Le Prix D'Un Repas
Le prix d'un repas
Parties en promenade aux Sables d'Olonne avec mon amie Manon, nous déjeunons le midi dans un restaurant situé en face du port de pêche.
Nous discutons en buvant un apéritif.
<<Laura tu as vu, le serveur a souvent les yeux fixés sur toi>>.
je dirige mon regard vers le serveur, je constate que mon amie a vu juste mais que c'est plutôt sous la table qu'il regarde.
<<Manon c'est peut être toi qu'il mate>>.
<<je suis en pantalon, il n'y a rien à voir sous la ceinture au contraire de toi>>.
Sans y prêter attention, certainement par habitude, j'ai les jambes écartées.
Comme ma jupe remonte quand je m'assois, surtout quand je croise les jambes, je suis certaine que le jeune homme a une belle vue sur mes cuisses et certainement qu'au dessus de mes bas auto-fixant il voit la peau de mes cuisses jusqu'à mon string.
Je me mets à regarder plus souvent dans la direction du jeune homme au physique loin d'être déplaisant.
Gêné il détourne son regard quand je le fixe mais me reluque dés que je le quitte des yeux.
Je commence à lui sourire et le fixe intensément ce qui le perturbe quand il nous sert.
Vicieuse que je suis avec mes regards je joue avec lui, le mettant dans l'embarras, ce qui amène de l'humidité entre mes cuisses.
Pendant le repas nous buvons un très bon vin ce qui nous échauffe un peu.
Comme d'habitude nos discussions ont tendance à se transformer en délires.
En riant Manon me lance une blague.
<<au lieu de payer l'addition, en utilisant tes fesses tu pourrais nous avoir un repas gratuit>>.
<<salope, tu ne penses qu'au sexe. C'est un employé et il n'a pas le pouvoir de faire de cadeaux aux clients>>.
<<tu es en baisse, d'habitude tu n'aurais pas hésité et accepté le défi>>.
<<je ne suis pas motivée et il faut que je digère le repas>>.
<<ton excuse est vaseuse et indigne de toi>>.
<<pourquoi n'essaies tu pas, tu es une bonne salope et tu peux l'intéresser toi aussi>>.
<<ce n'est pas moi qui lui montre mes fesses. Je te propose quelque chose: si tu es à la hauteur je t'invite ce soir>>.
Il n'en fallait pas plus pour que mon côté salope reprenne le dessus, vu mon tempérament et l'alcool aidant j'accepte le défi.
Je ne perds pas de temps, quand de nouveau le serveur s'approche de notre table j'attaque.
<<tu t'appelles comment, moi c'est Laura>>.
<<moi c'est Bastien>>.
<<ça fait longtemps que tu travailles ici. Le patron est sympa avec toi>>.
<<le patron c'est mon père, j'ai suivi une formation de serveur et je travaille ici depuis début juillet>>.
J'en conclus qu'il doit avoir 18 ans tout au plus.
<<tu es en bonne place pour mater les clientes et en été tu dois en avoir plein la vue>>.
<<je travaille et ne m'occupe pas des clientes en dehors de les servir>>.
<<menteur, j'ai vu comment tu me reluques et je suis sure que tu dois penser: ça doit être bon de se taper une belle femme qui n'hésite pas à montrer ses fesses>>.
<<non, je ne pense pas à ça>>.
<<tu n'es pas différent des autres hommes et moi un beau jeune homme m'intéresse toujours>>.
Il devient tout rouge et balbutie pendant que nous enfonçons le clou.
Nous lui faisons miroiter ce qui pourrait lui arriver après son service du midi.
Il commence à comprendre ce que nous lui proposons et malgré ses réticences commence à envisager la suite sans encore y croire.
Le patron observe notre manège sans intervenir.
Le restaurant qui est loin d'être plein en cette saison se vide et au bout d'un moment il ne reste plus que nous.
J'appelle le serveur.
<<vous désirez>>.
<<deux cafés et maintenant que tu n'a plus que nous comme clientes il faut qu'on parle sérieusement>>.
il comprend ce que j'ai voulu dire et va chercher les cafés puis une fois que nous sommes servies reste planté devant nous.
