Les Routiers Sont Sympas Chapitre 15
LES ROUTIERS SONT SYMPAS Chapitre 15
Mon amour de fontaine 5
Depuis quelque temps je pense à changer de vie... À trente-deux ans passés, après presque huit ans darmée et quatre ans sur les routes, je voudrai bien trouver un emploi qui me permet de rentrer chez moi tous les soirs... Je voudrai bien fonder une famille... Je dois trouver celle qui sera à mes côtés chaque jour, celle qui sera la mère de mes futurs s...
De toutes les filles ou les femmes que jai connues et que je connais encore, il y en a beaucoup qui sont mariées ou en couple... Parmi celles qui sont encore libres, ou bien elles veulent rester célibataires, ou bien elles ne veulent pas avoir ds, ou bien il y a trop dincompatibilité entre nous pour vivre ensemble... Plus jy pense, plus mon choix se restreint...
Cela ne m'empêche pas davoir, de temps en temps, des relations intimes avec des amies qui aiment bien partager, avec moi, un peu de plaisir...
Ce week-end, jai invité Élodie...
Si vous avez lu mes histoires, vous connaissez Élodie... Cest une collègue de travail. Elle est au service « transports et affrètements » de notre entreprise. Elle est célibataire, vingt-cinq ans, sympathique. Bref, une belle fille à lallure sportive.
Cest une femme fontaine... Aux cours de ses rapports sexuels, très excitée, quand elle jouit, des geysers jets de liquide giclent de son vagin... Les deux premières relations quelle a eues avec des hommes ont été des échecs... Ces messieurs ont cru quelle leur urinait dessus... Traumatisée, elle se croyait anormale...
Elle ma confié son secret... Nous avons rencontré des personnes « spécialisées ». Elles lui ont fait comprendre que son défaut nétait pas si grave que cela... Malgré sa bonne volonté, elle na pas surmonté son traumatisme... Elle na jamais tenté davoir de nouvelles relations sexuelles..., je suis le seul, avec qui elle se laisse aller dans des relations intimes...
Nous avons passé la journée de ce samedi ensemble, à nous balader, au cinéma, au restaurant.
« Élodie, la communauté de commune va créer un service de transports interurbains. Ils feront aussi le ramassage scolaire. Jai fait acte de candidature pour un emploi dagent de maitrise. Le recrutement se faisant par concours, jai réussi les épreuves écrites. La partie orale doit avoir lieu dans quelques jours... Si jobtiens ce poste, jarrêterai de faire la route...
Je souhaite que tu sois retenu... Je serai bien contente pour toi... On pourra se voir plus souvent...
Ça veut dire quoi « se voir plus souvent » ?... Depuis que nous avons vu Michelle et Yvette, tu nous as promis de rencontrer des garçons de ton âge pour trouver un copain...
Je vais tavouer que jai cherché... Jai rencontré des gars très bien... Nous avons flirté, nous nous sommes embrassés, nous nous sommes caressés, jai eu beaucoup de plaisir, mais jai toujours refusé daller jusquau bout... Je nose pas... Je ne peux pas...
On te la dit, tu nous as promis... Avant de passer à lacte, dis la vérité à ton partenaire... Si ce nest pas un rustre, soit il nosera pas aller plus loin, soit il comprendra et voudra découvrir...
Justement, sil veut découvrir, comme tu dis, je ne sais pas comment faire pour « limiter les dégâts »...
Évidemment, cest à toi de prévoir et dorganiser la chose... Tu peux, par exemple, sil fait beau, faire ça dans la nature, dans un lieu isolé... Dans une baignoire, Sur un lit ou tu auras étendu une grande serviette de bain...
Tu parles bien... Mais je ne peux pas... Cest plus fort que moi...
Si tu avais vraiment envie, tu trouverais une solution...
Quand jai vraiment envie ou quand un garçon ma bien excité, je me donne du plaisir seule... Je me masturbe jusquà l'orgasme... Parfois, ça gicle... Je le sens venir... Je tiens une serviette de toilette devant et je laisse aller...
Tu peux aussi faire ça dans des positions plus adaptées.
Tu sais bien que je nai aucune expérience... Tu es le seul avec qui jai eu de vrais rapports sexuels... »
Tout en parlant, en nous embrassant, de temps en temps, nous nous caressons... Mon chibre est aussi raide quune matraque... Au son de sa voie et au rythme de sa respiration, je comprends quelle aussi est de plus en plus excitée...
« Maintenant, tu as envie de faire lamour ?...
Oui !... » Me dit-elle dans un souffle en plaquant sa bouche sur la mienne... »
Nous nous retrouvons dans sa chambre... On étale un drap de bain sur le lit... Debout dans les bras lun de lautre, nous nous embrassons jusquà en perdre le souffle... Tout en se caressant, lun déshabille lautre... Nus, nous nous allongeons sur le lit... De petits baisers en petits mordillages, chacun explore le corps de lautre... Nos mains ne restent pas inactives... Ce sont des caresses, et des massages, sur toute la surface de nos corps... Jai une attirance particulière pour sa poitrine aux seins bien ronds et fermes... Pendant que mes mains soccupent de ses nénés, ma bouche aspire et fait rouler, entre les lèvres, les tétons aussi durs que des sucres dorge...
