Service À Domicile
Assise en face des trois gars sur le canapé, Mégane s'agitait, anxieuse, pendant qu'ils digéraient l'information. Brandon, le mince, grand et sombre sur la gauche, roula des épaules et la regarda en secouant la tête:
"Nous ne voulons pas être pénibles, mais comprend-nous! Tu as perdu ton boulot depuis trois semaines et c'est maintenant que tu viens nous le dire? Juste au moment où il faut payer le loyer?"
Mégane sentit sa bouche s'assécher, se forçant à se lécher les lèvres avant de répondre d'une voix douce:
"Je suis vraiment désolée, je ne pensais pas que ça prendrait autant de temps et je ne voulais pas que vous me viriez."
"Alors, maintenant que c'est devenu inéluctable, on fait quoi?" Celui qui parle, c'est Ange. Un mec carré, la mâchoire carrée, les épaules carrées, pas gros mais trapu, musculeux et sûr de lui.
"... Ouais" concéda Mégane. "Je n'en ai aucune idée!"
Ange et Brandon levèrent les mains, celui qui se trouvait au milieu, Sam, rangea délicatement la paperasse et la lui rendit. Sam avait des mains rugueuses et bronzées du gars qui travaille en plein air, ce qui contrastait fortement avec Ange, rouquin à la peau laiteuse susceptible de brûler au soleil, et Brandon qui était du genre geek qui passe son temps devant l'ordinateur.
"Ta part, un quart du loyer, c'est deux cents par semaine, plus les frais. Je sais que c'est raide, mais c'est comme ça! Désolé, nous ne sommes pas un organisme de bienfaisance, et nous avons besoin d'une colocataire qui paye sa part!"
Son visage s'adoucit alors qu'il voyait le visage de Mégane s'assombrir. "Je suis désolé, nous devons trouver un ou une colocataire de remplacement immédiatement."
Mégane releva le menton. Elle était longiligne, la peau laiteuse couverte de taches de rousseur, les cheveux roux, ses traits étaient fins et délicats. "Et si je vous proposais autre chose que de l'argent?"
Sam lui rendit ses papiers en rigolant: "Comme quoi, de la drogue? Tu deales de la merde, maintenant? Même si nous voulions ce genre de chose, tu penses que nous allons dépenser plus de deux cent par semaine pour faire la fête?"
Brandon, qui ne buvait même pas, secoua négativement la tête, amusé par l'idée que quelqu'un soit aussi audacieux.
Ange prit part à la conversation: "La mauvaise herbe et les pilules qui font rire ne paient pas le loyer!"
Mégane attendit qu'ils aient terminé leurs suppositions avant de poursuivre son idée:
"Je ne parle pas de drogue. Je parle d'autre chose. Et ce sera plus que le loyer et les frais. Il faudra me payer aussi ma facture d'épicerie, afin que je puisse vivre ici sans dépenser."
Ils ont ri à sa demande: "Ça suffit" commenta Ange "trouve-toi un mari si tu as l'intention de vivre comme une femme entretenue!"
Brandon ajouta: "Écoute, nous sommes devenus amis, mais si tu ne restes pas en tant que coloc, tu proposes quoi?"
"Sexe" répondit Mégane clairement. Le moment de vérité. Elle n'avait nulle part où aller, sa voiture n'avait plus de carburant et trop petite pour y vivre. Si cette manuvre échouait, elle serait à la rue.
"Sexe avec moi." elle a clarifié.
Ange n'a pas cessé de rigoler: "Tu
quoi?"
Brandon était muet. Sam pencha la tête, signe chez lui d'une intense réflexion.
"Un échange? D'un seul coup? Payer le loyer avec une pipe? Je ne pense pas."
"Bien sûr que non. Vous n'aurez plus à sortir d'argent, à draguer des filles, aller à des rendez-vous. Je sais que vous êtes tous célibataires en ce moment, alors je propose ..."
Elle se leva, laissant glisser les bretelles de sa robe de ses fines épaules, la robe tomba en corolle sur le sol
"... avec moi ici, vous n'aurez plus besoin de
"
Elle ne portait aucun sous-vêtement sous sa robe d'été légère. À la vision de son corps nu, les trois garçons se rejetèrent en arrière contre le dossier du canapé. Avec un bel ensemble, ils croisèrent leurs jambes pour dissimuler leur embarras. Ensuite, ils s'absorbèrent dans la contemplation de la fille. Fine mais bien faite, pas maigre avec les os saillants, et pas dodue non plus.
