Moi Et Les Filles (3)
Chapitre 3
Moi et Vivien
À la suite de lannonce de mon père de nous laisser seuls les filles et moi, pour nouvel an, nous passons le week-end ensemble en famille. Entre bataille de boule de neige, chocolat chaud au coin du feu et pizza partie devant la télévision.
Pour une fois, les filles avaient mis des tenues plus chaudes où lon ne pouvait rien voir. Malgré tout, je pense quelles nont pas de culottes sous leur pyjama. Il ne reste plus quune semaine avant les vacances de noël et en cette période le temps passe trop vite.
Il est lheure daller se coucher. Je fais la bise à tout le monde et monte à dans ma chambre. Je plonge direct dans mon lit. Je repense à ce week-end où je viens de perdre ma virginité. Mais avouer que jai fait pour la première fois lamour avec une personne qui vit sous le même toit que moi et qui fait presque partie de ma famille.
Nous navons certes aucun lien de sang, mais elle est la fille ainée de la femme de mon père. Que dire de mes sentiments envers Jade, à chaque fois que je la vois, ma journée sillumine. De plus, à la suite des révélations que ma faites Manon sur loreiller. Je ne peux mempêcher de penser quelle ressent elle aussi des sentiments pour moi.
Je ne sais pas encore si cest comme de lamour fraternel envers un frère quelle na jamais eu ou bien plus. Est-ce quun jour nous irons plus loin ensemble et passer outre ce qui nous a retenues au camping ?
Le jour de mon départ pour Paris est arrivé. Jade maccompagne à la porte et me dit à loreille :
- Sil te plait vient passer le réveillon de nouvel an avec nous.
- Je ne sais pas encore, lui glisse à mon tour en lui rendant sa bise
Cest au tour de Manon de venir faire sa petite bise. Elle me glisse discrètement aussi un petit mot :
- Si tu rentres on sera très gentilles avec toi
Me dit-elle à voix basse.
Le problème cest que jai promis à Vivien, mon pote denfance, daller au centre de Paris pour fêter la nouvelle année avec lui et sa nouvelle copine.
Je descends du train et je tombe direct sur mon pote. On ne sest pas revu depuis mon départ dans le Nord. On se téléphone souvent mais quest-ce que cest bon de se revoir ! Tout de suite on se prend dans les bras pour se dire bonjour puis direction le métro. En chemin nous nous racontons nos vies. Les études, ma vie en campagne Lilloise et vient la question des filles.
- Alors tu as trouvé une nana ? me demande-t-il
- Non pas vraiment, rien de bien sérieux
Je reste évasif
- Alors, tu es encore puceau ! Eh bien, plus moi. Clame-t-il fière comme Artabant.
Je reconnais bien là le franc-parler de Vivien. Mais je ne peux le démentir car Manon ma fait promettre de ne rien dire.
- A bon ? je lui réplique dun air faussement étonné. Cest la nana de ta classe ?
- Oui Mathilde, la fille dont je tai parlé la semaine dernière au téléphone.
- Daccord, raconte-moi tout.
- Lautre jour, je suis allé chez elle, ses parents nétaient pas là, on devait réviser. Après avoir travaillé une bonne heure, on a décidé de faire une pause. On a mangé des petits gâteaux puis on sest embrassé un long moment. Elle est plutôt timide comme fille.
- Tout linverse de toi ! Je lui dis en me moquant de lui.
- Je peux continuer ? Me demande-t-il
- Désolé
- Alors, on sest embrassé et jai commencé à lui tripoter ses petits seins. Jai passé mes mains sous son pull et jai réussi à lui dégrafer le soutien-gorge dune main. Me dit Vivien fier de lui.
- Trop fort ! Lui dis-je en me manquant une nouvelle fois de lui.
Imperturbable, il continue son récit :
- Jai pu lui caresser les nibards à même la peau. Ensuite, jai commencé à la déshabiller.
- Mais tu ne l'as pas baisé alors ?
- Attend ne soit pas si pressé ! Les puceaux alors
Me dit-il cette fois ci cest lui qui se moque de moi.
- Très drôle !
