Les Chroniques De Nature Et Découvert : Bretagne ; Baise, Aide, Hasch

Les chroniques de Nature Et découvert : Bretagne ; baise, aide, hasch

En cet été 1988, il fait très beau, nous sommes en Bretagne et pourtant ce récit est véridique ! « Nous » c’est moi, Aymeric, 23 ans, 1m86 et 12 ans de natation pour justifier un corps plus qu’acceptable et Valérie, 22 ans, 1m70, cheveux châtains très courts, aux formes féminines mais sans rondeurs excessives.
Mais elle, c’est surtout Pussy, le surnom qu’elle porte couramment parce qu’elle a des yeux bleus de chat et que c’est dans la logique de notre quotidien de suppôts du punk-rock/new wave, ces branchés des années 80, ancêtres des gothiques contemporains. Pussy, c’est une icône, l’une de ces rares jeunes femmes de province qui dans sa ville aux mentalités étriquées ne craint pas de s’afficher provocante, impudique, rock et en même temps si naturelle.
Tout au long de l’année, Pussy peut ne porter qu’un un simple body resille avec un mini kilt et des Doc Martens. Ou une jupe en cuir avec un caraco dentelle noir transparent sans soutien-gorge ou string rouge fendu et porte-jarretelles assortis et bas à motifs, perchée sur des escarpins rouges. Ou une robe courte en lycra noir hyper-moulante sans sous-vêtements et des talon-aiguilles noirs. Ou bien encore un jean moulant et un simple débardeur très échancré laissant voir ses seins au moindre mouvement. Bref…c’est Pussy et j’ai le plaisir d’être son mec depuis 4 ans.
Cet été là, ses tenues habituelles sont anecdotiques car entre le camping où nous résidons depuis une semaine près d’Arzano et les plages du littoral, nous passons elle comme moi du port d’un simple short et d’un t-shirt à…rien, quand c’est autorisé ou qu’il n’y pas de public «sensible ». L’arrivée la veille au soir de nos trois copains Clément, Yacine et Ludo au camping n’a en rien entamé le naturel de ma compagne. D’ailleurs, notre mode de vie tribal / « bande de potes », le contexte des années 80 et l’usage de produits presque aussi stupéfiants que ma nana, faisaient qu’à la maison déjà, la notion d’intimité était un concept très relatif.

Chacun avait pu apercevoir ponctuellement les autres en petite tenue, garçon ou fille. Mais en ce mois de juillet torride (en Bretagne, 23°C et pas de pluie depuis 15 jours, c’est limite Alerte Canicule), une nouvelle dimension érotique s’offre à nous.
A leur arrivée au camping, la veille, nos trois amis ont intégré la tente 6 places que nous avions installée une semaine auparavant. La promiscuité avait déjà permis à tous de se régaler du retour de Pussy de la douche, vêtue d’un simple t-shirt long qui laissait deviner les détails de son anatomie, à la lueur de nos lampes Butagaz. Ce qui s’est passa par la suite dans cette tente fera l’objet d’un autre récit car ce jour de juillet nous sommes donc à la plage.

Nous avions prévenu nos amis que Kerouini est une plage d’Erdeven où le naturisme est toléré et que personnellement, nous y allions pour cette raison. Clément, devenu pour l’occasion porte-parole du trio de potes, réagit : « Vous faites comme vous voulez mais nous, je crois pas trop qu’on va se foutre à poil devant 2000 touristes ! »

Ce à quoi Pussy lui répond : « Ce serait quand même sympa d’essayer de faire un effort, par courtoisie pour la seule fille du groupe ! »

En arrivant en fin de matinée sur la plage de Kerouini, le fait d’avoir une fréquentation relativement modeste de l’espace contribue malgré tout à conforter nos amis dans leur idée. Nous nous installons à mi-chemin de la mer et de la dune, avec pour voisins dans un rayon de 20 mètres deux couples de trentenaires d’un côté (des hollandais, a priori), un couple d’âge indéterminé de l’autre côté, ainsi qu’un groupe de jeunes composé de 3 jeunes femmes en monokini et 5 hommes en maillot ou nus. Je passe les éternels hommes d’âge mûr qui passent et repassent le long de la petite dune en matant ce qui se passe plus bas. Les autres estivants sont à plus de 40 mètres et guère définissables.

