Domination De Couple - Épisode 6 - Fabrice Torturé

Domination de couple - Épisode 6 - Fabrice torturé

Lorsque nous fûmes douchés et relativement remis de nos émotions, nous prîmes la décision d’aller boire un verre pour se vider un peu l’esprit. Nous sommes donc partis en direction des péniches pour profiter de l’air encore clément d’automne.

Une nouvelle fois, la rupture entre ces moments de partage entre amis et nos ébats d’une heure plus tôt avait quelque chose de choquant, surtout en prenant en compte à quel point elle était naturelle. On discutait donc de nos semaines respectives, de séries TV, de conneries en tout genre, le tout avec une pinte à la main.

C’est Léa qui nous remis dans le vif du sujet.

- « Bon sinon Pauline, pas trop mal aux fesses ? »

Celle-ci rougit, bugua une seconde puis parti dans un fou rire incontrôlable. Léa et moi l’avons très rapidement suivi. Elle finit tout de même par reprendre son souffle.

- « Non ça va, ça chauffe encore bien mais ça va… C’était quand même quelque chose !
- Quelque chose en bien ou en mal ? » C’était Léa qui menait la discussion, moi j’attendais de savoir où ça allait nous mener.
- « Quelque chose en bizarre. Y a eu des moments où je me demandais ce que je foutais là. D’autre ou j’étais à fond dans le jeu. D’autre ou je ne comprenais juste pas pourquoi j’acceptais de me faire taper, excusez-moi du terme mais c’est bien ça, de cette manière… J’arrive pas encore à me positionner. C’était unique comme moment, a posteriori je trouve ça bizarre mais ça avait aussi beaucoup de sens pendant… Donc je ne sais pas encore quoi en penser.
- Tu en regrettes pas au moins ?
- Pas du tout… J’avais mes safeword tu sais. Je voulais essayer jusqu’au bout. Et je dois bien avouer que l’orgasme était tellement puissant !
- Bon, tant mieux alors !
- Maintenant que j’ai joué, je comprends un peu mieux comment ça marche… Et je dois avouer que j’ai bien envie de m’occuper du type qui s’est contenté de mater et de jouir ! »

Tiens, ça parlait de moi.

Je m’écrase ou j’interviens ? Léa répondit à ma place :

- « C’est vrai que ça s’est plutôt bien passé pour lui… Tu veux qu’on corrige ça ? Ou tu veux corriger ça toute seule ? Je veux pas m’imposer…
- Ah mais tu te tais oui ?! On te le dira si tu t’imposes, là ça nous va très bien ! »

Ouhaou, Pauline dominante elle dépote. Léa souris, acquiesça et se retourna vers moi :

- « Et il en dit quoi celui qui a fait aucun effort ? »

Très bonne question ça… Moi-même, tu as quelque chose à dire ?

- « Euuuuh… oui ? »

Nickel Verlaine, ça s’est de l’éloquence. Un petit filet de bave au coin de la bouche pour avoir l’air un peu plus malin peut être ?

- « Ouai… super… Tu vois ce que je dois gérer au quotidien Léa ? Il était mieux avec un bâillon tiens, on devrait retourner s’en occuper ! »

Vas-y Fabrice, montre-leur qui c’est le boss, ne te laisse pas faire !

- « … »

Nailed it.

Léa se leva, suivie de Pauline. Elles me regardèrent toutes les deux de haut, attendant ma réaction. Je baissais la tête en signe de soumission et me leva à mon tour.

Lorsque nous arrivons à l’appartement de Léa, l’ordre de Pauline claqua dans l’air tel un coup de fouet avant même que la porte d’entrée soit fermée :

- « À poil ! »

J’exécutais l’ordre immédiatement. C’était très déroutant d’être complètement nu avec les 2 autres habillés en tenue d’extérieur. Léa sortie très rapidement de mon champ de vision. Pauline récupéra le collier avec la laisse qui trainait sur le meuble de l’entrée et me le passa autour du cou. Elle me prit par les cheveux et les tira pour m’accompagner au sol et me mettre à genoux. Son visage était fermé, une expression sauvage de supériorité imprimée dans ses traits. Elle était métamorphosée, complètement à sa place dans son rôle de dominatrice. Elle me caressait doucement les cheveux, avant d’en prendre une poigner et de les tirer violement.
J’avais la tête penchée complètement en arrière, je ne pouvais pas échapper à son regard perçant.

