Ma Voisine (1)
M. est notre voisine, récemment arrivée dans le quartier. Nous ne la connaissions pas encore, même jamais aperçue, quand elle est venue solliciter notre aide un jour où elle avait un problème de voiture. A louverture de la porte, jai été immédiatement subjugué par le charme de cette brune trentenaire, de ses magnifiques yeux bleus, de son visage poupon et son sourire malicieux.
Jai tenté de la dépanner, sans trop de succès à vrai-dire mais cela a suffit à ce que nous fassions connaissance. Depuis, nous nous voyons à plusieurs reprises chaque semaine et sortons parfois également le soir. Elle et mon épouse sont devenues bonnes copines, ce qui rajoute à mon trouble. Je dois supporter de fréquenter cette jeune célibataire qui ne me sera jamais accessible, alors que les pires pensées érotiques me traversent à son sujet.
A chacune de nos entrevues, je suis sous le charme, jessaie de garder de la distance pour éviter dentrer dans un jeu dont je sais que je ne sortirai pas vainqueur. Je suis charmé par son sourire, la finesse de ses traits, ses fossettes, le galbe de ses jambes
.la seule chose que je pourrai reprocher à son physique serait son postérieur qui nest pas rebondi - de ce que jen vois en pantalon - et sa poitrine qui paraît généreuse, ce qui nest pas trop à mon goût. Jai bien conscience de chercher à me trouver des excuses pour essayer deffacer mes pensées lubriques mais ça ne fonctionne pas autant quespéré
Je bricolais seul un samedi dans mon sous-sol lorsquon frappe à la porte. M. apparaît. Comme à chacune de nos entrevues, le même rituel recommence dans mon cerveau : quel joli minois, quel joli sourire, quelles jolies jambes
Elle porte un pantalon moulant aujourdhui qui met son postérieur un peu plus en valeur quà laccoutumée, ça me fait une bonne excuse en moins davoir envie delle. Nous discutâmes quelques minutes, elle me confiât avoir besoin dun service pour analyser un courrier quelle a reçu, il semble officiel mais elle craint une arnaque : « sans problème, passe quand tu veux ! ».
Quest-ce qui ma pris de dire ça ? Suis-je fou ou quoi ? Je ne suis pourtant pas du genre à me jeter dans la gueule du loup
M. repart pour sa pause déjeuner. Si tout va bien façon de parler - il est prévu que je ne la revois que lundi ce qui laissera le temps de reposer un peu mon cerveau libidineux. Ce petit entretien ma pourtant fait beaucoup deffet: mon sexe est douloureux car il sest développé dans mon jean serré. Je plonge la main dans mon boxer pour le réajuster et me rends compte que mon érection est presque totale. Autant en profiter ! Je déboutonne mon jean, baisse mon boxer et commence à madonner à un plaisir solitaire dont M. est bien évidemment la star. Ma main est tour à tour sa bouche, son sexe, jessaie dimaginer sa poitrine volumineuse
Je ne lai vue quune fois en jupe et collant, mais je nai aucune peine à limaginer en bas. Sépile-t-elle ? Comment sont ses lèvres ? Son jus ? Mouille-t-elle abondamment ? Mille images érotiques voire pornographiques soffrent à moi tandis que ma main va et vient sur ma queue.
La porte souvre soudainement et M. réapparaît. Elle me découvre dans la plus humiliante des postures, je suis figé par la honte ! « Ouh là » dit-elle en détournant la tête. Elle protège son regard de la main et bredouille : « Je suis
suis
.suis
.désolée ».
- Non mais cest moi M. excuse-moi vraiment »
Je tente de reboutonner mon jean quand elle retourne la tête vers moi : « Jétais passée pour le papier finalement mais je pense que cest pas vraiment le moment »
- Non, enfin si, enfin attends
- Quoi ? Je viens de te trouver en train de
. Alors je vais pas rester
- Ben si tu devrais justement
- Jte demande pardon ? me dit-elle, me fusillant du regard
- Ecoute cest tout bête mais je fantasme sur toi depuis notre première rencontre, et là tout à lheure, après que tu sois venu et bien jai craqué
- Ah ben merci, je ne sais pas comment je dois le prendre ?
