Les Carnets D'Anita
C'était un jour comme les autres. Ce devait être un jour ordinaire. Il faisait un temps glacial. J'étais partie travailler en jeans avec un gros pull très long, à col roulé. La journée se déroulait sans histoires. Après le repas du midi, j'avais repris mon travail sans penser une seconde que j'avais pu oublier quelque-chose...
Mais vers 15 heures, mon téléphone sonna :
" Allô, Madame Delague ? Docteur Martin, médecine du travail... vous vous souvenez ? nous avons rendez-vous... maintenant. Je vous attends...
- Bien... j'arrive ! "
Sur le moment, j'étais juste surprise. Mais en descendant l'escalier, je me suis souvenue que sous mon pull, je n'avais qu'un soutien-gorge, et qu'il était transparent. Ce matin-là, en retard comme chaque jour, j'avais pris dans l'armoire les premiers sous-vêtements qui m'étaient tombés sous la main, et quand je m'étais aperçue que c'était celui-là que j'avais descendu de la chambre, je n'avais eu ni le temps ni le courage de remonter en chercher un autre.
Mon mari, qui me sait pudique, me l'avait offert, et même devant lui, je me sentais gênée, c'est dire à quel point je paniquais maintenant. Je sentais une bouffée de chaleur me monter au visage. J'allais faire demi-tour avant d'atteindre l'infirmerie, quand le médecin en sortit, un peu agacé : " Allez, entrez " Impossible de faire demi-tour.
Je devais être rouge vif. Il me posa différentes questions dont je ne me souviens même pas. J'étais obnubilée par l'idée qu'il puisse vouloir m'ausculter, je préparais mes réponses pour y échapper, au cas où...
Au bout de quelques minutes interminables, il prit ma tension. Heureusement, le pull était suffisamment souple pour dégager le bras, c'était parfait. Il retourna s'asseoir, griffonnant sur une fiche en m'assurant que tout allait bien. Je respirais en comprenant que la visite se terminait.
Quelques secondes plus tard, on frappa à la porte.
J'étais terrifiée, je ne savais pas comment attr ce gros pull ajusté. " Enlevez-le, voyons ! " Je le regardais, pétrifiée. Je pus enfin parler :
" Je ne peux pas !
- comment ça, vous ne pouvez pas ?
- euh!... j'ai un soutien-gorge transparent, je ne veux pas qu'on voie..
- Allons, arrêtez ces illages... je m'en fiche de vos seins, moi "
J'étais honteuse, écarlate, mais je me suis quand même décidée à m'exécuter. Il ne me regardait pas. Moi qui mourrais de chaud quelques secondes auparavant, j'étais gelée. Mes tétons durcissaient à m'en faire mal, comme s'ils allaient percer le tulle noir du soutien-gorge. Pour l'instant, il était derrière moi et je me croyais tranquille...
La porte s'entrouvrit légèrement. "Je peux entrer ?" C'était de nouveau l'infirmière, elle fut bientôt devant moi. En apercevant ma lingerie, elle ne put s'empêcher de toucher une bretelle :
"C'est joli, ça...
- Elle ne veut pas qu'on voie !", lui répondit le docteur d'un ton ironique. Je n'osais pas répondre.
Ils parlèrent quelques minutes sans faire attention à moi, puis enfin, il termina l'auscultation et je pus me rhabiller. C'est là que je pris conscience que j'étais trempée. En remontant dans mon bureau, j'avais du mal à marcher droit. Une fois assise, la chaleur m'envahit de nouveau, je revoyais la scène cent fois, la honte, l'excitation... Si bien qu'à force de me tortiller sur ma chaise, je finis par jouir très violemment. Il y avait longtemps que je n'avais pas eu autant de plaisir.
Le soir, je n'ai rien dit à mon mari, mais je me suis encore caressée pendant qu'il dormait.
Quelques jours avaient passé depuis ma visite médicale.
Je ne pouvais pas porter les mêmes sous-vêtements tous les jours, et ceux dont je disposais par ailleurs ne pouvaient faire l'affaire. Alors il fallait en acheter, car il était impensable de laisser passer une occasion qui se présenterait. Un nombre incroyable de sites de lingerie défilèrent sous mes yeux, avec quelques modèles intéressants. Mais tout cela n'était guère excitant. Dès que l'idée d'acheter en boutique me traversa l'esprit, l'excitation que je recherchais revint me tordre le ventre. Je mis toute une semaine à mettre mon idée au point...
Le jour en question, dès le réveil, je fus excitée. Toute la matinée, je serrai mes cuisses croisées en essayant de ne pas jouir. Depuis plusieurs jours, j'avais repéré une boutique qui ne fermait pas à l'heure du déjeuner, et où, contrairement aux autres magasins, il y avait presque toujours des clientes... Le matin, j'avais choisi un chemisier très sage, par dessus mon soutien-gorge transparent, avec une veste longue encore au-dessus, pour le bureau, et un jean. Vers 12h30, juste avant de mettre mon manteau pour partir, j'enlevai le chemisier. Je me forçai à le faire dans l'escalier, pour augmenter le risque et la tension. Puis je quittai l'immeuble en direction du centre commercial.
Comme prévu, il y avait quelqu'un dans le magasin, deux clientes, dont une qu'on servait. J'étais terriblement nerveuse. C'était au tour de la cliente avant moi, alors qu'un couple entrait. J'enlevai mon manteau pour patienter. A chaque fois que je bougeais, je sentais mes tétons durcis frotter contre l'intérieur de la veste, ça faisait mal, ce qui augmentait mon excitation.
Puis ce fut mon tour...
"Bonjour madame, que désirez-vous ?
- Eh bien.
- Quel genre ?
- Plutôt transparent...
- Avec de la dentelle ?
- Non... tout en tulle noir... un peu comme celui-ci..."
Le manteau était déjà sur le comptoir, et j'avais très vite ouvert les deux boutons de ma veste, en m'efforçant d'éviter que les clients derrière voient quoi que ce soit. J'étais rouge pivoine. Dans le miroir posé sur le comptoir, je voyais ce que la dame, étonnée, devait voir : des tétons parfaitement discernables, proéminents, que je sentais très durs. Seul sous la veste, le soutien-gorge était particulièrement indécent. Elle me regardait.
"Je ne crois pas que j'ai quelque-chose d'aussi transparent. C'est quelle marque, le votre ? Je peux vous le commander peut-être ?"
Comme je me l'étais promis, alors qu'elle feuilletait un catalogue, je passai les mains dans le dos pour dégrafer le soutien-gorge. Le plus pudiquement du monde, j'ai retirai puis remis une manche de veste, puis l'autre, pour libérer totalement l'article.
"- Il y a des cabines ici, vous savez ? me dit-elle un peu agacée..
- Je sais, mais ce n'est qu'un soutien-gorge : qu'avez-vous de plus approchant ?"
Je rougissais de plus belle. Elle alla chercher un modèle, puis me le tendit. Je le plaquai sur ma poitrine. Elle me dit en chuchotant, visiblement embarrassée :
"Vous voyez, celui-ci n'a que la partie supérieure en tulle, mais on voit bien le bout des seins, il y a juste un peu de l'aréole cachée, en bas. C'est en ensemble, le slip est tout en tulle. Si vous voulez essayer, la cabine est là..."
Je ne pouvais pas faire autrement. Je me dirigeai vers le fond du magasin. Une fois dans la cabine, j'essayai l'ensemble. C'était parfait. Sauf que je m'étais imposé une dernière épreuve pour ce jour-là : demander l'avis d'une cliente. Par chance, une personne venait d'entrer, et je n'ai pas dû demander au couple, dont le tour était venu. J'enfilai la veste sur l'ensemble que j'allais acheter, puis sous le regard suspicieux de la commerçante, je m'approchai de la dame qui attendait près de l'entrée.
"Excusez-moi, vous pourriez me donner votre avis ?
- Bien sûr... de quoi s'agit-il ?"