Sitôt arrivés, nos amis qui étaient déjà en maillot s’empressent de ne rien faire et de s’allonger sur leurs serviettes afin de préparer un joint au plus vite.
Le fait de me voir ôter mon short pour me retrouver nu les interpelle, car il y a 30 ans, la mode du rasage pubien intégral des hommes est encore très lointaine ! Et oui, nageur, plongeur, modèle nu aux Beaux-Arts ou pour des ami(e) s artistes, sans être un beau-gosse, j’ai quelques velléités esthétisantes de cet ordre et mes amis poilus s’en étonnent.
Mais c’est surtout quand Pussy retire son t-shirt The Cure et son short en jean que les copains réagissent. Le « Oh putainnnnn » de Ludo est aussi éloquent que le regard de Yacine sur ma compagne entièrement nue. Il faut dire que Pussy, elle est plutôt de type nordique mais elle a la peau mate et une semaine de plage a rendu sa peau hâlée. Pussy, elle a deux seins dorés -comme le reste de son corps- aux aréoles brunes et ils sont naturellement fermes. Pussy, elle a des fesses rondes dont on peine à voir encore qu’elles ont été blanches auparavant, et son absence de toison pubienne -chez les femmes aussi c’est rare à l’époque – dévoile une fente aux lèvres assez charnues et brunies par le soleil, légèrement entrouvertes par ce que je considère être une excitation permanente de mon amante.
Oui elle est belle. Et elle est dangereusement sexy. La voir s’allonger sur le dos à mes côtés, c’est à dire juste au-dessus de nos trois amis, prendre appui sur ses coudes et laisser ses jambes assez ouvertes pour permettre au soleil de continuer son œuvre dans les moindres recoins de son anatomie nous bouleverse tous les quatre.
Yacine : « Comment tu veux qu’on enlève les maillots là maintenant ? On va se retrouver le zob à l’air avec la trique, ! T’es folle, Pussy, tu vas nous faire mourir !! »
Moi je me marre. J’ai l’habitude de la nudité en public et de toute façon, une érection incontrôlable ne me gêne pas. Pussy sourit avec malice et sans répondre commence à s’enduire de crème solaire. Lorsqu’elle passe sur ses seins, elle insiste ironiquement en nous disant qu’elle ne demande à personne de la tartiner, des fois que ça nous mette dans des états pas possibles.
Mais le mal est fait quand même quand elle écarte grand les jambes et étale consciencieusement plusieurs jets de crème solaire à l’intérieur de ses cuisses, sur son mont de Vénus, son sexe et même son petit orifice devenu parfaitement visible de par sa position.
En allumant le joint, Yacine laisse échapper un « rhoooolalala » qu’on devine être une pauvre défense pour cacher son émotion. Personne ne parle plus et c’est Pussy qui, derrière ses lunettes de soleil, entre deux tafs de pétard et désormais allongée sur le dos, cuisses largement ouvertes, rompt le silence ;
« Bon les mecs, c’est vous qui avez l’air con, là, avec vos maillots de piscine municipale. En plus si vous restez pendant 4 heures sur le ventre juste pour pas qu’on vous voit bander, ça revient au même hein. Et vous allez avoir le dos brûlé ! ». Et elle appuie son propos en me passant le pétard et en faisant mine d’enlever du sable sur son pubis.

Depuis quelques minutes, la position de Pussy permet d’admirer sans aucune entrave son intimité. Je peux le dire maintenant ; son surnom n’est pas dû qu’à ses seuls yeux de chat. Son sexe est un bijou. Délicatement ouvert, ses grandes lèvres brunes laissent deviner les petites, nacrées et quasiment toujours humides. Consommation cannabique aidant, Clément se lance : « En fait si on n’était pas si excités on pourrait peut-être se foutre à poil mais là c’est…dur ! C’est le cas de le dire !! » Ce à quoi Ludo lui répond « t’es gentil mais on va pas s’branler tous ensemble pour jouer aux nudistes, non plus » !
Un rire collectif et enfumé nous prend tous les cinq mais Pussy l’interrompt, se lève et en se dirigeant vers la mer lâche un mystérieux « je vous laisse un peu mariner ». Nous la regardons avancer fièrement vers l’Océan et nous ne sommes pas les seuls. J’insiste mais l’épilation intégrale, ça suscite une curiosité voyeuriste encore légitime !
Clément : « Qu’est-ce qu’elle a voulu dire, là ? »
Yacine : « Dis Aymeric, on sait que vous êtes un couple libre mais ça te gène pas un peu toi qu’on la mate tous comme ça ? Tout le monde doit avoir envie de la baiser hein, j’te jure ! »
Moi : « Non, moi ça me plaît, puis elle fait ce qu’elle veut de toute façon.
Même avant que je la connaisse elle était comme ça. Mais comme tous les deux on a des petits extras hors couple et que tous les deux on pose en nu artistique ou érotique, on s’équilibre ».
Ludo : « Ouais ok mais en attendant ta meuf elle me fout la gaule et même avec trois tarpés et 2 bières dans le nez, j’crois pas que je vais oser lui faire plaisir en me mettant à poil »
Ludo, c’est un grand costaud, un punk timide et bougon, pas spécialement coincé mais pas d’esprit libertin comme Pussy et moi l’étions. Quand une fois, l’année précédente, Pussy et sa copine s’étaient embrassées et mutuellement caressées devant nous, il avait eu du mal a supporter qu’on fasse ensuite l’amour dans la chambre juste à côté »
Clément : « Ouais ben moi je me demande si je vais pas aller me branler dans la mer parce que si ça permet de continuer à profiter du show, moi je signe » Ce à quoi je lui réponds qu’en ce qui me concerne, je n’ai aucun problème de jalousie et que tout ce qui se passe autour de ma Pussy contribue à mon excitation et donc à des ébats vigoureux les nuits suivantes !
Mais à peine ai-je terminé mon propos que ma compagne revient, ruisselante et les tétons dressés par la fraicheur de l’Océan. Au lieu de s’allonger, elle prend sa serviette et s’essuie consciencieusement tout le corps, non sans insister sur l’intérieur de ses cuisses et confirmer à la vue de tous qu’elle est toujours …ouverte. « Alors les garçons, vous n’osez pas nous montrer vos kikis ? »
Clément s’enhardit : « Ben on t’a dit, déjà…C’est quand même un peu gênant devant tout le monde. Moi je suis limite de jouir sans rien faire juste là alors bon, je vais aller me soulager dans les dunes et ça ira mieux je crois ! » ponctué d’un rire mi-franc mi-gêné.