- Cétait à mon tour de lui faire plaisir, je lui ai enlevé sa petite culotte. Elle avait ses poils tout roux et un peu frisés, comme ses cheveux. Je lai caressée, puis je lui ai mis un doigt, jai léché son clitoris et je crois bien que je lai fait jouir. Après, on a continué à sembrasser et comme jétais de nouveau en forme. Ni une ni deux, jai enfilé une capote. Et tu sais quoi ? Me demande Vivien.
- Non mais je peux deviner. Lui dis-je.
- Elle me dit quelle était vierge et quelle avait un peu peur davoir mal. Mais javais trop envie delle. Jy suis allé doucement. Elle a apprécié que je fasse attention. Mais cétait trop bon, franchement rien à voir avec une branlette ! Bon, cest sûr, cétait notre première fois. Donc ce nétait pas génial et plutôt rapide. Mais mon pote, tu devrais essayer !
- Je me doute
Lui dis-je dune voix rêveuse en pensant à Manon, à Jade et à leur surprise
- Depuis, on narrête pas de niquer ! Dit Vivien fière de lui
Je ne peux pas lui avouer que je lai fait avec une des filles de ma belle-mère et que jai envie de la faire avec lautre aussi
Il continue sur dautres sujets notamment la liste des choses que lon doit faire pendant les vacances.
- Tu rêves ou quoi ? Me dit Vivien en me donnant un coup de coude.
- Excuse-moi, tu me disais ?
- Pour le réveillon de nouvel an, jai un super plan chez un pote de fac au centre de Paris. Poursuivi Vivien.
- Justement, je voulais te dire, pour le réveillon du nouvel an, je vais devoir rentrer. Désolé
- Non, tu s, pourquoi ? Me dit Vivien légèrement énervé.
- Les filles sont seules à la maison, le vieux veut que je sois avec elle pour fêter la nouvelle année. Il part en voyage daffaires pour 15 jours. Je lui réponds sur un ton faussement embêté.
- En plus, on a prévu daller faire le décompte sur les champs. Me dit Vivien.
Je ne pouvais pas lui dire que jespérais faire lamour avec Jade à cette occasion et lui avouer mes sentiments pour elle. Je pense quil sest vite résigné et passe à un autre sujet. Vivien reprend la conversation :
- Mathilde ma présenté une bonne copine quelle a rencontrée dans le Metro. Elles sont devenues inséparables. Je suis sûr que tu vas la trouver à ton goût.
- Pourquoi ?
- Elle a tout ce que tu aimes, pas très grande avec de gros nibards. Me dit Vivien en mimant une grosse poitrine.
On arrive à notre station, on descend du métro et on monte chez moi. Là, je retrouve enfin ma mère. Cela fait depuis les vacances de Toussaint que je ne lai pas vu, deux mois, c'est trop long. Alors quavant on était toujours ensemble. Je me rends compte que cétait même trop. Il est temps à mon âge de prendre un peu de distance.
Chez mon père, c'est plutôt linverse qui se passe.
Ma mère me regarde de la tête aux pieds et me dit que jai changé. Que je suis un homme maintenant
A-t-elle deviné que jai passé un cap en faisant lamour ?
Vivien repart chez lui et me rappelle que le lendemain, je suis invité chez lui à manger au soir. Je passe la soirée avec ma mère. Elle est seule depuis quelques années. Elle avait bien trouvé quelquun, mais celui-ci sest avéré être un alcoolique. Depuis, je pense que trop déçu par les hommes, elle na plus recherché à rencontrer quelquun.
Elle me dit souvent quelle a des copines et cela lui suffit. Lune delles est justement la mère de Vivien. Une dame charmante, voulant absolument que son fils trouve une jolie fille. Quil est un travail qui lui rapporte de largent pour faire vivre sa famille, en bref la copie parfaite de son père.
Je passe donc une bonne nuit réparatrice et me lève après une bonne grâce matinée. Un rapide passage à la douche et le petit-déjeuner vit avaler. Je monte chez Vivien qui habite 2 étages au-dessus, puis on prend la direction du centre de Paris en passant prendre sa copine. Jai limpression de tenir la chandelle, car ils sont toujours en train de sembrasser et ils ont lair vraiment amoureux. Cela me rend un peu jaloux.
