La Belle Saison 4/8
Suite de ma saison dété. Me voici de nouveau à la gare, pour accueillir ma chérie qui vient me rendre visite. Un soleil de plomb inonde déjà les montagnes environnantes, en ce début de matinée. Le train entre en gare presque à lheure. Quelques passagers en descendent. La plupart continuent vers la destination finale Font Romeu. Sandra saute sur le quai, pimpante dans un jean jaune paille et un chemisier parme. Elle se retourne et sourit à un homme, qui descend après elle et laccompagne le long du quai, en trainant une lourde valise. Qui est ce type ? Voilà qui commence bien. Quand elle sapproche, je distingue clairement ses petits seins pointus au travers du chemisier carrément transparent, ce qui na pas échappé non plus à son compagnon de voyage.
Elle me fait un petit signe et vient se blottir dans mes bras, avant de se retourner.
« Merci Monsieur, cétait très aimable à vous. Mon fiancé va se charger de la valise. » Le type me dévisage, lair dépité, et je fais de même, sans sourire.
Je récupère la valise, et il séloigne en bredouillant un « bon séjour », quil ne pense surement pas.
Sandra, se jette à mon cou, et sa langue sinsinue, tel un serpent agile, dans ma bouche en un baiser, court, mais intense.
« Je suis contente de te voir ! » me dit elle « Et toi ? »
« Je suis content aussi, mais jétais étonné de te voir débarquer avec un type.
« Oh ! tu exagères. Je nai pas débarqué avec un type. Figure toi quil na pas arrêté de me mater pendant tout le trajet depuis Perpignan. »
« On ne peut pas len blâmer » dis-je en jetant un regard appuyé sur sa poitrine largement exposée. « Ta tenue nest pas des plus discrètes. »
« Tu trouves que cest trop transparent ? » demande telle inocemment.
« Pas pour moi mais
»
« En tout cas, cest léger, et vu la chaleur, assez agréable à porter. Donc comme je te disais, le type me matait. Je me suis dit que je pouvais en tirer parti.
Ce faisant elle mime le geste en levant les bras au dessus de sa tête, faisant saillir ses tétons qui semblent vouloir transpercer le tissu.
« Et il ta proposé de taider. »
« Exactement. »
« Et tu ne lui a pas dit que tu venais me rejoindre. »
« Ben non, sinon, il ne maurait pas aidé. »
« Evidemment. »
Nous prenons place dans ma voiture, et nous voilà partis pour la station. Jexplique à Sandra que jai juste le temps de linstaller dans mon appartement, car je dois aller travailler. Je lui ai prévu de quoi déjeuner, et lui indique quelle peut de ballader dans le coin jusquà mon retour vers 14h30. Elle me dit de ne pas minquiéter, et quelle va en profiter pour bronzer sur la terrasse et bouquiner.
Vers 11h, elle passe au restaurant pour me dire quelle a rencontré une jeune femme Kiné, et quelle vont faire la dinette ensemble.
Sans surprise je ne la trouve pas à mon appartement, en début daprès-midi.
Elle arrive une demi heure après-moi, un paréo noué autour de la poitrine. Elle ne me laisse pas le temps de parler, et se jette sur moi. Ses mains se faufilent partout et ont tôt fait de me dévétir. Mon dernier vêtement arraché, alors que je suis allongé sur le lit, elle se redresse, et dénoue son paréo, apparaissant en slip de bain minimaliste juchée sur dimmenses talons. Elle tire sur les lacets qui maintiennent sa culotte pour les dénouer et le tissu tombe à terre dévoilant sa chatte entièrement rasée, luisante de désir. Puis elle vient menjamber et saisissant ma verge, la plante dans sa vulve dans laquelle je menfonce avec délectation. Assise sur moi, elle monte et descend en rythme avec des soupirs daise, tandis que je lui malaxe les seins dont les pointes sont maintenant dures grosses comme des framboises.
