Ma Voisine (3)

Une semaine vient de passer pendant laquelle M. et moi n’avons eu aucun contact. Non pas que je veuille la fuir, si je pouvais je passerai toutes mes nuits avec elle, mais la situation est complexe pour que l’on puisse entretenir une telle liaison. Dois-je mettre mon mariage en péril pour une jolie trentenaire, aussi excitante et douée soit-elle ?
Pour autant, je n’ai aucune raison de la rejeter comme voisine ou amie, ça serait totalement injuste et éveillerait la jalousie de ma femme. Le sevrage semble donc être la meilleure des solutions. De son côté, M. doit probablement penser la même chose puisqu’elle n’a pas donné signe de vie. Match nul.

Nous finissons pas nous croiser alors que nous sommes en voiture. M. me fait un grand signe amical mais je n’ai pas la réactivité nécessaire et lui répond trop tardivement pour lui rendre son salut. Durant le trajet pour aller au centre commercial, je rumine cet acte manqué et me demande ce qu’elle va s’imaginer. J’hésite à lui envoyer un sms, zut, le portable ne passe pas dans le magasin, et le temps s’écoule inexorablement…bon tant pis, je me dépêche et je passerai chez elle au retour pour m’excuser.
Vingt minutes plus tard je rentre chez moi et file à pied chez M. Le cœur battant, je sonne, j’ai l’impression que ma poitrine va exploser en attendant qu’elle m’ouvre. M. tient son téléphone portable et repart dans le salon poursuivre sa conversation. Je prends ça pour une invitation et pénètre dans la maison. Elle tourne dans la pièce, le téléphone collé à l’oreille, elle a l’air absorbée par une conversation agréable et ne me prête aucune attention. Je m’apprête à repartir lorsqu’elle raccroche : « excuse-moi, c’était un copain ». Un copain ? La simple évocation d’un homme dans son entourage fait naître en moi un sentiment de jalousie, sentiment qui m’est habituellement étranger.
« Salut, désolé pour tout à l’heure, je t’ai vu trop tard »
- j’ai cru que tu me faisais la gueule
- Moi ? Pourquoi ?
- Je sais pas, parce que t’as pas eu ce que tu voulais la dernière fois.

..?
- Ah non certainement pas, tu m’as donné une bonne leçon, je la méritais je pense…
- Oui, tu la méritais, et tu en mériterais encore une autre d’ailleurs
- ??
- Tu m’as désobéi
- Désolé, mais…tu m’excitais trop
- Bon, cette fois je vais prendre ça pour un compliment
- Tu peux, c’en est un ! Mais tu sais M. faut qu’on parle…
- Tu ne veux plus qu’on s’amuse ensemble ?
- Non c’est pas ça, c’est juste que…
- Ok j’ai compris, j’étais juste bonne pour que tu te défoules, en fait t’en a rien à foutre de moi !
- Arrête, c’est pas du tout ça, je pense à toi tout le temps depuis notre première rencontre mais dans notre situation c’est intenable
- Je comprends, moi c’est pareil, suis contente que tu m’en parles
- Alors on fait quoi ?
- Il vaut mieux qu’on prenne nos distances tu crois pas ?
- On a essayé cette semaine…
- Oui
- Et résultat ?
- Ben ça va…
- Parle pour toi, moi je suis jaloux rien qu’à savoir que tu discutais avec un mec au téléphone !
- Qu’est-ce que ça va être le jour où j’aurai un copain !
- Arrête, je n’ose pas y penser » dis-je en piquant un fard
- « Ben justement, prenons ce qu’il y a à prendre maintenant, on sait que ça ne pourra pas durer de toute façon
- Si tu le dis…
- Ben cache ta joie… »
Je m’approche d’elle et me jette sur sa bouche sans réfléchir aux conséquences de cet acte désespéré. Elle se laisse faire, sa langue se met à chercher la mienne, nos lèvres ne font qu’un. Elle pose ses mains sur mes hanches et m’attire contre elle. A mon tour je l’enlace, caresse son dos et inéluctablement le désir monte en moi. J’essaie de laisser un peu de distance entre nos bassins pour ne pas lui dévoiler mon excitation naissante mais elle me recolle à elle en appuyant sur mes fesses. Nos souffles se font de plus en plus court, aucun de nous n’a vraiment envie d’arrêter. Elle me regarde fixement avec son grand regard bleu, sa main dans la mienne, qui osera lâcher l’autre en premier ?
Elle rompt ce silence assourdissant : « on ne peut pas se quitter comme ça !
- Il le faudrait pourtant » répondis-je, sans aucune volonté d’y croire
Le point de non-retour est atteint.
...

