Collection Étrange Phénomène. Le Parchemin Diabolique (7/22)

Venue en Franche-Comté sur les lieux de ma jeunesse, j’achète une boîte en cuir qui s’avère être un déclencheur à des débordements sexuels.
Les derniers, je les vis en venant dans le club de rugby de Dijon où j’ai accepté d’en devenir la marraine à la demande de Christian qui est devenu l’un de mes amants.

Je fais la connaissance des piliers, des deuxièmes lignes, qui sont dans l’équipe, Christian me dit que les deux titulaires du poste sont des jumeaux blacks, Louis et Luc.
Je plains la maman qui les a mis au monde, plus de deux mètres chacun, des épaules de rugbyman et des mains qui sont énormes.
Est-ce l’un d’eux que j’ai mordu à la cuisse pour l’empêcher d’aller marquer un deuxième essai, avant de me retrouver sous un paquet de joueurs et être ramené vers le vestiaire pour récupérer ?
C’est à ce moment que mon copain le parchemin que j’ai eu le malheur d’emmener vu le nombre de garçons, se rappelle à mon bon souvenir,

• Allongez là sur la table de massage, laissez-la respirer, merde, à la regarder je bande.
• C’est normal, elle est bandante et regarde, en l’allongeant, sa jupe s’est relevée, elle n’a pas de culotte, sa chatte est béante.
• Sa culotte, c’est moi qui l’ai, elle sortait des chiottes avec Christian avant l’entraînement, je l’ai entendu hurler de jouissance, capitaine, vous confirmez.
• Disons que nous avons parlé de l’entraînement de près.
• Vous voyez, j’ai trouvé sa culotte quand je suis entré pour pisser un coup, je l’ai mise dans mon slip, quand nous poussions le bélier, je l’ai récupérée, je l’ai sentie et nous avons fait presque deux mètres de plus.
• Laissé moi passer, je vous ai dit que j’avais perdu mon pucelage avec Véronique, vous vous foutiez de ma gueule disant que j’affabule, je vais vous monter la chaudasse qu’elle est.


Je suis un peu dans les vapes après le paquet de joueurs reçu sur ma tête, mais quand Corentin saute sur la table, c’est moi qui lui tends les bras, quel gentil parchemin, ma chatte est en feu.


Dès qu’il est couché sur moi, malgré l’étroitesse de la table, il entre directement en moi, je dois ruisseler, car ma chatte serait une motte de beurre, il ne rentrerait pas plus facilement, pour la première fois, sa bouche cherche la mienne.
Pas pour longtemps, des mains l’écartent, j’ai le temps de voir qu’elles sont noires et une verge cherche directement ma bouche, j’amène mes mains à la rescousse, une verge à droite, l’autre à gauche, du même calibre que leurs propriétaires.
Deux verges bien noires et charnue comme ma bouche n’en a jamais reçu.
Corentin continue en moi, je sens une main qui cherche son chemin et un doigt mutin qui me percute l’anus.
J’aurais tout connu en peu de temps depuis l’achat fait à Martine, une drôle d’idée me revient en mémoire.
Quand je venais chez ma grand-mère, dans le village on disait que depuis son voyage en Afrique pour son anniversaire dont son mari n’était pas revenu, victime d’une lance, car il baisait « doudou dit donc » du pays, qui avait le feu au cul.
Avaient-ils découvert la boîte ce qui avait entraîné ses débordements, cette brave dame n’est plus et j’aurais bien du mal à démêler le vrai du faux ?

