Terma 94: Une Chaude Nuit De Dépucelage En Cellule (4/4) :

Là, le vieux occupait toujours la table, seul. Les deux jeunes m’y ont accompagnés et nous avons tous pris place. Le vieux m’a demandé si j’avais été content de mes expériences et j’ai répondu avec enthousiasme que j’étais heureux et prêt à recommencer quant il faut. Quant il m’a demandé si ses s ont été à la hauteur, cela m’a donné un choc. J’allais exprimer ma surprise et mon étonnement mais il m’a devancé et m’a expliqué que c’étaient ses fils et qu’ils l’accompagnaient toujours dans toutes ses affaires, même les plus dangereuses ou les plus osées et intimes, pour apprendre et le remplacer plus tard. Il a ajouté que les affaires de sexe étaient toutes naturelles pour ses compatriotes. Je lui ai avoué que j’aurais souhaité une sodomie avec lui et faire gouter son zeb à ma Terma. Mais il a répondu que la première sodomie par le trou, c’était par Moussa qui avait la priorité mais la seconde par l’autre trou était avec lui, et il ajouta que c’est pourquoi il m’avait aussi offert ses couilles. Ainsi, les petits malins, ils ne m’avaient pas invité dans leur antre pour rien, et ont tous les quatre, goutés la chaleur et la douceur et la profondeur de mon cul. Ce fut une agréable expérience et je l’en ai remercié et je lui ai dis que j’avais bien compris les surnoms donnés à cet antre des plaisirs. Il a avoué qu’ailleurs on l’appelle « glory hole » mais les Maliens de la zone, très imaginatifs, préfèrent le nommer « le coin du gros biberon de papa » pour sucer les bites et d’autres « le marteau piqueur baveur » pour une baise de chatte ou une sodomie de cul masculin ou féminin. J’ai trouvé que c’était très suggestif et même assez excitant pour des novices du sexe, comme moi. Nous continuons de bavarder tout en sirotant nos jus, quant un autre Malien, torse nu se présenta à notre table. Il venait du groupe qui dansait la bas de l’autre coté de la salle. J’avais remarqué leur musique et exclamations bruyantes depuis que j’étais entré dans ce café, mais le vieux m’avait placé à une table loin de ce groupe.

Il a parlementé avec le vieux dans leur langue en me désignât du doigt. Le vieux m’a traduit que le gars m’invitait à danser avec lui et qu’il était d’accord si j’acceptais, ce sera une nouvelle expérience pour moi. En effet, j’ai accepté et le gars m’a pris la main et m’a amené la bas sur la piste de danse, occupée par une dizaine de couples masculins. Comme il n’y avait pas de femme, les Maliens dansaient entre eux, sans être gênés par leurs contacts et cela les faisait rire aux éclats en permanence. L’ambiance était entrainante et le gars m’a prit par la taille, a prit possession de mon corps en me serra contre sa poitrine et son bas ventre, puis me faisant tournoyer lentement, puis se collait à mon dos et mon derrière, le tout en riant et chantant je ne sais quoi au milieu. Les autres couples faisaient presque la même chose, même de se coller un bref instant au bas ventre ou au derrière du partenaire et tous hurlaient de rire et de chants. J’ai compris que c’étaient des danses, des mouvements et chants africains, peut-être même spécialement Maliens et je me suis abandonné aux mains du gars. On a dansé un bon moment et ces contacts commençaient à m’échauffer la Terma, ma tête ne pensait qu’à ça. Je ressentais la bite du gars contre montre mon ventre ou contre mes fesses et je commençais à m’exciter. J’ai jeté un coup d’œil au niveau de son bas ventre et j’ai constaté qu’il bandait car son zeb formait de plus e plus une belle bosse à son niveau. Soudain, il s’est arrêté car une autre Malien, comme lui, le torse nu et riant à fond, désirait avoir son tour de danse avec moi. C’était un jeu et mon gars me relâcha et recula. Immédiatement l’autre me prit par la taille et nous commençons à danser exactement de la manière qu’avec le premier. Au bout d’un moment, de contacts par devant et par derrière, j’ai constaté qu’il bandait sur moi et sa bite formait aussi une belle bosse de désir sur le pantalon. Après un moment de contacts très excitant contre mon ventre et surtout mes fesses, il laissa la place à un troisième danseur.