Elle balbutie des mots inintelligibles, les yeux fermés, les bras posés sur ma poitrine alors que son bassin est pris dune dans de saint-Guy incontrôlée. Tout à coup elle sarrête, et replie ses jambes sous elle. Saidant de ses cuisses, elle commence un mouvement vertical de plus en plus rapide, à la limite de mexpulser, puis venant claquer furieusement contre mon ventre en sempalant brusquement. Ce dernier sprint, sensuel, fait monter dun cran la tension. Je sens la chaleur qui part de mes testicules et remonte le long de ma queue, jusquà une sensation de brûlure qui sintensifie lors de lexplosion finale. Les cris de Sandra accompagnent cette cavalcade, et nous jouissons tous deux dans un râle dextase, avant de nous effondrer, repus, fourbus, mais heureux.
« Jen avais besoin » me dit elle simplement.
« Moi aussi, mais quelle fougue ! »
« Cest la séance de bronzage. »
« Je ne savais pas que le soleil te faisait cet effet. »
« Tu sais que je tai dit que jai rencontré une Kiné ? »
« Oui, et alors ? »
« Alors déjà, tu la connais. »
« Cest possible, jai croisé, plus ou moins tous les kinés de la station »
« Mais elle te connaît. Elle sappelle Joelle. »
« Ah oui, je vois ! »
« Tu las sautée ? »
« Mais non ! pourquoi veux tu ? »
« Parce que cest une drôle de coquine. Nous avons commencé par une petite dinette : melon, avocat salade, et fruits. Après le café elle ma proposé de rester avec elle puisque tu nétais pas là. Nous nous sommes donc étendues sur les transats. Elle a commencé à se deshabiller et sest retrouvée en culotte.
« Tu en as un beau cul » ma telle murmuré « Il doit bien séclater ton homme. »
Jétais pétrifiée. A la fois, jétais un peu choquée par son audace, et en même temps je narrivais pas à me révolter contre ses mains si douces qui me faisaient du bien et mexcitaient. Ses doigts ont écarté mes lèvres, et ont caressé longuement mon clito avant de senfoncer en moi, avant de ressortir et de venir titiller mon anus. Sous cette caresse je lai senti souvrir et quand elle ma planté son majeur dans mon cul, je nai pas résisté. Elle la retiré et sa bouche est venue remplacer ses doigts, marrachant des soupirs incontrôlés. Enfin jai échappé à cette emprise en me tournant sur le dos. Jai raflé le flacon de crème solaire et je lui ai dit que je pouvais faire le devant, moi-même. A plat ventre, les yeux mi-clos, elle me regardait faire. Quand jai eu terminé, elle ma repris la lotion et a commencer à se tartiner, le devant, insistant longuement sur les seins, dont elle pinçait les pointes, au passage, Je commençais à somnoler quand sa main est venue chercher la mienne et la posée sur son sexe.
Une heure plus tard, je me suis rhabillée pour te rejoindre. Elle ma dit : reviens quand tu veux, cétait bon. Pour moi cétait excitant aussi, mais javais besoin dun vrai mec. »
« Eh bien ! tu me demandes si je lai sautée mais cest plutôt linverse ! »
« Je ne crois pas quelle soit vraiment lesbienne. Peut-être bi. En tout cas, vu comment ça sest passé avec moi, quelle ne connaissait pas, je me dis quelle doit sauter sur tout ce qui bouge. »
« Pas sur tout ce qui bouge, mais jai un copain qui la fréquente un peu. » dis-je en pensant à Christophe..
Le soir, après le service, nous partons sur Argelès. Sandra mattendait, vétue dune robe dété, à bretelles boutonnée sur le devant. Une fois arrivés nous déambulons dans les ruelles noires de monde, à la recherche dun restaurant, pas trop bondé. Alors que nous lisons la carte dun restaurant italien, javise quil y a aussi des tables au premier étage, et à une de ces tables, Christophe, avec, en face de lui Marie-Pierre. Vu le caractère quelle a , je lui souhaite bien du plaisir !.