- Comme un compliment
- Tu parles dun compliment, je trouve mon voisin marié qui se
se
masturbe en pensant à moi
- Tu ne trouves pas ça flatteur ? Moi je serai flatté si je te trouvais en train de te caresser et que tu mavoues que cest en pensant à moi.
Elle pique un fard, le rouge de ses joues contraste avec le bleu pétillant de ses yeux. Je tente dajouter : « Ne me dis pas que
. ». Elle baisse les yeux en signe daveu. Moi : « bon ben on est quitte alors.
- Alors là certainement pas, toi tu ne mas pas prise en flagrant délit
- One point, mais maintenant je le sais
- Tu pensais vraiment à moi pendant que tu
?
- Oui vraiment
- Et tu pensais à quoi ?
- Au moment où tu mas surprise ou
- Oui au moment où jarrivais
- A ta bouche
- Ah oui carrément
ben cest loupé parce que jaime pas ça
- Dommage, tu as déjà essayé ?
- Oui, un petit peu mais bof, de toute façon je ne vais te
.
- Oh non, dis-je en redéboutonnant mon pantalon, je ne vais pas te le demander
.
- Ca va pas non !
Son regard reste figé sur mon sexe quelle semble voir sous un nouveau jour moins gênant que lors de leur première entrevue
je lui tends ma main, elle latt et je pose la sienne sur mon sexe qui sest de nouveau développé.
- Et là, toujours pas envie ?
- Cest sûr que là
».
A chacune de nos entrevues, jadmire ses mains et les imagines me caressant mais la réalité est encore bien meilleure.
- « Je veux bien essayer, mais juste un peu
- Pas de souci, tu tarrêtes quand tu veux » dis-je rassurant
Elle sagenouille et approche sa tête de mon sexe érigé. Elle commence par mettre ses cheveux derrière ses oreilles, puis ferme les yeux pour approcher sa bouche de mon gland. Elle attend maladroitement que ses lèvres viennent buter sur ma chair pour entrouvrir la bouche puis lèche mon gland déjà décalotté :
« Tu as juste à ouvrir la bouche » lui dis-je
Elle rouvre ses yeux qui me supplient de prendre la décision darrêter, décision dont elle ne semble pas avoir vraiment envie, je feins donc dignorer cette pseudo-détresse. Elle ouvre la bouche et laisse ma queue simmiscer en elle. A peine le gland rentré, je lui intime : « referme tes lèvres sur mon sexe maintenant »
Elle sexécute, les yeux fermés à nouveau
« Maintenant, essaye de jouer avec ta langue
- Mmmm
mmmm.
- On ne parle pas la bouche pleine jeune fille »
Elle soupire par le nez. « Allez, essaye de lécher mon bout maintenant »
Maladroitement, sa langue remue de manière désordonnée dans sa bouche, je dois la guider : « Doucement, cest comme si tu membrassais ».
Instantanément, les mouvements incontrôlés se transforment en coups de langue appliqués. Je lencourage : « Voilà, tu es très douée ! Maintenant je vais ressortir et rentrer de nouveau ». Machinalement, elle veut me répondre par un hochement de tête ce qui me fait sortir. Elle inspire un grand coup, comme après une longue apnée.
Je lui laisse le temps de reprendre son souffle mais pas ses esprits et guide sa tête vers ma verge déployée. Elle mempoigne fermement et ouvre la bouche pour que je my enfonce jusquà la moitié. Ses lèvres se referment doucement sur mon bâton, elle a vite appris sa leçon. Je laverti : « Maintenant je vais aller et venir dans ta bouche ». Elle émet un « mm mm » dont je ne sais sil approuve ou pas mon intention.
Je prends donc ça pour un oui...et commence par me retirer, sans sortir mon sexe de sa bouche, puis pénètre lentement et le plus loin possible. Sa main desserre son emprise sur ma queue, elle semble prendre confiance en elle
et en moi
Je renouvelle ce va-et-vient et commence à sentir sa salive se répandre sur mon sexe qui me fait un effet phénoménal. Je ne veux pas la brutaliser et ne cherche pas à venir à fond, pour le moment
gardons-ça pour plus tard, si ça savère possible.