…et dépassé : elle m’entraine par la main vers l’escalier. Je ne sais pas si prendre le chemin de sa chambre va réellement aider notre situation mais je suis incapable de me rebeller. Arrivés sur le demi-palier, elle se jette sur moi, me plaque sur le mur et m’embrasse fougueusement ! Ses mains s’aventurent sous ma ceinture, elle caresse mon sexe à travers mon pantalon en toile qui en facilite le développement. J’agrippe ses fesses, nos langues se mêlent furieusement et elle commence à me masturber à travers le fin tissu.
Je n’aurai jamais imaginé que cette jeune femme si timide soit capable d’une telle initiative : « tu veux voir si j’ai bien retenu la leçon ? » me lance-t-elle. Je n’ai pas le temps d’acquiescer qu’elle dégrafe ma ceinture, abaisse le zip de mon pantalon et plonge sa main dans mon boxer, décalottant mon gland déjà gonflé. Pendant qu’elle s’accroupi, elle descend l’ensemble des mes vêtements d’un geste d’autorité faisant surgir mon sexe de mon boxer. Son regard défiant me fixe tandis qu’elle approche sa bouche de mon bout qui perle déjà de plaisir. Elle me prend dans sa bouche ouverte au maximum pour m’enfouir au fond d’elle en une seule fois, puis referme ses fines lèvres sur mon sexe pendant qu’elle le ressort de sa bouche : « c’est comma ça que tu m’as appris, hein ? »
- Ouiiii, je vois que tu as bien retenu la leçon
- On va voir si tu as retenu la tienne !
Elle se retourne, se colle contre moi et frotte son postérieur sur mon sexe. Quelques gouttes perlent déjà de mon gland qui tâchent son pantalon beige. Je déboutonne son chemisier et m’empare de sa poitrine à pleine main, elle me tend son cou en relevant ses cheveux…
Je plonge ma main vers son bas-ventre, rejointe rapidement par la sienne qui me guide jusqu’à son entrecuisse et je saisi quelques détails de son sexe à travers le tissu fin de son pantalon. Elle écarte légèrement les cuisses pour permettre à main de s’emparer de toute son entrejambe que je m’applique à caresser avec la paume de ma main.
Ce massage fait son effet, je la sens s’abandonner…elle passe une main derrière elle pour vérifier la vigueur de mon érection, elle réajuste mon sexe au milieu de son fessier, puis remue celui-ci le long de ma tige… Je ne sais pas combien de temps je suis encore susceptible de tenir dans cet état d’excitation : « tu vois quand tu veux » me dit-elle. Je répond à cette provocation en poussant sur ma main posée sur son entrejambe : « Mmmm…oui…monsieur est joueur
- Comme mademoiselle
- Tu vas voir si je joue !
Elle s’empare alors de ma queue et commence à me branler énergiquement… Je me laisse faire par ses fines mains devenues expertes, impuissant, dévolu à l’autorité de mon amante. Je ne voudrais pas que notre étreinte – peut-être la dernière – s’arrête en si bon chemin et pourtant je suis au bord de jouir dans sa main, et par la même occasion d’envoyer tout mon jus sur le fessier de son pantalon signant une fin indigne à notre histoire.
Elle me sent haleter et perdre le contrôle, elle me provoque : « Je vais te faire jouir, c’est tout ce que tu mérites », je suis obligé de l’interrompre avant d’exploser en enlevant fermement sa main de mon sexe. Je suis en sueur, essoufflé, et complètement déboussolé. Elle, goguenarde, me regarde fière de son effet. « Ne bouge pas » m’ordonne-t-elle ! Ca ne risque pas...
Elle monte dans sa chambre, et me laisse en plan sur le demi-palier. J’entends quelques bruits que je ne parviens pas à identifier, j’attends qu’elle m’invite à là rejoindre ou quelle réapparaisse. Les minutes s’écoulent et me laissent au moins le temps de récupérer, je commence à me rhabiller en attendant le signal. Après un délai qui m’apparaitra être une éternité, elle m’appelle enfin : « monte ! ».