On se balade une bonne partie de la journée entre les champs et la tour Eiffel pour faire un peu de shopping et pour voir les décorations de Noël. Le midi en mange vite fait un sandwich. Laprès-midi passe vite et il est déjà lheure pour Mathilde de rentrer chez elle. On la raccompagne jusquà sa porte.
Une petite bise sur la joue et je laisse la place à Vivien. Ils se disent des petits mots doux et séchangent des jolis gestes de tendresse. Ils ont du mal à se séparer. Il a lair accro et surtout complètement différent quand elle est là. Il nest plus ce macho un peu lourd quil peut être entre mecs. Je le presse un peu de peur de louper notre métro pour rentrer. Ils se donnent rendez-vous pour le lendemain.
Arrivé chez moi, Vivien rentre pour dire bonjour à ma mère et me rappelle que je suis invité à manger. Je vais vite fait me changer mais au passage je prends le téléphone. Une fois dans ma chambre, je commence à me déshabiller, puis je me couche dans mon lit et je compose le numéro de mon autre maison. Ça décroche et à la voix jentends que cest Manon :
- Oui, allo ?
- Salut cest Antoine, comment vas-tu ?
- Bien et toi ? Me répond-elle.
- Bien merci.
- On te manque déjà ? Me demande Manon
Je lui réponds sur un air penaud : Un peu
- Laisse-moi rire. Mr fait les fortes têtes, du style je ne vais pas rentrer avant lannée prochaine et tu es parti depuis à peine un jour et on te manque
Et elle pousse un rire bien gras
Après une pause de quelques secondes, elle reprend sur un ton beaucoup plus sérieux
- Sinon, je peux faire quoi pour toi ?
- Justement, jappelais pour vous dire que je vais peut-être quand même rentrer pour le réveillon.
- Cest vrai ? dit-elle dune voix faussement détachée
- Oui, ce sont vos petites phrases qui mont fait changer davis. Dailleurs, cest quoi cette surprise de Jade et pourquoi tu mas dit que vous allez être très gentilles ?
- Tu aimerais bien savoir, monsieur létalon. Me sort elle en ricanant dune aire sadique.
- Si tu ne veux pas me le dire, je te laisse. Tu diras le bonjour à Jade. Je dois mhabiller. Je lui dis innocemment.
- Pourquoi, tes à poil là ? Me demande Manon
- Tu aimerais bien savoir
- Allez si cest comme ça, je ne te dirais rien et on se revoit au réveillon de nouvel an !
- Non attend
je suis en slip et toi ?
Je sens que la conversation peut prendre une tournure intéressante
- Avec mon pyjama rose sans rien en dessous. Cest ma journée de repos et comme je ne me sentais pas très bien donc je suis resté à la maison aujourdhui. Mexplique-t-elle.
Je limagine avec son pyjama en satin rose façon costume chinois. Il lui va très bien et grâce à sa légèreté, il laisse deviner ses formes. Dans ma tête je la vois, elle continue :
- Mets-toi à poile et fait moi fantasmer
je te donnerais un indice sur ton cadeau.
- Attends-je ferme le verrou de ma chambre.
Jai trop envie de savoir ce que me réservent Jade et Manon
- Ok, dépêche-toi, moi aussi je suis montée dans ma chambre.
- Je suis allongé et là, jai mon zizi dans la main. Lui dis-je pour commencer
- Le zizi sest pour le petit garçon et toi je sais que tu nes plus un petit garçon. Alors tu as pris ta bite dans ta main. Elle est comment ?
- Elle commence à grossir, je la caresse doucement. Je la masse de haut en bas. Quest-ce que cest bon. Elle est toute chaude. Elle palpite denvier. Jaimerais tembrasser dans le cou, puis descendre vers ta jolie poitrine toute douce. Je mordillerais tes petits tétons avant de les aspirer. De lautre main je me caresse les couilles. Dailleurs, jai un bleu sur lune de mes bourses, cela ne te dit rien ?
- Oups, cela sappelle un suçon, ça mon petit vieux. Cest quand je tai sucé les bourses la dernière fois. Jy suis allé un peu fort. Mais continue, tu me fais mouiller
Jai envie de me toucher le clitoris. Hum cest bon.
- Je sers de plus en plus fort, ma bite est toute tendue maintenant. Moi aussi ça me fait du bien. Jaimerais tant passer ma langue entre tes lèvres du bas. Venir boire ton jus damour directement à ta fontaine de jouvence.
