Nathalie S'Enflamme Au Musée
Lorsque je pénètre dans les bureaux, jai limpression que tout le monde sait. Jai limpression quils rient tous dans mon dos. Pourtant je mefforce de de garder une attitude normale, que ma démarche soit naturelle et ne trahisse pas la présence du petit vibromasseur télécommandé, que jai glissé dans ma chatte ce matin. Je dis bonjour comme à laccoutumée et jai limpression de déceler des traces de moquerie dans le regard de mes collègues masculins ou féminins. Je mefforce de faire le tour des bureaux comme je fais chaque matin et, lorsque je ferme la porte de mon bureau, je soupir profondément et me prend le visage à deux mains. Mes émotions sont toutes entremêlées. La honte de mettre pliée à ce jeu pervers, la fierté davoir réussit à ne rien dévoilé à mes collègues et un plaisir obscure qui monte en moi.
Mais quest-ce qui ta pris ! Alors il lui suffit de laisser un paquet avec des instructions et toi tu les suis sans réfléchir ?
Mon cur se met à battre la chamade comme ce matin lorsque je lai ouvert et lu les instructions. Je respire plusieurs fois profondément puis massois à mon bureau. Jai beaucoup de travail à faire avant danimer la visite de 10H00. Je dois recevoir un groupe détudiants en histoire pour leur faire visiter notre département et la partie du musée dont nous sommes responsables. Le vibromasseur nest pas très épais et je parviens à travailler sans trop y penser car il ne fonctionne pas. Je me pose encore la question du pourquoi je dois le garder toute la journée sur moi. Mon travail me prend toute mon attention et jen oublie presque sa présence.
Lheure approche et je me prépare à recevoir le groupe. La visite doit durer trois heures. Nous ferons une pause entre midi et treize heures pour déjeuner. Je descends à laccueil du musée pour les attendre. Avant que lascenseur ne souvre, étant seule, je vérifie ma tenue dans la glace. Je lisse ma jupe fourreau noire et vérifie que seulement le premier bouton de mon chemisier en flanelle ne soit déboutonné.
« Bonjour à toutes et tous. Je me présente, je mappelle Nathalie Bongeois. Mais appelez-moi Nathalie. Bienvenue au musée du Louvre. Je vais être votre guide pour cette visite. Avez-vous tous vos passes ? Parfait. Si vous voulez bien me suiiiiivre ! »
Mon cur rate un battement et une peur panique sempare de moi. Le vibromasseur vient de se mettre en marche à linstant. Sa vibration est ténue mais je la ressens parfaitement.
Mon dieu ! Cest pas vrai ! Pas maintenant !
Je regarde aux alentours pour voir si je laperçois. Quelques personnes du groupe semblent légèrement intriguées.
« Tout va bien mademoiselle ? »
Je méclaircis la voix pour en reprendre le contrôle et réponds le plus naturellement possible.
« Oui ! Tout va bien ! Tout va très bien ! »
Cest alors que je le vois apparaître eu sein du groupe. Je fais tout mon possible pour ne rien révéler sur mon visage, mais je suis terrorisée à lidée de devoir faire la visite dans ces conditions-là. Cest alors que je vois son sourire machiavélique illuminé son superbe visage et mon cur semballe de plus belle.
« Par ici, sil vous plaît ! »
Je me retourne pour les guider vers les ascenseurs et lui tourner le dos de la sorte moblige à accepter définitivement son jeu odieusement excitant. Je sens ma chatte shumidifier à vitesse grand V. Involontairement ma démarche est un peu plus chaloupée quà laccoutumée.
Mais quest-ce que tu fais ma fille ! Tu es complètement folle !
Lorsque nous arrivons dans notre département, les vibrations se sont arrêtées.
« Hum
Je vous demande pardon ? »
Il repose sa question et au moment où je me dois de lui répondre il mets la puissance maximale. Tout mon corps se met à trembler, je serre les dents tout en gardant un regard le plus neutre possible, alors quil madresse son sourire le plus innocent. Je suis sur le poids de céder mais dans un ultime effort, je parviens à lui répondre après mêtre racler la gorge plusieurs fois. A la fin de ma réponse je suis récompensé par un arrêt brutal et je me ratt discrètement sur le bord dun bureau car me jambes flageolent. La sensation est tout bonnement incroyablement torride. Nous poursuivons le visite.
Lorsque nous arrivons à la pause du déjeuner, je guide mon groupe au réfectoire et une fois que je suis sûre quil est bien installé, je me rue dans les toilettes pour femmes les plus proches. Une fois à labri des regards dans une cabine, je remonte complètement ma jupe. Dans ma précipitation à tenter de retenir lexplosion qui menace ma chatte en fusion, jenjambe comme je peux les toilettes.