Je lui fis faire deux ou trois pas pour m'écarter de la vitrine. Quand elle aperçut le slip et le soutien-gorge qui me mettaient plus que nue, elle me saisit par le bras, furieuse, et me tira d'un coup jusqu'à la vitrine : "C'est à tout le monde qu'il faut montrer ça !" Puis elle me lâcha et quitta le magasin, toujours furieuse. J'avais croisé des regards dans la rue, je m'enfuis me rhabiller vers la cabine, alors que le couple quittait le magasin.
La commerçante avait déjà rassemblé mes affaires. Elle me rejoignit aussitôt et les jeta sur le petit banc de la cabine. Elle était très en colère elle aussi :
"La prochaine fois, vous irez faire votre numéro ailleurs, vous faites fuir la clientèle !"
Nue devant cette femme, je pleurais, essayant de la calmer :
"Je vous achète l'ensemble, madame...
-Vous mériteriez de repartir comme ça !"
Pour la calmer, je mis juste le manteau sur moi, bien boutonné cette fois. Je me dépêchai de payer, toujours sous ses reproches, toujours cramoisie de honte, alors que j'avais l'impression que mon sexe coulait sur mes cuisses. Je quittai la boutique mes habits et achats à la main, sous le ragard d'un passant qui s'était attardé, qui avait sans doute vu quelque-chose. Je pressai le pas.
En arrivant au bureau, je me précipitai vers ma voiture, au sous-sol. Une fois à l'intérieur, je fus soulagée mais pas satisfaite, alors c'est au beau milieu du parking que je me rhabillai, après quoi je ne pus tenir plus d'un quart d'heure avant de jouir sous mes doigts.
Le soir, j'ai bien failli en parler à mon mari, mais c'était encore trop tôt...
J'ai mis plusieurs jours à me remettre de mon aventure dans la boutique de lingerie. C'était une véritable humiliation, et je devais bien admettre que c'était tout ce que je recherchais. D'ailleurs, je me refusais (poliment) à mon mari, parce qu'il était en dehors de tout cela. Je savais que je lui en parlerais un jour. Mais pour l'instant, rien ne me plaisait plus que de passer et repasser devant la boutique.
Même au bureau, je passais mon temps à chercher des idées à la fois réalisables et efficaces. Je les notais sur un clalepin, puis j'y revenais pour les affiner, les pimenter.
Depuis quelques jours, je m'obligeais à aller me deshabiller dans les toilettes, côté femmes bien sûr, et à y rester sans verrouiller la porte. Chaque jour, j'allongeais la durée de la séance, que je terminais à chaque fois en me faisant jouir. J'en étais à un quart d'heure, et juste une fois, une collègue avait ouvert la porte... et l'avait refermée aussitôt, comme un réflexe : elle avait compris qu'il y avait quelqu'un, elle ne l'avait pas vu.
Je ne sais pas ce qui m'a pris ce mardi-là, mais j'ai décidé que je devais réaliser mon épreuve quelques étages plus haut dans l'immeuble, là où d'autres sociétés que la mienne sont installées. J'ai tiré le numéro de l'étage au sort : il me fallait rester 20 minutes. En avançant dans le couloir, je sentais mon coeur battre plus fort... Juste à côté des toilettes, il y avait un bureau d'où provenait les sons d'une conversation entre collègue.
Je suis entrée sans bruit et j'ai allumé, puis j'ai refermé la porte, et le verrou. J'avais peur. J'ai regardé ma montre pour compter 20 minutes, puis j'ai tourné le verrou en respirant à fond. Tout de suite, j'ai retiré mon pull puisque je me devais d'avoir toujours quelque chose à montrer. Dans la glace, devant le lavabo, je voyais l'article que j'avais acheté dans la boutique l'autre midi et j'en rougissais. J'ai rajusté les bonnets pour que le tulle descende bien assez bas : quand tout était bien visible, j'ai roulé violemment mes tétons entre mes doigts. 4 minutes, seulement, je transpirais. J'ai ensuite retiré ma jupe. Sous mes collants fins, on voyait mon slip, et derrière, ma toison étroite. Je prenais le temps de me regarder, de me raconter des histoires d'humiliation imminente Je me disais que jamais je n'avais porté de collants sans slip. Comme si un chantage m'y obligeait, j'ai retiré le collant puis le slip. Si l'on excepte le soutien-gorge, j'étais nue devant la glace, à regarder passer les secondes.
10 minutes. Puis des pas dans le couloir, des pas qui s'éloignent... 11 minutes.
J'ai lentement enfilé le collant, et dès qu'il a été en place, j'ai compris le potentiel qu'il représente, quand il voile un sexe nu.
13 minutes. J'entendais des gens parler dans le couloir en s'approchant, j'allais tourner le verrou, je ne l'ai pas fait... Et la porte s'est ouverte, d'un seul coup : je me suis trouvée nez à nez avec une personne inconnue, pas décidée à s'excuser :
"Qui êtes-vous et que faites-vous ici dans cette tenue ?" Machinalement, j'essayais de me cacher avec mes bras et mes mains : par précaution, j'éloignais toujours les habits enlevés pour qu'ils ne soient pas à ma portée, ça augmentait mon angoisse...
"Euh !... c'est à dire....
- Pourquoi vous cachez-vous maintenant ? Au contraire, montrez-nous tout ! .... Martine ! Viens voir !"
Elle hurlait, je tremblais. Je ne savais plus où j'étais, j'avais la fièvre, j'ai laissé retomber mes bras le long du corps, résignée. Je regardais le sol. Puis la porte s'est ouverte en grand et j'ai aperçu l'autre femme et son regard moqueur. Je me suis mis à pleurer, elles riaient toutes les deux.
"Il est là le patron ? Il faut qu'il voie ça !
- Non, il est parti déjeuner."
Elle s'est retournée vers moi : "Donne-moi tes affaires... le collant aussi... tu peux garder le soutif" J'ai obéi. Elle est allée tranquillement jusqu'au bout du couloir et a tout posé en tas. Alors l'autre m'a dit : "Vas-y, et qu'on ne te revoie plus !".
J'ai couru comme une folle. J'ai juste eu le temps de passer ma jupe avant qu'un groupe ne sorte de l'ascenseur. Ils m'ont regardée passer en soutien-gorge, sans rien dire. J'ai disparu dans l'escalier. J'ai tellement joui dans les minutes qui ont suivi que j'ai décidé de tout raconter à mon mari, le soir même.
Je n'avais donc pas tenu bien longtemps, avant de raconter à mon mari mes premières expériences. Je me sentais complètement différente, et j'avais envie de multiplier les expériences. Il haletait en m'écoutant détailler mes humiliations, demandait des détails qui faisaient remonter ma honte. Je voulais qu'il participe, il ne demandait que cela.
Pour finir, je lui ai aussi expliqué ce que je m'étais imposé l'avant-veille après-midi.
C'était deux jours auparavant. J'avais noté quelques numéros de téléphone, et j'avais spécialement laissé ma voiture à la maison. A la sortie du bureau, j'avais décidé de monter au plus près d'une borne d'appel que j'avais repérée, de ne pas choisir mon endroit. Il y avait du monde dans le train, beaucoup d'hommes. Enfin, il y avait une place sur une banquette côté couloir, avec 2 femmes et un homme de mon côté, 4 hommes. J'ai mis plus de dix minutes à me lancer. Au téléphone, par trois fois j'ai dû expliquer que je voulais une épilation totale du maillot, avant d'avoir mon rendez-vous. Comme je me l'étais promis, j'ai dit une fois "épilation de l'entrejambe", et j'ai dû le répéter, plus fort. J'avais l'impression de bouillir, j'étais rouge de honte et je sentais l'excitation monter. Mais le plus dur, c'est après que ça a commencé, quand j'ai croisé des regards en relevant la tête : je ne savais plus où me mettre ! Les dix minutes suivantes m'ont paru interminables.