- « Alors comme ça tu as bien pris du plaisir à me regarder souffrir…
- Pardon maitresse…
- Ta gueule, je te demande pas de faire le faux-cul. Je me contente d’exprimer les faits !
- …
- Très bien. Donc je disais, tu as bien pris du plaisir à me regarder souffrir. De mon côté, j’ai découvert l’intérêt de la chose. Ce soir, tu vas me servir de cobaye. J’ai appris à prendre du plaisir dans la douleur et la soumission. Maintenant, je vais apprendre à en prendre en t’en donnant… Et voir jusqu’où tu peux tenir. »

Ah ouai quand même… Pour quelqu’un qui n’était pas sûre du principe il y a encore quelques jours, elle semblait à l’aise comme un poisson dans l’eau. En tout cas, elle était prête à expérimenter à fond.

- « Tes safewords ?
- Jaune et rouge maitresse.
- Bien… Si tu es bâillonné ?
- Gauche, droite gauche, bien marqué.
- Parfait. »

Léa nous rejoint et s’installa à côté de Pauline. Celle-ci la saisit par la tresse et la tira vers elle. Elles s’embrassèrent longuement, Pauline lui mordillait les lèvres et la langue à intervalles réguliers. Il semblait clair qu’elle prenait le rôle d’alpha pour la soirée.

- « Tu veux bien t’occuper d’aller l’installer ma chérie ? Je vais aller me changer pour l’occasion.
- Pas de soucis, je t’ai mis quelques tenues sur mon lit. Tu le veux comment ?
- Fais-moi rêver… »

Et elle quitta la pièce. Léa tira sur ma laisse pour me faire avancer. Je progressais donc à 4 pattes jusqu’au salon.

J’en profitais pour détailler la tenue de Léa. Elle avait opté pour de petits escarpins beiges, des bas assortis et ouvragés à mi-cuisse, une guêpière blanche et un shorty en dentelle associé. Le tout complété d’une paire de longs gants beiges et d’un nœud de même couleur pour tenir sa tresse… Une tenue très sexy et élégante, qui illustre clairement qu’elle se positionne en Beta ce soir.


Elle s’arrêta pour observer son environnement et décider à quelle sauce j’allais être mangé. Elle était sexy avec son air concentré dans cette tenue… Elle commença par éteindre la lumière et allumé des bougies un peu partout dans la pièce. Celle-ci était encore chargée des relents de notre après-midi, lourde de tension et de plaisir. Puis, elle claqua des doigts pour me faire venir jusqu’à la corde suspendue au plafond. Apparemment, j’allais devoir être debout.

Elle récupéra une longue corde dans le placard. Elle mit fit mettre les poignets dans les dos et les attacha sévèrement. Puis, elle fit passer une corde au niveau de mes pectoraux qui me plaquait les bras dans le dos, avant de faire quelques tours autour des épaules pour me pousser le torse vers l’avant. J’avais donc le haut du corps bien figé.

C’est sur la suite que ça s’est compliqué. Elle a commencé par faire passer une corde dans une boucle dans le dos de mon attache-harnais au niveau des pectoraux. Celle-ci est ensuite passée dans la boucle de corde qui pendait de la poutre, avant d’être attaché par un nœud coulant autour d’un de mes genoux. Léa a ensuite levé progressivement ma jambe en faisant remonter le nœud, jusqu’à ce que je sois sur la pointe du pied opposé.
Concrètement, j’avais un genou élevé au maximum, la suite de la jambe qui pendait, les cuisses écartées et le corps penché de l’autre côté pour me rééquilibrer… Équilibre difficile à maintenir car mon seul pied encore libre touchait le sol du bout des orteils.

