Aventures Spatiales - Chapitre 18

Le Duel



Le bip du transpondeur du Sneevel retentit.

«Kaaref, c'est Ocerikor, téléporte toi immédiatement avec ta prisonnière sur la station ! 
- Putain, merde dit le Sneevel, j'avais pris du PPS, la drogue du sexe que nous fabriquons sur la station... Tu as vu Abby, c’était super, il vient tout gâcher... Mais il faut obéir... sinon !!
Mais attends, j'ai une idée, d'abord pour que tu ne t'échappes pas, tu viendras dans la même cabine de téléportation que moi. Je profiterai de ta chatte plus longtemps... 
- Mais on ne peut pas y entrer à deux !!
- Si regarde, je m’assois, assieds toi sur mes genoux... putain tu vois je bande encore... vraiment bien cette drogue... Allez enfile ma queue dans ta chatte, ouiii, ouuuii, ouuiiii, ouiiiii allez encore un anneau... putain c'est bon... elle est entrée en totalité.... Attends je vais dire à Océrikor qu'on a un petit contretemps... Voila, c'est fait... J'ai programmé le départ dans dix minutes... On a le temps, laisse moi caresser tes seins... ouiiiiii, ondule bien du bassin... lève toi, assieds toi... plus vite plus vite je vais éjacul....putain je jouiiiiiii.... »

Un flot de sperme inonda une nouvelle fois les entrailles de Abby, la téléportation se déclencha à ce moment. Ils se retrouvèrent sur la station, au milieu de deux grands gris qui surveillaient les arrivages dans le sas de transit. Abby n'était toujours vêtue que de ses bas, son porte-jarretelles et ses talons hauts. Elle était empalée sur le monstrueux sexe toujours rigide du Suidé, qui lui s'était endormi et était complètement inerte, les grands gris n'en croyaient pas leurs yeux. 
Celui qui semblait le chef s'approcha, il souleva Abby par les aisselles, ils purent entendre les plops humides que faisaient chaque anneaux en franchisant l'orifice de la chatte de la jolie jeune fille. Un torrent de sperme jaunâtre s'écoula le long de ses cuisses sur ses bas.

« Va dire à Océrikor, qu'ils sont arrivés du vaisseau, moi je la surveille en attendant.

.. Et toi, la petite salope, toutes le Terriennes s'habillent comme ça pour se faire baiser par les Sneevels.
Remarque, c'est vachement érotique, regarde comme ça me fait bander ! Approche, que je puisse apprécier de plus près.»

Abby ne put qu'obéir, elle s'approcha en souriant. Son excitation montait en flèche en regardant la bite grise tendue, la drogue transmise par le sperme Kaaref, faisait de plus en plus d'effet en elle. Deux longs doigts se faufilèrent entre les lèvres palpitantes et moites de la chatte de la jeune biologiste.

«Salope, il avait éjaculé un sacré paquet de sperme dans ta chatte. »