Je pousse la porte de sa chambre, je la découvre debout, elle vient de se changer et porte à présent une tenue affriolante composée d’une guêpière dont le corsetage met en valeur sa poitrine généreuse, de bas et de bottes à talon.

Déjà sûre de la réponse, elle me demande « Alors, ça valait le coup d’attendre ? » en tournant sur elle-même pour me faire profiter d’un spectacle unique de sensualité et d’érotisme. Je suis abasourdi… « C’est pour moi » ?
- Oui, enfin pour voir ce que tu vaux quand tu es excité
- Je suis touché
- Et moi pas encore » me répond-elle, sarcastique
- Il ne tient qu’à toi que…
- Du calme, il va falloir que tu me mérites encore »
Elle veut me dominer et je dois reconnaître qu’elle s’y prend plutôt bien jusqu’à présent ! Je rentre dans la chambre, m’approche d’elle, je ne sais plus par où commencer car j’ai envie de chaque parcelle de son corps.
- « Tu t’es rhabillé » constate-t-elle
- Oui...
- Dommage…
Elle me pousse violemment en arrière à me faire tomber sur les fesses. Sans me laisser le temps de me redresser, elle s’assied sur moi et commence à frotter son bassin sur mon bas ventre. Ma verge reprend de la vigueur pendant qu’elle masse sa vulve à travers nos habits. J’essaie en vain de me relever mais elle me plaque au sol en appuyant de tout son poids sur ma poitrine et continue à se déhancher sur moi. Ses jambes sont repliées le long de mon torse, ses fesses sont à portée de mes mains, j’ose une petite claque dont je rêvais depuis si longtemps, je reçois une la même gifle en retour : « j’avais déjà dit non la dernière fois ». De l’autre main je claque son autre fesse, plus fermement cette fois-ci, pour reprendre le contrôle du duel. Elle me répond en écrasant son bassin sur le mieux, appuyant sur ma queue jusqu’à la douleur : « C’est moi moi qui décide ce que je te fais, et ce que tu peux me faire, compris ? ». Frustré, dominé, limite vexé, je ne réponds pas mais ne désespère pas de me rebeller plus tard.

Elle continue à se frotter frénétiquement à moi, en veillant à ne plus me faire mal puisque ça irait à l’encontre de son plaisir. Fermant les yeux pour savourer ce plaisir reconquit je ne la vois pas se saisir d’un bandeau que je ne sens qu’au moment de son application sur mes yeux :
- « Mais mais…c’est quoi…
- Chuuut » répond-elle avec une douceur qui se veut rassurante