- Je sens ma petite chatte tout humide. Jai chaud
Je me titille le clito dune main et de lautre je me pince les tétons. Hum cest bon, cest marée haute, jai la moule en feu. Ma chatte te réclame. Me dit-elle dune voix de vicieuse.
- Moi aussi je mouille comme un salaud. Jaime ça me branler avec toi au téléphone. Mais je préfère quand cest ta main qui mastique la queue. Et après je te mettrais ma queue dans tous tes trous.
- Dans tous mes trous ? Même par derrière ?
- Pourquoi pas ? On ta déjà fait lamour par-là ?
- Non, on ma juste mis un doigt. Je nai jamais voulu plus. Je suis encore vierge du cul. Mais qui sait avec toi tout est possible
Et toi tu aimerais te faire prendre le petit trou ? Me demande-t-elle
- Je ne sais pas, je ny ai jamais réfléchi
- Jai de plus en plus chaud. Là je me suis mis deux doigts dans la chatte et je sens que ça monte. Tu sais, je ne pense quà toi depuis que l'on a fait lamour ensemble la semaine dernière. Me dit-elle
- Moi aussi, dès que je ferme les yeux, je te vois nue allongée sur mon lit, les jambes écartées, une main qui écarte tes lèvres pour mindiquer le chemin et lautre qui titille ton clitoris.
Jentends ma mère vouloir entrer dans ma chambre et me dire :
- Je monte chez Vivien, tu me rejoins ?
- Oui jarrive. En criant à travers ma porte
Je reprends le téléphone et Manon me dit :
- Je te laisse ta « maman » tattend. A plus
La salope, elle me raccroche au nez. Je reste là le pénis luisant de mouille dans la main droite et le téléphone dans lautre. Je ne sais pas quoi faire. Est-ce que je finis tout seul ou je mhabille vite fait. Je connais Vivien et je sais quil va memmerder si je viens trop tard. Je me soulagerais ce soir en rentrant.
Donc, je me relève pour mhabiller. Jai du mal à faire entrer mon sexe dans un caleçon propre puis dans mon pantalon. Je sors de ma chambre, direction lappart de mon pote. Je ne savais pas que ma mère est invitée aussi.
Nous passons une bonne soirée. Entre le père de Vivien, sa mère et la mienne, le courant passe très bien et se depuis que lon habite ici. Cest surtout les ragots de limmeuble quils échangent. Moi, je parle surtout avec Vivien et sa petite sur. Elle a 15 ans mais ressemble déjà beaucoup à une petite femme. Elle me drague souvent. Même ce soir, elle me fait du rentre dedans devant tout le monde.
Elle me complimente souvent sur mon corps, mes cheveux blonds, mes soi-disant muscles et que sest dommage de cacher mes yeux bleus derrière mes lunettes. On laura compris, je lui plais. Mais moi hélas pour elle, je ne suis pas attiré. Dune elle est trop jeune, de deux cest la sur de mon pote et de trois, beaucoup trop mince pas assez de forme. Cela amuse beaucoup Vivien qui nest pas le dernier pour en rajouter et de la relancer.
Avec les parents, nous parlons essentiellement des études. Vivien galère tout comme moi, on ne chope pas la moyenne. Puis on parle de tout en oubliant de parler des filles, sujet au combien sensible en ce moment. Pour les parents pas question davoir une copine tant que nos notes ne sont redevenues correctes. Avec Vivien, on séchappe pour aller dans sa chambre et jouer à la console, mais sa sur nous suit. Vivien me glisse dun coup :
- Et si on descendait à la cave ?
- Maintenant ?
- Ça va, il nest pas trop tard. Me répond Vivien.
Je sais ce que cela veut dire, il veut aller mater ses bouquins de cul. Depuis quil est majeur, il narrête pas den acheter. On descend donc à la cave en prétextant aller voir des copains de limmeuble dà côté. On sinstalle sur le vieux clic-clac et il sort ses nouvelles revues.
