Un Plaisir Partagé Est Un Plaisir Double (32)

Un plaisir partagé est un plaisir double (32)

Nous sommes samedi et nous n’avons toujours pas de réponse d’Azaan qui nous avait promis d’essayer d’organiser un gang bang avec ses copains noirs pour la fin de semaine pour Annie et moi. J’ai donc décidé de l’appeler pour en savoir un peu plus sur l’avancement de sa quête de potes disponibles pour ce soir.

« - Bonjour, comment va mon bel étalon noir ? Je m’inquiète un peu de ne pas avoir de tes nouvelles. Tu nous avais promis que tu serais en mesure de nous trouver quelques amis pour nous organiser un gang bang pour ma copine et moi ce soir. »

« - Oui, ma belle, c’est toujours d’actualité mais pour le moment je n’ai que cinq copains de disponibles et j’attends la réponse d’un sixième + moi c’est pour cela que je ne t’ai pas appelé. Est-ce que cela vous suffirait ? »

« - C’est déjà pas mal pour nous deux, nous vous attendons pour vingt et une heures. »

« - C’est bon Annie pour ce soir, ils seront six et peut-être sept. Il va peut-être falloir de nous débarrasser de nos maris, tu ne crois pas ? »

« - Oui, je vais leur parler. »

« - Mes chéris, ce soir nous voulons Chantal et moi passer la soirée entre filles, aussi vous avez notre permission pour aller draguer dans le centre naturiste. »

« - Vous ne voulez plus sortir avec nous ? Nous n’avons aucune chance d’être invité si nous ne nous n’avons pas nos chéries à nos bras en tenues sexy et provocatrices. Que comptez-vous faire ? »

« - Ce n’est que pour ce soir, mes amours, soyez gentils. »

« - C’est bon pour toi André ? Nos femmes nous donnent quartier libre, nous allons sortir en célibataires. »

Voilà qui était fait. Nous sommes allées tous les deux, faire quelques courses pour acheter des bulles pour nos invités et des préservatifs à la pharmacie. La pharmacienne nous a expliqué que c’était des boites de dix et qu’il y en avait de trois tailles des small pour les pénis de 14 cm et moins (en voyant notre sourire, elle a vu que ce n’était pas ce que nous recherchions.

) Elle nous proposa les médiums pour les 14 à 17cm. On s’est regardé une nouvelle fois.

« - Après nous avons les larges pour les pénis mesurant plus de 17,5 cm, mais c’est exceptionnel. » Nous dit-elle.

« - Nous prendrons deux boites de large. Non trois s’il vous plaît » Elle nous regarda avec envie et convoitise. Elle avait saisi que nous allons participer à une soirée grandiose et inaccoutumée. »

Il était vingt heures et nous expédions nos hommes pour sortir en célibataires. Puis nous nous sommes préparés en prenant une douche. Nous avons pensé que ce serait mieux que nous soyons habillées dans une tenue sexy pour les recevoir. Nous avons opté tous les deux pour des robes longues noires. Annie portait une superbe association d’une fine maille et de dentelle élégante qui montrait sa magnifique silhouette. C’était plus un déshabillé qu’une robe entièrement transparente. Il était largement décolleté dans son dos ouvert avec empiècement de dentelle. Fendue sur l'arrière, elle comportait une ceinture satinée et un string ficelle. La mienne était en voile léger soulignée par un serre taille vinyle, fendue sur le devant comme sur le derrière qui laissait un accès total à mes fesses. Ma poitrine était couverte par deux bandeaux qui remontent pour s'attacher derrière mon cou. Un vertigineux dos nu, et une vue sur mes seins captifs du voile noir transparent. Je portais également un string assorti. Notre ambition était d’enflammer nos partenaires. Nous avons ensuite réparti des préservatifs dans le salon et dans la chambre.