Me voilà privé du spectacle qu’elle s’est pourtant tant appliquée à m’offrir, mais pire encore, mes repères sont bouleversés et je suis encore plus livré à elle qui ne semble pas décider à m’épargner.
J’ai bien évidemment perçu qu’elle s’est levée maintenant et mes sens sont mobilisés pour tenter de remplacer la vision qui me fait défaut. J’ai l’impression qu’elle tourne autour de moi, ou quelque chose du genre, lorsque je sens du cuir sur mes épaules et un corps au-dessus de moi. J’estime que ce corps se rapproche lorsqu’un morceau de tissu se colle sur ma bouche, j’identifie une odeur connue.. J’ouvre mes lèvres pour lui signifier que je l’accueille avec plaisir, elle s’appuie sur moi en gémissant.
Elle se relève, j’entends deux petits bruits et un bout de tissu tombe sur mon front. Elle plante son minou sur ma bouche entrouverte après avoir ouvert son body. La sensation est immense pour moi qui attendais ce moment depuis des jours. Je me délecte de la fouiller, de lécher ses lèvres, sentir son clitoris se gonfler sous mes coups de langue et lui arracher quelques cris de plaisir est une récompense immense. Il me semble qu’il n’y a aucune pilosité dans cette zone, ma langue remplace mes yeux et j’essaie de dessiner dans mon esprit la géométrie de sa vulve, l’épaisseur de ses lèvres, la forme de son bouton.
Ma tête coincée par les talons de ses bottes, elle s’agite d’avant en arrière, de gauche à droite, au gré de son plaisir. Je sens sa liqueur qui commence à couler sur le pourtour de ma bouche. Je trempe ma langue en elle lui arrachant un nouveau petit cri, je ne reconnait plus le goût de ma salive, son jus m’inonde maintenant.
Elle se masturbe littéralement sur ma bouche m’empêchant d’oraliser mon plaisir mais elle crie pour nous deux. Ses mouvements deviennent erratiques, je perçois un léger tremblement, je veux croire qu’elle ne va pas tarder à exploser. D’un cri qui confirme ma prédiction, elle relève sa croupe de mon visage alors que ma langue fouille encore l’air désespérément à la recherche son bouton. Ses cuisses convulsent qui me disent qu’elle n’est pas encore au bout de plaisir, je veux la faire jouir le plus intensément possible alors j’empoigne ses fesses et plaque sa vulve sur ma bouche, la pénétrant avec ma langue aussi loin que je le peux. Dans un long cri de jouissance, à moins qu’il ne s’agisse d’un orgasme, elle s’effondre sur moi.
Je suis toujours aveugle, je ne perçois que les inspirations et expirations de sa poitrine et je n’ose rompre ce silence post-extase. Après quelques minutes de silence convenu, elle me congratule : « je savais que tu en étais capable, mais c’était encore mieux que dans mes rêves, tu as mérité une récompense ! ».

Elle m’aide à me relever en me prenant par la main et me guide, mais vers où ? Debout, immobile, j’attends. Elle déboucle ma ceinture et me déshabille complètement cette fois. J’entends ensuite d’autres bruits de tissu sans en ressentir les effets sur mon corps, elle tourne dans la pièce, puis de nouveau le silence. Je reconnais soudain ses lèvres autour de mon gland. Mon sexe se raidit instantanément dans sa bouche devenue experte. Elle me suce langoureusement, s’appliquant dans les moindres détails dont elle sait maintenant qu’ils font plaisir à l’homme reconnaissant à qui appartient ce sexe.
Elle s’interrompt, de nouveau c’est le silence qui domine puis encore des bruits de tissu et soudain la sensation d’une chair nouvelle autour de mon sexe. Je cherche à identifier quelle est la partie de son corps qui m’enserre à présent, serait-ce ses fesses ? Ses seins ? Un coup de langue m’indique que mon sexe est bien entouré par ces derniers qu’elle fait aller et venir, de haut en bas autour de mon mât. Aucune femme ne m’avait prodigué ce plaisir avant elle : « waouh…c’est ma première cravate de notaire !
- Je t’avais dit que j’apprendrai des choses… et ça n’est pas fini… »
Cette promesse m’inquiète autant qu’elle m’excite, j’essaie d’imaginer l’expression de son visage à cet instant, sourit-elle ?