Mégane se sentait à la fois gênée et excitée d'être ainsi exposée à la concupiscence des trois jeunes mâles. Ses tétons roses s'assombrirent et se raidirent comme sous l'effet du froid.
Pour briser le silence devenu assourdissant, Mégane se lança dans le discours qu'elle avait préparé dans sa tête:
"En échange de votre accord de vous partager ma part de loyer, plus les frais, plus les achats d'épicerie et autres petites dépenses accessoires, vous m'aurez à votre disposition. À n'importe quel moment de la journée ou de la nuit, aussi souvent que vous le souhaiterez. Je vous servirai de poupée sexuelle. Je continuerai dhonorer ma part de tâches ménagères, même un peu plus, car je ne travaille pas. Vous serez libre de m'utiliser à votre guise. Vous voulez que je me déguise? Achetez-moi la tenue. Si vous préférez me voir nue, dites-le-moi. Pas besoin d'arguments. Séparément ou tous ensemble, à votre convenance. Je ne demande que quelques jours une fois par mois pour
des raisons évidentes
et que cet arrangement soit gardé confidentiel au sein de notre assemblée."
Les trois garçons l'écoutaient en silence, incapables de réagir. Ils calculaient, soupesaient, envisageaient
Après une minute de silence pesant, Mégane pensa qu'elle ne pouvait rester debout nue jusqu'à la fin du monde. Elle soupira et ramassa sa robe pour se couvrir. "Je suis désolée, je vous fais perdre votre temps!"
Les trois garçons agitèrent les mains en même temps: "NON!"
Après moult palabres, il a été convenu d'un essai d'un mois. Les garçons paieraient la part de Mégane pour le mois en cours, plus le mois à venir en échange du marché proposé par Mégane. Après ce délai, ils discuteraient pour savoir s'ils pouvaient se permettre de continuer comme ça en attendant que Mégane trouve un travail.
Le véritable test pour Mégane était de savoir si elle pouvait tenir sa promesse et combien de temps elle pourrait la tenir. Elle pensait que c'était de gentils garçons, pas des dépravés sexuels. Et qu'une fois passée l'excitation des premiers jours, il allait s'installer une sorte de routine qui lui laisserait un peu de tranquillité. La possibilité quils l'utilisent cette nuit, puis qu'ils repoussent son offre le lendemain matin lui a traversé lesprit, mais elle jugeait cette éventualité peu probable. Tant qu'elle respectait ses engagements, ils respecteraient les leurs. Elle tenait ses mains jointes sur ses cuisses pour dissimuler son anxiété.
Ange attira l'attention en tapant dans ses mains: "Alors, comment s'organise-t-on?"
Il semblait que Mégane représentait une sorte de buffet et que tout le monde était trop timide pour se servir en premier.
Comme personne ne répondait, Ange prit Mégane par la main pour l'obliger à se lever.
Elle le suivit volontiers en posant son verre sur la table.
"Ça fait un petit moment pour moi, je pense en avoir besoin plus que vous!" dit Ange à ses colocataires en repoussant les bretelles de la robe pour la faire choir sur le sol.
Mégane en était consciente, aucun des garçons navait eu de partenaire depuis quelques temps. Occasionnellement, elle avait surpris quelques bribes de conversation, indiquant quils avaient eu peu de conquêtes. Et pour Brandon, elle pensait qu'il était tout simplement puceau.
Le fait quelle partage la colocation avec trois hommes jeunes, en bonne forme, célibataires et probablement sexuellement frustrés lavait intriguée. Peut-être sa propre curiosité l'avait-elle amenée à faire cette offre. Et elle pensait qu'au moins les premiers jours, son emploi du temps allait être chargé.
Nue devant eux pour la deuxième fois en quelques minutes, elle se tenait les mains sur les hanches, jambes légèrement écartées, les laissant se rassasier. Elle attendait patiemment leur bon vouloir. Elle voulait faire le nécessaire pour que les garçons soient satisfaits.
Ange se tenait derrière elle pendant que les deux autres détaillaient son corps gracile. Il caressait ses flancs, savourant le contact de sa peau douce. Petit à petit, il est devenu plus audacieux, caressant son cul joufflu et soupesant ses seins d'albâtre de ses mains puissantes, pinçant doucement les tétons.
"Alors dis-moi, fillette, est-ce que tu sais à quoi tu t'engages? T'as compris qu'on voudra te baiser tous les jours, pas vrai?"
Mégane hocha la tête: "Bien sûr".
"Tu aimes le sexe rugueux?"