Nous nous retrouvons en tête-à-queue... Sans nous concerter, nous entamons un soixante-neuf particulièrement aguichant...
Je sens mon phallus pris en main, branlé lentement, en douceur...
Je lèche et embrasse lintérieur des cuisses, le bas ventre de ma partenaire...
Mon gland est pris entre ses lèvres... Sa langue, chaude et humide, le titille gentiment...
Mes mains écartent les collines du mont fendu... Ma bouche embrasse sa minette ainsi ouverte...
Je sens mon pénis aspiré et englouti dans un gouffre chaud et humide... Sa langue narrête pas de tourner autour...
Dun long baiser, je réveille la marmotte qui sommeille ans son terrier rose...
En un duo parfaitement synchronisé, sa main et sa bouche branlent mon pivot de la joie crescendo.
Sous mes coups de langue, le dormeur du val pointe son nez à la porte du paradis...
Avec un tel traitement, Popol, comme un brave soldat au garde à vous, est prêt à accomplir son devoir...
Au rythme de sa respiration, aux vibrations de son corps, je sens quÉlodie est prête pour se propager dans les nuages...
Je bois une dernière lampée à la coupe du plaisir...
Je fais mettre Élodie à quatre pattes, puis, lui faisant replier les bras, je la fais mettre en position de levrette...
Je me mets à genoux derrière elle et positionne ma trique, couverte dune capote, devant la porte secrète du paradis... Sans hésitation, je m'introduis dans le corridor des braves pour glisser vers la terre promise...
Sous la fulgurance de cet assaut, Élodie tremble de tout son corps, elle se raidit, se cambre, se tétanise...
Dans un dernier souffle, elle murmure : « Je pars... » avant de sévanouir sous la puissance de son orgasme... Tout en déchargeant ma semence, je la prends par les fesses, je menfonce au plus profond de sa foufoune... Cela permet de casser la puissance des jets de sa fontaine...
C'est le drap de bain qui a pompé tout le liquide... Revenus au calme, nous lenlevons et allons faire un brin de toilette...
Nus, nous nous glissons entre les draps, serrés lun contre lautre... Nous nous congratulons mutuellement...
Tu vois, tu peux faire lamour, avec un homme, sans crainte de gâcher votre plaisir...
« Élodie, tu es heureuse ?...
Oui... Avec toi, joublie tout... Sur tes bons conseils, Je me laisse aller... Jécoute mon corps... Je me sens véritablement femme...
Dis-moi franchement, tu ne serais pas un peu amoureuse ?...
Peut-être... Je crois que oui...
Nous sommes amis... Nous nous sommes promis de tout nous dire... Tu es toujours daccord ?...
Oui..., Toi, tu as quelque chose à me dire... Tu noses pas ?...
Ce que je veux te dire, tu le sais déjà, en partie.
Et alors, tu chercheras une copine ?... Tu penseras à moi ?...
Non !... Je ne chercherai pas...
Pourquoi ?...
Parce que je crois avoir trouvé celle qui pourrait partager ma vie...
Tu vas me dire qui cest ?... Je la connais ?...
Oh oui ! Tu la connais !... Élodie, si jobtiens ce travail, voudras-tu devenir ma copine et, si nous avons assez daffinités communes, partager, ensemble, le reste de notre vie ?...
Bien sur, jattends cette demande depuis que nous nous connaissons... »
Des larmes de joie aux yeux, nous nous embrassons longuement jusquà ce que le sommeil nous prenne...
Épilogue : Il ne faut jamais dire : femme fontaine, je ne boirai pas de ton eau
Jai obtenu lemploi à la communauté de commune... En fait, je devais devenir le chef du service quand sa création serait terminée. Dans cette perspective, jai demandé et obtenu le recrutement dune secrétaire... Cest Élodie qui a été embauchée...
Un mois après avoir quitté notre entreprise, nous avons offert un pot de départ à tous anciens collègues. Nous avons eu droit au traditionnel discours de notre patron. Nous avons, aussi, eu droit aux traditionnels cadeaux de départ... Nous avons partagé le verre de lamitié... Avant de nous séparer, jai réclamé le silence car javais une demande à faire à une personne en particulier.
Élodie, nous allons travailler ensemble... Une nouvelle vie soffre à nous... Voudras-tu être celle qui voudra partager cette vie avec moi ?...
Ho oui !- » Sécrit-elle en se précipitant dans mes bras, les larmes de joie aux yeux.
Nous nous embrassons sous les applaudissements et les félicitations de nos anciennes et anciens camarades.
Nous avons aménagé ensemble, nous sommes devenus parents dune fille... Elle sappelle Yvette Denise. Elle a deux marraines : Michelle et Nathalie...
Depuis son accouchement, aux cours de nos rapports, Élodie jouit toujours autant mais ne gicle plus...
Vous allez faire connaissance de Nathalie dans les prochaines histoires...
Petikokin
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