J'Ai Pervertie Ma Collègue - L'Évolution 6
Ce soir-là, Fannie maccompagne chez Maeva. Je viens juste me vidanger sans chercher autre chose. Fannie est sous le coup dune punition et jai besoin de me purger. Maeva nous accueille, elle savait que je viendrais accompagner par ma soumise dont je souhaitais sa présence, histoire de lexciter mais aussi de lhumilier.
-alors Maeva, voici ma chienne soumise, elle est là pour voir comment je moccupe de toi
-oui vous men aviez parlé, mais je ne pensais pas que cétait vrai
-bon assez parlé pour rien dire, retire tes vêtements
Maeva se met nue.
-Tu vois ma soumise, je ne tavais pas mentis, elle a une chatte poilue comme pas possible
Je prends Maeva et la dirige pour quelle me suce ma queue déjà bien bandée. Fannie, à genoux, regarde de près ce quil se passe. Elle a juste le droit de regarder, sans toucher, juste observer et mouiller sa chatte verrouiller. Maeva sapplique pour me sucer, cherchant à démontrer à Fannie quelle savait bien pomper une bonne tige, lui jetant des regards malicieux. Je fais mettre Maeva à genoux sur son canapé lit et lui pénètre la chatte, ma queue disparaît dans cette forêt de poils. Sous mes coups de queue ; Maeva est toujours autant silencieuse, juste sa respiration, plus rapide fait comprendre quelle prend du plaisir. Je laboure le sexe dans lequel je me sens à létroit. Jécarte ses fesses pour découvrir sa raie et sa rondelle, lieu toujours aussi imparfait. Fannie regarde, excité, mais ne pouvant prendre de plaisir. Je sors ma queue et la présente devant la rondelle de Maeva, rondelle qui souvre rapidement et qui engloutie ma queue. Je ramone ce conduit au plus profond, cherchant à prendre mon plaisir tout en apportant celui de Maeva. Cette dernière, toujours identique à elle-même, pas un mot, juste une respiration. Fannie prend linitiative de venir chatouiller le clitoris de Maeva. Cette dernière refuse toute manipulation, mais devant linsistance de ma soumise et mes coups de queue dans son fondement, elle finit par se laisser masser la chatte et branler le bouton.
-mon chérie, je crois quelle a pris chère la sur de Maele
-ouais, je crois, tu las bien aidé, tu dois être liquide entre les cuisses
-cest fermé, mais ça coule oui
-bon je vais me laver la queue, tu vois comment son cul est merdeux à cette salope.
-viens, je vais te laver, elle dort déjà.
Nous laissons Maeva et rentrons chez moi.
Arrivée chez moi, Fannie minterpelle.
-tu ne crois pas que tu mas suffisamment puni ? Ça fait un mois déjà et en plus avec ce que tu mas fait vivre avec Maeva
tu imagines mon état.
-écoute, ta punition cest deux mois, reste donc un mois. Maeva va me servir de vide couille, cest tout. Une fois ta punition levée, tu auras le droit à une belle reprise, tinquiète pas va !
Les trente jours restant sont passés. Maeva a été à ma disposition moffrant bouche, chatte et cul, autant que je le souhaitais, sans restriction. Maintenant je dois moccuper de ma soumise. Pour sa reprise du sexe, jai organisé une journée complète de sexe. De 12h à 18 heures elle va être à disposition de différentes queues. A cette occasion jai passé une annonce sur un site spécialisé. Jai trouvé un homme qui me prête un local aménagé, ainsi que différents protagoniste pour soccuper de ma chienne. Fannie a été informée de ce qui allait se faire.
-voilà ce que vous mavez demandé.
-oui, parfait pour moi Ambroise. Donc vous pourrez participer et filmer alors. Fannie, toi tu te déshabilles et tu entre dans cette pièce. Fannie ne bronche pas et sexécute. Elle pénètre dans un cagibi avec 4 trous de chaque côté. A lintérieur, un cheval darçon, rembourré sur lequel ma soumise est attaché par les pieds et le ventre. Un fermant la porte, ces trous sont à dispositions. Cest un Glory hole, adapté, amélioré. Fannie va subir, sans rien pouvoir faire, de quoi lui assouvir ses besoins de sexe. Très vite les convives arrivent. Ils sont de tout âge, toutes origines, ils sont 12 hommes. La distribution de capote faite, Fannie a déjà une bite en bouche, cest Ambroise le premier qui lutilisera. Les choses vont assez vites. Ambroise passe derrière et possède Fannie par le sexe, allant venant de sa queue honorable. Dans ce cagibi, nous entendons Fannie qui commence à prendre plaisir. Pour parfaire la situation, Ma soumise à les oreilles couvertes dun casque qui passe de la musique et des sons de film X, elle est complètement isolée dans ce monde.
