Collection Étrange Phénomène. Le Parchemin Diabolique (13/23)

De retour du match remporté par notre équipe, Martine, qui était partie avec le président et mes deux amants blacks, nous raconte comment des routiers et les trois garçons l’ont baisée sur une aire d’autoroute dans la région de Mâcon.

Benoît, mon médecin de mari, nous a rejoint au matin, il a honoré son épouse, c'est à dire moi, avant de s’affaler, rompu de fatigue entre nous.
Martine vient de nous raconter ses exploits sur cette autoroute quand je m’aperçois que Benoît est prêt à baiser l’une de nous deux.
Je tiens à faire voir à ma copine que c’est mon homme, faisant attention au plateau même si tout a été consommé.
Je me mets en levrette, lui montrant ma chatte dégoulinante d’envie.
Il vient en moi mais Martine ayant repris du poil de la bête enlève le plateau le posant sur la carpette et vient se positionner à mes côtés.
Je tourne la tête, Benoît me quitte et prend le sexe de mon amie.
Nous nous embrassons avec un peu de difficulté, les coups de bite nous faisant bouger d’avant en arrière. C’est moi qui reçois son sperme quand nous éclatons tous les deux.
Je suis contente, non pas car c’est le sperme de mon mari, mais parce que Martine en a eu plus que sa dose cette nuit.
Nous allons prendre un bain puis propres nous nous dirigeons vers la salle où nous nous asseyons autour de la table.
Mon homme récupère son ordinateur portable.

• Parlons du mariage de nos s et de vous, Martine et Lucien, avez-vous des idées ?
• C’est simple, à part ma fille, j’ai peu de personnes à inviter, Lucien aussi, nous en avons parlé avant mon départ pour aller à Besançon rencontrer les autorités ecclésiastiques pour que nous puissions nous marier à Chazal.
Au niveau de la fête, je crois que c’est vous qui pouvez-nous dire ce que vous envisagez, je pense que vue votre condition sociale, vous serez plus nombreux
• Tu as raison Martine, j’aurai de nombreux collègues à inviter, au moins au vin d’honneur qui me semble indispensable.


• De plus, Adrien et ta fille veulent s’implanter à Baumes les Dames.
Adrien est d’accord qu’on les aide, ils auront certainement eux aussi quelques invités.
• Je crois connaître la solution, il y a deux ans, j’avais mangé une friture de truites chez Fabrice, vers le bas de la vallée du Cusancin, il y avait une grosse bâtisse.
Il faisait beau, sur une grande terrasse, il y avait une noce, je me suis dit que ce couple avait de la chance de se marier dans un si joli cadre.
• Ce sont d’anciens thermes transformés en salle de mariages, séminaires et autres réunions.
J’ai entendu dire qu’ils avaient aussi des chambres pour les invités venus de loin.
• Tu as raison Véronique, Martine, je te rappelle que dans cette affaire, l’argent n’est pas un problème.
Ma maman dans son testament a placé une somme pour le mariage de son petit-fils.
Personne n’aura besoin de casser sa tirelire, cette somme que nous avons placée a l’avantage d’avoir fait des petits.
Véronique, regardons l’adresse et le numéro de téléphone, prend contact.

C’est ainsi que trois jours plus tard, je prends la route, évitant l’autoroute, me voyant mal retomber en panne.
J'ignore si la voiture a été capricieuse à cause du parchemin m’imposant cet arrêt !
Je passe le contournement de la ville de Dole, j’arrive à un carrefour, une gendarmette se place face à moi et me fait ranger sur le côté.

• Bonjour madame, Gendarmerie Nationale, veuillez me présenter les papiers du véhicule et votre permis de conduire.
• Bien sûr, ils sont dans mon sac.

Je le prends, je cherche, ils brillent par leur absence.
Quelle cruche, au moment de partir, j’ai sorti mes papiers pour retrouver le numéro de téléphone de la salle de mariage pour confirmer ma venue pour onze heures. Après mon coup de fil, je les ai laissés sur la table de la salle.
La boîte et le parchemin sont là, mais pas mes papiers.


• Madame, je m’excuse, je les ai oubliés chez moi, regardez, j’ai le papillon de l’assurance, je ne vous mens pas !
• Veuillez descendre de votre véhicule et me suivre jusqu’à notre estafette de gendarmerie !

Je sors de ma voiture et nous rejoignions le véhicule de gendarmerie.

• Adjudant Coller, cette dame a oublié ses papiers chez elle !
• Montez madame, nous allons prendre vos coordonnées, vous aurez une amende et on vous demandera de passer par la gendarmerie ou le poste de police près de chez vous pour les présenter.
Vous savez, il y a tellement de personnes qui roulent sans permis, nous sommes dans l’obligation de faire des contrôles.
• C’est normal, vous faites votre travail.

Il s’apprête à taper sur son ordinateur.

• Nom, prénom, âge, adresse et numéro de téléphone.