Et c’est ainsi que six gars m’ont fait danser et ont frotté leur bite contre mon cul. A ce moment, j’étais si échauffé de la Terma qu’il me semblait que mon cul ouillait et que mon anus frétillait tout seul, donc j’avais envie d’une nouvelle sodomie, mais on était en public, les autres dansaient comme si de rien n’étais. Mais moi, je n’ai pas résisté et j’ai empoigné le zeb du gars à travers la toile de son pantalon. Il s’est arrêté brusquement et m’a regardé. Ma main sur son zeb, j’ai soutenu son regard et il m’a comprit.
Alors, il a prit mon autre main et m’a entrainé avec lui, de l’espace de danse, vers la partie arrière du comptoir, juste de l’autre coté. Il a ouvert une porte et j’ai suivi, mais j’ai jeté un coup d’œil vers la salle, mais heureusement personne ne semple s’intéresser à nous. Nous avons traversé une sorte d’arrière boutique ou magasin où s’entassaient pas mal de cageots puis il a ouvert une autre porte tout au fond. Et on est entré dans une véritable chambre à coucher car un grand lit occupait la majorité de l’espace. Il parlait mais je ne comprenais rien, mais il agissait vite. Il a ôté son pantalon et de la main il m’inviter de me déshabiller et j’ai obéi en vitesse. Son zeb était, comme je l’ai ressenti déjà, gros, long et bandait droit à l’horizontal et un peu vers le haut. Je l’ai empoigné à pleines mains et tout de suite sa lourdeur m’a affolé, puis ma bouche a plongée sur lui. Je l’ai léché d’abord de haut en bas jusqu’aux grosses couilles et surtout cette tête énorme et rosâtre, puis je l’ai sucé avec passion. Mais il était impatient, il voulait ma Terma, mon cul. Alors il m’a un peu poussé et je me suis positionné, à genoux sur le lit et le derrière levé et les cuisses largement écartées, je l’invitais à prendre possession de ma Terma. Il s’est vite placé derrière, une main sur ma hanche et l’autre tenant son zeb qu’il a frotté dans le sillon de mes fesses, puis pointé contre mon anus. J’étais excité, chaud du cul humide de désir et la tête folle de fantasmes sexuels, son zeb m’a pénétré directement, jusqu’aux couilles et au fin fond de mes entrailles.
Nous avons hurlé ensemble, dans la même langue du plaisir, notre jouissance brutale de la pénétration. Tout de suite son zeb me remplissait le cul et sa chaleur n’a d’égale que celle de ma chair interne. Immédiatement, il démarra une longue série de vas et viens, tenant fermement mes hanches, j’entendais les bruits mouillés « flop flop » de son zeb qui entrait et sortait de mon cul et ces bruits érotique amplifièrent mes jouissances. Son bas ventre cognait mes fesses avec bruit chaque fois qu’il enfonçait en force son gros zeb et ses couilles frappaient mes cuisses par-dessous. Il me niqua avec vigueur et application pendant un bon moment mais il arriva, assez vite selon mon désir, à son top. Il crocheta mes hanches et se colla à fond à mes fesses, puis ses éjaculations explosèrent dans mon cul avec force et abondance. Par quatre jets puissants il inonda mes entrailles de son sperme brulant. Puis il sortit son zeb sans se vider totalement, je l’ai ressenti, mais il finit sur mes fesses et mes hanches. Puis il se frotta encore dessus et se leva rapidement. Il me poussa à me lever en urgence et me mit debout, encore nu. Je pensais qu’il allait me niquer encore mais debout. Mais non, il m’obligea à remettre en vitesse mon pantalon, malgré mes protestations. Je craignais qu’ainsi, mon pantalon va être pollué de sperme et des tâches apparaitront par derrière au niveau des fesses et des cuisses. Je ressentais d’ailleurs le sperme qui coulait encore de mon cul, dans le sillon de mes fesses et sur mes cuisses. J’étais énervé et mécontent, alors je me suis assis sur le lit. Et là, j’ai bien ressenti l’humidité du sperme sur mon vêtement et je me suis relevé en vitesse. Debout j’ai essayé de voir mon derrière mais je l’ai palpé avec mes doigts et j’ai bien constaté qu’il était bien mouillé. Le gars, qui était encore nu et le zeb encore gonflé et pointait vers l’avant voulait me consoler ou s’excuser en me tenant la taille. Il s’est mis derrière moi et collait son zeb contre mes fesses et poussait comme pour me provoquer, et j’étais d’accord pour une seconde sodomie mais je l’ai repoussé, puis j’ai mis ma chemise pendant que lui remettait son pantalon.