-ah oui, ah oui, encore
.. hummmm ! ooh oui
.
Les queues vont, partent, reviennent utiliser ces trois tous. Vers 15h00 Ambroise propose une pose. Ma chienne est rafraichit par une paille et un verre de jus de raisin, nous, les hommes avons le droit à quelques chose de plus évolué. Je décide de voir si ça va pour ma salope de soumise bourgeoise.
-ca va là-dedans ?
-oui, je vais être nase après ça, il va falloir que tu me ramène sur ton dos. Tu ne mas pas raté Fred, je dois le reconnaître.
-bon ! si ça va tant mieux, alors on remet ça.
-ssaaalllauuuudd
-messieurs, si vous voulez, madame en redemande.
Tout le monde arrive. Fannie est encore et encore baisé par le sexe, le cul, elle suce des queues les unes après les autres. Ca commence à sentir le sexe dans la pièce.
-aahh ouiii baise moi, encore putain, mon mec me regarde
..aahhh, je dois lhonorer, alleeerrrrr
Elle nentend rien de ce que les hommes peuvent lui dire, le casque sur les oreilles, elle est replongée dans un univers de sexe. Les hommes baises Fannie comme elle le mérite, comme une vulgaire chose qui est là pour satisfaire des hommes. Elle était en manque, maintenant elle a rattrapé le retard. La séance se termine. Je me retrouve seul avec Ambroise et Fannie, fatigué. Ma soumise prend une douche pour se nettoyer de ces heures de baise. Avec Ambroise nous discutons de ces quelques heures passées et me propose de recommencer quand je veux. Je retiens linvitation et nous rentrons chez moi. Fannie part se coucher, vidée.
Le lendemain, Fannie prépare le petit-déjeuner et vient me chercher.
-tu as été sans pitié hier, Fred, jai pris chère tu sais
-mérité me semble-t-il
-non ce nétait pas mérité du tout, pas à ce point
-il te reste encore quelques jours très chère, donc je fais ce que je veux.
-stp, non, je ferais tout mais tout pour toi, tu le sais et uniquement par amour, mais plus jamais cette façon de me traiter, je vais avoir mal encore pendant plusieurs jours.
-bon, je vais réfléchir Fannie, je ne sais pas ce que je vais décider...
-tu sais, ta Maeva, elle est juste bonne faire la salope qui ne couine jamais.
-je sais, je sais, mais je nenvisage rien avec elle, elle est là juste pour me vidanger le temps que tas punition soit levée. Tu sais quand même que cest la sur de Maele ?
-Oui, mais Maele crois que sa sur est comme elle, moi je sais que non. Par contre Maele aimerait bien que lon se voit avec son ami.
-ouais elle men a vaguement parlé. Bon jai réfléchis pour toi. Ok, on arrêt la punition maintenant. Pour cela tu vas devoir te trouver un coiffeur qui te tonde, en gros il te reste 1h30 à tout casser, avant 12h00. Si tu me reviens tondue, avec une photo de toi soit suçant une queue soit mangeant une chatte, la punition sera levé et je ferais en sorte de prendre en considération le fait que nous puissions être en couple tout en étant ma chienne bourgeoise soumise.
-ok je mhabille et je vais revenir comme tu le souhaites.
Fannie part comme une tornade, un tour dans la chambre pour shabiller et la voilà partie en quête dune tondeuse.
Deux heures plus tard, Fannie rentre. Ses cheveux sont bien tondus à ras et son visage arbore un sourire.
-voilà la photo mon chéri.
-et cest qui cette femme ?
-peu importe, je crois que jai respecté ta demande et elle ne précisait pas que je te dise avec qui je ferais la photo.
-ok ok, tu as gagné, cest vrai, je suis un peu surpris, mais bravo.
Fannie se cramponne à mon coup et membrasse tendrement.
-tu sais ce que je veux je lai, cest toi Fred, il reste une chose, cest avoir un avec toi.
Les jours et les semaines ont passés. Maeva a été laissée de côté, malgré ses nombreuses demandes. Nous avons, avec Fannie pris du temps pour vivre des moments agréables, sans nous soucier de demain. Et puis un jour Fannie réagit.