"Ça ne me dérange pas." Mégane n'avait pas eu beaucoup d'expériences, de brèves relations, mais elle était prête à découvrir de nouvelles choses. Les caresses la rendait impatiente de commencer, et elle se sentait de plus en plus audacieuse sous le regard des deux autres plus timides.
"Oh, alors tu aimes le sexe brutal? Tu prends par le cul?" il ponctua cette dernière question d'une claque sèche sur son cul ferme, la faisant sursauter.
"Je peux le faire, si tu le souhaites. Mais je n'ai pas l'habitude, alors sois doux et gentil au début."
"Oh, je serai doux, t'inquiètes, je ne veux pas casser mon nouveau jouet." Il se pressait contre elle, dans son dos, l'enlaçant, caressant son ventre, jouant du bout des doigts avec ses boucles rousses, descendant jusqu'à son entrejambe. Il écarta la fente de sa chatte du bout des doigts pour sentir son humidité grandissante:
"Bon, hé bien, la récréation est terminée. S'il n'y a pas d'objections, je pense que je vais m'octroyer le premier tour dans un endroit privé. J'en rêve depuis des mois de cette petite. Ne vous inquiétez pas les gars, il en restera suffisamment quand j'aurai fini!"
Ange conduisit Mégane jusqu'à sa chambre en la guidant doucement. Il la força à s'agenouiller près du lit en appuyant sur ses épaules. Il lui tournait autour en se déshabillant, examinant sa proie:
"Bien, bien. Tu es vraiment jolie! Un petit peu folle pour venir ici et t'offrir en échange d'un loyer." Une fois nu, il s'assit sur le lit devant elle et s'allongea à demi, en appui sur les coudes, avec un sourire suffisant, désigna son sexe flaccide et dit, avec un plaisir évident de maître à soumise: "Eh bien, ça ne va pas se sucer tout seul!"
De ses longs doigts effilés, elle saisit le pénis qui se gonflait tout seul dans sa main, et elle le soupesa, contente qu'il soit d'une épaisseur appréciable.
Ange continuait de parler, la regardant caresser son équipement: "Je suppose que nous aurons besoin de définir tes limites, fillette, quand nous les aurons atteintes. As-tu pensé à un mot de passe qui nous éviterait un malentendu malheureux?"
Mégane acquiesça, caressant la queue devenue rapidement rigide, preuve de son désir pour elle. Elle jouait avec son prépuce, décapuchonnant le gland, puis le ramenant, jouant avec le liquide qui coulait déjà du méat.
"Que penses-tu de VERT pour ça va et ROUGE pour stoppe?"
"Ça me va. Maintenant, suce!"
Mégane n'avait plus besoin d'encouragements, elle aussi était désireuse de commencer. Elle posa ses lèvres entrouvertes et introduisit lentement le gland dans sa bouche, goûtant son liquide, elle laissa échapper un léger gémissement pour motiver le garçon.
Elle pompait maintenant la hampe, bouche grande ouverte pour introduire le pénis épais plus profondément, langue tourbillonnante autour du gland à chaque retrait, suçant, aspirant, créant un vide dans sa bouche, puis replongeant profondément dans sa gorge. Il tendit ses mains pour pétrir les seins qui se balançaient, grognant doucement alors que ses bourses durcissaient, annonçant sa débâcle s'il la laissait continuer à ce rythme.
Brusquement, il la repoussa en arrière, sa queue sortant de sa bouche affamée avec un pop, elle le regarda un peu perplexe.
"Hum, beau boulot, mais j'ai envie de ton cul!" Il sortit du tiroir un tube de lubrifiant à moitié vide. "Allonge-toi sur le lit, en gardant les genoux au sol. Bonne fille!" il posa le lubrifiant sur la table de chevet et pétrit son cul fermement, écartant les fesses pour exposer sa chatte et sa rosette. "Charmant, ravissant" apprécia-t-il en plongeant sa langue dans la fente, de sa chatte humide jusqu'à son trou du cul, humidifiant le petit trou. Mégane réprima son envie de rire quand la langue gluante la chatouillait là où personne ne l'avait jamais léchée auparavant. Ange appuya sa langue contre le petit trou, testant sa résistance.
"Hum, très serré. Ça n'a pas beaucoup servi, fillette? Bien, il va falloir défricher le chemin!" Il attrapa le tube de lubrifiant pour en mettre une petite quantité sur son trou anal, l'étalant avec son doigt, poussant une phalange à l'intérieur. Mégane se tortilla en frissonnant à cause de la sensation et de l'excitation. Imaginant sa queue épaisse, elle était nerveuse en pensant qu'il voulait l'introduire en elle, elle espérait qu'il ne lui ferait pas de mal, et qu'elle pourrait s'adapter.
