Ca S'Est Passé Lors D'Une Visite Nuptiale

Minou est le petit nom que j’ai donné à Manon (Minou pour Manon et aussi pour son petit minou fendu!) elle a 34 ans, ma femme depuis cinq ans, nous somment follement amoureux, donc tout va bien ? sauf que l’amour passion en déclin j’ai envie de découvrir et de lui faire découvrir d’autres façons de faire l’amour, mais comment faire comprendre à Minou que j’ai envie de la ‘baiser’, marre de lui faire l’amour langoureusement bouche contre bouche, tendrement enlacés au point de ne pas pouvoir bouger à ma guise, comment lui faire admettre que j’aimerais l’exhiber et pourquoi pas la faire monter par un inconnu qui lui prouverait qu’elle peut avoir un orgasme sans sentiments, j’imagine en me masturbant frénétiquement voir une belle pine coulisser dans sa gaine vaginale serrée et lui faire don de foutre abondant que je lècherais volontiers
Est-ce que Manon se masturbe aussi ? C’est une bonne question que je compte bien lui poser prochainement, j’admets qu’elle a reçu une éducation stricte ou le sexe était tabou, elle m’a confié être affolée lorsque ses règles sont venues, j’ai eu sa virginité après six mois d’attente insupportable et la promesse de l’épouser
Nous venions justement de faire l’amour ‘normalement’, sans surprises ni caresses ‘déplacées’, excédé je me suis décidé à entrer dans le vif du sujet
- C’était bien Minou ?
- Quelle question ! bien sûr chéri, comme d’habitude
- Justement s’est le ‘d‘habitude’ qui me gêne
- Que veux-tu dire Laurent ?
- J’en ai marre de faire l’amour à la papa, j’ai envie de te baiser, de t’enfiler, de te tringler et de te faire tringler ailleurs que dans ce foutu lit
- Quelle vulgarité d’un coup ?
- Rien n’est vulgaire ni sale en amour ma chérie, j’en ai marre d’appeler ce que tu as entre les cuisses : ton sexe ou ta vulve
- Comment veux-tu dire autrement ?
- Ton con, ta cramouille, ta craquette et j’en passe ! et pour moi c’est pareil, j’ai une bite, un braquemart, des couilles
- Tu deviens fou ? … J’ai peut-être mes raisons pour refuser ce plaisir dont tu parles pauvre idiot !
Sur ce minou en larmes tourne les talons en claquant la porte de notre chambre, je me retrouve comme un con en me demandant ce qu’elle a bien voulu dire : ‘refuser ce plaisir’ ?… je dois lui parler sans perdre un instant …
- Minou ?
- Que veux-tu encore ? tu veux me piner la moule ?
- Tu as raison, je suis un pauvre idiot, mais si tu as subit des outrages tu dois te confier à moi ma chérie
- Tu as raison de t’être fâché, je suis prête à parler… ça s’est passé il y a cinq ans
- L’année de notre mariage ?
- Le jour où nous avons passés la visite nuptiale
- Raconte ? ….

- Tu as passé la visite juste avant moi et tu es parti sans m’attendre
- C’est possible … ah oui ! je me souviens, je devais voir le traiteur
- Oui, je ne suis retrouvée sur une table gynécologique, les pieds dans les étriers, à la merci de ce vieux vicieux de toubib
- Il t’a faite déshabiller ?
- Oui entièrement, il voulait examiner mes seins et ma … mon con
- C’était nécessaire ?
- A l’époque j’étais très naïve, je le suis encore mais je veux avancer
- Je te comprends
- Il m’a grave pelotés les nichons avant de venir s’assoir entre mes cuisses, bien qu’ingénue j’avais remarqué qu’il bandait sous sa blouse
- Vieux bouc …
- Sans mettre de gants il a commencé à ouvrir mes lèvres et décalotter mon clitoris en me demandant si j’étais encore vierge, j’aurais dut lui dire que oui, car affichant un drôle de sourire il n’a pas plus hésité à enfiler un doigt, en prétextant qu’il n’allait pas se servir d’un spéculum trop désagréable pour la femme
- Tu devais être stressée ?
- Bizarrement non, je me suis même surprise, pour ma plus grande honte à mouiller, comme avec toi lorsque tu me doigtais
- Je reconnais que tu mouille encore bien lorsque je te caresse !
- Ce con m’en a fait la remarque et a ajouté un second doigt en exécutant des vas et vient précis sur mon clito et mon point G, c’est lui qui l’a nommé ainsi et m’a fait découvrir sa fonction
- Il est vrai qu’à cette époque j’étais encore incompétent pour certaines pratiques
- Tu as bien changé…. j’ai commencé malgré moi à me tordre de plaisir lorsque je me suis aperçue que son autre bras décrivais de mouvements saccadés et répétés
- Il se branlait ?