Nous étions impatientes de recevoir nos partenaires de ce soir. Enfin on sonne à notre porte, Annie m’accompagne pour aller leur ouvrir. Je comptais les beaux mâles qui franchissaient la porte en se présentant, il étaient six Azaan (bien sur) Nabil, Jemil, Haziz, Karim et Adama. Je ne sais pas si je les reconnais mis à part le dernier qui doit être sénégalais, sa couleur de peau était ébène. Tous impeccablement sapés et respectueux, ils nous ont félicité pour nos tenues sexy.
Nous leur avons servi des bulles avant de passer aux choses pour lesquelles ils étaient venus et pour lesquelles nous les avons invitées. Nous étions assises au milieu de tous ces garçons.

Nos invités se sont mis à l’aise en se déshabillant, certains étaient en slip, d’autres en boxer, Adama portait un string. L’un d’eux se présenta devant moi et comme le font les chippendales, il baissa son boxer m’offrant à sucer sa jolie verge en érection. Je suis toujours étonnée de voir comment ils sont bien montés. Celui qui était à côté de moi profita du moment pour glisser sa main entre mes jambes et s’est mis à me caresser le minou par-dessus mon string. Il faisait glisser son doigt le long de ma fente qui s’est mise à mouiller.

Annie sur le canapé en face de moi était quant à elle allongée sur les cuisses de trois blacks. Elle se laissait tripoter les seins par-dessus son déshabillé transparent qui était remonté jusqu’à sa ceinture et l’un des deux avait glissé sa main à l’intérieur de son slip pour lui caresser la chatte.

Mon partenaire de droite avait saisi l’une de mes jambes pour la soulever et pour se glisser entre mes cuisses maintenant écartelées en écartant le tissu de mon string. Profitant opportunément de ma position légèrement arquée, il enfonça sans aucune difficulté, un doigt dans mon puits d’amour humide.

Les autres étaient impatients d’avoir leur part du gâteau, sans ménagement ils entreprirent de nous mettre à poil. Annie était déjà toute nue au prise avec un de ses partenaires. Une main sur ses chevilles et l’autre agrippée à sa hanche, il entreprend de la besogner à grands coups de reins puissants, propulsant son pilon épais et rigide en l’enfonçant dans son cocon délicat qui l’accueille entièrement. Je l’entendais respirer fortement.

Entre mes cuisses, le troisième s’active avec un acharnement passionné dans de longs va et vient, arc bouté contre moi, me labourant de toute la longueur de sa queue que ma petite chatte gourmande engloutit voracement en cadence qui fait onduler mes hanches.


J’ai vu passer Annie, portée par ses trois complices en direction de la chambre. Il y en avait un qui l’avait prise par les épaules, un autre la tenait par les pieds et le dernier la soutenait sous les fesses.

Adama se dandine impudemment juste à portée de mon visage, l’extrémité gonflée de son gland semble me mettre au défi de le téter. Levant les yeux vers le superbe mâle d’un noir d’ébène dont le corps d’athlète délicieusement musclé et totalement imberbe suffirait à me faire mouiller, je devine dans son regard lubrique l’implicite désir de se faire sucer par la ravissante pute qu’il voit en moi. Je me penche docilement vers le manche tendu pour le saisir et l’engloutir. J’ai toujours dans la bouche le goût du sperme de son prédécesseur, je le masturbe habilement d’une main avertie tout en prenant ses couilles de l’autre pour les presser en les faisant vicieusement rouler entre mes doigts, puis je débute une languissante fellation.

Envahissant ma bouche, glissant entre ma langue et mon palais contre lequel je le plaque avec délicatesse, le mandrin dur et raide s'enfouit profondément dans ma gorge sans que je parvienne à l’avaler entièrement alors que j’enserre la base de ce pylône dans ma main. Je le masturbe en excitant la grosse veine qui bat sous mes doigts. Son sexe gonflait autour de mes lèvres, ébranlé de saccades spasmodiques. Des jets de sperme giclèrent dans le fond de ma gorge. J’ai avalé une partie de son foutre épicé en crachant le reste.