Ange répandit un peu de lubrifiant sur son gland puis commença à pousser contre le petit trou. Mégane agrippa les couvertures et inspira lentement et profondément, ressentant la pression et la douleur pendant que son orifice s'ouvrait pour l'accepter. Le processus lui semblait durer une éternité, elle avait l'impression qu'il n'arrêterait jamais de l'étirer. Elle laissa échapper un gémissement guttural puis tout à coup elle le sentit bondir en elle de quelques centimètres. Elle gémit à nouveau, sur le mode aigu, se mordant la lèvre pour amortir son cri, sentant le membre l'envahir.
"Ah, ça y est. Pas d'inquiétude, ma puce, la partie difficile est finie. Je serai doux!" Il enfonça son membre visqueux plus profond dans son orifice étroit, enterrant progressivement son morceau de viande dans les entrailles de la fille, tremblante sous lui. Le gland avait dépassé la zone étroite où la résistance était la plus forte, mais loger la tige épaisse dans le conduit étroit n'était pas beaucoup plus facile. Son trou du cul lui semblait en fusion, ce qui contrastait fortement avec le froid gluant de son doigt lubrifié. Elle serra les dents et les poings, se forçant à rester docile tandis qu'il continuait à élargir son anus, puis elle le sentit coller son bassin contre elle.
"Bonne fille, bonne fille. Tu vois? Ce n'est pas si difficile? Tu aimes me sentir dans ton cul? Maintenant, accordons-nous un moment de répit pour que tu t'habitues." Il glissa ses mains sous elle pour empoigner ses seins, pinçant ses tétons du bout des doigts. Elle pouvait sentir sa queue vibrer dans son cul, puis aller et venir lentement, se concentrer sur le rythme imposé, se sentir détendue, son esprit s'éloignant de l'étrange agonie pour se concentrer davantage sur la sensation qu'Ange devenait partie intégrante d'elle.
Ange ôta ses mains de sa poitrine pour agripper ses hanches. "Tu es bien, maintenant?"
Il retira sa bite de son cul, ne laissant que le gland à l'intérieur, puis replongea dans ses profondeurs. Il sortait lentement, mais la pénétrait plus fortement, et elle se concentra de nouveau sur la sensation de son trou du cul étiré, poussé, tiré, et qui s'accrochait fermement à la queue envahissante. Son sursis fut court car il ne perdit pas de temps pour accélérer le rythme, et elle gémissait à chaque coup qu'il pénétrait ses fesses. Mégane faisait tout ce qu'elle pouvait pour ses propres gémissements, et Ange prit cela pour un encouragement. Mégane se demandait que pourrait-elle faire pour le décourager et le faire cesser cette .
Il a continué ses allers et retours puissants, un mouvement de piston rectiligne qui semblait ne jamais se terminer. Les larmes lui montèrent aux yeux et elle les referma, déterminée à ne pas craquer devant son tortionnaire. La sensation d'être bourrée et baisée comme une salope lui était désagréable, mais c'était trop tôt pour se plaindre et elle dut le subir, ne pouvant qu'attendre qu'il ait fini.
Puis le rythme d'Ange a changé. Elle pouvait sentir sa bite gonfler, ses bourses durcir, elle comprit qu'il était près d'aboutir. Il frappait son sphincter de toutes ses forces pendant qu'il s'approchait de plus en plus de son orgasme. Mégane haletait et gémissait en s'agrippant à la couverture, cambrant ses reins sous la violence de l'assaut. Ange s'arc-bouta contre elle en gémissant de satisfaction pendant que Mégane laissait échapper un cri de douleur. Elle pouvait sentir la bite pulser en elle de longs jets de foutre chaud. Sa chaleur se répandait en elle pendant qu'il s'effondrait sur elle, haletant d'épuisement.
Ange resta allongé sur elle quelques instant puis, sentant sa queue ramollir, il se retira lentement. Mégane pouvait sentir le filet de sperme s'écouler de son anus dévasté et ruisseler le long de sa chatte.
Ange prit un moment pour inspecter son travail, écartant les fesses avec ses mains puis gifla doucement son cul.
"Je recommencerai plus tard, mais tu ferais mieux de te nettoyer avant de t'occuper des autres affaires à régler."