- Certainement car il devenait de plus en plus rouge, la sueur perlait a son front, je lui ai demandé si l’examen allait durer encore longtemps car je sentais la jouissance monter malgré ma volonté, il m’a dit : - ‘c’est terminé pour la visite de ta vulve il ne me reste plus qu’à la tester’
- Non ?
- Si, et là il s’est relevé et sans que j’aie eu le réflexe de me redresser il m’enfilait sa grosse bite entre les cuisses d’un seul coup de reins
- Il t’a baisée ?
- Baisée ? oui et non fait l’amour d’où la différence à reconnaitre nos gentilles relations sexuelles chéri et ma difficulté à être libérée comme tu le voudrait
- Excuse mes réflexions stupides … tu aurais dut déposer plainte, pourquoi me l’avoir caché durant tout ce temps ?
- J’avais peur que tu refuses de m’épouser et puis il n’y a pas eu violences …
- Tu as donc consenti à subir l’acte ?
- Subi ? J’ai même jouis …un orgasme d’une rare violence …
- Que suis-je sensé faire à présent ?
- Ou me quitter ou me baiser selon ton désir … je suis prête à accepter ton chibre dans ma cramouille de chaudasse et … même dans mon cul !
- Tu parles mieux mais je crains que ça ne suffisse
- Que veux-tu de plus ?
- Que tu oublies ta culotte lors de nos sorties et consentir à me suivre dans des endroits que tu décris comme ‘dépravés’, parkings, sauna, etc.
- Surement pas !
- Alors séparons-nous
- Laurent, je ne t’ai pas tout dit au sujet du docteur …
- Qu’a-t-il fait de plus ?
- En me raccompagnant à la porte il m’a mis une main aux fesses en me donnant un conseil, il m’a dit que si j’avais besoin de formation sexuelle je pourrais revenir le voir, ta présence ne le gênerait pas
- Elle t’a bien marquée sa grosse queue hein ?
- Ne sois pas vexé mais j’avoue que je n’ai jamais ressenti la même chose avec toi
- Je vais prendre rendez-vous avec ce porc
- Ne sois pas violent avec lui je suis en partie fautive
Le temps de retrouver son numéro et je lui rafraîchis la mémoire, suspicieux il s’est d’abord braqué mais lorsque je me suis expliqué sur la véritable raison de notre rendez-vous et il est devenu mielleux
- Je serais honoré de vous donner des conseils avisés pour une parfaite entente sexuelle dans votre couple, évidement je ne vous ferais pas payer la visite … à condition que tout soit permis sur votre femme
- C’est la moindre des choses, Je l’avais compris ainsi
- Mes amitiés à madame votre épouse
Minou partagée entre ses tabous et la perspective de se montrer au grand jour ne sais que faire pour justifier son changement de comportement sachant qu’elle va vivre un grand moment de sexe, elle multiplie les provocations en me montrant ses fesses nues a la moindre occasion
- Tu n’oublieras pas de mettre une culotte pour la visite, c’est un signe de respect pour le docteur qui va te visiter
- Pour finir à poil les cuisses béantes ?
- Retirer le slip de la femme qu’il va baiser excite énormément l’homme, c’est comme un trophée de chasse, l’aboutissement de ses efforts
- Vous êtes tous des dégoutants !
Lorsque nous somment entrés dans le cabinet, le docteur était en compagnie d’un homme qu’il nous a présenté comme son suppléant, ce dernier n’arrive pas à détacher son regard insistant sur les formes de Minou et sur ses tétons dardés et libres sous le corsage opaque, aucun doutes, ce mec est là uniquement pour troncher lui aussi ma femme
- Veuillez-vous préparer derrière ce rideau chère petite dame, ensuite prenez place sur la table, le temps de revoir votre dernière fiche et j’arrive, vous pouvez assister votre épouse monsieur
- D’accord, vient Minou, décontracte toi tu as l’air tendue …
- Tu le serais a moins… oups, j’ai fait un lapsus, tu bande drôlement fort !
Des bribes de conversation nous parviennent, le toubib demande a l’homme de se préparer en quittant leurs pantalons sous la blouse pour être prêts a’ baiser une petite chatte étroite complétement consentante’
- Ils vont me prendre à deux ?
- A trois si tu me compte ! allonge-toi et pose tes pieds dans les étriers
- J’ai honte de m’offrir ainsi sous tes yeux
- Honte ? ça ne t’empêche pas de mouiller !