Il était temps d’aller rejoindre ma copine dans la chambre et d’échanger nos partenaires.
Azaan avait saisi les fesses d’Annie a deux mains, elle s’ouvre avec extase, la vision de son petit cul qui monte et descend, guidé par la rampe rigide qui empale son sexe, elle se cambre dans une attitude involontairement provocante, donne envie à Azaan de joindre son pote pour lui infliger une double pénétration. Se glissant derrière elle, profitant du sourire complice de son ami qui a bien compris, il la maintient dans une position surélevée pour immiscer sa queue dans le sillon de sa croupe.
Annie se cambre un peu pour qu’il la pénètre. Son gland effleure l’anneau souple de son anus délicat. Alors, avec une lenteur étudiée, Azaan laisse redescendre son engin énorme qui envahit sa vulve. Son copain, en profite pour s'enfoncer sans à coups en déflorant l’œillet bien lubrifié de son petit cul qui se dilate pour l’engloutir sans peine. Heureusement qu’elle est maintenant habituée à se faire défoncer par le sexe de mon chéri et de celui de Doan. Sans ménagement, elle se fait enculer. L’anneau souple de son petit orifice écartelé, lui arrache une longue plainte de jouissance qui dure tout le temps que les deux membres virilement plantés en elle soient intégralement engloutis. Alors, prenant l'un et l'autre la cadence, de plus en plus rapide, ils vont et viennent, l'un lui labourant fougueusement son ventre et l'autre s'engouffrant impétueusement entre ses reins. Le noir qui la sodomise s’est agrippé à ses seins qui tressautent sous les coups de boutoirs successifs. Ses deux amants jouissent pour ainsi dire simultanément en râlant, inondant leur capote de leur semence en des giclées qui envahissent en même temps sa petite chatte et le plus profond de ses reins.

C'est le moment que choisissent les deux autres gars, dont l'un me murmure :

« - Attends un peu, p'tite pute, on va te couvrir de foutre... »

Tout en s’approchant de moi et, soudainement, profitant de la pose lubrique dans laquelle je m’exhibe. Ils se sont mis à se masturber autour de moi en explosant brusquement sur mes petits seins dressés de belles traînées de leur liqueur tiède. ( Cela m’a rappelé le bukkaké dans les dunes.) J’ai saisi d’une main ferme le zob près de moi pour l’aspirer dans ma bouche. La première giclée de son sperme tiède est venue rapidement se répandre dans ma bouche et il m’aspergea du reste de sa sève sur le visage.

Toute poisseuse de leurs jouissances successives, ravie, et même pas honteuse d’une telle prestation, je contemplais mes quatre partenaires récupérer de leurs intenses jouissances, je leur demande en me relevant avec l’intention d’aller prendre une douche, d'une voix volontairement provocante :

« - Hé bien alors ! C'est déjà fini... Quel dommage… » !!! »

Dégoulinante de leur sperme qui macule mes seins, mon visage, je me dirige vers la salle de bains, bien consciente de leurs regards qui s’attardent sur mon petit cul aux courbes rondes.
Tandis que je fouille un peu dans les divers produits masculins pour dénicher du gel douche et un shampooing qui puisse me convenir, je les entends discuter et rire, ravis sans doute de l’aubaine qui s’est offerte à eux. Ayant trouvé mon bonheur, je me glisse entre les cloisons de verre en ouvrant l’eau chaude à fond, puis, je me laisse aller langoureusement à savourer le contact de l’eau avec une sensation de délassement très agréable.

Alors, je ferme les yeux en m'étirant voluptueusement pour profiter du contact de l'eau chaude qui ruisselle sur mon corps, faisant saillir mes petits bouts de seins. ( Comme vous pouvez les voir sur mon avatar. ) Et tendant ma croupe dans une attitude involontairement sexy et provocante, inconsciente d’offrir ainsi un spectacle terriblement excitant pour qui pourrait être en train de me mater.

