Domination De Couple - Épisode 7 - Léa Torturée
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Domination de couple - Épisode 7 - Léa torturée
Pauline et moi observions notre victime allongée sur le lit, les cuisses écartées, se débattre dans ses liens. Une petite furie. Nétant pas complètement remis de mes émotions, je décidais de prendre mon temps pour faire les choses bien.
Mais pour que notre jouet ne sennuie pas trop, je pris rapidement un uf vibrant sur la table que jinsérais sans délicatesse dans le vagin offert de Léa, avant de lenclencher. Je décidais aussi de lui mettre un masque pour avoir leffet de surprise. Jallais marrêter là quand je lentendis commencer à gémir
Il ne faudrait pas non plus quelle prenne du bon temps trop rapidement quand même !
Je lui remis son string. Pauline, qui était en train de nettoyer son gode ceinture sans donner limpression de vouloir sen détacher, me regarda avec un air interrogatif sans comprendre. Léa, trop prise dans son propre plaisir, ne sembla même pas sen rendre compte. Je pris quelques glaçons et le glissa dans string. Bon courage pour jouir avec une tempête glaciaire contre ton clito, petite sadique ! Léa se mit à crier dans son bâillon et se débattre. Pauline éclata dun petit rire cristallin et se mit à califourchon à lenvers sur elle pour lui maintenir les jambes en place.
Je partis dans la salle de bain me débarbouiller et boire un peu deau avant de reprendre. Je me regardais dans le miroir un peu hagard. Cest fou comme ces jeux sexuels sont intense
Jétais dans un autre univers il y a un quart dheure. Maintenant, jétais redevenu moi-même. Quand je serais dans le salon, je serais un dominateur animal
Javais limpression dêtre James McAvoy dans le film Split : de multiples personnalités entièrement indépendantes enfermée dans le même corps.
Je mis fin à mes considérations métaphysiques et retourna dans le salon.
A la vue de Pauline à califourchon sur Léa, je me mis instantanément à bander.
Parfait.
Go time.
Montre-leurs !
Montre leurs quoi exactement ?
Parce que la personnalité animale là, bin elle faisait la sieste. Merde. Je tournais autour sans trop savoir par où commencer, par quel bout prendre, ni même qui prendre pour être honnête.
Allez quoi. Fais un effort. Vas-y Rocky, tes un champion. Non rien ? Gogo Gadgeto !
Gadget. Je me tournais vers la table et cherchait linspiration. Je la trouvais immédiatement sous la forme dune structure métallique. Bingo.
Je bougeais les meubles pour faire de la place à même le parquet. Ce sera parfait. Je commence à assembler la structure qui se compose de 4 axes. 2 parallèles avec des menottes molletonnées au bout, comme deux barres décartement. Celles-ci étaient reliées entre elle par une troisième, perpendiculaire aux deux premières. Une fois déployé au sol et réglé en longueur à vue de nez, je pourrais immobiliser complètement Léa à 4 pattes. Au milieu dune des barres décartement, une quatrième et dernière barre rigide qui finissait par une boucle dacier partait vers le haut. Cest là que jaccrocherais son collier.
Une fois mon assemblage fait, je sifflais pour interrompre Pauline sur la fin dun long gémissement. Elle venait de jouir comme ça, sans mattendre ni même me prévenir ! Elle ne perdait rien pour attendre celle-là
Elle leva la tête et sourit devant mon travail. Je la rejoins et laida à se relever. Je repositionnais le masque de Léa qui sétait mis en diagonale sur son visage, pour croiser son regard indéchiffrable : envie ? peur ? envie de vengeance ? Impossible de dire
En tout cas, cétait un regard chargé !
Lorsque jenlevais le mousqueton qui maintenait ses menottes au lit, elle tenta de se débattre et déchapper à mon emprise.
Léa fut trainée jusquà son prochain lieu de comme un prisonnier de guerre dun film américain. Elle fut mise à genoux et ses chevilles furent attachées à la structure. Je détachais ensuite ses menottes et, grâce à laide de Pauline qui maintenait cette furie en place, je laccompagnais au sol pour lui attacher les poignets. Son collier de chienne (que Pauline avait due lui faire enfiler lorsque jétais dans la salle de bain) fut attaché à lanneau. Pour finir, je lui passais un ring-gag qui lui maintenait la bouche bien ouverte et accessible.
Pauline et moi étions tous les deux essoufflés, lun contre lautre à observer notre uvre
Elle allait nous le payer !
- « Tu veux prendre lavant ou larrière ? » proposais-je à Pauline.
Mon ton était froid, détaché, javais laissé les manettes au dominant et le brave Fabrice qui vous raconte cette histoire était installé confortablement avec son pop-corn à suivre la scène avec intérêt.