J’étais quant même content des jouissances qu’il m’avait donné tout à l’heure, mais mon pantalon mouillé et tâché me gênait et m’inquiétait. Nous sommes sortis de la chambre puis rejoint la salle. Les Maliens faisaient toujours la fête et la piste était toujours pleine de danseurs. A cause de mon vêtement pollué, je ne voulais plus danser avec le gars ou avec un autre. Le gars me soutenait la main et m’a fait marcher le long de la piste entre les danseurs qui, soudain, tous s’arrêtèrent et nous regardèrent marcher vers la table du vieux. Et soudain, une ovation monstre accompagnée de hurlements de joie et de claquements des mains éclatât de par tous les Maliens surtout les danseurs. Et l’ovation continua jusqu’à ce que mon gars me fit assoir à la table du vieux auquel il baisa la tête comme en guise de respect ou de remerciements, puis il rejoignit les danseurs qui semble lui faire honneur et signes de victoire.
Le vieux m’a demandé si ça m’avait plu et j’ai avoué que la sodomie a était splendide comme avec eux, mais j’ai dit que le gars m’a trop pressé à la fin et que son sperme a pollué mon pantalon, d’ailleurs on voit qu’il est mouillé et tâché par derrière. Il a sourit et m’a répondit que cela faisait partie de la « noce ». Je l’ai regardé comme étonné et cherchant une explication. Il m’a avoué que dans cette zone des Maliens, on a un rite pour chaque personne nouvelle invitée qui vient chercher le plaisir su sexe, comme moi. On l’invite à danser et on l’excite au maximum en frottant avec le sexe, son bas ventre et ses fesses. Si la danse dure encore sans réaction de l’invité, femme ou homme qu’importe, on lui change de danseur qui fera la même chose que le premier, et s’il n’y a pas de réaction tangible de l’invité, on continue avec d’autres danseurs. Ce n’est que lorsque l’invité réagit au danseur, en l’embrassant par exemple, ou en touchant son zeb ou l’empoignant de désir, ou autre manifestation d’acceptation que la « noce » commence et l’élu va s’occuper de sa « mariée », femme ou homme. Il va l’amener discrètement dans la chambre du fond pour lui offrir le maximum de plaisir sexuel. J’ai répondu que c’est exactement ce qui m’était arrivé, mais pourquoi me polluer le pantalon. Il a ajouté que c’est une preuve que l’élu a bien rempli sa mission sur la « mariée » et que son sperme visible en est le résultat. Il fallait une tâche bien visible pour convaincre le public de la « noce ». Alors ce public va offrir au couple une ovation grandiose et bruyante au couple pour le féliciter. Ensuite le public accueillera l’élu par des compliments bruyants et des chants de victoire et par une fête durant toute la nuit. Le vieux me fait des excuses pour mon pantalon et ma gêne et sera à ma disposition pour faire réparer les dégâts. J’ai dis qu’à chaque expérience, il fallait accepter ses usages et je les remercie encore de m’avoir permis d’avoir vécu ces aventures sexuelles de plaisir et de jouissances. Ensuite le vieux me fait remarquer qu’il se fait tard et que je dois repartir chez les miens t nous sommes sortis du café tous les autres. Juste au niveau de la porte de sortie, une autre ovation éclata, et me retournant je constatais que la plupart des gens nous regardaient en agitant le bras et j’en ai fait autant pour les remercier tous.