Je n'en avais pas assez. A peine descendue du train, je me suis engouffrée dans un café. Dans les toilettes, j'ai retiré ma jupe, mon slip et mes collants, que j'ai casés comme j'ai pu (surtout la jupe) dans mes poches. J'ai replié le bas de mon pull sur lui-même, de manière à bien dégager la vue à partir du nombril, et je suis remontée à moitié nue sous mon manteau, malgré le froid. En bas, j'avais juré de ne pas reboutonner le manteau, de ne le maintenir fermé qu'avec mes bras et mes mains. En quelques secondes, je m'étais fait un programme complet...
Je me suis assise à une table devant laquelle tous ceux qui entraient passaient, et de manière à ce qu'on me voie du bar. Quand j'ai croisé les jambes, le poids de mon long manteau m'a découverte jusqu'au milieu des cuisses. Tout le monde me regardait en passant : avec un froid pareil, il est rare de voir des jambes nues. Moi, j'avais très chaud. Quelques minutes plus tard, je me suis levée pour payer. J'ai triché un peu : je me suis appuyée au comptoir pour maintenir le manteau fermé et libérer mes deux mains. Tout le monde voyait que j'étais gênée.
Ensuite, je suis allée acheter une paire de chaussures. La vendeuse a dû me trouver bizarre, toujours les mains dans les poches, avec la jupe qui dépassait. Elle est venue vers moi avec 3 boîtes et je me suis assise sur le tabouret, jambes serrées, ce qui n'a pas empêché mon manteau de les découvrir en s'ouvrant. Si j'avais dû libérer une main pour prendre un chaussure, sans voir mon sexe la vendeuse aurait au moins constaté ma tenue. J'attendais. Enfin elle s'est décidée à me déchausser pour me mettre une des paires que j'avais repérées. D'être touchée comme ça, de sentir une main chaude sur mes pieds froids, je frissonnais de partout. J'ai essayé les autres chaussures et j'en ai choisi une paire. Après avoir payé, appuyée au comptoir, j'ai calé la boite contre ma taille et j'ai remis les mains dans les poches avant de m'éloigner...
J'étais un peu frustrée tout de même, tout se passait trop bien.
J'ai marché un moment dans la rue, en laissant passer de temps en temps l'air glacé sur mon sexe. Puis j'ai fait demi-tour et je suis retournée au magasin de chaussures. Dès qu'elle m'a vue entrer, la vendeuse à prévenu celle qui devait être la gérante, qui a du prévenir les autres vendeuses. Après quelques minutes, la commerçante est venue vers moi, tout sourire, en me tendant la main. En me crispant un peu, j'ai pu maintenir le manteau fermé. Je me suis assise et elle s'est accroupie devant moi... je tremblais de peur.
Quand mon pied a été rechaussé, elle a saisi le bord du manteau, l'a ouvert puis refermé aussitôt : elle avait vu ce qu'elle voulait.
"Venez avec moi"
Dès que la porte de l'arrière-boutique s'est refermée derrière nous, je me suis retournée et j'ai reçu une gifle terrible !
"Petite salope, tu vas faire tes cochonneries ailleurs !"
Alors que je cachais mon visage, elle a attrapé les deux côtés du manteau et les a ramenés derrière, exposant mon intimité aux deux employées qui se trouvaient là, et qui riaient beaucoup. Puis elle m'a laissée et je suis partie, le cur battant à cent à l'heure, le sexe trempé...
A m'écouter, mon mari était de plus en plus excité, des idées lui venaient. Je lui ai promis de faire tous ses caprices. J'ai dû me masturber devant lui, sans jouir, puis j'ai reçu quelques coups de ceinture sur les fesses. Il m'a dit que juste avant l'épilation, je recevrais 10 coups de cravache, achetée pour l'occasion par mes soins, histoire de m'humilier par des traces impossibles à cacher...
Puis il m'a pénétrée
Samedi matin. Rendez-vous chez l'esthéticienne à11h pour l'épilation totale du maillot. C'est la première fois et j'ai un peu peur. Vers 10h30, je viens d'acheter la cravache et je rejoins mon mari pour les dernières consignes, dans le parking du centre commercial, au deuxième sous-sol. J'ai eu droit à une robe de laine, une paire de collants et un soutien-gorge serré au maximum, et des chaussures. A 11 heures moins cinq, je suis sortie de la voiture et je suis allée me pencher dans le coffre arrière. L'emplacement était assez discret. J'ai baissé le collant et relevé la robe, attendant le premier coup de cravache, qui est venu me brûler quelques secondes plus tard. J'ai réussi à ne pas crier et j'ai compté jusqu'à 15, puis mes fesses ont été photographiées. Je me suis rhabillée et mon mari m'a montré le résultat au dos de l'appareil : de grandes stries rouges qui n'auraient pas disparu en 5 minutes. Je ne voulais pas y aller, mais mon mari m'a fait toucher mon sexe, inondé, et je suis partie pour mon rendez-vous...
On m'a tout de suite invitée à me "préparer". Dans la minuscule cabine, j'ai tout enlevé, comme convenu, redoutant la réaction de l'esthéticienne. Au stries sur les fesses s'ajoutaient les marques du soutien-gorge que je n'avais aucune raison valable d'enlever. J'ai rejoint la table en m'efforçant de ne pas me montrer de dos, les bras repliés sur les seins.
"- Pourquoi vous êtes toute nue... c'est juste pour le maillot, non ?
- Euh !... je n'ai qu'une robe... je dois la remettre ?"
L'effet magique se produisait à nouveau. Je rougissais. Je me sentais ridicule, d'autant plus que l'employée me regardait elle aussi, avec un air moqueur. L'esthéticienne n'avait pas envie de discuter :
"- Moi, je m'en fiche, je me demande juste pourquoi vous avez enlevé le soutien-gorge. Enfin, chacun son truc...
- Mais...
- Laissez tomber, je vous dis que je m'en fiche !"
La séance a été assez douloureuse. Elle devait bien voir à quel point tout cela m'excitait, et elle ne me ménageait pas, surtout avec la pince à épiler, pour finir. Je gémissais. A la fin, alors que je m'éloignais de la table à reculons, elle m'a dit :
"Retournez-vous"
J'ai obéi et j'ai presque couru jusqu'à la cabine. Je me suis rhabillée et j'ai réglé la séance à l'employée que j'avais vue en début de séance. Elle était tout sourire : "En espérant vous revoir très très bientôt, Madame !" m'a t-elle dit en me tendant la carte de fidélité tamponnée...
Mon mari s'est déclaré très content de la première partie du programme, et impatient d'assister à la seconde...
Le samedi après-midi j'ai un cours d'aquagym. Nous sommes une quinzaine de femmes de tous âges, et quatre hommes. A force, on se connaît, mais sans plus. D'habitude, comme la plupart des femmes de mon cours, j'arrive avec mon maillot sur moi. Mais cette fois bien sûr, il n'en était pas question... J'ai mis ce qu'avait choisi mon mari : collants très fins, soutien-gorge blanc et opaque en coton fin, jupe et pull. et j'ai emporté un maillot de bain deux-pièces (ce qui ne se fait pas en général pour l'aquagym) blanc dont j'avais oté la doublure.
Juste avant de partir, j'ai répété les consignes et mon mari a pressé fortement la fermeture du soutien-gorge avec une pince...
Comme convenu, j'ai d'abord enlevé la jupe et le pull et je suis restée debout. Je respirais difficilement. J'ai relevé mes cheveux et j'ai demandé si quelqu'un avait un élastique, ce qui n'était pas prévu et a fait tourner tous les regards vers moi. J'ai traversé tout le vestiaire pour le récupérer, je transpirais, la fille a bien vu que j'étais gênée qu'elle voie ma tenue. J'entendais des chuchotements qui augmentaient ma honte J'ai attendu quelques secondes et j'ai retiré le collant, puis j'ai essayé de dégrafer le soutien-gorge, sans succès bien sûr. J'ai demandé de l'aide, déjà toute cramoisie...
Une des femmes a proposé de me l'enlever par le haut, ce qu'elle a fait en touchant au passage mes tétons évidemment très durs, ce qui a provoqué une vague de plaisir en moi.
