Collection Étrange Phénomène. Le Parchemin Diabolique (5/22)

À Chazal dans le Doubs, village ou je venais dans ma jeunesse de Dijon, j’achète une boîte en cuir à Martine, dont j’ignore à quoi elle sert afin de tromper la vendeuse, c’est la soupière avec la vaisselle dépareiller qui m’intéresse.
C’est ainsi que je découvre les propriétés étranges du parchemin qu’elle renferme, le soir ou elle s’ouvre.

Le parchemin fait son office plus que jamais, mais mon envie de sexe me fait faire des choses inconsidérées, nul besoin par moment que la boîte s’ouvre comme en ce moment ou Christian le jeune rugbyman me prend en levrette dans notre chambre d’amis.
C’est à ce moment que la tête tournée vers la porte, je vois arriver Benoît.

• On ne se gène pas ici.

C’est la phrase qu’il prononce tout en enlevant son pantalon.

• Ma chérie, merci d’avoir franchi le pas et d’être devenue une parfaite petite cochonne, je commençais à m’ennuyer dans notre couple, suce.

Monté sur le lit à genou devant moi, il me plante sa bite dans la bouche.

• Jeune homme, j’ignore qui vous êtes, avez-vous déjà prise une femme en double pénétration, ou sinon, voulez-vous essayer.
• Je pense que vous êtes son mari, vous n’êtes pas fâché !
• Allongez-vous sur le lit, nous verrons plus tard, si je vous casse la gueule, chérie, notre jeune ami est plein de vigueur, empale-toi sur son pieu.
• Christian fait ce que te dit Benoît

Je me place et je l’introduis en moi, je tourne la tête, Benoît c’est placé dans mon dos, je sens sa queue sur mon anus, une poussée et je suis prise par les deux bites, il me faut peu de temps pour me mettre à chanter mon plaisir.
Heureusement que les murs sont épais, les oreilles des voisins seront épargnées, je jouis comme une folle, je crois qu’une nouvelle fois, je vais sans le parchemin prendre un pied énorme, je jouis, je jouis et je peux même dire, je jouis encore.

• Si j’avais su prendre autant de plaisir au milieu de vos deux sexes, nous l’aurions fait plus tôt mon chéri, j’ai adoré sentir vos verges de chaque côté de la paroi de mon corps.


• Ton périnée ma chérie, la paroi entre ton anus et ton vagin s’appelle le périnée.

C’est tout Benoît, j’ai à peine terminé de jouir que la médecine reprend ses droits, bien que les mots qu’il nous dit après, me fait penser que notre couple se dirige dans le bon sens.

• J’ai compris que vous vous appelé Christian, êtes vous libre samedi prochain ?
• Oui ?
• Vingt et une heure ici, je vous sors tous les deux, tenue sélecte.

Ignorant ou je vais, je me prépare, Benoît ma sortie une tenue sexy et lui-même porte un ensemble sport, mais du meilleur genre, je mets la boîte au parchemin dans mon sac, ignorant notre destination.
Nous roulons, traversons Vesoul avant de nous arrêter devant une grande bâtisse, sur la façade une enseigne au néon « Club privé », nous entrons sans problème, pourquoi ais-je l’impression que Benoît est déjà venu ici ?
Boîte à partouze, ou club libertin, mon mari vient-il dans cette bâtisse pour s’encanailler me cocufiant par la même occasion, vu qu’il s’est bien gardé de m’en parler.
Bien sûr, ces pensées restent dans ma tête, grâce ou à cause de la boîte, je suis devenue moi-même une libertine, même mieux, une grosse salope ?
Mon Dieu, que ce mot libertine est beau comparé à salope, pute de bas étage, femme adultérine, avaleuse de bite, j’en passe et des meilleurs, libertine, je rêve.
Les clients arrivent et petit à petit l’ambiance s’échauffe, Christian reste à mes côtés, pensait-il quand il a couru après mon sac et m’avoir baisé dans les toilettes du restaurant qu’un jour nous nous retrouverions dans un tel lieu.
Nous sommes au bar, mon mari paye le champagne à un couple dont j’ai l’air de plaire à la femme d’un âge avoisinant le miens, rousse flamboyante dans sa robe du soir.

• Nous allons au vestiaire ?

Je me lève, ignorant les pratiques d’un tel lieu, je la suis, de toute façon elle m’a pris la main, nous nous mettons nue, elle me caresse la poitrine, je sens que je m’échauffe.

Mes pratiques lesbiens avec Martine me permettent de ne pas rester trop gourde, je prends la pointe d’un de ses seins dans ma bouche.

• Je vois que j’ai bien choisi, viens rejoignons les autres.