Après un rapide passage par la salle de bain pour se nettoyer et pour que Mégane retrouve son calme après une session brutale et sauvage avec Ange, Ange ramena Mégane, toujours nue, dans le salon où Brandon et Sam discutaient tranquillement. À leur arrivée, Brandon se leva brusquement, sous leffet dun mélange dappréhension et de politesse, puis sembla extrêmement gêné par son comportement. Sam resta assis dans son fauteuil, croisant le bout des doigts d'un air amusé. Ange attrapa une canette de bière et s'effondra dans le canapé: "Vas-y, mec, elle va pas te mordre!"
Rompant le silence pesant, Mégane tendit le bras vers Brandon en lui faisant signe d'approcher, manifestement trop timide pour faire quoi que ce soit: "Montre-moi ta chambre. Je suis curieuse de voir l'endroit où tu vis!"
Empoté, guindé, Brandon se décida à mettre son cul en mouvement pour guider Mégane en direction de sa chambre. Dans le couloir, il suivait la jeune fille nue, le regard braqué sur ce petit cul ferme qui valsait devant lui, tandis qu'elle marchait, légère et insouciante, vers son deuxième contrat de la soirée.
La chambre de Brandon était un triste désordre. Mégane eut tout le temps de regarder les affiches de films sur les murs, le système audio surdimensionné avec le bouton du volume au maximum, la lumière noire vissée au mur au-dessus du lit et les accessoires éparpillés que Brandon tentait d'escamoter en les jetant dans les tiroirs ou sous le lit. Brandon, peu habitué à avoir de la visite, était visiblement inquiet à propos du foutoir qui régnait dans sa chambre.
Mégane attrapa le gars par le poignet, le fixant les yeux dans les yeux: "Assieds-toi, tu me donnes le tournis. Je voudrais te parler."
À contrecur, Brandon s'assit à côté d'elle sur le lit en regardant ses pieds. Elle l'obligea à pivoter ses épaules pour lui faire face.
"OK! Ça va! Je ... écoute, je sais c'est pas évident, mais je ne l'ai jamais fait auparavant. Avec n'importe qui. Je suis puceau!" Il lui jeta cet aveu à la face, soulagé d'être débarrassé de son secret trop lourd à porter.
Mégane le rassura, tentant de paraître la plus compréhensive possible pour permettre à Brandon de continuer.
"Je n'ai pas eu beaucoup de réussite. J'ai eu des copines, mais pour diverses raisons, je n'ai pas réussi à "conclure" tu comprends? Comme si je faisais une boulette ou un truc qui ne leur plaît pas et elles partent avec un autre gars".
Mégane prit son visage entre ses mains et l'embrassa doucement sur les lèvres.
"Je ne suis pas ta petite amie." elle s'allongea sur le lit, levant un genou. "Avec moi, tu ne peux pas faire d'erreur."
Brandon sembla retrouver sa vitalité. Il s'allongea contre la fille, l'embrassant sur la bouche, doucement d'abord puis avec plus d'empressement, caressant sa cuisse, puis sa hanche, et enfin son sein qu'il pressa tendrement, faisant durcir son téton. Mégane l'aida à ôter sa chemise et il s'allongea sur elle, appuyant son torse contre sa poitrine. Il couvrait de baisers passionnés son cou, son épaule, palpait sa fesse, pressant son short contre son entrejambe.
Mégane le caressa le long de ses flancs, trouva son short et le repoussa assez bas pour libérer sa queue, la sentant jaillir entre eux, elle la saisit légèrement entre ses doigts, entourant la base avec son pouce et son index puis remontant lentement le long de sa tige, pour apprendre à la connaître. Il frissonnait dans sa main, gémissait à son oreille en lui mordillant le lobe. Sa queue était longue et fine. Son gland était circonscrit. Elle le massait gentiment, appréciant la fermeté de son érection, le grain de sa peau.
Brandon semblait préoccupé par ce contact et cessa de l'embrasser quand, tout à coup, il essaya de retirer sa queue palpitante de sa tendre prise et elle reçut dans sa main une giclée de sperme chaud et aqueux. La force du jet éclaboussa son sein et son ventre. Brandon se détourna, honteux, refusant de la regarder.
"Oh mon Dieu, je suis désolé. Tellement désolé!"
Mégane se mordit la lèvre pour un rire qui aurait eu un effet catastrophique sur son ego. Elle le savait gêné d'éjaculer si vite, peut-être aussi parce qu'il avait aspergé sa partenaire. Cela ne la dérangeait pas, mais elle soupçonnait dautres filles de ne pas être aussi tolérantes. Elle voulut tenter une expérience.