Toutes ces femmes avaient vu mon sexe nu, mes seins excités, j'étais entièrement nue au milieu de ces femmes couvertes, comme une inférieure. J'ai entendu une voix d'homme à l'entrée du vestiaire : "Vous êtes prêtes ?" Dès qu'il m'a vue, il s'est retourné. Ca non plus, ce n'était pas prévu...
J'ai donc enfin mis mon maillot, noué très lâche, et nous sommes toutes sorties, en direction des douches puis du bassin. J'entendais des chuchotements qui s'arrêtaient dès que je m'approchais. Au loin, je voyais mon mari qui allait me regarder. Dès que le maillot a été mouillé, c'était comme si j'étais seins-nus : sans doublure, il était transparent comme de la lingerie, et mal attaché, j'avais les tétons qui sortaient au moindre mouvement. Au bout d'un quart d'heure, ma voisine a fini par me dire sur un ton sec : "Vous n'avez qu'à l'enlever !" Les hommes, eux, n'arrêtaient pas de me regarder avec de plus en plus d'insistance
A la douche, elles me regardaient toutes mais rien d'autre ne s'est passé. A ma sortie, le professeur m'a appelée. Sans baisser la voix, alors qu'il y avait des clients autour de nous, il m'a dit qu'il fallait que j'aie des tenues correctes, que j'arrête de m'exhiber sans arrêt...
Je voyais les gens se retourner vers nous, il n'en finissait pas de m'humilier, alors que deux femmes du cours nous avaient rejoints et ne perdaient rien de cette mise au point, visiblement satisfaites.
Le semaines suivantes, j'ai dû ravaler ma fierté pour me soumettre à leur loi mais j'ai continué à me mettre nue pour enfiler mon maillot. Je sortais de la douche bien après les autres, pour être encore nue quand elles étaient déjà habillées, et subir leurs regards.
Ce samedi m'avait vraiment comblée, avec le plaisir suprême d'attendre des heures avant de raconter tous les détails à mon mari, attachée les yeux bandés dans la chambre d'hôtel qu'il avait louée pour le soir même. J'ai été fouettée, et prise plusieurs fois dans la nuit
Ce matin-là, comme chaque matin, à peine arrivée au bureau, je me suis déshabillée entièrement dans les toilettes, je me suis passé un linge humide et froid sur tout le corps, pour me tonifier. J'ai sagement rejoint mon bureau pour commencer ma journée de travail.
Vers 10 heures, j'ai reçu mon premier coup de téléphone. Ce n'était pas le client dont j'attendais l'appel : c'était l'employée de l'esthéticienne qui ne m'avait pas ménagée, quelques jours auparavant...
"- Bonjour madame, vous avez rendez-vous ce soir à la boutique, 19 heures... votre mari sera là."
J'étais vraiment surprise : d'après elle, elle aurait récupéré mon adresse sur mon chèque et aurait recherché mon n° de téléphone, aurait appelé quand mon mari était seul à la maison.
"- Mais je viens de faire mon épilation !
- C'est juste un petit rafraîchissement, pour montrer comment on fait. Ne vous inquiétez pas, votre mari est au courant et il sera là"
Elle a raccroché sans en dire plus. Evidemment, je n'ai pas pu joindre mon mari ! L'histoire s'est mise à trotter dans ma tête...
Vers 11 heures, un coursier est venu m'apporter un petit paquet. Je n'avais jamais vu le nom de l'entreprise qui figurait sur sa sacoche. Je signe le papier, mais je vois qu'il reste...
"- Vous devez contrôler le contenu, il y a un autre récépissé, pour moi..."
Quand j'ai ouvert le paquet, j'ai trouvé une petite carte de la main de mon mari : "Voici pour ton rendez-vous de 19 heures. Donne l'enveloppe au coursier. A ce soir"
Le coursier a découvert le mot et m'a dit, un peu gêné quand même "Une paire de collants noirs ; un soutien-gorge en tulle noir". Je lui ai montré les 2 articles en tremblant de honte. J'ai signé en détournant les yeux, il a signé le papier, a pris le double autocopiant, et il est parti. J'avais très chaud, extrêmement chaud, j'étais aussi très anxieuse...
Plus les heures passaient, plus j'angoissais. Plusieurs fois j'ai essayé de joindre mon mari, sans succès bien sûr... Peu après 18 heures, je me suis décidée. Je suis allée me changer. Une fois nue devant la glace, je me suis longuement regardée, j'avais envie de fuir et envie de rester. J'ai enfilé les collants, si fins que mon sexe se voyait parfaitement, puis j'ai mis le soutien-gorge : mes tétons sont sortis par les ouvertures. C'était la première fois que je voyais un tel article : c'était particulièrement indécent, on voyait un cercle de peau blanche, le mamelon brun puis le téton plus rose, pointant évidemment. Je me demandais ce qui allait m'arriver...
J'ai remis mon pull fin et ma veste, ma jupe et mes chaussures...
Sur la route, j'ai voulu en avoir le cur net, je suis entrée dans un grand magasin. Au rayon vêtements, j'ai retiré mon manteau et ma veste, pour voir... j'ai cru m'évanouir : on voyait tout sous mon pull blanc, soutien-gorge et seins.
"- Je peux vous aider ?"
J'ai sursauté. La vendeuse était souriante mais son regard s'est immédiatement fixé sur mes seins. Je bredouillais. J'ai dit que je n'avais pas le temps, j'ai tout remis et je suis sortie en courant... Je venais encore de connaître une situation qui m'excitait au plus haut point. Mais la boutique d'esthétique était déjà en vue. Je me suis approchée, la peur au ventre.
Dès qu'elle m'a aperçue, la vendeuse est venue déverrouiller la porte sur laquelle on voyait un panneau "Fermé". Je suis entrée, elle m'a souri : "Je suis contente que vous soyez venue". Elle m'a entraînée vers le fond de la boutique, nous sommes entrées dans une pièce obscure, puis elle a allumé.
Il y avait au moins 20 personnes dans la pièce. Parmi elles, j'ai reconnu mon mari dans le fond, ce qui m'a un peu rassurée. Il y avait des hommes et des femmes de tous âges, bien habillés, qui attendaient sagement près de la table centrale. J'ai eu un mouvement de recul, mais l'employée m'a saisi le bras et entraînée vers la table. J'ai tout de suite compris qu'il n'y aurait pas de cabine pour moi. L'employée m'a enlevé le manteau et, malgré ma résistance, la veste. Il y a eu un murmure parmi les gens. Mes joues étaient brûlantes. Elle a parlé : "Cette femme est venue il y a quelques jours pour épiler son sexe, et elle voulait absolument se mettre entièrement nue. Je vais vous montrer le résultat de l'épilation et donner à cette petite excitée une occasion de se montrer, puisqu'elle aime ça. Enlevez votre jupe, et allez la poser là-bas..."
Il était inutile de résister. J'ai enlevé la jupe et tout le monde à vu que mon collant ne cachait rien du tout. J'ai dû me retourner pour aller la poser où l'employée m'avait dit de le faire, de sorte que tout le monde a pu voir mes fesses aussi bien que si j'avais été nue. Mon mari avait déjà commencé à prendre des photos, mais il était le seul à le faire.
L'employée m'a fait mettre à genoux sur la table, cuisses écartées, et chacune et chacun a défilé autour de moi pour constater la transparence du voile. Pour chaque spectateur, elle plaquait le collant contre mon sexe, le faisait entrer entre mes fesses. Certaines faisant des commentaires à voix basse. J'étais presque soulagée d'enlever les collants. Les gens s'étaient assis et avaient les yeux à hauteur de mon sexe, et je devais garder les cuisses ouvertes. Par groupes de deux ou trois, les gens s'approchaient. L'employée montrait les zones qu'elle épilait, les zones les plus sensibles, parlait de l'avantage esthétique, saisissant mes lèvres entre ses doigts gantés, faisant remarquer à l'assistance l'extrème humidité de mon sexe en montrant son gant mouillé. Elle insista pour faire remarquer mes seins qui pointaient.
