La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1249)
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) (suite de l'épisode N°1247) -
Au Château, lexplication de Messire Alain :
Le lendemain matin, le Seigneur dEvans convoqua Messire Alain, Ronan et Messire Léon nayant pu agir avant, à cause des événements. Il commença ainsi :
- Un tel comportement est inadmissible, je ne suis pas contre les sanctions quand elles sont justifiées et justes mais quon utilise Mon donjon sans Mon accord et surtout quon abime Mon bien, est intolérable.
- Je
je
me suis laissé emporter par mon zèle, je suis désolé Monseigneur mais cette Clémence nest quune soumise et
- Cest Ma soumise, coupa-til fortement dans sa voix, Mon bien, Ma propriété absolu et Moi Seul ait tout pouvoir sur Clémence comme sur toutes les autres.
- Je suis sûr que ce nest pas si grave, cette chienne a exagéré, sans aucun doute.
Ronan bondit :
- Es-tu aveugle ? Je lai vu de mes propres yeux, évanouie et en sang. Sans Kate, Dieu sait dans quel état elle serait et tu as de la chance que ses blessures ont bien guéris, sans cela je ne sais pas ce que jaurais demandé comme sanction contre toi et cette punaise dAmélie.
- Mon fils, calmez-vous, répliqua le Seigneur dEvans, quand à vous je ne peux vous garder à mon service après une telle faute. De plus, selon Messire Philippe (Commandant en second des chevaliers) vous êtes un mauvais élément. Vous avez jusquà la tombée de la nuit pour quitter Mes Terres en ne jamais y remettre les pieds, sous peine de mort.
Messire Alain leur lança en vociférant et en sortant :
- Vous le regretterez, croyez-moi tous.
- Hors de ma vue, incapable. (Ensuite plus calmement le Seigneur dEvans reprit) - Et pour Amélie, Ronan, cest à vous quelle a manqué de respect et donc à vous de décider de sa sanction.
- Je ne sais pas encore, je vous en ferai part quand jaurai pris ma décision.
- Fort bien ! Nous avons tous nos tâches respectives, dit le Seigneur dEvans, mettant ainsi fin à lentretien
Le retour et lattaque :
Le début de chemin du retour vers le Château se passa plus ou moins comme à lallée. Alix et Antonin plongés dans leurs pensées suite à leur découverte. Ils voyageaient en deux groupes. Alix, Antonin, Emérentine et Marthe dans le premier. Godulfe, justinien, Thomas et Mathurin dans le second. Le trajet avançait bien quand leur convoi fut attaqué par des bandits de grand chemin. Antonin, Godulfe Justinien et Thomas essayaient de les tenir a distance tendis quAlix mettait les autres à labri puis se joignit au combat et rapidement se retrouva aux prises avec deux bandits. Godulfe arriva pour lui prêter main forte. Malheureusement, il reçut un mauvais coup dépée dans le flanc droit. Quand enfin blessés et en difficulté, les brigands prirent la fuite, le petit convoi put reprendre la route jusquau relais suivant. La femme de laubergiste fit ce quelle put pour soigner Godulfe bandant largement dépaisses étoffes le tour du ventre du blessé. Le lendemain, ils continuèrent leur route de bon matin
Au Château, Messire Léon Ronan et Lucie :
Les nuits se succèdent en gardes dans le couloir pour Ronan, Messire Léon et Lucie afin de prendre en flagrant délit Amélie. Mais un soir, le Maître fit venir Lucie dans son cabinet de travail et en arrivant, elle se mit de suite à genoux, tête baissée, les mains dans le dos.
- Vous mavez fait appeler Maître.
- Oui ma chienne je veux que tu me soulages et tâches de faire vite, je suis pressé.
- Oui Maître
Lucie commença à le masturber doucement puis le lécha et le prit entièrement en bouche et suça avec toute lapplication quelle pouvait et bonne volonté. Lucie était une bonne suceuse expérimentée mais ces dernières nuits elle était fatiguée car qu'elle passait à surveiller le couloir avec à tour de rôle Ronan et Messire Léon et où elle ne pouvait dormir.
- Mieux que ça, salope, Ma noble Verge n'est-elle pas à ton gout ?
Lucie s'activa léchant, suçant, pompant la Verge du Seigneur dEvans donnant de petits coups de langue sur le gland, tournant sa langue tout autour en descendant lentement et enfin finit pas le faire jouir mais moins bien et moins fort que d'habitude puis elle avala ce qu'elle put récolter. Elle nettoya ensuite le sexe du Seigneur, toujours en semi érection. Puis elle attendit à genoux et en silence.
- Sors d'ici et tâche de faire mieux la prochaine fois, sinon tu seras sévèrement punie, chienne.
