Ma Voisine (2)
Un SMS arrive ce matin « Salut ça va ? Tu veux passer quand pour mon courrier ? ».
Cest M. , nous sommes lundi, deux jours se sont écoulés depuis que nous avons fauté dans mon sous-sol. Elle na pas oublié que lon devait se voir aujourdhui, cest plutôt bon signe
elle ne doit pas men vouloir. La revoir est quand même synonyme dune douce souffrance bien quelle mait octroyée cette superbe faveur samedi, elle me hante toujours autant.
Je frappe à sa porte, elle ouvre et me sourit, comme dhabitude. « Salut salut » me dit-elle sur un petit ton chantant. Jentre, nous nous faisons la bise, tout ce quil y a de plus naturel. Ouf !
Nous nous installons dans le salon pour prendre un café et étudier le fameux courrier. M. est vêtue dun pantalon noir type tailleur, de chaussures à petits talons, dun pull et dun gilet qui cache sa généreuse poitrine. Rien daffriolant donc, cela devrait maider maîtriser mes poussées de libido. Elle sinstalle dans un fauteuil en face de moi, je suis presque ravi de cette distance.
Je parcours le courrier, elle men explique le contexte. Je ne parviens pas à me concentrer sur ses paroles, mes yeux sont figés sur ses lèvres et le film de samedi dérouler dans mon esprit. Elle est prise dune violente quinte de toux : « Ouh là, quest-ce qui tarrive ? Tu as vu le médecin ? Tu prends quelque chose ? »
- Non, ça va, jai déjà eu ma dose de sirop samedi
Et bam ! Celle-là je ne lavais pas vu venir ! Elle ne dit plus rien mais son regard revanchard en dis-long.
Elle reprend lair de rien : « Alors ten penses quoi du courrier ?
- Effectivement ça a lair assez officiel mais bon, cest curieux quand même, tu as regardé sur internet pour voir si un cas darnaque était connu ?
- Non, attends je prends ma tablette
Elle vient alors sasseoir à côté de moi pour que lon fasse des recherches. Jessaie de soutenir son regard quand elle me parle et de ne pas me laisser distraire par sa présence.
Elle me propose un café que jaccepte volontiers. Elle se lève et je ne peux mempêcher de la suivre du regard. Il se porte sur sa démarche et inéluctablement son postérieur. Je le trouve plus rebondi encore que samedi dans son pantalon moulant, elle a travaillé ses fessiers hier ou quoi ?
Elle revient et me tend le café. Je suis tellement perturbé que je lâche la tasse dont le contenu se répand sur nos tenues respectives : « oh cest pas vrai, jai deux mains gauche » dit-elle
- Non, non, M. cest moi, je suis désolé
- Bon jai plus quà aller me changer, toi ten as moins, tu peux aller frotter ton pantalon si tu veux
- Oui je veux bien, où ça ?
- Dans la salle de bain, à létage
- Merci
Alors que je finis de nettoyer mon pantalon, jentends M. monter lescalier. Je veille que la porte de la salle de bain soit bien fermée, elle ma déjà surprise une fois en caleçon, pas deux même si les circonstances ne sont pas les mêmes. Jentends une autre porte souvrir, certainement celle de sa chambre où elle va se changer, ouf
Je sors de la salle de bain et remarque que M. a laissé la porte de sa chambre entrouverte, il me prend la folle envie de jouer les voyeurs. Je mapproche et glisse mon il dans les quelques centimètres de louverture. M. est en train denlever son pantalon, et le spectacle est au-dessus de mes espérances. Elle porte un shorty bleu en dentelle transparente, parfaitement ajusté à son anatomie. A ma grande surprise ses jambes sont habillées par de magnifique bas couleur chair. Elle enlève son pull également, tâché par le café, et je découvre enfin la réalité de sa poitrine. Elle est en effet généreuse mais semble ferme , je nen vois pas plus car elle me tourne le dos.
Il est temps que je redescende avant de me faire surprendre! Je me rassieds dans le canapé, je regarde M. descendre lescalier et sapprocher, je la trouve encore plus belle que tout à lheure.
- Oui, je te remercie
- Et cette fois-ci je ne tai pas aidé
Et bam, deuxième tournée avec cette allusion graveleuse à notre précédente entrevue, ça fait deux fois
que cherche-t-elle ? Me culpabiliser ?
Elle poursuit : « bon, cest bon pour le courrier alors ?
- Oui, je pense
- Ok, super alors » termine-t-elle sèchement dun ton laconique
- « Ah
euh
oui
. je vais te laisser alors
- Tu as le temps ?
- Euh
oui
- Bon alors jai un autre service à te demander
- Ok, cest à quel sujet?
Elle se lève, et commence à se déshabiller devant moi. Je la regarde, pétrifié. Elle garde ses sous-vêtements, ses bas et ses chaussures. Elle me toise du regard : « pour ce que tu mas fait subir lautre jour, tu me dois une revanche »
- Ai-je le choix ?
- Oui, tu peux partir
- Hum
non, je nen ai pas envie
Elle plonge sa main dans le canapé pour en ressortir un jouet pour adulte : « Bonne réponse, alors voilà, la dernière fois tu as bien joui,, maintenant cest à mon tour ! Tu vas devoir me faire jouir avec ça, tu nas le droit de te servir de ton sexe ni même de te caresser, et je ne veux pas une goutte de toi sur mon canapé ! »
Je tends la main pour saisir cet objet nouveau pour moi, il est cylindrique et pointu, ne ressemble pas vraiment à un phalus. « Je nai plus de pile
» me précise-t-elle avec un sourire narquois.