Elle m'a fait signe d'enlever le pull...il y a eu un murmure.
"Venez voir de plus près..." Ils se sont approchés. Elle a saisi un téton et l'a fait rouler entre ses doigts : "Vous voyez, elle est très excitée" Elle met ce genre de soutien-gorge par vice, pour montrer qu'elle a des tétons toujours durs."
Je n'en pouvais plus. Elle me maintenait les bras pendant que deux bourgeoises me touchaient sous prétexte de juger de la qualité du tulle, sous l'objectif de mon mari.
J'ai été retournée, regardée sous toutes les coutures, humiliée par les propos de uns et des autres. L'employée m'a ensuite retiré le soutien gorge et a sorti un martinet du tiroir. Elle a commencé à me fouetter partout. A chaque coup, elle demandait à l'assistance ce qu'elle devait faire, continuer ou arrêter. Les marques rouges s'accumulaient sur mes seins, mon ventre, mes cuisses, mes fesses et mon dos. Enfin elle s'est arrêtée. Elle a sorti un flacon et a commencé à me masser, en évitant soigneusement mon sexe, mais malgré cela je sentais le plaisir monter. Elle s'est lavé les mains et a déclaré à l'assistance : "Maintenant, elle va jouir devant vous, pour vous offrir le reste de son intimité."
J'ai dû m'exécuter, je crois que je n'aurais pas tenu encore longtemps sans le faire de ma propre initiative. J'ai joui plus fort que je ne l'avais jamais fait. Je mes suis rhabillée sans un mot, me rendant d'un seul coup compte de ma honte. Déjà, sur la route du retour, l'idée de voir les photos a commencé à m'exciter de nouveau... à moins que ce soit la dernière phrase de l'employée : "La prochaine fois, c'est vous et moi seulement !"
L'épisode de la pseudo-épilation en public m'avait terriblement excitée. J'avais été exhibée, humiliée physiquement et moralement, obligée de me faire jouir devant tout le monde. Dès le lendemain, les photos étaient sur Internet, et je n'arrêtais pas de les regarder...
Une dizaine de jours plus tard, dans la matinée, j'ai reçu un email de l'employée de l'esthéticienne : "Rendez-vous 19 heures, pour entretien d'épilation. Passez ce midi à 12h20 précises à la boutique "Charmes" et demandez Michèle, de la part de Sofia". Suivait l'adresse de la boutique...
Impossible de me concentrer sur quelque-chose. Ce matin-là, j'étais tellement pressée que je m'étais habillée n'importe comment : jean, chaussettes, chaussures à talons plats, tee-shirt et pull, un vieux soutien-gorge blanc, avec un peu de dentelle, et un string, plus mon manteau bien sûr. Et rien pour me changer...
La boutique se trouvait dans le grand centre commercial, je n'y étais jamais entrée. Par la vitrine, j'ai vu deux vendeuses et une cliente. J'étais à l'heure. Sur la porte, j'ai pu constater que le magasin fermait de 12h30 à 14h00, ce qui a brutalement augmenté mon angoisse. Je suis entrée et j'ai marché jusqu'au comptoir. J'ai demandé Michèle...
"- C'est moi ! Asseyez-vous là et attendez." J'ai obéi. La cliente a quitté le magasin. La seconde vendeuse est sortie, et Michèle a fermé la boutique derrière elle, avant de revenir vers moi...
Elle me détaillait de la tête aux pieds.
"- Retirez-moi ce pull... et le reste. Je veux vous voir en sous-vêtements"
J'ai encore obéi et je me suis retrouvée devant elle avec mes chaussettes ridicules et mes sous-vêtements dépareillés. Elle s'est mise à rire : "Venez-voir, Madame..." Je me sentais toute brûlante quand j'ai vu arriver la patronne, avec son appareil photo. J'ai compris qu'il était inutile de résister. Elle a pris plusieurs clichés, puis j'ai dû tout enlever. Elles ont essayé tout un tas d'articles sur moi, puis elles ont choisi un haut transparent noir, une sorte de juste-au-corps moulant, à longues manches, sans la moindre dentelle pour me cacher, et une paire de bas noirs avec porte-jarretelles, puis enfin un string. J'ai été de nouveau photographiée. Puis la patronne a dit :
"- On y va. Elle enlève les bas et le porte-jarretelles, et elle remet le jean et le pull...
- On va où ?
- On va t'habiller !"
Dix minutes plus tard, nous étions dans le rayon vêtements de l'hypermarché. J'avais les mains moites. L'employée me serrait de près. La patronne a pris un chemisier blanc et me l'a tendu :
"- Essaye ça !
- Où sont les cabines ?"
Les deux femmes se sont regardées en riant "C'est ici la cabine !" Je voyais beaucoup de monde dans le magasin. Les deux femmes me regardaient avec insistance. Juste devant une glace, j'ai enlevé le pull, que la patronne m'a aussitôt arraché des mains : j'ai aussitôt replié les bras sur ma poitrine. "Les mains dans le dos !" J'ai fini par obéir. Elle a attendu au moins trente secondes avant de m'autoriser à enfiler le chemisier. A cet instant, l'employée est revenue avec une vendeuse du magasin et un autre chemisier, noir celui-là : "Qu'est-ce qui lui va le mieux, à votre avis, le blanc ou le noir ?"
La vendeuse a répondu qu'il fallait essayer. La patronne s'est retournée vers moi en souriant : "Vous voyez, il vaut mieux essayer l'autre". Alors j'ai retiré le chemisier blanc, dévoilant mes seins à la vendeuse, qui a bredouillé "Vous avez des cabines..." La patronne a dit qu'on n'avait pas assez de temps. J'ai enfilé le noir, qu'elles ont choisi pour moi, puis j'ai dû de nouveau me montrer pour remettre mon pull. Toujours accompagnées de la vendeuse, nous sommes allées voir les jupes : elles m'en ont fait essayer 7 ou 8, à chaque fois on voyait mon sexe au travers du tulle et mes fesses nues. Les clientes se retournaient.
J'ai eu droit à la robe la plus courte. Nous sommes allées aux toilettes où je me suis changée avant d'aller acheter des chaussures. J'ai mis la jupe, le chemisier noir ouvert, les bas et le porte-jarretelles ; j'ai remis mon manteau, ouvert bien sûr, et nous sommes sorties. En plein milieu du centre, j'ai dû enlever le string.
La séance d'essayage de chaussures était pire que celle que je m'étais imosée quelque temps auparavant. Plusieurs fois, la vendeuse a remarqué mes bas et mon sexe nu, mon haut transparent, j'ai vu son regard gêné. J'avais interdiction d'empêcher le manteau et le chemisier de s'ouvrir, mais comme la patronne a trouvé que je trichais, j'ai dû enlever le manteau, ce qui a provoqué l'ouverture du chemisier et l'exposition des mes seins. Comme pour les vêtements, c'est elle qui a choisi pour moi, m'humiliant une fois de plus devant une vendeuse. Les deux femmes m'ont rendu le string et mon pull et m'ont convoquée pour 19 heures. Je suis rentrée et me suis remise au travail, malgré mon envie folle de me caresser... Je ne sais pas si quelqu'un a remarqué que j'avais un peu changé de tenue.
Je suis arrivée juste à l'heure à la boutique de l'esthéticienne, où m'attendait l'employée. J'avais les mains moites. Elle m'a fait entrer dans la pièce de l'autre soir, mais il n'y avait personne. J'ai retiré mon manteau et mon chemisier et je me suis assise sur la table, comme elle me l'a ordonné et j'ai attendu. Puis les gens ont commencé à arriver, me dévisageant à chaque fois, regardant systématiquement mes seins. Je ne reconnaissais pas les visages de l'autre fois, mais il s'agissait comme l'autre fois d'hommes et de femmes de tous âges. Mon mari était là aussi, avec l'appareil. L'employée m'a présentée comme une délurée, je n'osais pas regarder les gens.