Plus loin, à la fin de la zone des Maliens, le vieux a appelé un taxi pour moi et m’a invité de revenir, il m’a assuré que normalement il n’y aura de « noces » et de vêtement tâché sauf si je le désirais, ce que je commençais à espérer, et nous nous sommes quitté sur ces promesses. Ainsi fut ma première expérience désirée et réussie avec des zeb africains. Ce fut cette fois avec des Maliens, et je commençais déjà à penser à d’autres africains, pourquoi pas des Sénégalais. Dès que le taxi a démarré, quelques mètres plus loin, le chauffeur m’interpella, me demandant si j’avais été satisfait de ma visite chez les Maliens. Je me suis rendu compte que c’était un homme de couleur et il me souriait à pleine dents en posant sa question. Il était impossible pour moi de nier la réalité, alors j’ai répondu que ce fut une aventure très intéressante. Et, me regardant et souriant dans le rétroviseur du devant, il ajoutant si c’était aussi enrichissant en jus d’homme. Je n’avais pas d’abord saisi sa réponse, et je suis resté perplexe, alors il continua de m’expliquer que les meilleurs éjaculateurs de sperme sont les soudanais, d’après les rumeurs, mais il me conseilla d’expérimenter d’abord les Sénégalais qui sont comme les Maliens. Maintenant j’avais bien compris, mais comme je restais silencieux, il ajouta que les Sénégalais en plus de leur sperme abondant, avaient aussi des queues comme les Maliens. Il me regardait, insistant d’avoir ma réponse, alors j’ai dis que je n’avais été avec un Sénégalais ni avec un Soudanais. Il continuait à me jeter des coups d’œil, puis il me proposa, si je le voulais, de m’amener, tout de suite, chez un de ses copains Sénégalais pour une expérience d’une petite heure. J’étais étonné et même choqué et j’ai répondu que ce n’était pas nécessaire. Il insista ajoutant que ce n’était pas loin et gratuit. Je restais silencieux et il continua à conduire, me jetant de temps en temps un coup d’œil avec un large sourire. Enfin, il s’arrêta, mais j’ai constaté que ce n’était pas mon quartier, et comme je le regardais perplexe, il m’a dit que c’était juste en face, au premier étage. J’avais compris qu’il m’avait conduit à l’antre de son copain Sénégalais une « expérience » gratuite. Je l’ai engueulé, insistant de me conduire chez moi, mais il est sorti de la voiture. Je suis descendu moi aussi, alors il m’a dit qu’il suffisait pour moi juste de regarder et de revenir quant je voudrais. Regardant autour de moi, j’ai constaté que l’endroit ressemblait au premier, donc une zone de foyers d’immigrés, et j’ai eu peur, donc j’ai accepté provisoirement de le suivre. Nous sommes entrés dans le vieil immeuble qui paraissait vide à cette heure, d’après ce qu’il m’a dit et il a toqué une porte au premier. Ouverte, c’est un homme de couleur, mince mais de très grande taille qui nous accueilli et mon chauffeur discuta avec lui dans leur dialecte. Aussitôt, un large sourire éclaira le visage de l’homme qui m’invita de rentrer. Il prit aussitôt ma main, en maître, et me conduit vers la porte ouverte d’une autre chambre, j’entendais le chauffeur me dire qu’il reviendra me prendre dans une demi-heure et il est parti.
J’essayais d’expliquer à l’homme que c’est une erreur du chauffeur mais il me répondit que son copain ne e trompe jamais pour deviner les désirs des blancs qui ont des envies de sexe avec les Sénégalais. Puis son autre main enveloppa mes fesses et me poussa à l’intérieur de la chambre. Elle n’était meublée que d’un grand et large lit recouvert d’une sorte de drap coloré. Je n’avais plus d’autre solution et d’ailleurs j’avais à la Terma déjà des démangeaisons d’envies depuis que je suis descendu du taxi. Mon cœur battait plus vite et j’attendais cette nouvelle expérience avec impatience. Il ôta la djellaba sont il était vêtu pour me montrer son corps totalement nu et son zeb noir, long et très légèrement courbé. Alors je me suis déshabillé et il poussa un sifflement d’admiration en posant encore ses mains sur mes fesses puis sur ma poitrine. J’avais l’impression que son zeb que j’admirais aussi, s’est aussi redressé un peu plus d’excitation. Il m’a dit que cette fois il faut faire vite à cause des autres locataires qui reviendront du travail dans moins de deux heures et de son copain à cause de son travail, et me promit que la prochaine fois, on pourra passer toute la nuit ensemble. Il me fit assoir sur le bord du lit et me présenta son zeb et me dit de faire connaissance avec lui. Je l’ai empoigné et pesé, il était lourd même encore courbé et je l’ai léché, d’abord cette énorme tête rose et luisante, puis plus bas le long de sa longue et épaisse hampe, jusqu’aux couilles lourdes de désir. Puis, dans ma bouche, je l’ai sucé un bon moment et il s’est redressé complètement et durci à fond. Alors il me poussa à m’agenouiller sur le lit et de lui offrir ma croupe, les cuisses écartées et se positionna derrière moi. Il me donna plusieurs baisers insistants et sonores sur les fesses, puis me lécha leur sillon et me chatouilla avec sa longue mon anus. Il poussa un doigt dans mon anus et constatant qu’il s’ouvrait facilement, y poussa deux et même trois doigts et fit quelques vas et viens pour lubrifier. Puis la tête de son gros zeb se pointa à l’entrée de mon anus et poussa. Tout son zeb me pénétra, en entier et jusqu’aux couilles. Son bas ventre claqua sur mes fesses et il a commença immédiatement ses vas et viens en crochetant mes hanches de ses larges mains. Ainsi je me comportais comme une sorte de prostituée pour une baise immédiate et pressée, en tout cas c’est ce que j’ai pensé, mais le chauffeur du taxi avait deviné mes tendances et m’avait ensorcelé pour m’amener à cette situation. Alors j’ai décidé de profiter de l’instant et de faire mon expérience Sénégalaise et comparer avec les zeb Maliens.