Grommela le grand gris, qui après plusieurs aller et retour porta ses doigts trempés de foutre à ses narines et les suça longuement. Sans ménagement, il fit pencher Abby sur la table, la croupe offerte, elle poussa un gémissement de plaisir, en cambrant les reins et écartant les jambes. L'Alien réagit aussitôt, d'une main, il dirigea son énorme bite vers la fente ruisselante. Le gland s'insinua sans effort dans l'orifice béant, il poussa lentement jusqu'à ce que le monstrueux rouleau soit englouti entièrement. Il lui souleva la jambe gauche et la laboura à grands coups de reins, se cramponnant à la table Abby haletait et gémissait d'extase. Elle sentait lors des mouvements de pénétration le prépuce de la gigantesque verge se rétracter en frottant sur ses parois humides, puis recouvrir le gland lors du retrait. Elle percevait les contractions de son conduit vaginal, enserrant le pieu bistre qui la fouillait, sa respiration s'était accéléré. Insidieusement, la drogue, lui avait fait perdre la motion du temps et elle ne savait plus si cela dix minutes ou une demi-heure que le grand gris la baisait. L'Alien resserra la pression de son bras autour de la taille d'Abby, de son autre main, il souleva un peu plus haut la cuisse de la jaune fille, d'un grand coup de reins, il enfila sa bite au tréfonds du vagin, elle sentit les soubresauts du mandrin, contracta ses muscles vaginaux pour compresser le tuyau démesuré.
 La dernière pénétration avait positionné le méat en face de l'entrée du col de son utérus, la première contraction libéra un flot de sperme rosâtre qui emplit à moitié sa cavité utérine, les éjaculations suivantes poussèrent le liquide séminal jusque dans ses trompes de fallopes. Comme la vague qui déferlait dans son ventre, un immense maelström de plaisir la submergea. Une onde de chaleur partit de son ventre et sortit par sa bouche en un immense cri de plaisir. Le grand gris se retira, elle tomba à genoux, du sperme coulant de sa chatte, les deux mains appuyées sur le sol essayant de reprendre ses esprits. Elle n'y arrivait pas, le désir était toujours là...
Saleté de drogue.
Le second grand gris était revenu, l'Alien debout derrière elle, la bite droite en une érection toujours aussi impressionnante. Il la releva, la fit appuyer sur e bureau.
De ses deux pieds, il écarta les jambes de la jeune Terrienne. Les deux mains palmées se posèrent sur les fesses, les pouces de chaque coté de l'anus, qu'il écarta lentement. Il se pencha en avant et promena en petits cercles concentriques son gland évasé et aplati sur le pourtour du rectum béant, il y cracha dedans pour le lubrifier. Abby envoya ses fesses en l'air à la rencontre de la tête bistre, elle sentie son ampoule rectale se retourner sous la ferme poussée, l'énorme phallus s'enfonça lentement en elle. L'Alien la fit étendre sur le sol, il la coucha sur le côté, lui souleva la jambe droite pour bien s'ouvrir le conduit rectal, plia les jambes et enfonça son dard jusqu'à la garde. La tenant par une cheville et un poignet, il commença à la marteler à toute vitesse. Sa bite sortait presque entièrement et entrait d'un seul coup jusqu'à la garde, Abby sentait les couilles glabres lui battre les fesses avec force, elle hoquetait de plaisir, la drogue décuplait vraiment son exaltation... elle se demanda pourquoi elle recherchait un antidote à se soit disant poison !! Elle regarda l'Alien, lui aussi était obnubilé par la volupté, plus rien n'avait l'air de compter pour lui que d'arriver au paroxysme du plaisir en déversant sa semence dans l'anus de la jeune fille.


A l'autre bout du satellite artificiel, Jayline fouilla les poches du Massassi endormi. Elle trouva une télécommande, avec les codes de leurs cellules, toujours nue, elle fit demi-tour et retourna vers la pièce ou était retenue Sariah, elle plaqua son oreille contre la porte, mais n'entendit pas grand-chose, elle se risqua à débloquer le code.
La jeune capitaine gisait nue au milieu de la pièce, elle avait l'air épuisée. Jayline verrouilla la porte derrière elle et s'approcha, Sariah la rassura lui disant qu'elle n'avait rien. Elles n'avaient pas fini de se réconforter que la porte s'ouvrit et Océrikor poussa Abby dans la chambre.