Après une salade composée, et une glace, nous entrons dans une des discothèques , et sommes aussitôt submergés par une vague de chaleur et de son tonitruant aux basses vibrantes. Les tubes les plus récents senchainent. Pas moyen de trouver une place assise. Nous nous lançons donc sur la piste de danse. Sandra se remue et tourne en cadence. Sa robe qui virevolte, laisse entrevoir dans la pénombre, ses jolies fesses, et son intimité. Un coup dil autour de moi me suffit pour constater que je ne suis pas le seul à lavoir remarqué. Plusieurs mâles, se sont approchés delle et lencadrent de près. Sandra se faufile entre deux dentre eux et vient se pendre à mon cou en riant, ce qui semble décourager les prétendants.
« Ils sont un peu collants. » me dit elle.
« Il faut dire que tu leur dévoile tes fesses. Ils ont sans doute pris ça pour une invitation. »
« Oh non ! je nai rien mis dessous pour que tu voies bien que je nai aucune marque de bronzage. »
« Jai vu
ou plutôt, tout le monde a vu ! »
« De toute façon, il ny a même pas un endroit pour se poser ici. Allons ailleurs. »
Nous quittons les lieux sous les regards dépités des garçons et haineux des filles.
Un peu plus loin, au bout de la promenade, nous trouvons un endroit moins bondé, où nous nous installons. Nous dansons, au rythme des tubes de lété, et nous relaxons dans des fauteuils profonds, en savourant des Mojitos bien frais.
Vers les 4h du matin, nous regagnons notre voiture, car nous avons encore une heure de route. Nous passons par le front de mer, quasi désert à cette heure. Sarrêtant sous un réverbère, Sandra, déboutonne sa robe, et en écarte les pans, dévoilant sa nudité.
« Alors, que penses tu de mon bronzage ? »
Sa peau uniformément dorée, ses petits seins pointus, et sa minette imberbe, me font craquer. Dun bond, je saute le muret qui nous sépare de la plage, et lui tends les mains. Elle se laisse guider, et vient sasseoir au bord du mur, jambes pendantes vers moi. Je les écarte sans ménagement, et viens embrasser sa vulve découverte. Sa main appuie sur ma tête mencourageant et ma langue vient chercher son clito pour le titiller. Elle se penche en arrière, soulevant le bassin pour me laisser un accès plus complet. Ma langue ne suffit bientôt plus et mes doigts viennent remplir sa cavité, sagitant spasmodiquement et provoquant des soupirs de bien-être. Tout en continuant de lécher son clito, ma main gauche remonte et vient pincer un sein au téton érigé
La belle, abandonnée, dénudée garde le sens des réalités et me signakle quelle voit des gens sapprocher. Sans attendre, je la fais descendre de mon côté, et finis de lui oter sa robe, sur laquelle je lallonge avant de me jeter sur elle et de lembrocher. Ses jambes remontent et viennent se verrouiller autour de mes reins. Je la pistonne vivement et elle semble apprécier le traitement, mais nous sommes interrompus par des voix qui se rapprochent.
Nous nous figeons un instant. Je reprends mon mouvement, lent et long, mappliquant à entrer et sortir en elle de toute ma longueur, sans faire de bruit, tandis, quau dessus de nous, nous entendons la discussion diffuse dun groupe qui passe, sans se douter quun couple est en train de senvoyer en lair, à moins dun mêtre deux.
Les bruits de voix décroissent et finissent par sestomper dans la nuit. Sandra se dégage et se positionne à quatre pattes, menjoignant ainsi de la posséder. Je menfonce en elle, et commence à la pistonner, me servant de ses hanches pour donner la cadence à mon bassin.
Sandra commence à gémir de plus en plus fort, projetant son cul contre mon bassin, ses fesses claquant sur mon ventre. Je sens mon sexe grossir en elle et son plaisir dégouliner de sa fente.