Annie avait également quitté ses partenaires, elle était-elle aussi couverte de sperme sur ses seins, son ventre et ses cheveux, elle entra avec moi dans la douche. Je l’embrasse et je lui savonne tout le corps. On se sent propre et on s’embrasse encore. Nous sommes bien nues collées l’une contre l’autre avec l’eau qui nous coule sur la tête. Nous fermons les yeux appréciant ce doux moment. En ouvrant les yeux, je découvre devant nous, un bel étalon black. ( Je suis incapable de me souvenir de son prénom) un sourire coquin aux lèvres qui fait pétiller ses yeux lorsque son regard descend sur notre corps mouillé offert à sa vue. Je ne peux m’empêcher de remarquer son sexe qui se dresse à nouveau dans une érection dont la raideur s’exhibe sans pudeur sous mes yeux extasiés. Annie avait aussi ouvert les yeux.

« - Vous voulez que je vous mette du gel sur le dos ? » Nous dit-il d'un air faussement innocent en entrant à son tour sous la douche et, voyant que nous ne protestons pas, il prend Annie dans ses bras en posant au creux de son cou mouillé ses lèvres pour embrasser sa peau lisse parfumée du gel. Sa verge déjà bien bandée dont la tension s'accroît encore en durcissant, frottant sa queue contre ses cuisses.

« - Mmmmh, oui mon cœur. » Murmura t-elle langoureusement en nouant ses bras autour de son cou, et elle ajouta :

« - Etales-moi ta crème partout. » Riant du sous-entendu sexuel et volontairement vicieux tout en se lovant contre lui avec un soupir long et sensuel. Ses hanches entamant une lente ondulation qui a pour effet d’appliquer sa queue rigide contre le haut de ses cuisses en massant sa chatte. Alors qu’il l'attire vers lui, le jet d'eau le couvre à son tour et très vite, nous sommes toutes les trois complètement trempés et ruisselants. Il préfère fermer le robinet, puis, saisissant le flacon de gel douche, il en fait couler une bonne quantité sur sa main et entreprend de nous masser en commençant par nos épaules puis ses mains s’égarent sur nos seins dont je sens palpiter mes pointes durcies.

Tandis qu’une mousse généreuse s’écoule le long de nos corps enlacés. Epousant la rondeur de nos hanches pour effleurer de ses mains la chair soyeuse de nos petits culs. Il a pris juste assez de recul pour que l’on se saisisse de son sexe. Pendant qu’Annie lui tripotait les couilles, je le masturbe légèrement avec une lenteur exquise.

Puis, mes yeux fixant les siens d’un air d’insatiable salope en manque, je remonte la main en le branlant comme une professionnelle, en poussant mes reins vers lui, en me cambrant pour amener ma petite chatte à la rencontre de ses doigts qui, après avoir suivi le sillon entre mes fesses s’enfoncent maintenant entre mes petites lèvres. Mon souffle qui s’accélère, devenant de petits gémissements de plaisir, accompagne le rythme de ses doigts qui s’enfoncent de plus en plus profondément dans ma vulve maintenant largement ouverte et avec l’extrémité de son pouce, le salaud agace par de petits mouvements circulaires le bouton turgescent de mon clitoris enflé, provoquant des secousses convulsives qui agitent mes longues cuisses qui s’entrouvrent maintenant pour faciliter sa pénétration.

Alors que je pensais que mon introduction devenait imminente, il se libéra de mon étreinte avec une relative brusquerie, il prit les hanches de ma copine avec fermeté, il l’a fait pivoter pour la mettre face au mur, jouissant de la vision de sa chute de reins il lui demande d'accen la cambrure de sa croupe. Posant à plat ses mains sur le carrelage, il fait coulisser son sexe dans le sillon de ses fesses. Il entre dans ses cuisses largement ouvertes, une main introduisant sans difficultés entre ses délicates petites lèvres bien glissantes, ses doigts dans sa chatte. Elle laisse échapper entre deux gémissements :

« - Oooh mon cœur, vas-y maintenant... Baises-moi vite de toutes tes forces !!! »