Elle Passa ensuite une cordelette autour de mes orteils en l’air et de ma boucle de genou pour que mon pied soit immobilisé en position offerte.

Elle passa ensuite aux accessoires. Après m’avoir caressé la rondelle du bout de la langue, elle vint m’introduire un petit plug enduit de lubrifiant. A la poire que je devinais pendre contre ma cuisse, je déduis que le plug devait être gonflant.

Puis elle m’enserra le sexe et les boules dans plusieurs anneaux qui furent fermés par un cadenas.
Certains anneaux étaient équipés de petits piques à peine perceptibles tournés vers l’intérieur. Ça faisait longtemps que je n’avais pas porté de cage de chasteté, et je sentais que celle-ci allait être particulièrement contraignante. Elle orna mes tétons de pinces reliées par une chaine. Elle hésita une seconde face au placard en se grattant la tête, puis sorti une cagoule avec un bâillon de forme ovale qui me laissait pas mal de liberté. Tant mieux, c’était toujours ça de pris. La cagoule fut tressée à l’arrière pour venir parfaitement épouser les contours du visage.

Elle ne baissa pas le masque de la cagoule… Apparemment elle souhaitait que je puisse voir ce qui allait m’arriver. Elle parcourra ensuite la pièce pour ranger, alluma quelques bougies, récupéra un bol de glaçon dans la cuisine et l’installa à proximité de plusieurs jouets sur la table : martinet, fouet, cravache, vibro, rabbit, plug, menottes… etc…

Elle prit ensuite une position à genou à côté de moi, le visage baissé, les cuisses écartées et les bras tendues devant elle qui tenait une cravache rouge vif… Elle officialisait son statut de Beta.

Quelques minutes après, Pauline entra dans la pièce. L’atmosphère changea instantanément. Elle était divine. Elle portait une guêpière ouvragée en cuir vert émeraude, avec un filagramme noir qui le parcourait. Celui-ci s’attachait à des bas en dentelle très graphique qu’on devinait sous une jupe longue d’un vert foncé transparent. Elle portait des escarpins de la même couleur que son haut. La jupe était intégralement ouverte sur un coté ce qui rendait ses déplacement fluides et aériens. Le dos de sa guêpière était composé de filaments de cuir, de dentelle et de boucles d’acier entremêlés dans une danse extrêmement érotique. Elle portait un collier doré avec une grosse pierre verte au milieu de son décolleté plus que révélateur. Son chignon strict était maintenu par un nœud jaune vif. Pour finir, des bracelets dorés ornaient ses poignets, comme un clin d’œil à son ancienne condition de soumise.

A son entrée dans la salle, elle nous coupa le souffle à tous les deux.

Elle ne nous laissa pas le temps de nous remettre et traversa la pièce pour récupérer la cravache dans les mains de sa soumise. Elle lui flatta doucement la tête, comme pour se rassurer sur sa position ce soir. Cela dit, elle donnait l’air d’avoir fait ça tout sa vie.

- « C’est bien ma belle… Reste là le temps que j’inspecte ton travail »

Elle commença à me tourner autour, la cravache à la main. Elle était très exhaustive dans son inspection. Elle vérifia la solidité des nœuds, me donna quelques tapes de cravache sur les bourses ou sur le plug pour me forcer à m’agiter dans mes liens, me fit un croche-patte pour me voir essayer de me stabiliser… Elle soupesa ensuite mon sexe prisonnier et me caressa le gland pour le regarder gonfler dans sa cage et voir les piques me r.

Elle prit ensuite la poire qui me pendait entre les cuisses et la compressa complètement 2 fois. Au grognement à peine étouffé que je poussai dans mon petit bâillon, elle comprit son utilité et sourit. Puis, elle vint positionner son visage à quelques cm de mon visage et appuya sur une petite poire qui dépassait de ma bouche que je n’avais pas vue. Je sentis instantanément le bâillon prendre un peu plus de place dans ma bouche. Elle fit un grand sourire et pressa et relâcha cette poire 5 fois d’affilées.