En gémissant doucement pour attirer lattention de Brandon, elle récolta avec son doigt une partie de son éjaculation aqueuse et le goûta en suçant son doigt. Elle mit tout ce qu'elle avait de séduction dans son regard pour sucer son doigt. "Hum!"
Brandon la regardait, ne sachant pas comment réagir. La réaction de Mégane le déconcertait. Elle ne réagissait pas comme les autres filles, promptes à s'énerver ou à se moquer. Ses déboires accumulés lavaient laissé sincèrement inquiet sur la possibilité de perdre sa virginité. Mégane se souleva, prenant appui sur les épaules de Brandon, le forçant à s'allonger, pressant sa bouche sur la sienne avec passion, prenant le contrôle, agenouillée contre lui.
Brandon couché à plat dos, elle caressa son torse puis lui prit sa queue dans une main, caressant ses couilles de l'autre. Elle fixa un instant son regard espiègle sur lui en souriant puis posa sa bouche sur son gland.
Presque immédiatement, sa queue se gonfla dans sa bouche, son corps frissonnait en sentant son sexe aspiré par une bouche chaude et humide. Mégane bougeait doucement la tête, insérant de plus en plus profond la queue dans sa bouche. Elle prenait son temps, le laissant s'habi, caressant par de lents mouvements de ses lèvres cette queue maintenant bien rigide. La regardant uvrer du coin de l'il, il voyait son chibre disparaître dans cette bouche gourmande, ses seins menus et tremblants qui se couvraient de sueur.
Elle pouvait le sentir palpiter et se contracter, soulevant ses hanches du lit pour pousser plus profondément son sexe dans sa bouche. Elle releva la tête, relâcha sa queue, savourant le contrôle qu'elle avait sur lui à ce moment-là en entendant son murmure de frustration et de désapprobation.
"Est-ce que tu as déjà éjaculé dans la bouche d'une fille, Brandon?"
"Non!" Brandon grogna sa réponse, la mâchoire serrée, en regardant le plafond.
"Alors, regarde bien, Brandon, tu ne peux pas manquer ça!" susurra Mégane en embouchant de nouveau son sexe. Mégane établit un contact visuel avec Brandon et ne le lâcha plus tout au long de la fellation. Tout son corps se crispait, un gémissement lui échappa pendant qu'il inondait la bouche de Mégane de sa crème onctueuse. "Hum" grogna Mégane en déglutissant le foutre chaud et salé. Elle a maintenu son contact visuel en tenant ses couilles fermement et en les massant avec sa paume pour qu'il soit complètement drainé. Brandon grimaça un murmure rauque "oh putain" et laissa échapper une dernière gouttelette de sperme. Mégane se redressa sur ses genoux, souriante, en essuyant d'un revers de main le foutre qui avait coulé autour de sa bouche. Elle massait doucement le pénis qui redevenait flaccide, le laissant lentement se calmer.
"C'était incroyable." marmonna-t-il.
"Hé bien merci." ricana Mégane.
Il y eut un moment de silence et Mégane commença à se demander si Brandon s'était endormi. Mégane commença à glisser du lit, sachant qu'elle avait encore un autre colocataire à satisfaire, lorsque Brandon l'interpella.
"Hem"
"Heu, qu'est-ce qu'il y a?"
"La prochaine fois ... il y aura une prochaine fois, non?"
"Beaucoup de fois, Brandon."
"Puis-je ... tu sais ..."
"Non, quoi?"
"Je ne veux pas le dire
c'est un peu cru, un peu brutal."
"Tu es plutôt pudique pour un gars qui vient d'accepter d'avoir une esclave sexuelle pendant un mois et dont j'ai avalé le foutre il y a deux minutes."
"... quand tu le dis de cette façon, c'est un peu merdique!"
"Cest fait, peu importe la façon de le dire, cest moi qui l'ai proposé. Maintenant, si je ne m', tu veux savoir si nous pourrons réellement baiser la prochaine fois?
"Ben ouais."
"Bien sûr Brandon, pourquoi pas après tout?"
"C'est un peu incroyable."
"Bien, crois-le. Maintenant, je ne veux pas être impolie, mais je ne dois pas faire attendre Sam."
"Est-ce que toi et Ange ..." Brandon hésitait.
"Niquer?"
"Ouais."
"Brandon, laisse-moi reformuler ta question: aimerais-tu que je raconte à Ange tous les détails de ce que nous avons faits ici?"