« Eh bien !! comment es-tu ici ? Vous me donnez vraiment du mal toutes les trois, mais maintenant je vous ais sous la main, Trois Terriennes de plus pour satisfaire mes clients !! Et toi rends moi cette télécommande !
Bon, mais j'aime les défis... et comme je suis sûr de gagner, je propose un combat contre mon champion, avec l'une d'entre-vous, si elle gagne, si elle le bat je vous relâche... mais cela ne peut pas arriver !! Êtes vous OK, ah oui pour distraire mes clients, je vais organiser un spectacle payant bien sûr, le combat sera retransmis en vidéo ici même !! Mon colosse aura droit à une bonne dose de PPS...
- Oui, on accepte le défi, et ce sera moi, qui irais défier votre champion... Dit Sariah.
- Bien, alors tu mets ça, que je puisse juger ! »

Sariah enfila les vêtements qu'il lui lança, une robe jaune presque transparente, moulante, elle s'évasait a la fin et descendait tout juste plus bas que sa chatte, des bas noirs et des bottes noires.
Il avait adjoint une sorte de micro, pour dit-il au cas où tu demanderais grâce, que tout le monde puisse l'entendre.

« Je ne te donne pas de string, je pense que tu n'en auras pas besoin... il n'a jamais baisé une aussi jolie fille que toi ! Allez bonsoir, dormez bien, il faut être en forme pour demain ! »

Après son départ, les trois jeunes filles se concertèrent.
Elles décidèrent de se narrer ce qui leur était arrivé par le détail sans rien oublier, depuis leur séparation sur le Protée. Un fait étrange attira leur attention, l'endormissement de ceux qui les avaient baisés.

« Au bout de combien d'éjaculations, le Massassi s'est-il endormi, demanda la jeune Biologiste ?
- Trois, répondit Jayline sans hésiter
- Oui, moi aussi, il a éjaculé pour la troisième fois dans la cabine de téléportation... Eh bien voilà nous savons comment battre le sbire d'Océrikor, s'il est bourré de PPS... il faut qu'il éjacule trois fois.
Elles s'endormirent, avec un léger espoir, sachant bien que même si Sariah le battait, il ne les relâcherait pas... mais l'espoir fait vivre.

Le lendemain, Sariah fut téléportée devant la grotte du champion. Un reptoïde vert, le corps couvert d'écailles était assis sur un bloc de rocher. Ce reptile humanoïde de deux mètres, était doté de longs bras à quatre doigts dont un pouce opposable et de petites griffes émoussées, il n'avait pas de lèvres sa peau recouverte d'écailles brun-vert luisait. Ses blancs, globuleux semblaient formés de mille petites facettes. Ses oreilles n'étaient que des trous et son nez, deux fentes formant un "V". Son corps était glabre de toute pilosité, mais il avait des épines sous le menton et sur le dessus du crâne, similaires à celles de certains lézards.
Il se leva, un mauvais rictus dévoila deux rangées de petites dents acérées. Il n'était vêtu que d'une sorte de tee-shirt s'arrêtant au-dessus de son énorme sexe qui pour l'instant pendouillait flasque entre ses cuisses, la tête exempte de prépuce venait buter ses genoux.
La jeune fille avec un petit sourire narquois, ouvrit le transpondeur, celui-ci ressemblait à un micro, il était fait d'une boule assez grosse et d'un long manche. Une légère brise soulevait le bas de sa robe, et laissait par intermittence apercevoir sa chatte exempte de poils. L'excitation avait tendu ses tétons et ses aréoles se devinaient sous le mince tissu de la robe. Un drone muni de caméras voletait devant elle, filmant en gros plan les différentes parties de son anatomie.

« C'est ça votre Champion, je ne vais en faire qu'une bouchée ! »

