, mais je me cambre encore plus, la croupe ouverte, offerte, obscène. Le gland est gros. Il dilate l'anneau, c'est douloureux. Je pousse un cri de douleur et me dérobe. J'étais presque en toi, laisse toi faire. N'aies pas peur. Il se positionne de nouveau et excerce une poussée. Nouveau cri de douleur, mais cette fois, le gland m'a pénétré. Il me tient fermement par les hanches. Détends toi, répète-t-il. Il ne bouge plus pour que je m'habitue à sa présence. La douleur s'estompe et fait place à la sensation pas désagréable, d'être dilaté et soumis. Lentement, il commence à bouger en moi, me pénètre petit à petit, attentif à mes réactions. Je gémis autant de douleur que d'un plaisir nouveau : sentir mon fourreau intime dilaté, rempli par un phallus. Et quel phallus ! Cet homme là n'est pas beau, mais la nature l'a gâté du côté de l'entrejambe. Doucement s'il vous plaît, le supplié-je. Laissez moi m'habi à votre grosse queue. L'homme est rustre, mais pas maladroit. Il prend son temps, va et vient doucement en moi. Je découvre des sensations inédites, celle d'avoir un sexe d'homme en moi, un homme qui bande et me désire, le frottement de son pénis sur mes chairs intimes, la chaleur à l'intérieur de mon fourreau.
Très excité, il me parle avec des mots crus. T'as un beau cul, ma salope. Tu la sens, hein, ma grosse bite dans ta chatte de mec. T'es fait pour ça, toi. Être baisé comme une petite pute. Dès que j'tai vu, j'ai eu envie de toi. Mon anus est maintenant bien dilaté. Je peux me laisser aller et ... jouir des sensations qu'il me procure. Me sentir soumis à sa virilité, empalé sur son braquemart, et cette chaleur qui monte dans mon fourreau. Je me sens animal, femelle, offert à un mâle. De nouveau, ces flashs successifs, des orgasmes de cul bien sodomisé. Je découvre le plaisir et la jouissance de la sodomie. Une nouvelle source de plaisir pour satisfaire ma sensualité et libido exigeantes.
Je ne sais combien de temps il me sodomise jusqu'à son râle de plaisir lorsqu'il jouit en moi. Je sens la chaleur de son foutre qui se répand en longs jets. A l'époque, le sida n'existait pas. Les capotes, c'était pour la contraception.
Il continue à glisser dans mon fourreau très lubrifié par son sperme abondant.
Quand il se sent débandé, il se retire enfin. Sa semence coule de mon anus dilaté, au point que je me demande ingénument s'il va retrouver sa fermeté habituelle.
Nous lavons nos corps pour enlever toutes souillures de cette copulation tabou et inavouable à l'époque.
Il se rhabille et s'en retourne après un dernier compliment à propos de mon physique et quelques tapes affectueuses sur le derrière et dans le dos.
Je quittai ce village le lendemain matin, sans revoir mon initiateur, mais avec un souvenir impérissable.