Pauline me regarda sans comprendre. Léa se débattit à en faire trembler la structure. Qui ne bougea pas. Parfait. Elle, apparemment elle avait bien compris.
- « Je vais commencer à jouer avec, sens toi libre dintervenir quand tu veux ! » et je minstallai devant elle.
Jenlevais son masque pour quelle puisse bien voir ce qui allait arriver. Ces yeux étaient grand ouvert, et me regardait den bas. Mon sexe était au niveau de son visage, à quelques millimètres. Son regard était verrouillé sur le mien. Moitié implorant, moitié défiant.
Sans aucune difficulté, je fis glisser ma bite dans sa bouche. Lorsque je rencontrais la résistance de sa gorge, je continuais à pousser jusquà ce que son nez soit collé contre mon corps, enfoncé dans mes poils. Cétait sexy, animal, dominateur, bandant.
Je restais comme ça quelques secondes et me retira. Elle brisa notre contact oculaire et prit de grandes goulées dair les yeux fermées.
Je levais les yeux et vis que Pauline sétait installée à genoux derrière elle
Apparemment elle avait décidé de jouer avec moi. Elle sorti sans aucune délicatesse luf du vagin de Léa et positionna son gode à lentrée de son vagin. On se fit un clin dil et en même temps, on senfonça violemment en elle. Ma queue au fond de sa gorge, celle de Pauline au fond de son intimité.
Elle laissa échapper un long gémissement étouffé et une nouvelle larme traversa sa joue, faisant couler son maquillage dune manière terriblement sexy. Je restais en place pendant que Pauline la pilonnait. Son nez tapait avec régularité contre mon nombril alors que sa bouche poussait toute forme de son, du gémissement de plaisir au sanglot. Je sortais de temps en temps ma bite pour la regarder aspirer lair comme elle pouvait, la bave lui coulant sur le menton. Puis, en regardant son regard suppliant, je menfonçais inexorablement dans sa gorge.
Après quelques minutes, on se regarda avec Pauline
il était temps déchanger. Je sortis ma bite de sa bouche et bascula derrière elle. Pauline sétait agenouillé face à elle et lui caressait le visage. Je crois quelle sanglotait un peu. Pauline lui chuchota quelque chose à loreille et Léa secoua vigoureusement la tête de gauche à droite
Je pense que ça voulait dire quelle ne voulait pas nous interrompre.
Pendant que Pauline rassurait sa soumise, je mactivais en lui titillant le clitoris et en jouant avec son plug. La manière dont la dominante prenait soin de son jouet mexcitait terriblement : elle lui chuchotait des mots doux et des paroles réconfortantes, lui caressait le visage, séchait ses larmes avec la pointe de sa langue
De mon côté, je commençais à avoir faim.
Jarrachais violemment le plug du cul offert devant moi et y enfonça mon sexe jusquà la garde. Léa poussa un long gémissement plaintif. Pauline décida quelle avait assez réconforté sa soumise. Elle enleva son gode-ceinture, le bâillon de Léa et rapprocha le fauteuil. Elle sinstalla dedans, les jambes en lair et écartées et elle savança jusquà ce que la bouche de son jouet soit enfoncée dans son intimité. Avec le collier fixé à la structure, impossible de reculer ou de bouger. Pauline la laissait reprendre de grandes goulées dair à intervalle régulier, et lui coupait à nouveau la respiration entre ses cuisses.
Après quelques minutes à maltraiter le cul de Léa, jétais un bord de lorgasme. Je saisis le rabbit posé sur la table à côté et lenfonça dans son vagin. Elle hurla. Enfin, elle poussa un cri étouffé dans celui de Pauline qui répondit par un long gémissement de plaisir. Jactivais le vibromasseur rotatif à fond et arrêtait le mouvement dans son cul. Lorsque je ressentis les vibrations et le mouvement de la tête du jouet contre mon gland à travers la fine membrane de peau, je me mis à claquer son cul violemment pour la sentir sagiter
puis je basculais dans un orgasme dévastateur en poussant un long grognement guttural. Les cris de Léa dans la chatte de Pauline la firent basculer quelques instants plus tard.
Pour une raison que jignore, je remis le plug de Léa une fois sorti et je mallongeais sur le canapé à côté. Pauline me vit faire, essuya le visage de sa victime et lembrassa. Celle-ci était en transe, dans le même état que moi une ou deux heures plus tôt. Elle navait pas encore joui pendant tout ce process, et il était temps dy remédier.
La bouche libre, Léa avait abandonné toute contenance et nous suppliais de la détacher.
- « Tu connais tes safewords » lui répondit froidement Pauline.