Elle approcha le micro de sa bouche et se mit à lécher langoureusement la boule, elle la faisait pénétrer voluptueusement entre ses lèvres. Le géant s'était immobilisé a trois mètres d'elle, il tenait une espèce de hallebarde à la main, l'acier de la lame étincelait au soleil.
Sariah, le regardant dans les yeux remontant sa robe jusque sur ses hanches, elle écarta les jambes et passa sa main gauche qui tenait le transpondeur derrière ses fesses. Elle frotta lentement la boule le long de sa fente. Il lui sembla percevoir un frémissement le long du long et gros phallus de son adversaire. Elle lui sourit. Il ne bougeait toujours pas.
Ce petit jeu commençait à exciter Sariah, sa chatte devenait moite, elle positionna la tête du micro à l'entrée de son conduit vaginal et d'une lente poussée l’enfonça dans la cavité humide. Le saurien ne perdait pas un seul de ses gestes, le drone non plus, elle lui tourna le dos se mit à genoux, lui présentant jambes largement ouvertes, les pénétrations de l'ustensile qu'elle enfonçait de plus en plus profondément en elle.
Elle se mit sur le dos, accélérant la cadence des vas et viens. Le Saurien était debout au-dessus de sa tête, elle leva les yeux, sa bite avait pris des proportions phénoménales, cela déclencha un afflux de foutre chez la jeune fille, elle le sentit couler à l'intérieur de ses cuisses.

Le reptile passa devant elle, de la pointe de sa lance, il lui fit écarter largement les cuisses, il la promena ensuite lentement sur son mont de Vénus, la passa sous la robe, la lame acérée découpa le vêtement jusqu'en haut, mettant à jour la magnifique poitrine du capitaine du Protée.
Ce déshabillage sauvage, décupla l'excitation de Sariah, surtout lorsqu'il passa derrière elle et que d'un coup sec il arracha les lambeaux de sa robe. Elle n'était plus vêtue que de ses bottes noires et des bas noirs.

«Putain que tu es belle... je vais me régaler... regarde comme je bande !! Allez debout.»

La pointe de la lance dans les reins, il la fit avancer jusqu'à son repaire. Il prit une corde et lui attacha les bras dans le dos, avec des nœuds savants, il lui entoura les deux seins.

« Tu vois ainsi, ils restent gonflés, mais je vois que tes tétons aiment ça, petite salope... regarde mon fouet, je vais te dresser, tu vas demander grâce...
- Oh non, gros porc... c'est ainsi que l'on nomme sur terre les animaux qui comme toi aiment se rouler dans la fange !!
- Ah, tu m'insultes... attends tu vas voir, après tu vas me demander de te baiser, j'en suis sûr ! »

La lanière se balada sur les seins de la jeune fille, mais aucun coup ne tomba, il avait dû recevoir des ordres de ne pas trop abîmer la marchandise. Mais cela aiguillonnait la libido de Sariah. Il la mit à plat ventre, le fouet s'abattit sur ses fesses.

«Putain, salope, on dirait que tu aimes ça !
- Ouiiii, ouiiiiii j'aime... !! Encore, encore...
- Et mon gros mandrin vert, tu vas aimer ? »

Il la coucha sur le dos, mis ses genoux de chaque coté de son corps, la délia et l'attacha à nouveau les bras en croix a un énorme bambou. Pendant l'opération elle tout le loisir de contempler le sexe monstrueux qui oscillait au-dessus d'elle. Il devait faire sûrement plus de quarante centimètres de long et huit centimètres de diamètre. Il était vert assez clair, lisse, sans écaille, il avait un anneau au milieu qui servait à fermer hermétiquement la cavité vaginale de sa partenaire pour que son liquide séminal ne soit pas refoulé par la force de son éjaculation. Ce qui l'étonna le plus, c'était la taille de la corolle de son gland, elle ressemblait comme chez tous les reptoïde à une espèce de champignon,

« S'il me demande de le sucer, je vais avoir du mal ! Pensa-t-elle»

C'est ce qui arriva, avec un cri de triomphe, il déchira son tee-shirt, fit mettre Sariah à genoux, approcha sa monstrueuse bite de la bouche de la jeune femme.

« Allez suce, Salope, met tout dans ta bouche, je sais elle grosse, allez ouvre, ouvre encore, plus grand, oui... oui... encore un effort le gland et presque entré... oui voilà... maintenant c'est moins gros !! Ouiii, ça glisse, oui encore... attends je vais pousser un peu ta tête pour faire entrer l'anneau, voilà c'est bien... allez ressort, avale , ressort avale... »

Sariah s'appliquait, elle salivait pour faciliter cette énorme fellation, elle dut s'activer pendant au moins dix minutes avant qu'elle sente les premières contractions du gigantesque appendice dans sa bouche.