« Oh oui, vas y, narrêtes pas, encore, encore, plus fort ! vas y ! y y y ! »
Elle pousse un long cri de jouissance et simmobilise, laissant retomber la tension sexuelle qui lanimait. Après quelques instants elle se retourne et me prends dans sa bouche pour une pipe magistrale à laquelle je ne résiste pas très longtemps. Elle saccroche à mes fesses et je déverse dans sa bouche de longues giclées. Elle sétouffe presque mais réussit à me garder en elle. Elle recrache le sperme dans le sable et me reprend en bouche jusquà ce que toute trace dérection ait disparu, puis elle remonte mon boxer, cachant lobjet du délit. Je rajuste mon jean, pendant quelle se relève et secoue vigoureusement sa robe avant de la renfiler, se contentant de trois ou quatres boutons, ce qui dévoile assez largement sa poitrine et ses jambes, quasiment jusquà laine.
« Ma robe est pleine de sable maintenant . » puis se tournant vers moi « Mais ça valait le coup. »
Une fois sur la route, elle se met en tête de secouer sa robe à la portière, pour enlever le sable, mais le vent lui arrache des mains, et je dois marrêter pour quelle puisse la récupérer. Heureusement, la route était déserte. Nous regagnons la station, et je prie pour quaucune patrouille de gendarmerie ne marrête, avec une fille nue comme un ver, sur le siège passager.
Le lendemain, nous avons décidé daller nous baigner. Jemmène Sandra, au bord dun lac de montagne. Je ne pensais pas y trouver autant de monde, mais la plage est bondée quand nous arrivons en début daprès-midi. Nous devons longer la rive, à pied, pour trouver un espace moins encombré. Inutile, cependant despérer trouver une anse déserte. Nous dégottons une petite crique pas trop peuplée, et décidons de nous y arrêter. Une fois nos serviettes étendues sur le sol, Sandra défait le nud qui maintient son paréo, et apparaît dans un deux pièces mini, tenu par quelques cordons noués. Nous courrons nous rafraichir à leau du lac. Enfin, quand je dis nous courrons, cest surtout moi, car Sandra, un peu surprise par la fraicheur de ce lac daltitude, avance à petits pas, ponctués dexclamations, et na pas dépassé le stade des chevilles dans leau. Je dois revenir en arrière et larroser copieusement pour quelle se décide à se jeter à leau. Elle vient rapidement se blottir contre moi.
« Salaud, tu mas arrosé, et je suis frigorifiée ! »
Elle se frotte contre moi, et je sens les pointes de ses tétons durcies par le froid qui viennent agacer ma peau. Nous remontons bien vite nous allonger sur nos draps de bain, et laissons le soleil nous sécher. Sandra, à plat ventre, dénoue son soutif et me demande de lui passer un peu de baume protecteur. Je lui tartine le dos, et elle ronronne sous mon massage. Puis, jenduis ses jambes en partant des pieds et en montant jusquà ses cuisses quelle écarte complaisamment, laissant mes doigts simmiscer, jusquà frotter sur le fond de son maillot.
« Malheureusement pour toi, il y a trop de monde pour que je lenlève » me glisse telle.
« Allez !, je vais te tartiner, moi aussi. » complète telle.
Elle se redresse et se met à genoux à mes côtés, sa poitrine dévoilée à tous sur la plage.
Elle me passe de la lotion et je mobstine à rester sur le ventre pour ne pas dévoiler lérection naissante qui déforme mon slip de bain. Ensuite, sans se soucier des regards de nos voisins, elle senduit le devant, massant langoureusement ses seins, et finissant par lintérieur des cuisses, jambes largement écartées, provoquant une attention particulière de la gent masculine présente, avant de se rallonger, sans sen rendre compte.
Nous passons une après-midi agréable, en alternant, bronzette et baignades. Les ombres sallongent, le soleil descend, et les vacanciers désertent peu à peu les lieux. Lai commence à fraichir quand nous allons nager une ultime fois. Sandra, vient se serrer contre moi et me prend par la taille.
« Jai une surprise pour toi » dit elle en me montrant son bas de maillot quelle a dénoué.