- « Pitié, je suis cramé jen peux plus laissez-moi
je vous en supplie, je ferais ce que vous voulez, je
» Pauline ignora ses supplications et ses pleurs et enfonça un bâillon gonflable dans sa bouche. Puis elle lui remit le masque sur les yeux. Elle poussa même jusquà lui mettre des pinces sur les tétons, en faisant passer la chainette sous la structure métallique pour que ses seins soient tirés vers le bas.
Elle mit ensuite quelques coups de pompes dans le bâillon qui étouffèrent rapidement les sanglots de notre soumise. Celle-ci se débattit furieusement, cria comme elle pouvait, pleura à nouveau.
Je la regardais en me demandant si on y allait pas un peu fort quand même
Cest vrai quelle connaissait ses safeword mais bon, quand on est à fond dans le jeu de rôle il est difficile daccéder à ce recoin rationnel de lesprit qui a la capacité de prendre de la distance et dobjectiver la relation suffisamment pour
elle commençait à gémir de plaisir. Bon ok, jarrête les considérations métaphysiques sur la psyché de la soumise torturée et je me rends à lévidence : elle kiffe ce qui lui arrive la salope.
Elle avait le rabbit planté dans la chatte qui sagitait, un plug nervuré dune certaine taille dans le cul et elle était immobilisée et bâillonnée
et aux gémissements quelle poussait maintenant, la situation lui allait très bien.
Tant mieux. A moi aussi.
Pauline sest installée à côté de moi dans le canapé. Elle me caressait lintérieur de la cuisse, sa tête inclinée sur mon épaule, à regarder notre soumise gémir. Lorsquelle fut prise de son 1er orgasme, Pauline commença à se caresser les seins en regardant. Léa se mit à se débattre pour essayer déchapper aux vibrations dans son vagin. La structure en métal tremblait, Léa ne lâchait pas, poussait des cris étouffés, se ruait, sanglotait
acte de rébellion vites entrecoupés de soupir de plaisir
. Puis à nouveau, un long gémissement de satisfaction qui montait progressivement dans lair.
Je ny tenais plus, javais encore envie. Je pris Pauline par la main et la guida pour quelle se mette dos à moi, juste devant le canapé. Puis je laccompagnais pour quelle sinstalle à califourchon sur moi, de manière à ce que nous ayons tous les deux vues sur notre soumise torturée. Elle entama un lent mouvement de va et vient, cétait divin dêtre en elle dans ce contexte. Léa tournait la tête, comme si elle essayait dentendre mieux les gémissements de Pauline. Elle finit à nouveau par être secouée par un orgasme. Nouvelle rébellion, un peu plus violente et plus longue que la dernière fois. Elle avait arraché les pinces accrochées à ses seins.
Son maquillage était ravagé par les larmes quand elle se remit à nouveau à gémir de plaisir. La prochaine fois, elle risque darracher la structure qui limmobilisait
De toute façon, au son dextase que poussait Pauline, je doutais quon lui impose un 4ème orgasme après le prochain.
Je sentais la jouissance montée. Je me mis à martyriser les seins de Pauline qui dépassaient de son corset
et elle bascula dans un orgasme avec un long cri de plaisir. Dans sa jouissance, son vagin se mit à se contracter frénétiquement par intermittence, ce qui eut raison de moi.
Cette dernière éjaculation me mis au tapis. Je me pris le contrecoup de nos dernières heures de folies : jétais cramé. Pauline se leva et sapprocha de Léa. Elle était sur le point de jouir une nouvelle fois.
Elle lui enleva son bâillon mais laissa son masque. Léa ouvrit les vannes :
- « Jen peux plus
libérez-moi, pitié !
- Tu peux le faire ma puce
tu y es presque
»
Elle lui caressait doucement le visage, lui chuchotait des mots doux, et faisait de petits va et vient avec le rabbit dans le vagin de Léa.
Elle bascula une dernière fois. Dans un long cri qui laissait transparaitre à la fois du plaisir, de la souffrance, de la frustration, de lépuisement... Un gémissement long et chargé démotions.
Pauline fut très réactive. Avant que Léa ne se soit remise, elle avait enlevé le rabbit, le plug et lavait détachée de la structure. On laida à sallonger sur le lit. Jéteignais les lumières de la pièce pour ne laisser quune seule bougie. Puis Pauline lui enleva son masque.
Léa garda les yeux fermés et resta en position prostrée sur le matelas. Pauline sallongea derrière elle et la sera contre elle.
Après quelques minutes, la respiration rapide de Léa se calma
et se transforma en un léger ronronnement. Dans lequel un son très identifiable pour moi se mêla : elles sétaient endormies lune contre lautre.
Je rangeais un peu la pièce, sorti une couverture pour létaler sur les deux silhouettes fragiles, soufflait la bougie et mendormais contre Pauline.
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