Clément, c’est l’anti-thèse de Ludo. Petit, ex-hardos, poète sombre et doué à ses heures…et doté d’une queue inversement proportionnelle à sa taille (je l’ai vu sous la douche !) . Assurément un gars direct et qui n’a jamais caché le fait qu’il testerait bien de plus près les charmes de Pussy . Aussi quand cette dernière l’att par la main, le fait se lever et lui dit « prends ta serviette », il s’exécute sans broncher. Et ce sont 15 ou 20 personnes intriguées, mes autres potes et moi qui regardons Clément en maillot de bain et Pussy, divinement nue, s’éloigner vers la petite dune quelques cinquante mètres plus haut.
Ludo ; « Arrete, me dis pas que ta nana va tailler une pipe à Clément ? »
Moi ; « J’en sais rien. Je pense pas, sinon elle le ferait ici » et j’éclate de rire.

Quelques minutes d’échanges entre mes amis incrédules et un pétard plus tard, nous voyons les têtes de Pussy et Clément dépasser de derrière la dune, puis leurs corps apparaissent et ils marchent main dans la main. Clément est nu. Il tient sa serviette de sa main libre tandis que Pussy a le maillot de notre pote dans la sienne. On ne sait si le sourire radieux de Clément est plus spectaculaire encore que son sexe imposant encore moitié gonflé et luisant. Certains de nos voisins sont visiblement dans les échanges de cancans plus ou moins bienveillants.
« Ahhhhhh , ça va mieux » fait-il en se rasseyant. Il s’empare d’une bière tandis que ma partenaire se remet sur sa serviette, toujours en appui sur les coudes et cuisses ostensiblement écartées à à peine un mètre des regards de nos amis. Sa chatte est plus ouverte qu’un quart d’heure auparavant mais surtout, elle laisse sans pudeur s’écouler la semence que Clément a éjaculé en elle.
Médusé, Yacine n’arrête pas de faire des « waaa lala » et des « oh puuutain ». Pussy s’en délecte et en rajoute. Sentant que du sperme de Clément coule de son sexe vers son petit trou, elle passe sa main entre ses cuisses, essuie une partie de ce qui ruisselle et le porte à sa bouche. Les yeux dans les yeux avec moi, puis avec Clément, elle savoure la semence de ce dernier. Puis elle se relève et prend la main de Yacine. Entre deux « ouais, ouais, super » un peu nerveux, il ramasse sa serviette et suit Pussy qui l’entraine ¨sur le même chemin que Clément quelques minutes auparavant.

Le public semble encore plus observateur que tout à l’heure et notre ami maghrébin, assez grand, bien bâti mais sec , moulé dans un boxer de bain vert foncé, chemine d’un pas décidé en tenant ma Vénus par la main. Le temps pour Clément de rouler le nième joint de la journée et de nous raconter qu’il s’est laissé faire au début, qu’il a failli jouir dans la bouche de Pussy et que finalement, il l’a prise en missionnaire et Yacine se présente en haut de la dune, nu lui aussi. Sa longue queue fine et son gland apparent sont maculés de traces blanches et translucides. Pussy arrive juste derrière lui et lui redonne sa serviette et c’est ensemble qu’ils arrivent devant nous. Même mise en scène : elle nous présente délibérément sa chatte ouverte, remplie de sperme. Cette fois, c’est moi qui trempe mes doigts dans son sexe et les porte à sa bouche pour la voir déguster un peu de l’abondante production de Yacine, mélangée à celle de Clément.
Je devine que le groupe le plus important de nos voisins peut sans problème profiter des plans les plus osés de la scène pornographique que nous leur offrons. Ma bite est depuis quelques minutes raide et je m’en fous. Les yeux brillants, Ludo demande à Pussy « On y va aussi ? » Et en riant, elle part en trottinant vers la dune et crie sur la plage « ben alors, tu viens ou tu te dégonfles ? »
Ludo est en transe. Il ne cherche même plus à dissimuler que son sexe bandé dépasse du maillot de bain. Il rejoint Pussy et Yacine a juste le temps de dire que c’était tripant de baiser ma copine et très excitant de le faire dans une chatte encore tiède du sperme d’un autre. Car le couple revient finalement assez rapidement. Ludo, comme nos compères, nu comme un ver. Sa bite est au repos et paraît moins souillée que celles des autres. En revanche, on voit de loin d’excitantes traînées de sperme et de cyprine le long de l’intérieur des cuisses de Pussy.