Puis elle descend prestement mon maillot avant de saccrocher à mon cou et de venir nouer ses jambes autour de moi. Elle se frotte contre moi, et se soulevant, vient sempaler sur mon sexe qui sest mis au garde-à vous . Nous restons quelques instants, aisi emboités. Je surveille la plage, mais il ne reste que deux couples, qui ne font pas mine de vouloir nous rejoindre dans leau. Pris par lérotisme de la situation, je commence à la faire monter et descendre sur ma queue, créant un léger clapotis autour de nous. Notre rythme nest pas rapide, et les reflets du soleil couchant doivent masquer nos corps, , mais un observateur ne pourrait ignorer ce que nous sommes en train de faire. Profitant de la faible pesanteur, je remonte Sandra, et fais sortir ma queues avant de la reprendre longuement, menfonçant dans sa gaine étroite et chaude qui contraste avec le froid de leau.
« Continue doucement mon amour. Je vais bien jouir » me murmure telle
Elle accélère ensuite son mouvement et pousse de petits gémissement qui se terminent par un petit cri, coincidant avec mon plaisir quand je lâche prise, et gicle en elle en soupirant.
Mutine elle séloigne dans une éclaboussure et nage quelques minutes avant de partir vers la rive. Elle émerge de leau, et je réalise en voyant ses fesses émerger quelle na pas remis sa culotte. Un seul des couples présent se trouve face à elle, mais ils ne la lachent pas du regard. Elle remonte en courant jusquaux serviettes et sessuie consciencieusement. Elle ote son soutien gorge, et apparaît entièrement nue pour une seconde, avant de nouer son paréo autour delle et de faire disparaître tous ses trésors.
Je la rejoins quelques instants plus tard, décemment vétu, et après avoir ramassé nos affaire, nous quittons les lieux en saluant les derniers baigneurs présents qui nous gratifient de sourires complices.
Après nous être arrêtés en cours de route pour nous restaurer, nous regagnons la station. Alors que nous quittons, à pied le parking pour rejoindre mon appartement, japerçois, sur un balcon, en contrebas, une paire de botte que je connais bien.
« Attends, » dis-je à Sandra « on va passer ailleurs »
Au lieu de traverser directement les espaces verts, je contourne par la droite pour emprunter un sentier à flanc de coteau qui se trouve, en face des loggias du premier étage. Pour éviter le vis à vis des troënes ont été plantés au bord du chemin. Sandra me tient par la main, et je lui demande de ne pas faire de bruit. Nous sommes bientôt face au balcon où jai vu les bottes. Un coup dil, entre les branches me confirme ce que je pensais. Cest bien lappartement de Marie-Pierre, et ce sont bien les bottes de Christophe. La lumière est éteinte, mais un réverbére proche éclaire une scène que jaurais cru impossible il y a quelques jours. Assise sur le lit, Marie-Pierre, nue est en train de sucer le chibre de Christophe qui lui maintient la tête pour ne pas quelle sinterrompe. Elle engloutit le sexe imposant arrivant presque à engouler la totalité de la longueur. Dune main elle lui masse les couilles, alors quil lui triture ses seins un peu tombants. Elle le pompe avec vigueur, mais il a autre chose en tête, et il la retourne pour la positionner à quatre pattes avant de venir planter sa queue dans sa chatte poilue. Elle ahanne un peu et se calque peu a peu sur son rythme, accompagnant ses mouvements, lançant son cul en arrière pour quil la pénêtre plus profondément
« Whahh quest-ce quil lui met » murmure Sandra à mon oreille. « Bien monté le copain ! »
« Chut ! »
Tout en regardant je soulève la robe de Sandra, et vient caresser son entrejambe. Sans quitter le spectacle des yeux, elle passe ses mains sous sa robe et fait glisser sa culotte sur ses chevilles avant de sen débarrasser. Ma main trouve sa chatte inondée et mes doigts viennent danser la sarabande dans sa vulve offerte, tandis que mon pote pistonne allègrement Marie-Pierre, plus du tout réticente.