-mon chéri, ça fait un certain temps que nous sommes en sommeil, mais moi jaimerais bien que tu me reprennes en mains.
-nous avions besoin de faire le point, je pense, mais pas de souci, tu vas redevenir ma bourgeoise soumise, et dés maintenant.
Durant ce laps de temps de pose, les cheveux de Fannie ont repoussés, son sexe a retrouvé une pilosité, ce qui va à lencontre de tous principes pour une soumise.
Fannie, nue, je lui rase intégralement le sexe, ce qui me permet de lui reposer ces anneaux aux lèvres intimes et aux seins. Ensuite ma tondeuse lui coupe les cheveux, pour quelle retrouve sa tête davant notre pose. En une heure, elle est redevenue ma chienne soumise, de surcroit à sa demande. Pour parfaire tout cela, je loblige à shabiller court, sans dessous et direction notre épicier arabe. A notre arrivée, il reconnaît Fannie.
-bonjour ma petite dame, il y a longtemps, je vous vends quoi ?
-mon mari veut que je vous suce, là, devant lui.
-je ne peux pas, ma femme est dans la réserve.
-ce nest pas grave, pendant que je vous suce, mon mari va soccuper de votre dame, vous navez quà lui dire de lever sa jupe et mon mari la possédera.
Lépicier regarde dun air hagard Fannie.
-mais ce nest pas possible, elle ne voudra pas. Je vais lui parler.
Sans que notre épicier ait eu le temps de répondre, Fannie est partie dans la réserve voir la femme. Nous entendons rapidement des haussements de voix, puis plus rien. Fannie revient accompagnée de la femme. Une femme pas très belle, mais pas moche non plus, habillé dune longue robe et un fichu sur la tête. Elle parle avec son mari en arabe et ferme la boutique. Ce dernier surpris, suit sa femme. Nous nous retrouvons tous dans la réserve. Fannie accroupie sort la queue de lépicier et le suce pour le faire bander. La situation semble le perturber un peu, mais ma chienne sait comment faire bander une bonne bite.
-mon chéri, madame à envie de voir une queue autre que celle de son mari et elle en a marre de ce savoir cocu, sans avoir essayé une queue, alors une bite de blanc pourquoi pas.
La « fatma » sort ma queue de son logement et commence à la branler et de sa langue, timidement titiller mon gland. Manifestement la pipe nest pas son trip, loin de là. Nétant pas très compliqué, ma queue bande sans problème. Je la lève et me présente devant ses fesses, je lui remonte sa robe, retire sa culotte et découvre un fessier important, bien grassouillet et imberbe de tous poils. Jenfile une capote et la femme écarte ses fesses pour me montrer le trou à prendre. A côté, lépicier est sous les coups de langue de Fannie qui lui donne, vu son état, du plaisir. Il échange en arabe avec sa femme ; qui semble énervé et qui lenvoi balader avec des signes de la main. Je pénètre sa rondelle qui souvre facilement et commence à la baiser. Très vite sa respiration sintensifie, des petits « ah !ah !ah » commencent à pointer du bout de ses lèvres. Son mari la regarde se faire sodomiser par un blanc, chose quelle na jamais connue. Fannie retire la queue de lépicier de sa bouche, se rapproche de la femme, tout en branlant lhomme. De son autre main, elle prend la tête de la femme pour que les regards se croisent et vient apposer ses lèvres sur celles de cette femme qui se laisse faire et qui ne refuse en rien cet échange de baiser. Lépicier hausse la voix devant la débauche de sa femme.
-tu crois que hausser le ton va me faire arrêter ? Tu crois que j ai peur de toi ? non cest terminé, regarde une femme te fait ça et tu dis rien, alors que moi je devrais ne rien faire, au diable mon mari, je fais ce que je veux maintenant.
Lépicier est abasourdit par ce quil vient dentendre. Fannie le reprend en bouche et cherche la jouissance de cet homme. De mon côté, je mactive un peu plus pour arriver à mon plaisir, mais la femme jouis avant moi, je sens sa rondelle se contacter, ce qui a pour effet de ma faire jouir rapidement. Lépicier, lui, se libère sur le visage de Fannie.
-alors écoute moi bien mon cher mari, à partir de maintenant tu fais ce que tu veux, avec qui tu veux, mais moi je fais de même de mon côté.
Le couple commence à régler ses comptes, nous partons, les laissant sexpliquer.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!