Le manège à recommencé. Je me suis retrouvée en string. A chaque personne qui regardait, elle écartait le tulle et découvrait mes lèvres. Elle a fini par enlever le string et a montré à tout le monde les petits poils qui réapparaissaient. Elle a sorti une pince à épiler et a commencé à les arracher, un par un, faisant régulièrement remarquer combien j'étais mouillée, donc excitée. Ca a duré très longtemps, j'avais les tétons très durs, tout le monde les touchait.
"- Maintenant, on va voir si elle est plus docile que l'autre fois"
Je me demandais ce qu'elle pouvait bien vouloir dire. Elle a retiré sa blouse et enlevé son tee-shirt. Elle était absolument plate, avec des tétons roses tendus, qu'elle m'a présentés devant la bouche. J'ai dit non. Elle m'a giflée et m'a enlevé le juste-au-corps. J'étais entièrement nue. Bientôt mes mains ont été attachées et tirées vers le haut. J'ai été descendue de la table et mise à genoux. J'ai senti de nombreux coups de martinet. A la fin de la deuxième série, j'ai capitulé et je lui ai longuement sucé les tétons, devant un public satisfait. Elle s'est ensuite allongée sur la table, me présentant son sexe, que j'ai massé avec la langue, jusqu'à ce qu'elle jouisse.
Je croyais que c'était fini quand elle m'a détachée et que j'ai vu tout le monde qui se levait... Mais elle m'a tendu un soutien-gorge seins-nus, en me disant :"Voici ta tenue pour le repas, avec les chaussures, c'est bien suffisant ". En fait elle avait organisé une sorte de buffet, qui a duré jusqu'à deux heures du matin, où j'ai dû faire le service, presque nue au milieu de tous ces gens habillés. Certains faisaient des remarques sur mon physique, certaines me tâtaient les seins pour deviner ma taille, d'autres me demandaient si j'étais mouillée. A la fin, l'employée m'a ordonné de me caresser sur la table. J'ai à peine posé un doigt sur mon clitoris que j'ai explosé en me tortillant sur la table. Je me suis rhabillée devant tout le monde, d'autant plus honteuse que mon excitation était un peu retombée...
Mais dès que nous sommes arrivés à la maison, mon mari s'est jeté sur moi et j'étais de nouveau trempée...
Plus les jours passaient, plus je prenais de plaisir à mes propres perversions. J'avais décidé de tenir un agenda, sur lequel je pourrais tenir le compte de mes actions quotidiennes. Ainsi, à chaque fois que j'arrive à montrer ma lingerie, à me montrer partiellement ou totalement nue, je le note scrupuleusement...
Or, j'avais remarqué que je prenais du retard dans mes objectifs... En près de dix jours, j'avais juste réussi à laisser voir mes seins par une employée de banque : j'avais volontairement laissé un compte à découvert après un changement d'agence, et comme prévu, j'avais bien sûr été invitée à passer voir mon ancienne conseillère.
Première humiliation : dire assez fort au guichetier que j'étais convoquée par Mme X pour mon découvert... j'ai senti les regards se tourner vers moi. Puis la conseillère m'a fait entrer. J'ai retiré mon manteau pour dévoiler un chemisier certes opaque, mais outrageusement décolleté. J'ai subi la leçon de morale avec beaucoup d'excitation, me levant au moindre prétexte pour me pencher devant elle et lui offrir la vue de mes seins nus. J'aurais voulu qu'elle m'arrache le chemisier, qu'elle fasse venir d'autres personnes, j'aurais voulu au moins qu'elle me dise de me cacher... mais rien. Décidément, c'était un bilan bien maigre. Il fallait que je trouve autre chose... Dès le lendemain, j'ai eu l'occasion de me rattr !
Ce jour-là était jour de marché. Pour qui aime la honte, c'est idéal le marché, pas de chichis au marché. Toute la matinée, j'ai hésité sur la tenue, mon dé avait roulé puis s'était arrêté sur le 4 : 4 vetements maximum. Comme chaque jour, je me suis deshabillée plusieurs fois entièrement, et la dernière fois de la matinée je me suis décidée : petit haut moulant sur seins nus, jupe plutôt courte, string, chaussures. Je suis arrivée au marché, bien décidée à trouver une robe légère...
Rien ne me plaisait, les commerçants n'avaient pas l'air engageant. Enfin j'ai vu un étal mieux garni, deux vendeurs bavards et de bonne humeur. Un coup d'oeil autour, pas grand-chose pour se cacher. Je sentais mon coeur battre de plus en plus fort...
"Je peux essayer ?"
L'un des deux vendeurs m'indiqua le camion du doigt. J'ai croisé une femme au regard mauvais, sans y prêter attention, puis je suis montée. C'était un peu sombre, mais impossible de s'avancer dans le fond ni de pousser la porte, encombrée. Je me suis retournée pour enlever mon haut et ma jupe, ainsi presque nue, j'ai dû faire face à l'extérieur pour attr la robe à essayer. C'est alors que la femme est arrivée vers moi, visiblement énervée, parlant au téléphone... Elle est montée d'un bond dans le camion et a saisi la robe. "Petite pute, je vais t'apprendre à allumer les hommes de la famille !"
A peine avait-elle fini sa phrase qu'une autre femme est entrée dans le camion. "C'est elle ?" L'autre a répondu que oui. La première à arraché mon slip, et elles m'ont sortie du camion en m'insultant. Tout le monde se retournait, j'étais totalement nue en pleine ville. Des femmes m'ont jeté des fruits, d'autres m'ont frappée au passage. J'ai été entraînée jusqu'à une voiture, où se trouvait une troisième femme, prête à démarrer. Alors que les deux autres m'installaient sans ménagement à l'arrière sous le regard de passants qui s'agglutinaient, elle a démarré. La voiture est partie immédiatement, mais tout doucement...
Durant tout le trajet, elles m'ont griffée, giflée, m'obligeant à garder les cuisses ouvertes, pinçant mes seins. Je sentais leur mains claquer un peu partout sur mon corps. La voiture s'est arrêtée une première fois, et les gens sont venus s'agglutiner autour de nous. J'étais exposée sous toutes les coutures, et, malgré mes suppliques, bientôt la vitre s'est baissée : une dizaine de mains ont commencé à me malaxer tout le corps. Bras et jambes fermement tenus, j'ai dû laisser faire : hommes et femmes prenaient plaisir à m'humilier, à m'insulter. Enfin la voiture est repartie, nous sommes sorties de la ville
Nous sommes arrivées au bout d'une zone pavillonnaire en fin de construction. Elles m'ont entraînée dans le jardin, où un portique venait d'être installé. Je gémissais. J'ai été attachée les bras en l'air devant mon visage, les jambes écartées par une barre. Je devais me tenir sur la pointe des pieds et je ne voyais presque rien. Elles ont chacune pris un martinet et me les ont montrés. Et puis ça a commencé. J'ai été rougie des pieds aux poignets, j'avais les seins en feu, je gémissais à chaque fois que les lanières s'abattaient à l'intérieur de mes cuisses. Je n'entendais même plus les insultes. Puis l'une des trois a mis fin au supplice.
" Puisque tu es une pute, on va te parfumer comme une pute et t'habiller comme une pute ! " Quelques secondes ont passé et j'ai senti l'odeur de l'eau de Cologne
j'ai hurlé de peur au contact du liquide : tout mon corps était en feu, je me tortillais. Elles riaient. Ensuite, elles m'ont détachée : j'ai pu constater que je n'étais pas blessée mais écarlate. L'une des trois a apporté des chaussures à hauts talons, une jupe ultra-courte et m'a noué un bas autour des seins. " On y va "
Après une centaine de mètres, j'ai compris où nous allions : vers les maisons en construction où s'activaient une dizaine d'ouvriers. Là, pendant une heure, j'ai été promenée, pelotée, insultée, j'ai dû prendre des poses indécentes. Le peu que j'avais sur moi a été arraché presque aussitôt.