« ahh, oui cest bon, je viens ! » clame celle-ci en se cambrant.
Christophe, est abuté en elle. Il sextrait et vient présenter son dard contre lautre orifice.
« Eh, non ! pas par derrière, je ne
»
Trop tard. Dune poussée rectiligne, il introduit son gland dans le fondement de la fille.
« Aie, aie ! ça fait mal ! »
Sans tenir compte de ses protestations, Christophe continue de linvestir. Les trait crispés, elle hurle de douleur en se tortillant pour lui échapper, mais rien ny fait. Bien accroché à ses hanches, il la pistonne durement. Elle a enfoui sa tête dans loreiller et on entend plus que des gémissements à chaque assaut sur son cul levé vers lui.
Pour être dans le ton, jai gardé deux doigts dans la chatte de Sandra, et un sest introduit dans son anus. Je la fiste doucement, sans effort car elle maide en basculant son bassin davant en arrière. Elle a lancé son bras et a sorti mon sexe de mon short, le masturbant avec entrain.
En face de nous les choses évoluent peu à peu. Les cris et plaintes de Marie-Pierre se transforment peu à peu en Gémissements de plaisir. Elle pousse maintenant sur ses bras pour venir à la rencontre du mandrin qui lui perfore les intestins. Christophe, qui a perçu le changement y va maintenant sans retenue, et vient percuter son fessier, de son bassin, à chaque bordée.
Sandra se déplace pour se glisser devant moi, et monte sur le muret, au bord du chemin. Elle est juste à la bonne hauteur, et je nai quà soulever le tissu de sa robe pour avoir accès à son cul. Elle se penche en avant et se cambre. Elle me saisit entre ses jambes et vient enfoncer ma queue dans sa chatte détrempée. Par dessus son épaule, japerçois, face à nous Marie-Pierre entrain de se faire sodomiser en haletant de plaisir. Je coulisse dans la matrice de Sandra qui a pris sa robe entre ses dents pour ses râles de plaisir.
Marie-Pierre ne peut se contenir et exprime son plaisir
« Hu-hu-hu-hu ! Ah oui. AH cest trop fort ! ah ! ah, ah,ah
» hoquète telle,
Christophe sort et asperge son dos de longs jets de sperme. Puis, la faisant pivoter, il lui plante son sexe dans la bouche. Vaincue elle le pompe un moment
Sandra est agitée de spasmes, et je jouis en elle.
A telle secoué les branches des troenes ? Avons nous été trop bruyants ?
Marie-Pierre stoppe son activité et tourne la tête vers nous.
« Tu as entendu ? » demande telle à Christophe, en train de se rhabiller.
« Ouais, ça cest sur, jai entendu. »
« Mais non idiot, dehors, du bruit. »
« Cest les cigales, ou un chat. »
« On devrait fermer les rideaux, quelquun pourrait nous voir. »
« Et alors, de quoi tu as peur ? »
« Enfin, tu me fais faire des choses
des choses qui, ma réputation
»
« Tu ne veux pas que les gens sachent que tu es une grosse cochonne, en fait ! »
« Je ne suis pas une cochonne, comme tu dis, et si tu ne mavais pas e
»
« Allons, allons, tu as pris ton pied comme jamais, hypocrite » dit il en lui appliquant une claque sonore sur les fesses
« Oh, quel mufle ! » dit elle en se levant pour tirer les rideaux
Jai remis mon short et Sandra a laissé retomber sa robe. Nous nous éloignons, repus sur le chemin. A quelques mêtres nous croisons un couple
« Bonsoir, il fait chaud ce soir. »
« Oh oui, il fait chaud. Bonne soirée. »
Un peu plus loin
« Tu crois quils étaient là ? » me demande Sandra
« Comment savoir ? »
« Si ils étaient un peu plus haut sur le chemin, ils ont dû avoir un double spectacle » me dit elle.
« Nous ne serions pas les seuls voyeurs de la station ? En tout cas sils étaient là, ils se sont montrés discrets. » conclu-je.
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