Elle se plante face à moi, agite son bassin à quelques centimètres de mon visage. Elle se tourne et frotte ses fesses sur ma bouche. Jessaie de poser mes mains sur ses hanches mais je suis fermement recadré : « Non, aujourdhui cest moi qui vais te faire subir ». La jolie brunette a complètement pris possession de mon esprit et je suis incapable de lui résister. Elle prend ma main et la pose sur sa fesse : « caresse-moi maintenant ».
- Mmmmm
cest bon
- Alors continue !
- Je peux me servir de ma langue ?
- Ah oui, jai oublié de te linterdire, ok alors »
Je rêve de gouter son minou depuis des lustres, il ne men fallait pas plus. Japproche ma bouche de son entre-jambe et commence à lécher sa dentelle. Elle apprécie mes efforts dans un petit gémissement. Je redouble dattention et suis récompensé en sentant le tissu shumidifier. Pour la première fois je perçois lodeur de son jus fruité qui ne coule pas encore mais dont je menivre déjà. Je ne peux lui prodiguer plus de plaisir sans avoir accès direct à sa chair, je tente décarter le rempart de dentelle mais elle me linterdit : « pas encore ! ».
Elle se retourne pour que je moccupe de son fessier de la même façon. Je peux poser mes mains sur ses cuisses, elle me laisse faire. Le contact de ses bas me ravi mais elle ne me laisse pas mégarer trop longtemps : « tu toccupes de moi ou de toi ? »
Jembrasse ses fesses, les caresse, et tout ce quil mest permis de toucher : son dos, son ventre. Je nose maventurer vers sa poitrine qui attise pourtant ma curiosité mais elle moffre cette découverte en guidant ma main jusquà un de ses seins : « Ils te plaisent ?
- Je ne sais pas encore
- Enlève mon soutif alors ! »
Je mexécute.
- Oui là cest sur que ça change tout
- Caresse-moi !
- Comme ça
- Oui, tu me de leffet, tu le sens
- Je peux faire mieux encore
- Ah bon ? fais voir ce que tu sais faire alors ! »
Je me lève et lenlace. Jembrasse son cou, tout en caressant sa poitrine. Elle nest pas indifférente et lexprime par un « mmm » de satisfaction, avant de me reprendre : « ne rêve pas hein, je ne te toucherai pas aujourdhui ».
Elle monte sur la table du salon, se met à quatre pattes et se déhanche tel une strip-teaseuse « cest lheure » me dit-elle
- Lheure de quoi ?
- Dessayer de me faire jouir, enfin si tu y arrives
- Tu as encore ton shorty
- Je sais
.débrouille-toi !
Je sais avec cette nouvelle injonction quil me sera interdit de le lui ôter. Je saisi le jouet quelle mavait donné, lappose sur ses lèvres à travers le shorty et la caresse de haut en bas, faisant rouler le cylindre de plastique dune lèvre à lautre. Sa respiration saccélère, elle ne ma rien dit depuis plusieurs minutes ce que je prends pour un encouragement. Le bout du jouet est devenu luisant, je regarde son shorty et remarque que le tissu est devenu bleu foncé. Elle se déhanche de plus en plus, il me faut trouver le moment opportun pour insinuer le tube du bonheur entre le tissu et sa peau. Jy parviens après quelques tentatives déposant lextrémité du tube sur son bouton. Elle se fige instantanément comme pour soffrir à lui et accepte volontiers la pénétration. Ses lèvres sécartent, je vois un peu de jus couler et enfonce le gode sans hésitation. Elle souffle pendant cette douce et lente pénétration. Son minou a presque fini davaler le bâton quelle est prise dun spasme. Je nose lui demander si ça va : « continue comme ça
tu ty prends très bien » me rassure-t-elle.
Jai limpression que mon sexe va exploser dans mon boxer, et pendant que jimagine mon sexe aller en elle, elle me demande de faire rentrer et sortir son remplaçant de plastique. Je vais et vient en elle, enfin, un accessoire va-et-vient qui est guidé par ma main, ça nest pas pareil, pour moi. Elle semble y prendre énormément de plaisir, jen viens à me demander si je serai capable de lui offrir autant de plaisir avec mon sexe.
Elle sabandonne complètement à ce coït artificiel. Je ne retiens plus mon excitation et de mon autre main, déboutonne discrètement mon pantalon, pourvu quelle ne me surprenne pas ! Trop occupé à son plaisir, elle ne sest pas rendue compte que jastiquais mon sexe, au même rythme que je allais et venais en elle. Je continue de braver linterdit jusquà faire jouir ma belle trentenaire, elle atteint son plaisir sans signe avant coureur, se figeant soudainement et dans un petit gémissement. Je nai pas le temps de me remballer, elle se retourne et me surprend le sexe à la main, encore une fois: « Tavais pas le droit ! ». Elle ne peut finir sa phrase que mon membre expulse mon foutre qui atterrit sur le haut de sa cuisse mais je mabstiens dexprimer oralement ma jouissance. Elle saisit mon sexe fermement pour empêcher la deuxième salve de sortir, se retourne ouvre sa main pour que la deuxième giclée de mon jus se dépose sur sa poitrine gonflée : « Tes infernal ! Quest-ce que je tavais dit ? »
- Que tu ne voulais pas de trace de moi sur ton canapé, là cest pas sur ton canapé
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