J’ai laissé mon sac avec son contenu dans le vestiaire, quand je sens la chaleur si spécifique à l’ouverture de la boîte me parvenir.
Nous trouvons une alcôve et nous nous allongeons, direct en 69, sa chatte commence par dégouliner avant au bout de quelques minutes de m’envoyer des jets de cyprine, Alice, c’est le nom qu’elle m’a donné dans le vestiaire est femme fontaine, c’est presque aussi bon que du champagne.

• J’ignore ce qu’il m’arrive, je n’ai jamais été aussi chaude, tu me fais un effet, je n’ai plus expulsé autant de cyprine que la foi avec un amant qui m’avait présenté sa bite.

Je reprends la chatte rousse de ma maîtresse sous ma bouche, en plus de ses jets de cyprine, elle m’offre la célèbre odeur rousse dont j’avais entendu parler sans jamais avoir l’occasion de la contrôler, il est vrai que je viens juste de rentrer dans le monde des libertins.
L’avenir me donnera peut-être l’occasion d’en rencontrer d’autres, je compte sur mon parchemin pour cela.

• Viens, rejoignons les autres.

Nous sortons de l’alcôve, le club semble en pleine ébullition, pour échanger ça échange.

• C’est fou, nous venons toutes les semaines avec Hugo, je n’ai jamais vu les gens autant se mélanger, regarde ce vieux là-bas, il est avec la mémé qui se fait sauter par deux étalons au centre de la salle sur le podium.
Il se fait sucer par Christian votre jeune copain, depuis cinq ans que je le connais, chaque fois il se contente de regarder sa femme qui ne se fait prendre par un seul mec.
Jamais elle ne s’est fait sodomiser, regarde là ils sont deux dans ses deux trous, du moins je le pense.
Là regarde, Gladys la blonde platinée, c’est son mari qui vient ici et comme elle l’aime très rarement elle écarte les cuisses, un, deux, trois, six, ils sont six à lui présenter leurs bites, elle les suce, les masturbant deux par deux.

Regarde Véronique, tu vois la grande filiforme, elle est réfractaire aux femmes, elle est une pure hétéro, elle se fait brouter par Hortence et sa copine lesbienne.
J’ai essayé plusieurs fois de lui faire ce que nous venons de faire, j’ai cru qu’elle allait m’arracher les yeux.

Je sais trop bien ce qu’il se passe, la boîte s’est ouverte et le parchemin arrive à faire baiser des libertins afin qu’ils soient encore plus libertins, on se croirait au temps des romains dans les célèbres orgies ou les gens bâfrais et se sautaient.
Nous retrouvons Benoît qui se fait sucer par une jeune fille ayant environ l’âge de Lison, plusieurs fois de mon côté, des hommes m’entraîne dans des rondes d’amour de plus en plus poussées, la boîte à du se refermer, car le calme revient petit à petit.
Nous sommes au bar, Hugo qui a encore à son bras une jolie blonde paye le champagne, si c’est là folie dans les diverses salles, le bar ne déroge pas, les bouchons de champagnes sautent les uns après les autres.
Pour notre part, c’est six bouteilles que nous buvons, au point qu’au moment de quitter le club, le problème de l’alcool se pose pour le chauffeur.

• Monsieur Benoît, impossible de conduire pour vous, c’est la première fois que je vous vois boire autant, que vous arrivent-ils à tous ce soir, je n’ai jamais vu cela, même moi, j’ai dû aller me mélanger avec un groupe de garçons à qui j’avais toujours refuser qu’ils deviennent mes amants.

J’ai confirmation que mon mari vient ici de temps en temps, sinon comment la patronne connaitrait-elle son nom, mais je crois qu’après cette soirée orgiaque, il faut savoir éviter les questions.

• Je n’ai pas bu, je suis un sportif et l’alcool, je n’en bois jamais, j’ai mon permis, je suis content de vous ramener.

Nous embrassons nos nouveaux amis échangeant nos numéros, ils habitent à Montbéliard, il est haut placé dans une usine qui fabrique des voitures, elle est propriétaire d’une boutique dans le centre de leur ville.


• Nous nous prenons un taxi, il nous a amené, il va nous ramener.

Ils ont un gros revenu, à deux, comme nous, si nous revenons, il faudra penser à cette solution surtout si j’amène le parchemin et qu’il décide de sortir de sa boîte.
Bien rentré, quelques jours après, à midi, Christian arrive avec un camarade de son âge.

• Véronique, je te présente Corentin, nous sommes aller à la Fnac, on peut entrer.
• Vous venez manger avec moi ?

Mon Dieu, que je suis puérile…


Merci à Anne

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