Il s’approche de sa petite chatte en se collant à elle, son pieu qui s'immisçait à l'orée de son ventre en l'enfouissant dans le fourreau de sa vulve. Elle se prête à cette lente pénétration, il s’ouvre un chemin en labourant ses chairs intimes, semblant littéralement écarteler son délicieux petit abricot pour finir par venir buter au fond de son ventre. Debout derrière elle, son sexe ne demande qu’à exploser. Je l’entends dire :

« - Continue, oh! ouiii… vas-y, défonces moi comme ta petite pute… »

Elle s’exhibe sans pudeur et sans retenue en constatant sans réelle surprise que ses copains matent sans aucune discrétion le spectacle intensément porno que nous leur offrons. Leurs sexes semblant retrouver de la vigueur. Leurs regards extasiés par la vision du membre rigide en latex qui s'enfonce, se retire puis s'enfonce encore.

« - Mmmh, ça t’excites, hein! qu’on te mate en train de baiser… c’est vrai que tu es bonne, espèce de petite salope, je suis sûr que tu aimerais que je défonce ton petit cul... »

Puis, tout en s’exclamant d’une voix, le désir fou qui le gagne il lui dit :

« - Mmmh, j’ai toujours rêvé d’enculer une salope dans ton genre… »

Il pose l’extrémité de son gland sur l’anneau étroit et sensible de son petit orifice pour le forcer en enfonçant sans effort. Lentement d’abord, il commence à impulser de profonds et vigoureux coups de boutoir en lui pilonnant ses fesses avec ardeur.

Oubliant les mecs qui nous regardent maintenant en se branlant et dont nous nous foutons complètement, je m’installe moi aussi dans la même position qu’Annie, face au carrelage offrant mon cul en buse pour qu’il me doigte. C’est à mon tour de profiter maintenant des ardeurs de notre beau mâle. Sortant de l’anus de ma copine, il glissa sa tête chercheuse dans le mien. Il continue à s’enfoncer entre mes reins offerts, son sexe faisant preuve d’une incroyable endurance.

Les mecs qui assistent à cette débauche sexuelle sont en train de jouir, sans oser interférer dans la scène torride qui les excite, je devine juste qu’ils éjaculent l’un après l’autre en apercevant quelques giclées de sperme qui s’écrasent sur le carrelage juste à coté de moi. Il reste enfoncé jusqu'à la garde au fond de ma croupe, il me sodomise avec endurance.
Très vite, trop vite, alors que je voudrais faire durer longtemps de me faire baiser par cet étalon infatigable superbement bien membré. En gémissant des "Aaaah" successifs et très révélateurs, ce sont plusieurs rafales de semence tiède qui giclent dans mon petit cul largement défloré.

Enfin, épuisé, le souffle court et le cœur battant, je vois mon beau black qui se dégage puis se traîne en soufflant pour s'asseoir dans le coin de la douche pendant que je me redresse, un peu engourdie et courbaturée, je l’avoue, mais avec un air rieur et totalement comblé en faisant semblant de protester :

« - Ah ! Tout de même, tu es un beau salaud. »

Et j’enchaîne en souriant :

« - Hé ! bien oui, mon cœur, toi et tes copains, vous nous avez tellement inondés que nous devons de nouveau nous doucher. »

Alors, nous rentrons de nouveau sous la douche en chassant correctement les mecs de la salle de bain en leur disant d’aller se rhabiller. Nous nous débarrassons Annie et moi des traces de semence masculine qui nous macule le corps. Nous ressortons toute revigorée, rassasiée et totalement apaisée, nous leur faisons la bise en leur avouant avoir passé un mémorable moment en leur compagnie. Nous remercions Azaan de nous avoir organisé cette soirée dont nous nous souviendrons longtemps Annie et moi avant de prendre congé de nos hôtes.

Il était pratiquement une heure du matin lorsque nous sommes allés au lit toutes les deux serrés dans les bras l’une de l’autre, car nos maris à qui nous avons donné la permission de minuit n’étaient pas rentrés.













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