Je couinais et m’agitais dans mes liens. Ma bouche était intégralement remplie, on entendait à peine les sons qui en sortait malgré mon impression de crier ouvertement. Ma langue était écrasée contre le fond de ma bouche et je sentais le latex remplis d’air épouser les formes de ma bouche et me bloquer jusqu’à l’entrée de la gorge. Au coup de pompe suivant, je n’arrivais plus à respirer, ma bouche était remplie à 100% et aucun son ne pouvait en sortir. Sans prévenir, Pauline fit claquer violemment sa cravache sur le plat de mon pied attaché en position offerte. Je poussais un long hurlement complètement silencieux. Elle planta son regard dans le mien, sourit et ouvrit la vanne d’air de mon bâillon.

Je haletais à pleine puissance, gémissais, grognais, bref j’évacuais la peur et la douleur. Après 10sec de ça, Pauline sembla s’en lasser, remit 3-4 coups de pression sur la poire et à nouveau mes complaintes se transformèrent en un lent et sourd bruit de fond.

Elle se tourna alors vers sa soumise :

- « Bin c’est super ça, on a de quoi s’amuser !
- Oui maitresse.
- Non pas de ça avec moi, on est là pour s’amuser entre copine »

Elle appuya ça d’un petit clin d’œil et tendit la main à Léa pour l’aider à se relever. Celle-ci sourit, lui prit la main et commença à son tour à me tourner autour.

Elles me faisaient penser à des vautours. Et je ne savais pas à quelle sauce elles allaient me manger.

Léa prit un martinet et se positionna dans mon dos. Et CLAC ! d’un mouvement expert, je sentis les lanières s’abattre sur mon cul. Mon grognement était encore un peu audible, et Pauline pressa ma pompe buccale partiellement comme si elle tournait tout doucement le bouton d’une radio pour capter la bonne station. Léa abattît à nouveau son martinet, Pauline tendit l’oreille, et appuya encore un peu sur la poire : j’étouffais. Elle s’en rendit compte, la vida, et elles recommencèrent.
Elles durent s’y reprendre à 3 fois avant de réussir à « paramétrer » correctement mon bâillon. Et c’est vrai qu’elles avaient réussi à atteindre juste la limite. Contraignant, à la limite du désagréable, il épousait parfaitement l’intérieur de ma bouche sans pour autant me couper la respiration. J’avais cette sensation indescriptible d’être « complet », d’être « bouché » … Je n’arrive même pas à trouver le terme. Et surtout, aucun son n’en sortait. Quelques sons de gorge si j’essayais réellement de crier mais globalement, un cri de douleur serait transformé en vague murmure. Je le sais, j’ai immédiatement testé.

Mon cul avait été considérablement rougit dans le process, soit dit en passant.

- « Je crois qu’on est pas mal… il faut faire le test final maintenant ! » dis Pauline en prenant de la distance comme pour observer son œuvre.
- « Tu veux t’en occuper ?
- Avec plaisir… des idées ? »

Léa se rapprocha d’elle et commença à murmurer dans son oreille. Elle en profitait d’ailleurs pour subtilement glisser sa main sur la fesse de son amie, sous sa jupe. Je savais pertinemment que le sujet de la discussion allait être source de douleur pour moi, et pourtant, je trouvais la scène terriblement excitante. Je commençais même à bander, reflexe vite arrêter par la douleur des piquants de ma cage.

Quelle saloperie cette merde alors.

Je vis alors que Pauline regardait l’agitation dans ma cage. Elle redressa le regard et croisa le mien. Elle avait vu que j’avais vu. On partagea une très rapide conversation télépathique. Oui, j’ai vu ce qu’il se passait. Oui, je sais ce que je vais faire pour te r, Non, il n’y a rien que tu puisses faire pour m’en empêcher. Et le gémissement faible et lointain de ma tentative de supplication ne la fit pas du tout changer d’avis.

Merde, j’ai créé un monstre.

Elle se tourna vers Léa et lui lança d’un ton sec qui était plus celui de la dominante que celui de l’amie :

- « Je pense que tu es prête à t’impliquer plus personnellement dans sa domination.
- Quelles sont tes ordres ? »

Pauline souris et lui chuchota quelque chose à l’oreille en lui caressant le sein d’une main distraite.