Une fois réinstallée sur sa serviette, elle reprend sa pose exhibitionniste ? Je crois que même à l’autre bout de la plage, on doit pouvoir voir sa chatte béante, qui coule toujours du mélange de spermes des trois veinards mais dont on perçoit désormais l’intérieur. Le fond de son vagin nous est proposé, fascinant, avec de petits spasmes qui entre deux expulsions de semence donnent envie de la pénétrer toujours plus profondément.
Ludo commente : on a baisé en levrette. J’étais à fond et même les deux voyeurs qui nous regardaient, là-bas, ça m’a fait jouir trop vite je crois. Excuse-moi Pussy je t’ai pas fait jouir mais merci ! Et quand tu m’as nettoyé la bite avec ta bouche, c’était vraiment super sex !

Plus excité que jamais, je demande « ‘Bon, les gars, ça va aller là pour rester à poil sur la plage ? Plus trop gênés ? Ok ! Alors si vous permettez, moi aussi je suis indécent là (rires) et je vais faire comme tout le monde, si ma chérie veut bien. J’ai hâte de voir ce que ça fait d’évoluer dans sa chatte visitée par vous trois puis je vais profiter du petit orifice privé qui doit être bien lubrifié maintenant !!

Devant les yeux médusés des plagistes naturistes ou non, son corps porteur des stigmates de ses étreintes extra-conjugales, Pussy ne feint même plus la fausse sobriété qu’elle arborait après chaque assaut. Ecartée à l’extrême, elle se doigte devant nous et caresse on anus pour le préparer. Je la saisis sous les bras et la porte contre moi, ses jambes enserrant mes fesses. Sitôt à l’abri de la dune, sans même prêter attention aux fameux voyeurs pourtant présents à quelques mètres, je pose Pussy sur ma serviette puis m’installe allongé dans le sable. Je lui demande de me chevaucher, de dos.
Ainsi , face à trois ou quatre mateurs qui ne cachaient même pas leurs bites dressées, Pussy s’empale sur ma queue. Son sexe dégouline sur moi et je la pistonne fortement, savourant la sensation de moiteur procurée par le mélange de semences de mes amis et de ma femelle, qui mouille comme une folle à la moindre occasion. Alors que je sens ma jouissance arriver, je pointe mon sexe dur comme jamais sur le cul de ma chérie et m’y enfonce sans ménagement. C’est doux, c’est serré mais son excitation et la lubrification collective de ses orifices permettent à Pussy de savourer cette sodomie en laissant échapper un râle qui a dû être perçu de l’autre côté de la dune. Il ne me faut pas longtemps pour jouir au fond de ma femelle déchaînée. La présence et la masturbation des voyeurs alentour contribuent à son plaisir et c’est juste après que je lui ai envoyé plusieurs jets de semence au fond des entrailles qu’elle est prise de spasmes et jouit sans retenue.

Après quelques minutes de récupération, sans nous soucier de nos toilettes intimes, nous retournons auprès de nos amis. Les regards des voisins nous amusent et nous émoustillent. Mais j’apprécie plus encore la mine réjouie de nos trois amis, leurs sourires en observant Pussy allongée montrant de façon obscène qu’elle a adoré être souillée par tous les orifices. De sa main gauche, elle caresse ses seins au vu et au su de toute la plage mais seuls quelques voisins aperçoivent ce que mes amis et moi observons de près ; elle ouvre son sexe largement avec son puce et son majeur. Et c’est en jouant des muscles de son vagin, qu’elle maîtrise de mieux en mieux, qu’elle expulse le reste de sperme resté en elle.
Je sais qu’elle adore autant que moi qu’on la voit appréciée, dévorée des yeux, qu’on la fouille visuellement…ou physiquement. Aussi en voyant la fascination de mes amis, hypnotisés par la vue des orifices dilatés et ruisselants de ma compagne, je me concerte avec elle propose un autre chapitre pour nos biographies sexuelles à tous.
A suivre…

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