"NON!"
"Voilà. Maintenant, je vais y aller."
Mégane fit un passage rapide à la salle de bain pour essuyer les résidus de Brandon dans divers endroits et se rincer la bouche. Se regardant dans le miroir, elle ne pouvait sempêcher de se poser quelques questions. Elle sétait offerte à ses colocataires et les deux premiers ne s'étaient pas intéressé à sa chatte. Elle savait les garçons intéressés par l'anal et la fellation, ce qui leur permettait d'asseoir leur domination, mais sa chatte sevrée d'attentions palpitait, dégoulinante de besoin. Elle envisagea de se satisfaire dans la salle de bain, mais elle pensa qu'il lui fallait économiser son énergie pour son dernier client, en espérant que celui-ci saurait porter à sa chatte affamée l'attention qu'elle méritait.
De retour dans le salon, elle trouva Sam assis sur le canapé et s'approcha de lui. Brandon était certainement endormi dans son tout premier coma sexuel, et Ange s'était éclipsé. Elle pensa qu'il était peu probable qu'ils soient interrompus et sentit que Sam avait la même idée en éteignant la télévision. Il se leva, prenant son temps, buvant une gorgée, se déshabillant. Mégane suscitait son intérêt mais il faisait durer le plaisir.
Sam ôta son sweatshirt en dansant sur place, avec des mouvements lents et délibérés pour faire jouer ses muscles, puis déboutonna son jean et le laissa glisser sur le tapis avec son boxer, debout nu devant elle, qui était nue aussi. Mégane a bien sûr profité de l'occasion pour mater son équipement. Sa queue était un intermédiaire entre les deux autres quelle avait eu aujourdhui, pas aussi longue que celle de Brandon et pas aussi grosse que celle dAnge, mais bien quand même.
Sam reprit sa place sur le canapé en se tapotant la cuisse: "Viens t'asseoir!".
Négligemment efficace. Il était amusant, à sa manière. Mégane le rejoignit et l'enfourcha, posant ses bras sur ses épaules et verrouillant ses mains derrière sa nuque. Sa chatte frôlait la queue frémissante, apparemment enthousiasmée par sa proximité. Elle retenait ses hanches pour le moment, attendant d'autres signaux. Sam profitait d'une vue rapprochée de ses mamelons.
"Contente de ta journée?"
"Ce fut une aventure."
"Je parie. Qu'est-ce qui t'a poussé dans cette voie? Je ne veux pas être trop personnel compte tenu de la nature de notre relation, mais j'imagine que tu avais d'autres options." Tout en discutant aimablement, Sam s'était saisi de son clitoris et jouait négligemment avec, le trouvant érigé et sensible, puis coula facilement un doigt dans sa chatte affamée et humide.
Mégane, gémissante, ne pouvait plus retenir le roulis de ses hanches: "J'ai pris cette décision pour moi. Vous allez profiter de moi, énormément. Soyons francs, Sam, ce que j'offre vaut beaucoup plus que ma part de loyer et de factures. Je donne beaucoup, mais j'espère recevoir beaucoup de vous en retour."
Sam ne répondit pas, concentré maintenant sur le corps de Mégane, une main sur sa chatte, l'autre palpant son sein.
"Tu es un piège. Je mentirais si je disais que je ne pensais pas à toi la nuit, couché dans la chambre voisine. Mais je suis sûr que tu l'avais envisagé en emménageant dans une colocation avec trois gars célibataires."
Il lui tendait son doigt, prenant plaisir à la regarder sucer pendant quil parlait puis le retirant pour lui permettre de répondre.
"Je ne veux pas paraître arrogante, mais je suppose que tous les gars que je rencontre m'envisagent, ne serait-ce qu'un peu."
Elle déplaça son bassin pour que sa chatte soit en contact avec la queue dressée.
"T'es-tu branlé la nuit en pensant à moi? Tu te demandais si j'étais nue sous les draps? Comment j'étais foutue?"
Sam sourit: "Oh, je n'ai pas eu à utiliser mon imagination pour ça."
Mégane le fixa, lil interrogateur: "Qu'est-ce que tu veux dire?"
"Je t'ai déjà vue nue. Avant aujourd'hui!" Il plongea son doigt dans sa chatte en chaleur, le recourbant contre la paroi située derrière le clitoris, la faisant frissonner.
"Sous la douche, une fois. Je suis rentré tôt à la maison et tu avais laissé la porte ouverte. Tes yeux étaient plein de shampoing, tu ne m'as pas vu mais moi, je t'ai vue, nue! Je me suis planqué dans ma chambre et tu es partie au travail, pas plus prudente!"