En attendant dans le vestiaire, les choses évoluent, Corentin m’a rempli le vagin par de longs jets me faisant hurler une nouvelle fois de plaisir.
Les jumeaux en font de même, l’un dans ma bouche, l’autre sur mon visage me fermant un œil, la rasade venant le percuter.
Une autre idée me vient à l’esprit, j’ai vu un film porno sur mon ordinateur, le titre « gang bang à 10 ».
L’actrice se faisait prendre par 10 mecs comme je me fais prendre en ce moment, moi si cela continue et ce que je vois de mon œil encore ouvert, ce sont 22 verges qui d’une façon ou d’une autre, vont m’honorer.
Je suis déposée sur la verge d’un des hommes les plus massifs de l’équipe, il faudra que je demande à quel poste il joue.
Il est assis les jambes tendues sur le banc qui couvre le vestiaire et je me retrouve dos à lui, ma chatte est une nouvelle fois son point de chute, jusqu’à ce qu’il me soulève et m’encule sans autre forme de procès.

Corentin n’en a pas assez, il avance sa langue et s’occupe de mon clitoris.

• Putain qu’elle salope, à chaque fois que l’un de nous la baise, elle jouit, elle a bien mérité d’être la marraine de l’équipe.

Combien de verges en levrette sur une serviette que ces messieurs ont posée au sol me protégeant du froid du carrelage, je reçois, mon cul me brûle, mais pas à cause du parchemin, bien que je sente que d’autres verges veuillent encore de moi.
J’emploie le verbe "sentir", car du sperme a atteint mon deuxième œil quelques garçons se masturbant en attendant leur tour, n’arrivant pas à se retenir et éjaculent sur mon corps suivant la position ou d’autres me prennent.
Je suis une chienne bonne à baiser, je suis la même folle du cul que la maman de Martine.

• Ça suffit les gars, vous l’avez assez baisé, porté là dans les douches et laissez là se rhabiller, je vais la raccompagner.


J’ai envie de dire à Christian encore une ou deux, mais comme j’ai été conduite ici, comme j’ai été manipulé pour être dans diverses positions, la poupée gonflable que je suis devenue aux mains de tous ses jeunes garçons pour mon plus grand plaisir, je ne dis rien.
Corentin tient à m’essuyer et s’attarde sur ma chatte, il se penche et m’embrasse, ce geste me touche, c’est beau de rendre un petit homme heureux comme il l’est en ce moment.

• Véronique, ma Reine, tu excuseras mes copains, je ne t’avais pas invitée pour qu’il t’arrive ce qui est arrivé.
• Laisse tomber, Christian, j’ai un peu de mal à marcher, mais je peux te dire que j’ai passé l’une des meilleures soirées de l’année.
• Tu me rassures, je vais te laisser dort bien.


Nous sommes sous le porche de mon immeuble, qui me permet de monter chez moi sans passer par la boutique, à une heure du matin, le quartier est calme et je n’hésite pas à me baisser pour lui descendre son pantalon, une dernière pipe et il me quitte me permettant d’aller me coucher.


• Tu rentres bien tard, chérie, je viens d’opérer, je suis crevé, tu m’excuseras si je ne te fais pas l’amour.


Il m’embrasse, je suis tellement fourbu que je ne suis pas passée me brosser les dents, il doit être très fatigué à ne pas sentir le sperme que Christian a déversé, encore présent.

Plusieurs jours passent, la boîte me laisse tranquille, c’est au moment où je la regarde incrédule devant le mystère qu’elle représente, que mon portable sonne.

• C’est Louis, Luc est avec moi, Christian nous a donné ton adresse, nous avons une proposition à te faire au nom de l’équipe.
• Vous êtes où ?
• En face de chez toi !
• Je vous vois, passez par la porte à côté de ma boutique d’antiquités et montez à l’étage, je vous ouvre.

Ils doivent passer par la porte où j’ai sucé Christian, depuis l’entraînement la semaine dernière, je suis resté très sage pour une salope comme moi, je me mets à rêver.
Je me souviens que je les ai sucés, mais c’est tout, j’en ai tellement reçu, et ma vue bouchée par le sperme fait que j’ignore s’ils ont honoré ma chatte ou ma rosette, la seule chose que je sais, c’est que je retrouve des sensations quand je me caresse.
Depuis ma soirée orgiaque, j’avais l’impression d’être anesthésiée comme le dentiste le fait pour une carie, la différence c’est que c’est mon intimité qui était comme morte.