Léa sourit, vint devant moi et s’agenouiller et me regarda dans les yeux. Elle sortit sa langue pour l’immobiliser à quelques millimètres de mon sexe. Instinctivement, celui-ci se tendit dans sa direction, rapidement arrêté par la cage. Sa langue s’avança de quelques millimètres et commença à caresser doucement mon gland à travers les barreaux. A partir de là, ma bite a perdu toute solidarité envers le reste de mon corps. « Fuck you, moi je profite et tant pis si ça vous fait mal ! ». Mon sexe était complètement gonflé dans la cage, écrasé contre les bords, avec les piques qui s’enfonçaient le long de ma queue. Je criais silencieusement ma douleur. Mes yeux suppliaient Pauline du regard, qui souriait.

Elle s’approcha et baissa mon masque. J’avais perdu la vue. Plus de regard suppliant, plus de son, à partir de maintenant elle pouvait faire ce qu’elles voulaient en ignorant ouvertement les conséquences sur mon bien être. Elle alla plus loin en me plaquant un casque audio sur les oreilles… plus de son pour moi non plus du coup.

Pauline se glissa derrière moi. Elle faisait glisser une main sur mon torse et courir sa langue dans mon cou. De son côté, Léa avait commencé à sucer ouvertement mon sexe encagé… une .
Notre maitresse commença à jouer avec mon plug. Elle le gonfla une fois, deux fois, joua un peu avec, puis le vida. Une fois, deux fois, trois fois, et elle le vida à nouveau. Elle monta jusqu’à 5 fois. Puis il se mis à vibrer.

J’étais en transe, hors du temps. J’avais l’impression de flotter au-dessus de mon corps et de les voir s’affairer à me faire souffrir. La conséquence de la suppression des sens. Je vis, ou du moins je sentis et j’alimentais mon imagination qui me faisait voir la scène du dessus, Pauline faire couler de la cire sur ma plante de pied. Léa de son côté jouait avec un glaçon sur mon sexe pour le faire dégonfler, avant de recommencer à le lécher pour qu’il remplisse la cage. On pouvait voir les petits points rouges de contact avec les piques. Pauline s’entraina avec divers instruments de : le martinet, la cravache, un petit fouet. Elle s’amusa à passer une roulette crantée sur mon périnée et mes bourses. Elle enleva mes pinces à tétons pour alterner cire, glaçon et roulette…

Après une durée indescriptible de ce traitement, elles s’arrêtèrent toutes les 2 en même temps. Je ne sentais plus vraiment de douleur depuis un moment, mon esprit semblait être complètement dissocié de mon corps.

Mon pied fut détaché. Il s’écrasa au sol. Mon sexe fut libéré. Il ne bandait plus depuis un moment, j’en arrivais à me demander s’il serait capable de se mettre au garde à vous à nouveau. Ma bite me faisait penser à un vétéran atteint de trouble post-traumatique. Je me mis à rire intérieurement, tout rire extérieur étant de toute façon impossible avec ma bouche monopolisée comme elle l’était. Elles continuèrent. Mon plug s’arrêta de vibrer, fut dégonflé, puis sorti.

Je fus détaché de la corde du plafond. Elles me tenaient par les épaules pour m’accompagner au sol, à genoux. Et subitement, je retrouvais la vue, l’ouïe et le sens de la parole. D’un coup. Enfin je fus plutôt aveuglé, assailli par des sons dans toutes les directions avec la mâchoire bloquée en position ouverte.

Progressivement, je repris conscience de mon environnement. Je sentis soudains les 4 mains qui me couvraient le corps de caresses, les langues et les lèvres qui s’y promenaient. Paradoxalement, ces gestes d’attention étaient douloureux puisqu’ils me ramenaient à prendre conscience de mon corps… Et des sévices qu’il avait vécu. Je me rendis soudain compte que j’étais bloqué dans un long gémissement, probablement depuis un moment.

A grand renfort de caresses et d’attention, elles me ramenèrent de mon périple extrasensoriel.