- Oui Maître, je vous présente mes excuses pour la mollesse de ma bouche et elle sortit...
Au Château, La dernière nuit :
Enfin une nuit, alors que Messire Léon surveillait le couloir et que Lucie somnolente contre son épaule, quand soudain une silhouette apparut
- Lucie, réveille-toi vite et va réveiller le Seigneur d'Evans, le moment est venu.
Lucie se précipita rapidement et sans faire de bruit par une porte dérobée en direction de la chambre du Maître et failli dans la précipitation oublier de frapper.
- Oui entrer.
En ouvrant la porte, elle vit le Maître au lit et Kate entre ses jambes en train de sucer le Seigneur dEvans.
- Que veux-tu chienne ? dit-il légèrement énervé d'être ainsi dérangé.
- Maître, je suis désolée de vous déranger mais Messire Léon doit vous voir de toute urgence. C'est lui qui m'a envoyé vous chercher le plus vite possible.
- Bien, ça à l'air important.
Le Seigneur se leva et la suivit et dans un couloir opposé, Lucie lui dit :
- Maître, je vous prie de m'excuser si je suis restée debout en entrant dans votre chambre et d'être restée vêtue mais c'est très très urgent.
- C'est si important que ca ?
- Oui Maître mais Messire Léon ne ma pas permise de vous en dire plus, je vous en supplie, vite.
Par hasard cette conversation se passa devant la chambre de Clémence où Ronan se trouvait entendant cela, il sortit. Il lança un discret regard à Lucie qui voulait dire ça y est c'est le moment ?. Elle lui répondit du regard et silencieusement que oui.
- Je vous accompagne père, dépêchons-nous.
Tout en marchant Lucie conservait un pas en retrait du Maître et de son fils.
- Ronan, vous savez quelque chose que j'ignore ? Et où allons-nous ?
- Oui père, mais il faut que vous le voyez par Vous-même autrement, vous ne nous croiriez pas.
En arrivant au coin du couloir où Messire Léon se trouvait. Ronan s'arrêta et s'adressant à son père et à Lucie, qui elle, savait dévoluer à pas de loup en silence.
- Père, puis-je vous demander de ne pas faire de bruit.
Voyant son regard plus qu'interrogateur, Lucie se permit d'ajouter.
- S'il vous plait, Maître. Vous allez comprendre dans un moment.
Arrivé près de Messire Léon, il murmura à l'oreille du Seigneur d'Evans.
- Sire, désolé de vous avoir réveillé, mais regardez là-bas près de la niche, c'est Amélie.
- Que fait-elle ici en pleine nuit ?
- Nous pensons le savoir, regardez.
Amélie sortit le petit paquet de tissu contenant le rubis, le sortit de son emballage de tissu et l'admira. Il scintillait à la lueur des bougies et au moment où elle allait le ranger, Ronan suivit de Messire Léon l'arrêta :
- Alors la chienne, on recèle des bijoux volés maintenant ?
Amélie devant aussi blanche que la mort bafouilla :
- Me...Messire c'est...ce n'est pas moi, je... je viens de le trouver maintenant par hasard et allait même de ce pas vous l'apporter.
- Ben voyons ! Et tu penses quon va te croire ? Depuis des nuits, on surveille ce couloir attendant que tu commettes l'erreur de revenir afin de te prendre la main dans le sac.
Le Seigneur d'Evans et Lucie s'étaient approchés.
- Ho hé ! Gardes, gardes !.....
En quelques secondes, les deux gardes en faction accoururent.
- Emmenez cette chienne au cachot, en attendant que le Seigneur d'Evans décide de son sort.
Messire Léon expliquât ensuite tout au Seigneur d'Evans qui répondit après quelques longs instants de réflexion.
- Il est tard, nous verrons cela demain. Ronan, voulez-vous garder ce rubis. Kate est dans ma chambre je le lui remettrai plus tard moi-même.
Messire Léon se retrouva seul dans sa chambre avec Lucie et lui annonça :
- Eh bien voila ! Ta mission avec moi est terminée.
- Ce fut un honneur et un plaisir Messire, je suis heureuse d'avoir pu vous être utile.
- Alors pourquoi un visage si triste, c'est fini et je pense que bientôt nous récupéreront Marion et Manon.
- Oui mais dans quel état et Manon on ne sait même pas où elle est.
- Ne t'inquiète pas belle petite chienne, je m'occupe de tout mais pour le reste de cette nuit je vais m'occuper de toi.
Lucie enleva immédiatement ce qu'elle portait (pour les nuits de gardes du couloir, elle avait été autorisée à porter un vêtement chaud) et se mit à genoux tête baissée, les mains dans le dos, attendant les ordres.
- Couchée sur le dos sur ma couche et tout de suite
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!