Après quelques aller-retours, elle a trouvé la synchronisation parfaite entre les mouvements de mon sexe, sa bouche et sa langue. Elle apprend vraiment très vite, jirai même jusquà dire quelle commence à aimer la fellation. Je ressors ma tige gluante de salive : « maintenant tu vas me branler ». Son regard a changé, je comprends quelle devient volontaire pour lexercice : « je fais ça comment ? »
- Tu mets ta main autour, et tu vas et vient de haut en bas
- Comme ça ?
- Desserre encore un peu
- Là ?
- Voilà, maintenant remonte jusquen haut de mon gland
- Pourquoi ?
- Parce que comme ça jai limpression de te pénétrer à chaque fois
- Ah ok
je vois
- Tu aimes ?
- Oui ça va pour linstant
- Ca te fait de leffet
-
.
- CA TE FAIT DE LEFFET ?
- Oui
- Ben dis-le
- Quoi ?
- Leffet que ça te fait !
- Jai chaud
- Où ça ?
- Ici » elle désigne son entrejambe
- « Tu mouilles alors ?
- Oui je crois
- Cest bien, continue comme ça
cest parfait, tu es très douée M.
- Ah bon ?
- Oui, reprend-moi dans ta bouche maintenant »
Elle sexécute sans résistance. Je vois ses fossettes se gonfler à chaque pénétration, je sens quelle me gobe avec application : « mmmm
prends-moi bien à fond maintenant »
Elle se contente de me sucer en me masturbant. Jatt ses cheveux et enfonce ma queue jusquà sa gorge : « jai dit à fond »
- Mmmmmm » gémit-elle en faisant non de la tête
Je maintiens mon emprise et guide sa tête dune main ferme, ses joues sont rouges, presquécarlates, Je la repousse vers larrière pour ressortir mon sexe de sa bouche, elle est essoufflée et avant quelle ne puisse dire mot je lembrasse goulument. Pendant notre baiser elle sempare de mon sexe et le branle vigoureusement. Je me détache de ces douces lèvres : « alors, ça te plait de sucer finalement ?
- Cest pas si désagréable, mais cest parce que jai un bon professeur
- Et ça te fait quoi ?
- Je pense que je suis toute trempée maintenant
- Relève ma queue, lèche-moi dessous »
Sans que je nai besoin de lui donner dautres détails, elle lèche ma tige de tout son long, en sappliquant sur mon gland comme je le lui ai appris plus tôt : « mmmm
.cest bien
.tu tappliques bien
descends plus bas maintenant ». Là je sens quelle navait pas envisagé de goûter mes testicules : « tu en as déjà léché ? ». Labsence de réponse vaut réponse ! « Allez bouffe-moi les couilles ». Elle a tout compris : elle les aspire, les lèche, passent de lune à lautre tout en continuant à me branler doucement sans que je nai besoin de la corriger. Jai peine à croire quelle ne lait jamais fait avant aujourdhui tellement cest agréable !
« Et maintenant » shasarde-t-elle ?
- « Maintenant je vais te baiser la bouche !
- Quoi !!?? Ca veut dire quoi ça ?
- Ca veut dire que tu vas rester immobile, la bouche ouverte et que je vais venir en toi comme si je prenais ta chatte
- Tes vraiment chaud toi !
- Surprise ?
- Oui, mais pas déçue pour le moment, on verra après
- Allez, ouvre bien maintenant »
Je memploie à honorer ma promesse, à aller et venir en elle avec vigueur, tout en ménageant des périodes plus calmes pour faire redescendre lexcitation et lui permettre de récupérer. Elle subit mes outrages avec une étonnante facilité. Ses gémissements commencent à se faire de plus en plus bruyants, elle me regarde, semble exprimer sa satisfaction avec ses beaux yeux bleus. Profitant de mon inattention, elle me repousse sans que je ne puisse la contrer. Je comprends à son nouveau regard quelle a une idée derrière la tête, et quil vaudrait mieux que je me laisse faire. Quelque chose vient de se produire dans son esprit, elle veut prendre linitiative, que va-t-elle me faire ? Tout en mastiquant, elle me dit, volontairement provocatrice : « cétait pas mal comme ça aussi, jespère quun jour tu me prendras aussi fort »
- Tu veux maintenant ?