" Tu vois, petite pute, la prochaine fois, on te laisse avec eux ! "
J'étais soulagée d'échapper au pire, mais mon supplice n'était pas totalement terminé : elles m'ont déposée toute nue à cent mètres de chez moi, après m'avoir rendu mon sac à main " On sait où tu habites maintenant
fais gaffe, petite pute ! ". Elle m'a tendu une photo prise pendant mon supplice " Les autres, on les garde ! " J'ai couru et je me suis engouffrée chez moi, devant des passants moqueurs. J'ai pris un bain et je me suis caressée plusieurs fois pour faire baisser l'excitation, en regardant la photo : j'aurais voulu toutes les avoir
On ne sait jamais si on oublie vraiment les choses par distraction. Toujours est-il qu'après la mésaventure du marché, à laquelle je pensais sans arrêt, mes petits stratagèmes ordinaires me semblaient bien fades
et j'ai oublié mon affaire de découvert. La banque, elle, ne m'a pas oubliée
C'était un vendredi matin, mon téléphone sonne. Ce n'était pas ma conseillère habituelle, mais la directrice de l'agence. Dès le début de la conversation, je l'ai trouvée cassante : j'avais beau invoquer un oubli, elle se bornait à me faire la morale. " Non madame, ce n'est pas une invitation, c'est une convocation avant poursuites. Demain neuf heures ! "
Le soir même, pas question d'en discuter avec mon mari : il était en province pour une semaine encore. C'était idiot, quelques centaines d'euros, il suffisait d'apporter un chèque et puis voilà : je le savais, elle non
C'était simple, sauf que dans ma tête et dans mon ventre, les choses étaient un peu plus compliquées.
Arrivée à l'agence, j'ai dû attendre près d'une demi-heure avant qu'une secrétaire me fasse entrer dans le bureau de la directrice. J'avais déjà très chaud. La directrice était accompagnée de la conseillère, qui se tenait en retrait. Pas de poignées de main.
La porte à peine refermée, la directrice a commencé : " Madame, je n'ai pas la complaisance de votre conseillère : votre salaire n'est pas domicilié ici et votre découvert est dépassé. Sachez que je n'ai pas apprécié votre manège de l'autre jour !
"
Je me sentais devenir écarlate, je baissais les yeux
" Vous êtes habillée comment aujourd'hui, toujours en pute ? " Elle a ouvert mon manteau et pris ma conseillère à témoin " Vous voyez ?
Ca marche peut-être avec les hommes, mais pas avec moi. Ah vous voulez vous montrer ? Retirez-moi ce manteau et allez attendre dans l'agence, debout bien sûr ! Ensuite, vous m'expliquerez pourquoi vous vous conduisez ainsi quand vous êtes en tort !"
J'ai enlevé le manteau. Le matin, j'avais opté pour une jupe courte mais sans plus, avec un tee-shirt plutôt fin, et dans la glace de l'armoire du bureau, je pouvais constater que deux tâches brunes marquaient nettement le bout de mes seins au travers du tissu blanc très ajusté. Je voulais dire " je vais payer, tout de suite " mais je n'ai rien dit, je suis retournée dans l'agence, où il y avait pas mal de monde. Je sentais tous les regards sur moi, c'était terrible, mais le pire était à venir : la commère de l'immeuble venait d'entrer dans l'agence et elle se dirigeait vers moi
" Bonjour
vous ne faites pas la queue au guichet ? "
J'ai répondu que j'attendais juste ma conseillère. Les yeux de la voisine passaient sans cesse de mes yeux à mes seins, la conversation s'éternisait. Elle en parlerait à tout le monde, c'était sûr. C'était interminable
Enfin, la directrice m'a fait de nouveau entrer dans son bureau, où se trouvait toujours ma conseillère.
"Alors ?"
Il fallait que je réponde...
"C'était par... humilité, un moyen de montrer que j'étais en tort, que je ne pouvais plus traiter d'égal à égal. Je devais être moins habillée que vous..."
Elle m'a regardée d'un air supérieur, visiblement satisfaite
" Vous allez être servie ! Vous comprendrez bien sûr que même si je ne veux pas vous causer d'ennuis, je ne peux pas laisser passer votre attitude... alors donnez-moi votre tee-shirt, confisqué ! "
Il y a eu un long silence, puis devant son air décidé, j'ai obéi, ce qui par le frottement bref du tissu et le passage à l'air libre, plus frais, a fait durcir mes tétons de plus belle !
" Voilà
maintenant la jupe !
Confisquée !"
J'ai obéi, en suppliant la directrice de s'en tenir là, en lui jurant que j'avais compris la leçon
J'étais là en slip, debout dans le bureau. Ma conseillère était aussi gênée que moi, elle voulait que la directrice se calme, mais mon slip indécent la faisait redoubler de fureur :
" Le slip aussi, confisqué !"
Je refusais en faisant de grands gestes, rouge de honte, les tétons plus pointus que jamais, mais elle restait inflexible. Elle m'a tordu le bras derrière le dos et a ordonné à ma conseillère de d'enlever mon slip. Celle-ci a découvert mon sexe fraîchement épilé, et manifestement trempé. Je n'ai plus résisté et je me suis retrouvée entièrement nue dans le bureau.
Et ce que je craignais le plus est arrivé, elle a décroché son téléphone : " Allo ! chéri ?
viens voir un peu " Elle souriait alors que je me recroquevillais sur moi-même. L'homme est entré dans le bureau, surpris de me voir ainsi, nue et cramoisie. La directrice m'a sèchement rappelée à l'ordre : " Tenez-vous correctement, au moins ! " J'ai compris qu'il était inutile de résister. En montrant mon sexe à son mari, elle lui a proposé de faire la même chose pour son anniversaire. C'est tout juste s'il n'a pas touché. En tous cas, la scène s'éternisait, il fixait mes tétons
puis enfin j'ai été libérée, enfin d'une certaine manière
" Vous récupèrerez vos affaires quand vous aurez comblé votre découvert ! "
En me lançant mon manteau, elle a ajouté en riant : " J'ai aussi confisqué les boutons
"
Ils étaient là tous les trois à me regarder, humiliée, même ma conseillère se moquait de moi, trop contente de la bienveillance retrouvée de sa patronne. Je suis sortie de la banque en maintenant tant bien que mal mon manteau contre moi, bien décidée à envoyer un chèque pour solde de tous comptes
Dans le bus, on aurait dit que j'avais froid, ce qui attirait les regards car il faisait bon. Par la doublure de ma poche, j'ai pu atteindre mon sexe trempé, qui devrait attendre encore
Un soir rentrant chez moi, jai eu la surprise de voir devant la porte de limmeuble une personne que je redoutais : une des deux femmes du marché, celle qui mavait le plus malmenée. Un peu plus loin, jai vu sortir dune voiture lautre femme que je connaissais, tirant par le bras une autre femme. Inutile de faire demi-tour
« Tu nous fais monter, il faut quon discute ! »
Elle navait pas lair commode et regardait avec insistance dans mon décolleté : jai vite compris ce quelle exigeait comme préalable, jai sorti mon chemisier de ma jupe et jai docilement retiré mon soutien-gorge avant de le lui donner. Elle était satisfaite. Les deux autres femmes étaient arrivées entre temps.
Dans le hall, jai dû déboutonner entièrement le chemisier, et monter les escaliers sans précipitation. Jétais contente darriver à mon appartement sans avoir été vue. Nous sommes alors entrées toutes les quatre. Je sentais bien que j'avais intérêt à être conciliante, à précéder leurs désirs plutôt que de résister « Quest-ce que je dois enlever maintenant ? » Jai compris à son sourire que je ne pouvais rien garder. Elle sest alors adressée à la nouvelle : « Tu es nouvelle dans la famille, mais on te connaît : on veut juste te montrer ce qui se passe avec les dévergondées
»
Je commençais à minquiéter
« Tu vois, celles qui ne se conduisent pas bien nont plus le droit à la pudeur : cette traînée va bien écarter les cuisses et texpliquer ce qui lui est arrivé.. » Je suis allée m'installer sur la table basse, jambes écartées, les mains sur la tête, bien cambrée pour offrir mes seins, dont les tétons étaient déjà bien durs. Et j'ai raconté...
