Résurrection
Le scénario de cette nouvelle est le fruit de ma réponse à une annonce dans votre site préféré. Il sorti de limaginaire dune jeune correspondante soucieuse dencanailler une maman pieuse et trop sage qui avait fait son deuil de toute sexualité. Jai modifié les noms quelle avait choisis faute dun accord formel de sa part au moment de la publication. Les scènes les plus hard sont, elles, en partie issues de limaginaire de votre serviteur qui a aimé pousser Mimi dans ses derniers retranchements et imaginer sa résurrection à la passion et au sexe sans tabou.
« Allez dans la paix du christ ! Nous rendons grâce à Dieu. » La messe de 11h à peine terminée le père Rémy B., curé de la paroisse de X, se précipite, comme à lhabitude, dans lallée centrale de son église en direction de la porte principale. Il aime ce moment où il échange avec ses trop rares fidèles qui quittent tranquillement le bâtiment. Il accorde une attention toute particulière aux membres du conseil ecclésial sans lesquels il ne pourrait exercer correctement son ministère. Il échange quelques mots avec chacun. La dernière à partir est, comme toujours, limposante Mimi, veuve à la cinquantaine dodue, dont les multiples attentions pour ce lieu saint ont fini par buter sur labsence de choses encore à faire. Léglise est propre, fleurie et bien rangée par ses soins. Elle ne peut, ni ne souhaite occuper dautres fonctions. Sa voix de fausset la prive de possibilité de devenir chef de chur. Elle explique au curé quelle sennuie un peu et souhaiterait diversifier ses engagements bénévoles. Ce dernier, après un court temps de réflexion, lui suggère de visiter des personnes âgées dépourvues de lien familial, notamment à la maison de retraite toute proche. Mimi acquiesce avec dautant plus denthousiasme quil lui propose de leur porter la communion alors que ni prêtre ni diacre nest en capacité de le faire. Une fois les conditions définies, elle le quitte, heureuse.
Le mardi suivant, Mimi vient se présenter à la directrice de lEHPAD qui se charge de lui faire visiter le bâtiment. Elle est étonnée dy trouver un secteur consacré aux malades dElsheimer où deux dames âgées ont jadis manifesté leur désir de communier chaque semaine. Elle sengage à les satisfaire mais comprend quen aucun cas une visite plus longue de sa part ne leur apportera de réconfort et sen inquiète auprès de son interlocutrice. Très vite celle-ci la rassure et lui promet de lui confier des personnes en pleine possession de leurs capacités et demandeuses. Dès le vendredi, tout est en ordre et, après sêtre débarrassée de son rôle liturgique, elle se rend dans la chambre de M. Belaidi, qui souhaite la rencontrer. Cest un petit homme sec et noueux de plus de 80 ans à la démarche alerte qui laccueille avec chaleur et enthousiasme. Son poil blanc est rare et son front déplumé. Mimi est un peu intimidée et désorientée par sa capacité à se livrer sans fard à son interlocutrice. Il est très isolé car un contentieux familial le prive de toute visite. Demblée, il tutoie la prude Mimi et lui demande de lappeler par son prénom : Walid. Notre bigote décline cette familiarité à laquelle elle nest pas habituée. Son père vouvoyait sa mère et elle-même a mis des années à se laisser aller à utiliser un vocabulaire intime avec son défunt mari. Demblée, les rôles sont distribués : Mimi écoute et M. Belaidi parle de lui, de son enfance, de sa famille, de tout et de rien, volubile. Ce premier contact dure plus dune heure. Mimi déborde dempathie muette pour ce bavard impénitent. Lorsque lheure du diner arrive, il la raccompagne vers la porte en la tenant par la taille. Mimi en est émue car cest la première fois depuis des années quun homme la touche. Elle regagne son domicile troublée et ravie.
Dès la semaine suivante M. Belaidi, sinstalle face à son interlocutrice, si près que leurs genoux se touchent. Il emprisonne les mains de sa visiteuse dans les siennes et reprend son babillage comme si il ne sétait jamais arrêté. Mimi est terriblement troublée par cette gestuelle intime et yeux baissés, se concentre sur les propos de son interlocuteur. Elle relance son discours de quelques onomatopées pertinentes puis se trouble lorsque les mains de Walid, qui contiennent les siennes, se posent délicatement sur ses larges cuisses. Lorsquelle lève les yeux, elle constate que le regard noir et perçant de son interlocuteur la fixe avec une rare intensité au niveau de la poitrine. Le rouge lui monte aux joues et sa respiration se fait plus saccadée. Elle constate, couverte de honte, que son entrecuisse est devenu humide. Elle voudrait fuir mais ne sait comment sy prendre. Elle décide dessayer de donner le change et fait des efforts surhumains pour se concentrer sur la conversation et chasser de son esprit le trouble qui lhabite. Pourtant, elle manque de sévanouir lorsque M. Belaidi la raccompagne à la porte et que sa main glisse maladroitement de sa taille vers ses fesses. Au retour elle traine un long moment sur un banc du jardin public à rêver. Elle essaie de calmer sa pressante envie de se toucher le sexe. Elle appelle Dieu à son aide mais ce dernier reste aux abonnés absents et, excitée, elle sublime comme elle peut cette nuit dinsomnie où son désir violent combat sa bigoterie.
