Table De Sapin 9
Au-loin je vis les feux rouges de la voiture de Janine disparaitre après le virage. Je mapprêtais à entrer dans la maison de mes beaux parents quand je fus interpelé par les Psitt
! Psitt
! Psitt
! Venant du coin du mur. Je me suis avancé doù venait la source, pour mapercevoir quune femme se tenait à labris de tous regards indiscrets. Que jai tout de suite reconnu étant la voisine du bout de la rue. Mariée et mère de deux s en bas âge.
- Bonsoir madame, lui fis-je. Puisse faire quelque chose pour vous.
- Non
enfin ! Je voudrais vous faire des excuses ?
- Des excuses ! Répétais-je, étonné. Mais pourquoi donc ?
- Cest votre voiture quil se trouve là ? Fit-elle en désignant du menton ma BX.
- Oui
cest bien la mienne. Pourquoi voulez-vous savoir
Cela ? Ce nest pas que vous lavez
Dun pas pressé je me suis approché de mon véhicule. La voisine sur mes pas.
- Mais monsieur
où courez-vous comme ça ?
- Voir ma voiture.
- Mais ! Elle na rien votre voiture.
Jai fait le tour pour massurer quelle navait réellement rien.
- Je vous lavais bien dit
- Oui, cest vrai. Mais pourquoi avoir parlé de ma voiture.
- Tout bonnement par ce je me suis servis delle pour avoir accès à la fenêtre quy est là. Quelle ma indiqué du doigt.
La cuisine de mes beaux-parents. Lendroit même où javais fait lamour avec ma coiffeuse.
- Et alors ? Mentendais-je dire. Tourmenter de ce qui allait sortir de la bouche de cette femme.
- Jai assisté à tout. Il faut que vous me punissiez, vous savez monsieur, pour avoir joué la voyeuse. Vous mentendez ! Une bonne correction pour me persuader de ne pas aller le chanter aux oreilles de lépoux. Comment se nomme t-il déjà le mari de la coiffeuse, Janine
ah oui ! Charles
oui cest ça Charles
Je nai pas trouvé la réplique tant jétais bouche bée. Au point de la saisir par le bras et de lentraîner à lintérieur.
- Cest une habitude chez moi, me fit-elle.
Je nai pas pu m'empêcher de jeter de brefs coups dil. Ils mont semblé si doux, si cambrés. Je ne sais pourquoi mais je lai félicité de possédé de si beaux pieds. Jai senti en retour un grand sourire.
- Je détecte chez vous, comme une adoration pour mes pieds ? Je me trompe ?
Je lui ai proposé dans un grand sourire de lui montrer à tel point jadorais cela. Elle ne se fit pas prier. Pour ça je lai sasseoir sur une chaise. Je me suis saisi de ses petons que jai posés en appui sur mes genoux et je les ai caressés. Jai senti sous mes doigts ses pieds légèrement moites, accentuant la tendresse de ses plantes. Une chose est sure, elle appréciait.
- Cest très agréable
Son regard se fit de plus en plus insistant. Jusquà ce qu'elle relève son pied droit à hauteur de mon visage. À seulement quelques centimètres de ma bouche. Jai déposé quelques baisers alors quelle ma regardé faire avec un grand sourire. Me laissant emporter par le désir, jai sorti ma langue pour laper sa plante. Jusquaux orteils que je me suis mis à sucer lun après lautre. Comme de petites bites. À en avoir plein la bouche de sa saveur salée.
Ne - Croyait pas que cela va suffire pour me faire garder mon silence mon cher monsieur. Sexclama-t-elle.
- Mais alors que vous-voulez au juste ?
- Une bonne correction. Je vous lai déjà dit à mainte reprise.
- Si cest vraiment ça que vous voulez, alors allons-y. Comptez sur moi pour vous le donner.
Je lai attiré jusquà moi et sans aménagement lai positionné sur mes genoux.
Puis jai frappée de toutes mes forces.
- Une fessée cest cul nu
me fit-elle.
Sans courtoisie jai retroussé lourlet de sa robe vers le haut. Je me suis saisie de sa culotte blanche et tiré dessus de toutes mes forces. Les coutures nont pas tardé à céder sous la vigueur de mon geste. Se déchirant. Ses fesses étaient comme je les ai imaginés lors de nous croissement dans la rue, splendides. Rondes, bien pleines, un vrai beau cul de femme. C'était le cul idéal pour une fessée. Penchée en avant, elle attendait la fessée. J'ai envoyé ma main et mis une claque sur sa fesse. Puis repris mon élan, et vlan ! Une autre, plus fermement. Faisant plaquer le plat de ma main sur le postérieur. La femme a sursauté. La marque pourpre de ma main sest dessinée presque immédiatement sur la peau et elle a poussé un cri que je qualifierais de bien être. Jai donné deux autres claques vigoureuses. Mais ne nétait pas du goût de la dame.