« Hum ! Ha ! HO ! YVHHAAAA ! GHAH ! »
Il est à quelques centimètres et je sens ses doigts se glisser dans ma culotte. Dun geste sec il larrache complètement et je laisse échapper un cri perçant, que jessaye de ravaler immédiatement. Ses gestes sont simples, précis, directs, efficaces et je le regarde faire, impuissante, incapable de bouger. Il immisce ses doigts dans ma chatte et je hoquette et retiens mon souffle. Ses magnifiques doigts senfonce et att lobjet de . Il le retire lentement et jentends les bruits de succion qui accompagne le geste. Il lamène à mes lèvre et je le prends en bouche et le suce avec délectation. Le goût de mes propres sécrétions est un délicieux stimuli de plus vers mon orgasme et jen profite pour luis lécher les bouts des doigts. Tout accaparée par la scène, je ne le vois pas sortir sa magnifique queue. Il me déplace alors sur le côté pour me plaquer contre une cloison et, dun magistral coup de rein, sempale en moi complètement. Cest laction qui scelle le déclenchement de mon orgasme titanesque qui me pulvérise en des milliards datomes. Je lui mords lépaule pour mes cris et je lentends grogner de douleur de de plaisir, alors quil me prend de ses mouvements à la fois amples et lents tels quil les maîtrise si bien et qui me font tant deffets. Je suis complètement perdue, ma raison a déserté le navire de mon esprit et je navigue à laveugle dans un brouillard de jouissance primaire. Chaque cellule de mon corps est entrée en éruption et jai limpression de me consumer. Alors que je pense que mon orgasme va décroître, il accélère et me prend de plus en plus vigoureusement. Je ne sais plus où je suis, je ne sais plus qui je suis, je veux juste quil ne sarrête jamais. Que cet instant de plaisir incommensurable nait pas de fin. Je ne retiens plus rien et gémis, pleure, crie ma jouissance.
Lorsque la porte du paradis se referme lentement et que je reprends un peu le contrôle de mon être, je lembrasse de toutes les forces quil me reste, en y mettant toute la passion que je ressens à cet instant mirifique. Il me répond et notre baiser na jamais été aussi fusionnel alors quil est encore en moi et que ma chatte est complètement crispée autour de sa queue qui tressaute et éjacule en moi. Jaccueille chaque onctueuse giclée avec des exclamations étouffées par notre baiser endiablé. Le sang me bourdonne encore aux oreilles lorsquil se retire. Il se rhabille rapidement et sans un mot me laisse seule dans la cabine. Je massois sur les toilettes et sens son foutre sécouler hors de ma matrice à vif. La sensation est délicieusement obscène et je ne peux retenir des soupirs de bonheur. Il me faut de nombreuses minutes pour revenir sur terre. Cest alors que je maperçois de létat dans lequel je me trouve. Je suis trempée de sueur. Je remets ma tenue autant que possible et sors de la cabine. Je suis soulagée dêtre seule. Je mapproche des miroirs et vois mon rimmel qui a complètement coulé. Mon visage ressemble à celui de ces filles qui se sont faite défoncer en soirée. Cest alors que je maperçois du nécessaire à maquillage posé sur le bord de lévier. Je regarde vers la porte, interloquée.
Yvan ma laissé ça pour que je me remaquille convenablement ?
Le temps presse et je mattelle à me redonner une allure convenable. Bon mon chemisier complètement mouillée est un peu plus transparent que ce matin, mais au moins cest uniforme et il garde une certaine prestance. Une fois que jai terminé, je vérifie que tout est en ordre et jouvre la porte des toilettes avec appréhension.
Est-ce que quelquun nous a entendu ?
Je manque de trébucher sur le petit écriteau indiquant que les toilettes sont condamnées momentanément.
Mon dieu que ce mec est odieusement fin et prévenant. Il me fait subir les plus divines s sur mon lieu de travail et en même temps il sassure que personnes ne débarque au mauvais moment.
Mon cur se gonfle démotions et jai beaucoup de mal a retenir mes larmes. Je prends quelques minutes pour me ressaisir et je rejoins mon groupe. Yvan a disparu, la fin de la visite sera beaucoup plus calme. Par contre je remarque que la gent masculine du groupe pose son regard plus souvent sur mon buste, un peu plus mis en valeur. Javoue que ça ne me déplaît pas du tout, au contraire.
Mais quest-ce quil ta fait ? Regarde-toi ma fille ! Tu en veux encore ?!
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!