Elle m’ordonne d’avancer, me dit quand m’arrêter et de m’agenouiller. Je devine que je suis installé au bord du lit car mes cuisses et mon bassin sont en contact avec un large tissu que j’apparente à une couette. Indéniablement, elle est sur le lit également car j’en ressens les mouvements de matelas. Mes sens me font dire qu’elle est en train de s’approcher de moi quand elle me dit : « on va voir si tu es aussi bon que tout à l’heure » avant de coller de nouveau son minou encore humide sur ma bouche. Ses bas frottent sur mes épaules, je n’ai plus qu’à imaginer sa position : à quatre pattes sur lit, la croupe totalement offerte et tendue vers moi. Cette vision quasiment pornographique m’excite violemment, j’aimerai pouvoir me relever et enfouir mon sexe en elle à cet instant, effet dont elle totalement consciente : « T’aimerais venir en moi hein ? »
- Oui
- Pourquoi ?
- Parce que tu m’excites
- POURQUOI ?
- Parce que tu me plais
- Qu’est-ce qui te plait chez moi
- ton sourire, tes yeux, tes jambes, tes fesses, ta bouche…
- Mes seins ?
- Aussi
- Sans plus ?
- Ils sont magnifiques bien qu’ils soient déjà assez gros, mais je préfère tes jambes,
- C’est pour ça que tu deviens lubrique quand je porte des bas, c’est bon à savoir…
- Oui…
- Continue de me lécher et masturbe-toi en même temps
Pas besoin de me prier pour la gâter mais je me demande l’intérêt de m’imposer la masturbation puisqu’elle ne peut pas me voir dans nos positions respectives. Ce n’est donc pas pour me mater, alors dans quel but ? Elle me donne un complément d’information : « préviens avant de jouir ! »
- Pourquoi ?
- Tu verras, enfin non justement…
Je comprends que je ne vais pas recouvrer la vue avant la fin de nos ébats ce qui me fait enrager intérieurement… Chaque tentative de rébellion a échoué alors je décide alors de tricher. Je gémis de plus en plus fort, simulant le plaisir montant puis cessant mes caresses bucales, lui annonce fièrement : « ça viens, je suis prêt »
- Arrête alors !
Elle se décolle de moi, j’attends la suite en serrant mon pénis avec ma main pour donner du crédit à mon mensonge, au cas où elle me regarderait. Cette précaution n’est pas inutile : « Continue de bien tenir ton sexe comme ça, relève toi un peu…comme ça… Stop ! Ne bouge plus ! ». Qu’a-t-elle encore en tête. ??!! Quelques secondes après, je sens une nouvelle sensation sur mon gland. Il est de nouveau entouré par une chair inconnue, l’endroit semble tiède et humide. M. a enfin décidé de m’accueillir en elle et s’enfonce doucement sur moi en un gémissement aussi continu que sa progression, je suis au paradis dans son paradis. Reprenant ses esprits, elle me demande : « Et ça aussi ça te plaît »
- Oh oui beaucoup, c’est si doux
- Tu trouves ?
- Oui
- Pourquoi ?
- Parce que c’est chaud, humide…
- Et encore ?
- Parce que je te sens bien autour de moi
- Tu veux dire que mon sexe est suffisamment serré autour du tien ?
- Oui c’est ça
- Trop ?
- Non là c’est parfait,
- Pas pour moi…
Je reste sans voix, ne sera-t-elle jamais satisfaite ou s’amuse-t-elle seulement ? Je ne vois pas ce que je peux faire de plus en l’état. Elle poursuit : « là t’aimerait que je te demande de me prendre sauvagement ? »
Je ne répond pas immédiatement ce qui a pour effet de l’agacer : « Alors, oui ou non ? »
- Oui !
- Et me claquer les fesses ?
- Aussi…
- Tu n’auras ni l’un ni l’autre »
J’ai senti la moquerie dans le ton de sa voix. J’ai bien compris qu’elle s’amuse bien, moi beaucoup moins je l’avoue… Elle poursuit tout en allant et venant sur ma verge : « Je croyais que tu étais prêt à jouir ?
- Oui
- Alors pourquoi ça ne vient pas ? »
Je trouve une pirouette : « Je n’ose pas, tu ne me l’as pas encore permis ni demandé ». Elle me répond du tac-au-tac : « Les autres jours ça ne t’a jamais empêché, au contraire hein ? »
- Oui mais là c’est différent
- Pourquoi ?
- Parce que c’est toi qui a les commandes
- Et ça t’empêche de jouir ?