Et en effet, ce long et dur zeb me fouillait le cul au plus profond de moi et dans tous mes coins et recoins et j’étais déjà rempli de jouissances dans la Terma. Il reculait son zeb presque à la sortie puis le replongeai avec vigueur et vitesse au fond de moi et ce fut comme avec les Maliens, chaque fois un choc de plaisir qui me faisait crier de jouissances et j’en redemandais. Ma Terma dansait d’elle-même pour bien aspirer et faire des pressions internes sur le zeb et tout mon corps en ressentait les frissons agréables et continus. Il me niqua pendant plus d’une demi-heure, puis me demanda s’il pouvait me remplir de son lait Sénégalais et j’ai dit oui. Alors il continua encore plus vite et plus vigoureusement ses coups de reins et son zeb allait et venait dans mon cul, avec facilité et avec des sortes de sifflements mouillés et des « flop, flop » affolants d’érotisme. Enfin, il arriva et me déversa au fond de mes entrailles quatre bordées de sperme, agréablement chaud et abondant qui m’ont fait hurler de bonheur. Il se retira assez vite et vint se mettre devant moi et me tendit son zeb, je tendais et ouvrait ma bouche. Il pressa encore son gros zeb gonflé et brillant et du sperme jaillit par deux autres jets sur mon visage et l’autre dans ma bouche. J’engloutis le zeb pendant que l’homme continuait à le branler et presser, alors l’ai encore reçu une bonne quantité de sperme chaud et visqueux au fond de ma gorge. J’étais préparé, alors j’ai sucé et sucé le gros zeb et avalé tout ce que j’ai pu de son sperme qui ne semblait pas finir. Enfin il ôta sa main de son zeb et c’est la mienne qui le remplaça pour branler et presser pour recueillir encore de son jus, mais aussi pour ressentir cette épaisseur, cette lourdeur affolante et cette douceur de cette merveilleuse queue d’homme viril. Mon chauffeur m’avait vanté la profusion de sperme des Sénégalais et là, je viens d’en avoir physiquement, concrètement la preuve. Le zeb Sénégalais n’avait rien à envier au zeb Malien ni en longueur, bien au contraire, ni en épaisseur, ni en solidité et dureté et encore moins en abondance de sperme. Il me dit d’aller vite me laver à côté sur le bidet de la petite salle de bain à coté, mais j’ai préféré mettre directement mon pantalon. J’avais envie que son sperme colle à mon vêtement et le tâche autant que lors de la « noce ». J’aurais voulu montrer ses résultats à mes amis Maliens pour faire la fête à ce nouvel ami Sénégalais. Très vite, le chauffeur était arrivé et nous sommes monté en voiture pour m’amener cette fis, directement chez moi. En route le chauffeur m’a posé plusieurs questions et mes réponses, franches et détaillé, physique et psychiques et surtout sur le jus Sénégalais, lui ont plu et il en rigolait à fond et me remerciait d’avoir accepté son invitation chez son copain et compatriote. Je lui ai dit que je reviendrais très bientôt car son ami m’a promis toute une nuit lui. Il en fut content et me demanda si j’aimais les séances à trois et il se proposa d’e être le troisième avec moi et son copain. Il me posait cette question en me fixant avec le sourire dans le miroir et j’ai répondu que j’en serais heureux si son copain acceptait.
Rapidement, nous sommes arrivé près de chez moi, et il m’a donné, comme les Malien, in papier avec les informations pour les contacter. J’ai pris immédiatement une bonne douche chaude puis des réponses confuses, contradictoires et loin de la réalité à ma famille sur les taches du fond de mon pantalon, nous avons diné et aussitôt dans mon lit, j’ai repassé les aventures de ma Terma pendant cette formidable journée d’expériences sexuelles avec les Africains. Je me suis promis d’en faire bien d’autres dans les prochains jours.

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