La vue des corps dénudés des filles aux mensurations plus que généreuse me font bander. Surtout que tout à lheure, je nai pas pu finir ce que javais commencé. Apparemment Vivien aussi, car il se caresse la queue à travers son jean. Ce nest pas la première fois que lon se retrouve ici à se branler tous les deux. Au bot de 5mn, il descend son pantalon et sort sa bite. Je lui matte un peu la queue, même si ce nest pas une découverte, elle est vraiment plus petite que la mienne et moins grosse.
Je commence aussi à me sentir à létroit dans mon pantalon. Alors, je ne me gêne pas pour limiter et baisse mon pantalon. Je prends mon sexe dune main. Je peux comparer nos bites. Ma queue fait au moins vingt centimètre et la sienne douze ou treize cm. En revanche, quand il bande, son gland est pratiquement découvert. Le mien reste pratiquement recouvert par mon prépuce.
Il faut que je me décalotte. Je sens encore ma queue toute collante de lexcitation davec Manon. Je reste bloqué sur une nana au gros sein, la peau bronzée, la chatte entièrement rasée avec un doigt dedans et un regard qui me dit : « Vient me la mettre tout au fond ».
Après avoir encore tourné quelques pages, Vivien se reprend le gourdin et commence à se masturber doucement. On sest déjà branler mutuellement la bite et nous ne sommes jamais allés plus loin. Mais là, je ne pense pas quà part se secouer la nouille chacun dans notre coin, il ne se passera rien dautre.
Je mouille beaucoup et jimagine Manon ou Jade à la place de quelques-unes des filles des photos. Bien souvent, quand il y a mec, on ne voit pas sa tête, mais juste son « outil de travail ». Vivien ma déjà dit quavec ce que jai entre les jambes, je pourrai faire ce genre de photo.
Je sens que je suis proche de léjaculation, je ralentis mais c'est difficile de résister. Je vois Vivien aussi se crisper et sarrêter brusquement, de grands jets blancs sorts de sa bite. Je le suis de quelques secondes et joui dans un petit cri de satisfaction. Je presse mon pieu pour en faire sortir jusquà la dernière goutte. Nous sommes là tous les deux la bite à laire pleine de sperme, mais soulagés. Là, Vivien se retourne vers moi et me dit :
- Mathilde vient ici mercredi, mais pas toute seule. Elle sera avec sa copine Laura. Tu viens ?
- Tu me fais quoi comme plan ?
- Tu verras, elle est sympa. Je lai déjà rencontré. Et puis comme ça tu ne tiendras pas la chandelle
Ma dit-il avec un petit sourire
- Ok ça marche
Mais là il faut que lon remonte. Lui dis-je
Nous essuyons vite fait les traces de notre semence avec des kleenex, puis direction lappartement de Vivien pour dire bonsoir à tout le monde. On se dit à Mercredi avec Vivien.
Noël se passe comme tous les ans chez la famille avec les cousins et les cousines. Le traditionnel échange des cadeaux. Rien de bien spécial pour moi quelques habits et un peu dargent des grands-parents. Les questions gênantes des oncles et tantes sur léventualité de faire connaissance dune copine.
Je bavarde comme dhabitude une grande partie de la journée avec lune de mes cousines, Béa. Elle est plutôt pas mal. Son corps ressemble à celui de Jade, petite avec de gros seins et de belle fesse. Elle a peut-être quelques kilos de trop. Quand nous étions plus jeunes nous sommes parties avec ses parents en vacances à la mer. Nous étions inséparables autour de nos 15 ans.
Un été, jai même pu la voir nue alors quelle se changeait dans la salle de bain. Elle avait oublié de fermer la fenêtre. Cétait la première fille que je voyais à poil. Et sest avec elle que jai eu mon premier baiser. Je pense que comme toutes les premières fois cela ne soublient jamais. Mais les traits de son visage ressemblent trop à ceux de la famille, en plus féminin quand même.
Bref rien de bien nouveau de ce côté-là. Jétais curieux dêtre à mercredi pour voir ce qui allait se passer et savoir ce que Vivien nous a préparé. Cela ma presque fait oublier la surprise des filles
Lavenir est toujours en mouvement, on pense un jour que les choses sont écrites mais des rebondissements sont toujours possible. Qui sait ce qui va marriver avec toutes ces filles. Jusquà peu, jétais encore puceau. À part pour Manon, je le suis toujours. Qui sera la ou les prochaines filles à me dépuceler ?
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!