« Tiens, tiens petite salope de Terrienne avale mon sperme...Ohhhhh putain que c'est bon ! »

Sariah dégluti la majeure partie des semences du Saurien, et le reste coula de sa bouche sur ses seins. Le lézard ramassa de deux doigts le liquide jaunâtre sur la poitrine de la jeune fille et lui les fit sucer.

« Alors il est bon le sperme de Bixyt ? Bien maintenant on va passer aux choses sérieuses. »

Il souleva Sariah, et la déposa sur un rocher, elle avait toujours les bras attachés en croix au bambou. Ses deux mains puissantes se saisirent des cuisses de la jeune femme et les écartèrent largement. Il frotta son gland le long de la fente palpitante. Sariah voyait cet énorme phallus qui allait la pénétrer, son cerveau ne commandait plus ses émotions, elle sentait que ses seins étaient devenus durs comme du fer, ses tétons se dardaient en deux pointes brunes et surtout que son vagin ruisselant n'attendait plus que cette intrusion éléphantesque. Sa respiration s’accéléra, des petits gémissements sortirent de sa bouche, son corps se raidissait tandis que des frissons la parcouraient, elle tendit le bassin en avant, le monstre dut le sentir, car il commença à pousser d'abord lentement sa bite dans le vagin offert. Puis il poussa d'un seul coup, Sariah cria, satisfait de l'avoir entendu couiner, il se mit à la marteler avec ardeur. La première douleur passée la jeune fille s'accorda à la cadence des pénétrations, elle détendit au maximum ses muscles vaginaux, le sperme ingurgité bourré de PPS, commença à insinuer son poison dans l'organisme de la jeune fille.
Sa libido s’exacerba, son bassin allait à la rencontre du phallus qui la pourfendait, ses muscles vaginaux se contractaient pour enserrer le pieu qui commençait à lui donner du plaisir.

Maintenant à chaque coup de reins du monstre, elle hurlait sa volupté, la corolle du prépuce écartée au maximum frottant le long de ses parois vaginales lors des rétractions du membre vert, la faisait crier de plaisir.
Elle avait entouré de ses jambes les hanches écailleuses, comme pour qu'il la pourfende encore plus profondément, ses bras attachés en croix au bambou, faisait saillir ses seins, ils lui faisaient presque mal tellement il les avait malaxés les faisant gonfler et durcir. Ses dents acérées mordillaient le bout de ses mamelons, lui tirant des gémissements d'extase.
Sur la station, les clients d'Océrikor suivaient sur un écran géant les exploits du champion, toutes les pénétrations étaient acclamées par des applaudissements, certains n’hésitaient pas à se masturber en visionnant ce coït sauvage.
Cela faisait longtemps, que Byxit la baisait, elle s'était complètement abandonnée et sentait que son orgasme montait, elle sentait aussi que le membre glissait en elle moins vite, qu'il commençait à palpiter et à avoir des contractions. Elle sentit le bout du sexe buter le col de son utérus, au moment ou avec un grand rugissement, il libéra sa semence, un orgasme inouï s'abattit sur la jeune fille, son corps se cambra soulevant le corps massif du saurien. Lorsqu'elle sentit le sperme du colosse se déverser dans son ventre, sa tête dodelina plusieurs fois de droite à gauche bouche grande ouverte cherchant a avaler de l'air. Puis elle retomba anéantie par la jouissance. Un flot de liquide jaunâtre s'écoulait de sa chatte.
Le champion se redressa, le sexe dégoulinant de sperme et de foutre mélangé, il toisa Sariah qui toujours couchée essayait de récupérer.
Sur la station, la faune intergalactique, applaudissait à tout rompre en demandant encore...