- Ma culotte est tachée ? quelle horreur !
- Attention ils arrivent… ma femme est à votre disposition docteur
- Bien, commencez par une palpation des glandes mammaires André, je prépare le spéculum
- Vous ne lui retirez pas son slip ?
- Je vous en laisse le soin, remarquez au passage le bon fonctionnement des glandes de Bartholin, l’entrejambe est très enfondu …
- Merci de votre amabilité en me laissant retirer cette culotte odorante
- Asseyez-vous quelque part monsieur, ne restez pas dans notre champ d’action
- Ne t’éloigne pas trop chéri !
Mon épouse fait la moue, l’idée du spéculum ne l’enchante pas elle est venue pour de la queue rien que de la bonne et grosse queue, j’interviens donc
- Le spéculum est vraiment nécessaire ?
- C’est simplement pour évaluer l’élasticité de son vagin, après nous passons directement aux choses sérieuses, qu’accepte-t-elle ? fellation complète ? soixante-neuf ? sodomie ?
- Difficilement, elle n’avale pas, le soixante-neuf est sale pour elle, alors pour la sodomie …
- Y’a du boulot … ne perdons pas de temps, je serre la molette, les lèvres s’écartent normalement … je serre encore, l’intérieur est très poisseux, épongez cher confrère …
- Avec du papier ?
- Avec la langue bien sûr ! je retire cet appareil de , ça file au bout, léchez vite !
Minou pousse un long soupir lorsque la langue lippue colle enfin à sa figue et lape de longs filaments limpides, elle soulève son bassin afin d’encourager le suppléant qui bande comme un cerf sous sa blouse déboutonnée, la bite est agitée de soubresauts réglés sur les battements du cœur, d’un diamètre qui n’a rien à voir avec ma modeste queue, se tenant près du visage de Minou le toubib guette ses réactions, il lui prend un bras et dépose sa main fluette sur sa pine aussi imposante que celle de son collègue, les yeux désormais fermés ma femme tâtonne avant de serrer et décalotter le membre rigide, elle devine qu’elle va subir les turpitudes des deux hommes, je me branle curieux de découvrir la suite
La langue fait son œuvre a l’intérieur de la chatte n’épargnant pas le clitoris et l’anus, complètement désarticulée Minou attend désespérément qu’une bite s’introduise en elle et lui comble le vagin, elle est exaucée lorsque l’un se redresse entre ses cuisses et l’autre lui présente son gland à l’entrée de sa bouche, elle geint longuement et oublie ma présence quand sa moule accepte difficilement la bite et tète avidement le nœud qui l’oblige à écarter au maximum sa mâchoire, très vite les mouvements se coordonnent, je me lève pour voir coulisser entre ses cuisses le formidable piston luisant de sécrétions et sa bouche laisser échapper de longs filets de bave épaisse venus du fond de sa gorge , ses traits sont déformés par la jouissance qui explose soudainement , Minou est rouge, bouffie, sa moule et ses lèvres recrachent un trop plein de foutre , longuement secouée de spasmes ma femme s’écroule inerte, essoufflée, ses amants se congratulent souriants
- Alors ? je ne t’ai pas menti ? bonne chaudasse la bourgeoise !
- J’ai envie d’une bonne double qu’en dit tu ?
- Voulez-vous prendre votre épouse monsieur ?
- Ma foi non …
- Alors nous allons la baiser a deux, aide la a se lever et fait lui enjamber mon ventre, tu lui prendras d’abords la chatte avec moi en lui doigtant le cul, ensuite à toi de décider le moment opportun pour changer de trou …
- Vous voulez lui ouvrir l’anus et le vagin ?
- Vous nous l’avez bien confiée pour ça non ?
- Beeeeeeenn oui ….
- Alors laissez-nous travailler ou rentrez chez vous
Minou coincée entre les deux hommes ne parait pas subir, elle se démène activement sur le membre qui lui écartèle le vagin et cambre le derrière lorsque la seconde trique cherche un passage, au cri perçant et au grognement de satisfaction je sais que les deux verges se frottent l’une sur l’autre dans cet antre si étroit, les lèvres très étirées font que l’anus semble accolé au vagin qu’un doigt sollicite déjà … je viens de me décharger dans la main …
Une heure plus tard, j’ai soutenu Minou titubante encore en transe pour aller jusqu'à la voiture, à la maison nous avons trouvés la force de baiser sous la douche, le lendemain elle me demandait de l’accompagner prochainement au sauna afin qu’elle se fasse ‘démonter’