- Plus fort
ce nest pas vos caresses qui vont me persuader à garder le silence.
Elle sest cambrée pour remonter son postérieur. Écartant les jambes pour assurer sa stabilité. Du coup elle a prit une position qui ne pouvait cacher l'intimité de son sexe. C'était excitant. Ça ma motivé à m'appliquer pour la suite. Je me suis mis alors à la fesser avec violence, sans pauses, à pleine main, et les fesses sont devenues très vite flamboyantes. Elle a gigoté. Son fessier bondissait à chaque impacte, comme pour mieux soffrir au châtiment. Même essoufflé, jai poursuivi jusquà ce que la peau soit uniformément dun rouge foncé.
- Après la maltraitance, je compte bien avoir le réconfort, me fit-elle.
Je me suis tout de suite exécuter. Me mettant à masser alternativement les deux globes du fessier. Jai malaxé chacune de ses belles fesses. Les prenant à pleines mains. Les écartant, rendant ainsi visible l'intimité de son entrecuisse, la fente de sa chatte. Inexorablement, je m'en rapprochais, glissant mes doigts à la limite de ses plis intimes, sentant la douce chaleur humide qui s'en dégageait.
La femme, que je nommerais Nathalie, plus que consentante, sest laissé aller à mes caresses. Lorsque mes doigts sont rentrés bien à l'intérieur des cuisses et ont effleuré sa vulve, elle a eu un sursaut. Un de mes doigts a caressé, puis sest glissé entre ses lèvres, disparaissant dans son vagin. Puis un deuxième, avant de les remuer tout au fond de son vagin. Quelle sensation incroyable. Cétait doux, chaud, humide. Nathalie était trempée.
- Je me sens pute ce soir, menvoya-t-elle. Jai envie autre chose dans ma chatte. Si tu vois ce que je veux dire.
Elle ajouta en se redressant après avoir pris appui sur les barreaux de la chaise.
- Avec mon mari, tu ne sais surement pas, mais il ne se passe pas grand-chose ... surtout, les derniers temps ...
Elle sest levée pour prendre place sur le plateau de la table de la cuisine. Avançant son ventre au bord. Pendant ce temps là, je me suis défroqué. Elle ma empoigné pour me guider aussitôt en elle. Elle est tellement mouillée que je me suis enfoncé dun coup de reins. Jai senti son sexe gluant adhérer au mien comme une ventouse. Les mains posées sur mes épaules, les cuisses très écartées, Nathalie fit aller et venir son bassin.
- Que cest bon de me branler sur ton ventre. La fessée ma excitée, au point dêtre devenue une grosse cochonne, ce soir
Elle ma échappé pour se mettre debout, son buste en appui sur le plateau, me tendant son cul. Ma verge a fait un bruit de bouchon lors du découplage. Elle sest appuyée à moi. Il nen fallait pas plus pour que ma verge se niche entre ses fesses cramoisies. Elle a tressaillit.
- Ta queue ! La vilaine veut m'enculer. Quelle friponne !
Passant la main derrière elle, elle a promené ma verge le long du sillon des fesses. Sest arrêtée à la hauteur de son anus pour la frotter, puis, elle a guidé de nouveau le gland à l'entrée de son vagin. Puis sest empalé dessus tout en poussant un gémissement.
- Oh, elle est bien dure.
Son vagin sest contracté autour de ma queue. Mouillant mes couilles. Une jouissance bestiale sest imprimée sur son visage, la rendant presque laide. Elle sest agitée sur moi. De son vagin sont montés des chuintements mouillés. Elle ma prit mes mains pour se les plaquer sur ses seins qui bougeaient à peine tant ils étaient durs. À peine en pinçais-je les pointes quelle a commencé à émettre des petits cris de plaisir. Ses muscles intimes se sont resserrés sur mon membre. Ses fesses ont claqué sur mes cuisses. Elle sest arqué en arrière et très vite, elle a jouit avec un tremblement de tout le corps.
Comme il se faisait tard nous en sommes restés là. Nous promettons tout de même, lun à lautre de remettre cela. Pas plus tard que le lendemain. Ce qui fut être fait
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