Je lui donne tous les renseignements demandés qu’il tape sur son logiciel.
Le gendarme est plutôt beau gosse il a environ trente ans.
Si j’avais mis une petite culotte, je serais en train de la mouiller.
Non, pas ça, pas maintenant, même si la camionnette où j’ai pris place est en retrait des regards passant dans le rond-point.
Non pas ça, ma chatte se met en ébullition, je vais me retrouver en prison pour attentat à la pudeur et autres dérives que le parchemin impose à ceux qui se trouvent à bonne distance.
Je sors un de mes seins de ma robe d’été, je le présente à celui que la gendarmette a présenté comme un adjudant.

• Merde qu’il est beau, je devrais vous arrêter pour tentative de corruption d’agent de la force publique dans l’exercice de ses fonctions.
Sergent Dupont, Corinne pourquoi défais-tu ton ceinturon, pardon sergent pourquoi détachez-vous votre ceinturon et que vous baissez votre pantalon ?

Trop tard, le parchemin dans mon sac, s’est mis en position baise, l’adjudant est assis sur une banquette alors que je le suis dos à la cabine de conduite.

J’avance ma main, le ceinturon du gendarme saute quand il le défait et me sort une verge de bonne dimension, doublée de muscles développés par sa pratique du sport. Même si l’endroit est insolite, je veux qu’il me baise.
Bestial, plutôt sauvage, quand je l’enjambe, je sens une main venir entre nous et me la mettre dans la chatte.
Je pose les yeux sur Corinne, c’est cette belle rouquine salope qui vient de me la placer pour que je me transperce en m’affaissant sur le ventre de mon nouvel amant.

• Prends ton pied et laisse-moi la place, Franck, il y a des mois que j’attends pour que tu me sautes, depuis le jour où nos regards se sont croisés, je suis éprise de toi.
• Moi aussi Corinne, j’avais envie de te faire l’amour, je finis avec madame et je m’occupe de toi après.

Surréaliste, il me fait l’amour alors que déjà il est dans le sexe d’une autre, une autre qui amène son sein près de ma bouche.
Je le suce avec délice, il a ce goût de rousse tant décrit dans les romans.
Ma main descend vers sa fourche, étant à genoux sur la banquette où nous nous trouvons.
Je ne vois pas, mais je sens, outre qu’elle est trempée, qu’elle doit avoir une toison fauve extraordinaire.
Aucun doute que, lorsque l’orgasme déclenché par la situation que j’ai commencée en sortant mon sein m’aura dévasté, elle va s’empresser de se donner à cet homme qui me fait partir.
Encore un bon coup tiré grâce au parchemin.
Je me rassois sur la banquette que je n’aurais pas dû quitter et je regarde le cul plein de taches de rousseur monter et descendre à la place que je viens de laisser.
Je me rajuste et descend de la camionnette pour rejoindre ma voiture.

• Véronique, es-tu libre dans trois jours ?
Revient au commissariat de Dole, j’aurai d’autres renseignements à te demander, amène tes papiers nous classerons l’affaire.

Je quitte le carrefour, une voiture passe près de moi et me donne un coup de klaxon.
Je dois être sortie de la zone d’influence du parchemin car tournant la tête, je vois que Franck et Corinne baisent toujours.

Je roule depuis cinq minutes quand j’éclate de rire, et si les gendarmes, en plus de cet homme et cette femme, avaient été trois, me serais-je fait prendre en sandwich dans cet espace restreint ?
J’arrive à Baume-les-Dames, dans l’affaire.
Il est midi, j’appelle mon rendez-vous pour m’excuser.
Anabelle me propose de venir tout de même, nous déjeunerons ensemble, ils ont eu un mariage samedi et il lui reste du salé et du sucré.
Je poursuis jusque chez Fabrice, il est content de me voir, lui aussi tient à ce que je reste manger, mais j’ai une seule requête à lui faire.

• Peux-tu me garder ce sac ?
Je vais voir pour réserver la salle de mariage en contrebas, j’aimerais éviter de l’emporter.

Dans la voiture d’une femme, il y a tout ce qu’il faut.
Le sac est celui d’une parfumerie près de chez moi à Dijon.
J’y mets la boîte me protégeant de ses effets avec cette femme que je vais rencontrer pour la première fois en vue du mariage des s et de Martine.
Inutile que je lui saute à la chatte, j’ignore qui elle est et comment elle est.

• Je la pose là, viens la rechercher quand tu veux, j’aurais fini mon service vers quinze heures.
Si le restaurant est fermé, passe par la porte sur le côté de la cuisine, le personnel aura terminé jusqu’à ce soir, mais je dois préparer des crèmes anglaises et des îles flottantes.
• Louisa est absente ?
• Oui, elle est partie avec Gille l’apprenti à Besançon, nous devons régler des papiers pour son retour à l’école en alternance à la rentrée scolaire.

Je quitte Fabrice satisfaite de ce qu’il garde ma boîte.
Il y a du monde en terrasse, je laisse passer une jolie brune, avec des assiettes à la main, la serveuse du moment de Fabrice…


Merci à Anne

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