- Non pas maintenant, je ne me suis pas préparé
un jour
.peut-être
là de toute façon faut que jy aille cétait ma pause et je suis à la bourre. Mais jai bien aimé, je te remercie pour le cours, cest très instructif.. »
Un moment de solitude sempare de moi, elle ne va quand même pas me laisser comme ça ? « Mais
.
- je suis désolée, il faut que jy aille, mais tu sais comment on fait hein ?
- Allez, ne me laisse pas comme ça, je suis au bord de lexplosion
- Ben justement, tas plus besoin de moi !
- Oh que si, ça ne sera pas pareil sans toi, on ne part pas avant la fin du film !
- Bon ok, mais vite alors
Elle semploie à reprendre ma queue dans sa main et à mastiquer vigoureusement dans le seul but de me faire venir en quelques secondes. Ma verge sest asséchée, je commence à ressentir un échauffement qui conduirait inexorablement à une débandade, dans tous les sens du terme : « tu veux pas cracher un peu, ça me fera venir plus vite ». Elle me regarde hésitante, approche sa bouche de mon gland et envoie quelques postillons dans lair. « Naie pas peur, ne sois pas timide on en est plus là, crache vraiment sur ma queue ». La deuxième tentative est la bonne, et elle étale sa salive sur mon gland avec application.
Elle reprend ses va-et-vient énergiques. Je lis dans son regard sa volonté à me faire jouir rapidement ce qui nest plus quune question de secondes. Je reprends mon sexe en main juste avant que la sève ne monte et le dirige vers sa bouche. Elle me regarde, détournant la tête pour refuser linévitable. Jenserre la base de mon pénis pour retarder ma jouissance, et dun doigt sur son menton ramène sa bouche face à mon gland prêt à libérer ma semence. Résignée elle ouvre grand, en me lançant un dernier regard partagé entre supplication et inquiétude. Je mapplique à viser sa bouche si accueillante pour la remercier de son sacrifice et lui éviter une éjaculation faciale pour laquelle elle nest pas encore prête et synonyme dhumiliation à ce stade.
Sans plus de prévenance, jemplie sa bouche de mon foutre chaud et sucré et avant quelle ne puisse recracher mon second jet arrive, aussi puissant que le premier. Je plante mon gland entre ses lèvres, sa mâchoire fermée mempêche daller plus loin et elle est obligée davaler mon jus dans un gémissement de refus.
Elle me repousse violemment, ses yeux expriment sa colère quelle ne tarde pas à verbaliser « Ca tétais pas obligé ! Ten navais pas eu assez ? »
- Il fallait que je partage avec toi ma jouissance, le contraire eu été égoïste
- Oui ben jétais pas prête à ça !
- Au reste non plus » répondis-je du tac-au-tac
- « Ouais
- En fait ça ta plu mais tu ne veux pas te lavouer »
Elle devint rouge-pivoine, cet aveu me suffit. Je poursuis en la complimentant sincèrement : « en tout cas tu es une sacré bonne suceuse, tu mas fait jouir comme un fou
- Ca, jai remarqué
bon
au point où en est je vais te nettoyer
»
M. la coquine moffre cet ultime plaisir et sapplique à lécher ma queue sous toutes ses coutures, ramassant tout ce qui reste de ma semence.
Je lui tends une lingette, elle se relève en sessuyant la commissure des lèvres elle se dirige vers la sortie, je la salue comme à laccoutumée : « bonne journée, à plus » sans autre formalité. Elle me rend la pareille : « A plus tard », avant dajouter « Et sil y a une prochaine fois, cest moi qui tapprendrai quelque chose ! »
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