Pendant plusieurs jours, elle ne pense plus quà cette troublante intimité avec le vieil homme. Des rêves érotiques la réveillent en pleine nuit trempée de sueur et de cyprine. Elle se sent coupable et pense à aller à confesse pour demander conseil au curé B., mais une question lancinante la retient : « Que va penser cet homme de ces inavouables fantasmes ? Quel écho cette révélation peut-elle avoir sur un mâle privé de sexualité ? ». Prudemment, elle y renonce.
Toute la semaine, elle est partagée entre le sentiment de trahir sa foi en commettant un péché mortel et lenvie daller jusquau bout de cette passion nouvelle qui semble si pleine davenir. Sa visite suivante se déroule comme dans un rêve. La porte à peine refermée Walid se hâte de la dénuder totalement à peine freiné par ses implorantes et peu crédibles suppliques : « Pitié M.
A la visite suivante, lambiance est encore plus survoltée. Elle a à peine repoussé la porte que Walid se déchaine : « A poil ma salope ! Je taime pour tes miches et ton cul ma grosse pute ! ». Et, étonnamment, elle trouve ça presque normal et arrache ses vêtements aussi vite quelle le peut. Volontairement, elle sest dispensée de sous-vêtements ce qui met Walid en joie. Tout le long du chemin elle sest sentie entièrement nue et a marché les yeux au sol de peur de croiser un regard égrillard de passant. Cette fois aussi son amant la laisse debout au centre de la pièce désorientée et, au lieu de se dévêtir, se rue dans la salle de bains. Il en revient avec un rasoir mécanique et de la mousse. Puis, après lavoir faite allonger, jambes écartées, commence à éliminer avec douceur et prudence sa copieuse toison. Puis il la fait se retourner et sattaque à ses fesses. Lorsquelle a retrouvé un aspect génital juvénile, il lui rase les aisselles. Paradoxalement, Mimi est au comble de lémotion et au bord de la jouissance. Alors quil se dénude, elle prend la position en levrette et la fraicheur quelle ressent entre ses jambes lincite à sécarteler encore plus que de coutume. Son amant sintroduit rapidement dans son sexe dégoulinant et en ressort après quelques va et vient. Puis il se présente à la petite porte en laissant sa queue glisser entre ses fesses. Doucement il se fait un passage. Mimi grogne dabord de douleur puis, le goulet sélargissant, elle se contorsionne pour le recevoir en entier. Son cul séchauffe et le plaisir monte au fur et à mesure que lénorme phallus lenvahit. Il la défonce avec un tel entrain que ses longues couilles lui télescopent la vulve en émettant un bruit de succion. Walid commence alors à agiter rapidement ses doigts sur son clitoris sans ralentir sa pénétration. Lexcitation de Mimi est à son comble. Elle hurle : « Allez-y M. Belaidi ! Enculez-moi plus fort ! Mon cul est à vous ! Baisez moi encore
encore
! Je suis votre pute ! »
Ce soir-là, alors quelle quitte létablissement, elle croise quelques regards égrillards qui lui prouvent quelle a été entendue. Elle a honte et, en même temps, nimagine pas pouvoir se passer de cet intense plaisir. La semaine suivante, alors quelle chemine vers lEHPAD en tenue de combat (robe légère et assez courte sans culotte ni soutien-gorge) elle se sent encore plus salope que précédemment sans savoir ce qui lattend. A son arrivée, une pensionnaire lui signale que sa visite doit se dérouler au salon de télévision. Elle sen étonne mais sy rend sans arrière-pensée. Lorsquelle en ouvre la porte, elle trouve une dizaine de pensionnaire assis en cercle sur de profonds fauteuils. Walid lamène au milieu du cercle et lui intime lordre de se dévoiler. Un peu intimidée elle sexécute lentement, sous le regard lubrique du troupeau. Elle est inquiète de ce qui va se passer et craint dêtre livrée ainsi en pâture à tout létablissement. « Elle est belle ta salope ! » dit lun. « Génial son sexe de petite fille ! » dit lautre. « On peut voir ses trous ? » dit le troisième. Et Walid de lexhiber, de lui écarter les fesses puis les grandes lèvres en lobligeant à mille contorsions. Et plus il lexhibe plus elle se sent excitée jusquà ce quelle nen puisse plus denvie de jouir. Elle se lance alors dans un festival de caresses intimes toujours plus osées. Elle excite son clitoris, suce des doigts, les enfourne dans sa chatte puis dans son cul et, combinant tous ces mouvements, senvoie au septième ciel sous les vivats des spectateurs. « Bravo Mimi ! Vas-y salope. Défonce-toi ma belle ! Ten as plein le cul la grosse ? Tu veux ma bite ? ». Nul doute que les sous-vêtements de ses admirateurs doivent être maintenant bien souillés. Lorsque tout le monde regagne sa chambre Walid la félicite en lui baisant la bouche. Repue, elle le pompe dabord mollement puis retrouve de la vigueur et, servile, avale soigneusement son foutre sans en perdre une goutte. Paradoxalement, elle ne ressent plus aucune honte. Elle reste ici un long moment, assise par terre, totalement exhibée et (oh combien !) indécente. Elle est heureuse ! Désormais, elle reviendra tous les jours !
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