Léa s’était allongée sur le matelas devant moi, les cuisses écartées. J’avais une vue sur sa chatte offerte, sur ses seins généreux sorti des bonnets de son soutien-gorge. Ses tétons, son clitoris et ses lèvres intimes étaient ornés de petites pinces en argent, reliés entre elles par des chaines qui se retrouvaient sur un anneau posé entre ses seins. Elle était bâillonnée et ses mains était menottées au-dessus de sa tête.

Pauline me fit avancer sur le bord du matelas, avant d’apparaitre dans mon champ de vision. Elle avait quitté sa jupe et portait un gode-ceinture. En contre-plongée dans l’ombre de la lumière tamisée, elle était suffisamment excitante pour réamorcer la pompe de mon sexe meurtri. Je bandais à nouveau. Elle se mit dos à moi et se pencha sur Léa, me mettant quasi littéralement le nez dans son cul. Je me mis à lui caresser l’anneau avec ma langue, croyant que c’est ce qu’elle souhaitait. Elle me laissa faire pendant qu’elle travaillait le cul de sa soumise avec un gros plug transparent nervuré. Lorsqu’il fut complètement enfoncé sous un gémissement étouffé, Pauline prit la parole :

- « C’est ton cul qui aurait besoin d’être lubrifié mon chéri… » et elle bascula hors de mon champ de vision.

Je sentis sa poigne dans mes cheveux et elle me fit basculer vers l’avant dans la chatte parfaitement épilée de Léa. Avec mes mains immobilisées dans mon dos, impossible de m’équilibrer et de prendre un peu de hauteur : j’avais le visage enfoncé entre ses cuisses… Démerdes toi pour respirer mon grand !
Je sentis un gel froid sur mon anus et deux doigts se glisser dedans. Avec l’expérience du plug, celui-ci était encore assez ouvert. Puis je sentis une pression progressive… et cm par cm, le gode de ma maîtresse s’enfonça en moi. Je gémissais dans la chatte de Léa, qui elle aussi gémissait de plaisir.

Lorsqu’elle fut complètement enfoncée en moi, Pauline prit la parole à nouveau :

- « Je vais te prendre jusqu’à ce qu’elle jouisse… une fois que ce sera fait, si tu as été sage, je te laisserais jouer avec. »

Et elle commença un va et vient énergétique ou je sentais son bassin claquer contre mon cul. J’avais le souffle coupé. Elle s’activait tellement que j’avais juste à garder la langue tirée et la violence des coups me faisait aller et venir contre le clitoris torturé de ma co-soumise. Celle-ci gémissait en continu dans son bâillon, terriblement excitée par ce scénario.

Vu l’état de Léa, j’allais rapidement être libéré de ma . A force de taper contre ma prostate, le va et vient dans mon cul commença à me donner cette forme de plaisir si particulière qui vient du sexe anal… Je ne bandais pas, j’avais toujours une forme de gêne mais aussi un plaisir sourd qui montait.

Léa jouit sans même que l’on ait eu le temps de voir venir. Pauline me donna un énorme coup de butoir pour marquer le coup, ce qui m’enfonça violemment le visage dans l’intimité de Léa sensible suite à son orgasme. Sous le choc, 2 des 3 pinces qui y étaient attachées furent arrachées. Léa poussa un long un cri dans son bâillon. Pauline se retira et vint tirer sur la chaine pour arracher les pinces restantes.

Pauline me détacha et m’aida à me relever. Elle m’embrassa longuement, comme pour mettre fin à son autorité sur moi. Elle me massa doucement les mains, les bras, les épaules, là où j’avais des marques de sévices qu’elle m’avait fait subir. Je me remettais doucement de mes s pendant qu’elle s’occupait de moi. Léa était encore en train d’haleter dans son bâillon.

- « Tu veux bien m’aider à m’occuper d’elle mon chéri ? »

Léa s’agitait dans ses liens pour se dégager et grognait dans son bâillon. Elle semblait ne pas être d’accord.

- « Avec plaisir… »

La soirée n’était décidément pas finie…

A suivre...

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