- J’espère que non
Et elle s’enfonce soudainement à fond sur moi dans un cri dont je ne sais s’il est finalement de plaisir ou de douleur. Ses fesses sont stoppées par ma main qui enserre encore mon sexe dont j’ai affirmé qu’il était au bord de l’explosion. Elle reste butée sur ma main et commence à remuer son bassin de haut en bas. Je sens mon prépuce frotter en elle et j’en éprouve un plaisir non feint cette fois. Toujours privé d’une vision qui devrait décupler mon excitation et m’aurait probablement déjà fait jouir, j’imagine cependant facilement la scène. Elle amplifie ses mouvements, ses gémissement se transforment en cris explicites et je suis de moins en moins dérangé par le fait d’être utilisé. Alors qu’elle reste enfoncée le bassin en bas, un de mes doigts replié sur mon sexe se retrouve glissant entre ses fesses alors qu’elle avait parfaitement maitrisé l’amplitude de ses mouvements jusqu’à présent. L’extrémité de ma phalange appui sur un corps qui me semble étranger à l’humain. Je m’interroge : c’est plutôt froid, dur… j’appuie ma phalange sur la surface inconnu, elle s’avance immédiatement : « Eeehhh….touche pas à ça
- Quoi ?
- Tu ne sais pas ?
- Non !
- Réfléchis… »
Mon cerveau s’emballe en recoupant les informations acquises. J’en déduis qu’il doit s’agir d’un gode…mais ça veut dire que… elle aurait un gode dans le … ? J’essaie de retoucher l’objet pour en deviner la matière, et en déduire la forme. Du verre, c’est du verre! L’embase semble très large donc ça n’est pas un gode… ?
- « Tu as un plug ?
- Ca t’excite de savoir que j’ai quelque chose à cet endroit là?
- Plutôt oui
- Tu t’y verrais bien hein ?
- Carrément !
- Ca fait beaucoup de chose que tu aimerais me faire je trouve…mais tu ne peux pas…c’est dommage pour toi… je t’ai déjà permis de me lécher, de me pénétrer, j’ai mis une tenue ultra-sexy alors estime-toi heureux !
- Oui mais je n’ai pas encore joui
- C’est ton problème…
Elle me cloue par sa répartie, je l’imaginais timide et réservée même après nos deux premiers ébats, comme quoi il faut toujours se méfier de l’eau qui dort !
« En attendant, je trouve que tu te ramollis mon cher… » .
Bon sang elle a raison, je me laisse tellement atteindre par ses commentaires que je fini par perdre ma raideur. Je tente de reprendre la main de ce duel d’esprit qu’elle domine depuis le début : « il n’y a que toi qui peut inverser la tendance.
- Comme ça ? » dit-elle en s’agitant de nouveau
- « Ah oui comme ça c’est mieux
- Et là ?
- De mieux en mieux
- Tu crois que tu vas réussir à jouir cette fois ?
- Sans aucun doute si tu continues de m’exciter comme ça
- Tu auras peut-être une belle récompense alors »

Cette simple hypothèse suffit à me revigorer. Elle ajoute « enlève ta main que je profite bien de toi ». J’entrevois le retour de mon plaisir : elle me veut tout entier en elle… je sens ses lèvres frotter sur mes bourses, je participe en donnant un petit coup sec de bassin : « Aaahhh…. Monsieur se réveille»
Elle va et vient énergiquement sur ma queue qui lui est entièrement dévouée et aussi agréable que cela soit, je reste l’outil de son plaisir, relégué au mieux au rôle de machine à jouir, au pire de godemichet : « Préviens-moi quand tu seras vraiment prêt à jouir que je t’offre ma petite surprise, et pas de blague cette fois ! ».
Avertie de mon extase prochaine, elle m’arrache mon bandeau et me fais sortir d’elle. Je la découvre telle que je l’avais imaginée, et même mieux. Elle se présente cambrée, entièrement offerte à moi, tenant ses fesses entre ses mains et cette vision érotique me fait jaillir presque instantanément. Ma semence est étalée sur sa croupe, elle n’a rien loupé de ma jouissance et continue de me regarder. Après avoir savouré ce moment, elle crut bon de me préciser : « dommage que tu n’aies pas pu te contenir encore un peu, j’étais prête à t’offrir autre chose…»

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