"C'est vrai?"
"Oh oui. Tu chantais
un truc de gonzesse, je pense."
"Oh, ferme-là!" Elle le rudoyait malicieusement, même si intérieurement elle était légèrement troublée. Elle se sentait gênée par le fait qu'elle se soit exposée à son insu, une précaution raisonnable aurait été de fermer cette foutue porte.
À présent, ça navait plus la même importance: "Je suppose qu'on s'en fiche, maintenant."
"C'était seulement une semaine après ton arrivée, et je me suis bien branlé là-dessus." Sam la prit par les hanches en empalant sa chatte trempée sur sa bite entièrement érigée.
Mégane cria dans un mélange de surprise et de plaisir, sa chatte s'ouvrant facilement pour laisser le passage à la queue palpitante.
Relevant ses genoux, elle colla les lèvres de sa chatte contre la base de la bite enfoncée profondément en elle, son vagin s'adaptant parfaitement au pénis qui le remplissait.
Haletante, elle lui demanda: "M'avais-tu imaginée dans cette posture, Sam?"
"Tais-toi!"
Sam cramponnait fermement Mégane par les hanches et la berçait lentement d'avant en arrière, sur un rythme lent et régulier.
Mégane le sentait bouger en elle, son vagin humide lui permettait de faire glisser la bite facilement, ses terminaisons nerveuses transportaient du feu liquide qui embrasait tout son être. Les contractions de ses muscles vaginaux faisaient comme un massage autour de sa bite tendue, et Sam commençait à se demander s'il pouvait durer autant qu'il l'espérait.
Sam gémissait de plaisir sous la caresse de Mégane. Avec une urgence dans la voix qui trahissait son émoi, il déclara:
"Putain, tu es serrée! T'es vraiment bonne!"
"Je te remercie du compliment!" s'indigna Mégane.
"Je veux dire ... les autres ... il ne t'ont pas baisée ici
dans ta chatte?"
Mégane souleva légèrement son bassin puis s'empala de nouveau sur lui. Quand elle sentit trembler tout son corps et se crisper sous elle, elle le prit comme un signe pour continuer et modifia ainsi son rythme, se délectant de la sensation que lui procurait la pénétration, renouvelant son geste encore et encore.
"Pas aujourd'hui, Sam. Tu es le premier à baiser ma chatte aujourd'hui. C'est assez drôle puisque tu occupais la troisième position!"
Sam gémit, le langage cru de Mégane qui le chevauchait, augmentait son urgence à chaque instant. Une vague de pensées érotiques se déclencha en l'imaginant ouverte, offerte, disponible, utilisable à son gré, ce qui fit grimper la température de son désir.
"C'est des cons ... tu leur offres le trou qu'ils veulent et ils vont tout droit dans les fesses."
"Pas toi. Tu ne pouvais pas résister à ma petite chatte gourmande." Mégane plongea son visage dans le cou de Sam, mordillant, suçant, léchant sa peau tout en augmentant le rythme de ses hanches. Elle pouvait déjà le sentir en train de basculer vers le point de non-retour.
"J'ai fait ... le bon ... choix ..." balbutia Sam, son affirmation se terminant en plainte gutturale. Incapable de se contenir plus longtemps, il se libéra au plus profond de la chatte en fusion, l'inondant de son jus crémeux, serrant dans ses bras sa conquête tandis que la bouche de Mégane lui imprimait, au creux de son épaule, la marque de son extase.
Ils restèrent blottis dans les bras l'un de l'autre pendant un moment, bouches soudées dans un long baiser passionné, jusqu'à ce que le sexe redevenu flaccide de Sam glisse hors de sa chatte.
Ils se tenaient face à face, chacun regardant l'autre avec un sentiment de triomphe, détaillant avec émotion le corps de l'autre qu'ils n'avaient pas eu le temps d'explorer avant de passer à l'acte.
Les yeux dans les yeux, Sam déclara: "Je pense que je suis amoureux."
Mégane éclata de rire: "C'est prématuré. On ne dit pas ça au premier rencard!"
"Normalement, on ne baise pas au premier rencard!"
"Normalement, on ne baise pas trois mecs au premier rencard!"
Une longue pause, avant que Mégane ajoute: "Je devrais essayer de dormir un peu pendant que je le peux. J'imagine que je vais avoir une journée bien remplie demain, surtout maintenant que vous avez tous l'accès au terrain de jeux!"
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