« Javais envie de me montrer, alors je suis allée au marché essayer des vêtements, sans mettre de soutien-gorge
Je voulais qu'on voie mes seins, absolument»
Pendant dix minutes, rouge de honte, jai dû détailler toutes les humiliations que javais subies, jurer de me déshabiller à chaque fois quon me le demanderait. J'ai alors cru que cétait fini, car la jeune femme à qui je racontais mon histoire semblait terrorisée. Erreur !
Une des deux femmes a sorti une boule de tissu de son sac et me la jetée « Mets ça ! » . Cétait une petite robe blanche très fine et très décolletée, mais surtout extrêmement courte : il fallait que je reste absolument droite pour quon ne voie ni mes fesses ni mon sexe. Je savais quil ny avait pas à discuter : nous sommes descendues toutes les quatre et la voiture a démarré aussitôt. J'ai remonté la robe pour leur permettre de mettre mon sexe à nu, mes seins étant déjà sortis...
Le premier arrêt a eu lieu dans une petite ville organisant un vide-grenier. Dans les allées, jattirais dautant plus les regards que jétais raide dans ma démarche. Il faisait chaud mais j'étais la seule à être aussi peu habillée. Celles qui maccompagnaient marchaient en regardant un peu partout, à la recherche dune idée
« Att cette boîte rouge, là-bas ! » La table était large : il fallait que je me penche et que je métire. Après quelques secondes, lexposant est venu maider, après avoir bien regardé mes seins. J'ai à peine eu le temps d'encaisser le coup : « Tiens, essaye ce chapeau ! » : la jeune femme quon mettait en garde prenait goût au jeu
Après quelques secondes dhésitation, jai levé les bras : j'ai senti le tissu remonter le long de mes fesses. Javais beau avoir une accompagnatrice devant et une derrière, javais bel et bien le sexe et les fesses à lair « On ne ta pas dit de baisser les bras ! ». Jai vu lexposant qui se plaçait pour voir, puis jai croisé le regard de plusieurs passants
« Cest bon ». Jai enfin baissé les bras.
Un peu plus loin, une femme bradait des paires de chaussures. Une de mes accompagnatrices ma dit : « Je chausse du 39 ». Après quelques instants de réflexion, jai compris quil me fallait maccroupir pour lui enfiler les chaussures. Je me suis exécutée : je lai déchaussée, jai posé son pied sur ma cuisse et jai levé les yeux, attendant son signal, puis jai enfilé la chaussure à son pied. Cette scène navait pas plu à lexposante : « Vous ne pouvez pas mettre un slip et un soutien-gorge, comme tout le monde ? » Jai bredouillé des excuses en serrant un peu les cuisses, alors que quelques badauds se retournaient. Devant le regard de mes accompagnatrices, elle na pas insisté et nous nous sommes éloignées. Nous passions de stand en stand, presque tout le monde voyait mon corps... mais elles n'en avaient pas encore assez...
« Jai une idée, je reviens !»
Elle est partie sans dire un mot, et la visite humiliante des allées a repris, certains ne se gênant pas pour faire des remarques à voix haute. Dix fois, jai dû ramasser un trousseau de clés, me pencher, maccroupir. A chaque fois, elles remontaient la robe avec une petite baguette. A chaque fois que quelquun voyait quelque chose, lune des femmes faisait un petit bâton sur son calepin, en ricanant. Elle disait à lautre femme « Tu vois ce qui tattends si tu ne te tiens pas tranquille ! » Et elles riaient de moi
Et puis lautre est revenue avec un paquet. Arrivée devant nous, elle en a retiré un soutien-gorge blanc qui ne devait pas cacher grand-chose : « Cest pour qui, ça ? », et elle ma lancé larticle « Viens par ici ! » Elles mont entraînée un peu plus loin, dans une ruelle en impasse. Jai enlevé la robe avant quelles me le demandent. Elles faisaient un peu écran avec la foule, mais jétais quand même entièrement nue, et les secondes me paraissaient des heures !
Enfin, on ma passé le soutien-gorge. Je lai mis en vitesse et jai attendu de longues secondes sous lil et la moue des trois femmes. Lune delle sest appochée de moi et a jeté de leau froide sur mes seins, avant de les frotter pour mhumilier : la transparence était presque parfaite les tétons déformaient le tulle, et jai pu remettre la robe. Elle ma ensuite donné des consignes. Avant de me laisser partir, elle ma arraché un bouton de plus au décolleté de la robe, ma fait écarter les deux côtés pour asperger mes seins encore une fois. L'eau a aspergé mon sexe et coulé le long de mes jambes.
Alors comme il me lavait été ordonné, je suis retournée voir celle qui bradait ses chaussures : « Quest-ce que vous voulez encore ? » Mon cur battait à toute vitesse, je me suis lancée en écartant mon décolleté « Je voulais mexcuser pour tout à lheure
regardez, jai mis un soutien-gorge mais la culotte, ça je nai pas le droit
»
Elle était stupéfaite et furieuse, j'ai pris une gifle magistrale. Les passants venaient voir, les gens commençaient à sattrouper : les 3 femmes mont récupérée et nous sommes parties à temps. A peine dans la voiture, celle qui apprenait vite ma arraché le soutien-gorge et mis les seins bien à lair. Un peu plus loin, elle a enlevé le reste et a tout jeté par la fenêtre. J'étais humiliée et excitée comme jamais.
Le deuxième arrêt sest produit en pleine ville. Jai été sortie sans ménagement de la voiture et emmenée dans le hall dun vieil immeuble. Après quelques minutes interminables, nous sommes montées au troisième. Une femme dune soixantaine dannées a ouvert la porte. Après mavoir détaillée de la tête aux pieds, elle nous a fait entrer
et jai découvert une vingtaine dhommes et de femmes. On ma mise sur la table de salon, et tout le monde est venu me toucher partout, constater que jétais trempée. Après, ils sont tous partis dans le pièce dà côté, pour discuter.
Quand ils sont revenus, une des femmes ma dit « Quand je te le dirai, tu viendras ici pour faire le service à table, compris ? » Jai acquiescé en baissant les yeux. Alors nous sommes reparties
directement chez moi. En arrivant, jai supplié pour quelles me laissent jouir. Alors elles mont dit de les attendre chez moi : elles mont jetée nue sur le trottoir, mont lancé les clés et je me suis précipitée à lintérieur de limmeuble. Le couple du deuxième est sorti au moment où je passais : ça ne serait jamais plus comme avant
dautant que la commère ma vue également.
Mais moi jétais surtout incroyablement excitée
je voulais qu'elles reviennent finir leur travail...
Elles ne sont montées qu'une demi-heure plus tard, et je me suis vite retrouvée attachée les bras en lair pour un séance de flagellation. J'ai dû avouer que j'étais une traînée, que je serai leur jouet, que je l'avais bien méritée, cette correction. J'aurais voulu qu'il y ait des dizaines de spectateurs...Quand ça a été fini, lune des trois ma enduite de crème apaisante, ce qui ma fait jouir très fort et très vite, pendant qu'une autre fouillait dans mon armoire et trouvait un bikini blanc : "Maintenant, on va à la piscine faire admirer tes jolies rougeurs..."
Elle m'a donné de quoi me couvrir un minimum et nous sommes parties : elles m'ont fait sortir de l'eau un nombre incroyable de fois, sous le regard des gens qui s'intéressaient autant à mes seins par transparence qu'aux légères traces de flagellation sur ma peau. Moi j'obéissais, et l'excitation remontait déjà très fort !
Il a ensuite fallu que j'enlève le haut, ce qui, à peine quelques minutes plus tard, m'a valu une réprimande du maître-nageur et une expulsion immédiate. J'ai encore attendu mes accompagnatrices pendant une demi-heure, toute nue dans les vestiaires...
A suivre
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