• Entrez, que me vaut votre visite !
• Nous sommes mandatés pour t’inviter en tant que marraine de l’équipe à nous accompagner si tu es disponible dimanche prochain à Oyonnax pour la finale de la coupe interligue contre une équipe de Lyon.
• Dimanche pourquoi pas, comment allez-vous là-bas ?
• En car, départ 6 heures du club ?
• Puis-je venir avec une copine ?
• Pourquoi pas, quand il y en a pour une, il y en a pour deux ?
• Qu’est-ce que cela veut dire ?
• Rien de spécial, si c’est une aussi grande salope que toi, elle est la bienvenue.

• Comment pouvez-vous nous emmener dans votre car, vos dirigeants l’acceptent.
• Dimanche dernier après l’entraînement où tu as joué et où tu m’as mordu la cuisse, nous avons joué à Clermont-Ferrand contre une équipe de la ligue d’Auvergne.
C’était aussi impossible que nous gagnions que pour la finale de dimanche.
Christian a passé un deal avec l’entraîneur et le Président, si nous gagnions, nous pourrions t’emmenant comme mascotte, après avoir fait de toi notre marraine.
Nous avons gagné et l’on t’invite.
• Vous avez parlé d’une morsure, lequel a goûté à mes dents !
• Moi, Luc.
• Fais-moi voir mon pauvre.
À oui, quand même une semaine après on voit encore les marques, mais que vois-je, mon grand, tu bandes.

Pour voir les traces de mes dents, je me suis agenouillée, Luc me présente le morceau que j’ai déjà pompé, je sais le volume que cela représente, mais en grande libertine que je suis devenue, rien ne me fait plus peur.

• Et moi, me laisse-t-on tomber ?
• Tu sais bien que non, venez dans ma chambre.

Me retrouver nue dans la chambre de notre couple avec deux beaux blacks baraqués m’aurait paru incongru, il y a peu, avant de croiser le chemin de ce parchemin qui semble être d’origine Africaine.
Ce qui est certain, c’est que la première fois que ma chatte est remplie d’une verge noire, vite suivi par sa jumelle dans mon anus, je prends du plaisir à me faire prendre en double pénétration.
Un point de détail, leur grosseur, quand mon corps va-t-il me dire stop à en prendre de plus en plus grosse, ou vais-je m’arrêter.
Je les vide de leur sperme en même temps avant qu’il m’embrasse satisfait de leur visite.
Je me baigne, une nouvelle fois, je vérifie que mon anus a retrouvé son état normal grâce à son élasticité, je m’habile et je descends ouvrir ma boutique.
Je viens de vendre le guéridon acheté à Lucien et qui était fini de rénover.
Certaines de mes pièces n’ont pas de prix marqué, c’est au petit bonheur suivant l’impression de la possibilité financière que je fixe le prix connaissant le minimum ou j’accepte de le descendre en rapport du prix d’achat.
C’est le cas avec ce guéridon, l’acheteuse dans son tailleur bon chic bon genre a eu l’œil qui s’est mis à briller quand elle l’a vue, alors j’ai attaqué.

• Ce petit guéridon semble vous plaire, c’est dommage, un acheteur vient de m’en proposer 1 500 €.
• C’est exactement ce que je cherche depuis des mois, je vous fais une carte de 1 600 €, je suis prête à monter jusqu’à 2 000 pour l’acquérir.
• Je ne veux pas vous assassiner, c’est bon pour 1 600 €, je m’arrangerais avec l’autre acheteur.
• Un de mes employés viendra le chercher.

Elle me quitte, bien vue, une bourgeoise qui a les moyens, 100 € l’achat à Lucien, 1 600 € moins l’ébéniste, ma journée a été bonne, une double pénétration en prime.
La porte s’ouvre, Lison entre.

• Maman, je peux vous voir, j’ai besoin de vous annoncer quelque chose…


Merci à Anne

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