« Alors, salope de Terrienne, tu t'avoues vaincue ?
- Non, lui répondit Sariah... et ajouta à voix basse... tu n'as éjaculé que deux fois, mon gros !
- Tu en veux donc encore... »

Ayant toujours une érection phénoménale, octroyée par le PPS, il la releva sans ménagement. Il lui lia les poignets et attacha ses chevilles largement écartées au bambou. Il lui fit plier le torse et s'appuyer sur un rocher, un de ses gros doigts récupéra du sperme coulant de la chatte et en badigeonna l'anus de la jeune fille, il cracha, puis le doigt boudiné s'enfonça dans le petit trou palpitant, car Sariah avait compris ce qui allait suivre. Puis il se recula, faisant signe au drone qui filmait de zoomer sur l'endroit qu'il allait investir de son énorme verge.
Il positionna son large prépuce au bord du trou ridé, et commença a pousser. Sariah cria, croyant que le chapeau du champignon aurait des difficultés à entrer, mais les bords se plièrent en arrière et le cylindre retourna son ampoule rectale et glissa dans le conduit bien lubrifié, il força un peu pour faire passer l'anneau central. La précédente éjaculation avait de nouveau injecté des toxines dans le sang de la jeune blonde, et ses sens étaient de nouveau exacerbés, elle ne pouvait plus contenir sa libido. Son corps se soumettait à nouveau aux plaisirs donnés par la sodomie qu'elle subissait.

Dans la grande arène de la station orbitale, ce n'était plus qu'un rugissement de contentement. Océrikor se frottait les mains de satisfaction, il venait de gagner avec ce spectacle une somme astronomique, et il avait encore deux Terriennes sous la main.

Sariah subissait les énormes assauts de son tortionnaire, ses seins étaient écrasés sur le sol, puis il la mit sur le dos, enfonça à nouveau son monstrueux sexe dans l'anus de la jeune fille, elle gémissait de plaisir sous ses pénétrations, le bambou embêtait quelque peu le monstre affamé de sexe, il dénoua les chevilles, puis les mains, Sariah était libre, mais l' acceptait toujours en elle. Il lui passa les mains sous les fesses, la souleva. Elle enroula ses jambes autour de ses hanches, il la pénétra plus profondément. Elle gémit de contentement. Il mordilla les tétons, elle gémit plus fort. Le regardant droit dans les mille facettes de ses yeux proéminents, elle approcha sa bouche de son museau, il sortit sa langue râpeuse et l'insinua entre ses lèvres, Sariah ouvrit la bouche et leurs langues se nouèrent, leur salive se mélangèrent. Il se mit sur le dos, elle le chevaucha sauvagement, c'était elle qui maintenant dirigeait les ébats, elle ondulait son bassin d'avant en arrière, hurlant de bonheur. Le Saurien n'en croyait pas ses yeux, il venait de la dompter... de lui faire courber l'échine... Sa joie fut telle qu'il ne put retenir son éjaculation. Sariah sentit à nouveau dans ses entrailles le sperme chaud et visqueux qui se déversait.

« Ça y est, va-t-il sombrer dans le sommeil ? »

Elle regarda la tête du Saurien rouler sur le côté, il était dans les bras de Morphée. Mais elle avait une grande envie de jouir, le membre était raide dans son anus, elle posa ses mains sur la poitrine inerte, et continua les pénétrations jusqu'à ce que l'orgasme la laisse pantelante couchée sur le torse du grand reptoïde. Puis elle se releva, splendide, nue, du sperme coulant de ses orifices, leva un poing rageur vers le ciel en poussant un cri de victoire.

Des cris de rage fusaient maintenant, sur la station orbitale, ils réclamaient tous le retour de Sariah pour lui faire sa fête. Abasourdi, par ce qu'il venait de voir, Océrikor donna l'ordre de téléporter Sariah, mais lorsque le rayon balaya le terrain, il n'y avait plus que le Saurien vert qui dormait comme un ange, la bite toujours en érection.

A suivre…

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