Comme d'habitude je me montre directe.
<<jeune homme tu me plais beaucoup et nous pourrions passer un petit moment agréable ensemble avant que je ne quitte le restaurant>>.
<<vous n'y pensez pas>>.
<<si justement>>.
<<je ne peux pas faire ça ici et même si les cuisiniers vont bientôt partir mon père est là>>.
<<tu me plais beaucoup, j'ai bien vu comment tu me mates et je comprends que tu aie envie d'une petite récréation alors mets y un peu de bonne volonté>>.
Manon surenchérit.
<<Bastien tu ne vas pas laisser mon amie Laura avec ses envies après l'avoir allumée pendant tout le repas>>.
<<je n'ai pas fait ça>>.
<<si, en plus tu n'es pas conscient de l'effet que tu produis sur les femmes c'est grave>>.
Il reste à nous regarder.
<<elle est loin d'être vieille et décrépite, tu n'a pas envie de passer un bon moment avec mon amie Laura et de profiter de son corps puis qu'elle te le propose>>.
<<si, mais>>.
A deux nous le saoulons avec nos paroles à tel point qu'il ne sait plus où il en est.
Il finit par craquer et se faire à l'idée qu'une relation sexuelle est possible avec moi.
Reste le problème des cuisiniers et de la deuxième serveuse.
<<débarrasses toi du personnel qui risque de rester après la fermeture afin que nous ayons un moment d'intimité le plus tôt possible car mon temps est limité>>.
<<les cuisiniers ont terminé leur service et vont partir. Je vais dire à mon père que je m'occupe seul de vous, que je fais la fermeture et qu'il peut partir>>.
Bastien parle pendant un petit moment avec son père puis s'affaire pour remettre les tables en état pour le soir avec la serveuse qui rapidement quitte la salle à le demande du jeune homme.
Elle est bientôt suivie par le patron qui dit "à ce soir" à son fils, son sourire montre qu'il n'est pas dupe concernant la raison invoquée par son fils pour rester avec nous.
Enfin le moment arrive où nous sommes seules avec Bastien dans l'établissement.
<<Manon c'est le moment de t'éclipser>>.
<<je t'attends dans la voiture, je te souhaite bien du plaisir>>.
<<tu t'en tires bien, c'est moi qui me tape le sale boulot>>.
<<pourquoi, faire l'amour c'est une corvée pour toi>>.
Mon amie sort de l'établissement et Bastien verrouille la porte.
Je le suis jusqu'au vestiaire.
Dans le local à part des porte-manteaux et des casiers il y a un petit évier, une table ancienne et deux chaises.
Sans dire un mot je m'approche de Bastien et passe mes bras autour de son cou.
Mes lèvres sont contre les siennes, ma langue pénètre dans sa bouche et cherche la sienne.
Rapidement sa langue vient à la rencontre de la mienne et elles se mêlent dans un long baiser.
Je caresse son sexe qui me paraît bien gonflé par dessus son pantalon.
Je m'accroupis et déboutonne le pantalon puis le fais glisser le long de ses jambes avant de m'attaquer à son caleçon.
Il ne cherche pas à se dégager des vêtements qui gisent sur ses chevilles.
Surprise, c'est un énorme morceau qui se dresse devant mes yeux.
<<et bien mon salaud c'est loin d'être un vermicelle ce que tu as entre les cuisses>>.
<<ah bon>>.
J'embrasse sa queue partout avant de la lécher en prenant mon temps.
Ensuite ça se corse quand je veux la prendre dans ma bouche que j'ouvre pourtant au maximum.
Les aller-retour de mes lèvres sur le membre ne me permettent pas d'enfoncer la majeur partie de la verge dans ma gorge et j'essaie d'éviter les haut-le-coeur ainsi que les crampes car ma mâchoire est écartelée.
Il pose ses mains sur mes épaules et ses doigts se crispent pendant qu'il soupire.
Le sucer n'est pas un plaisir pour moi, j'essaie de lui faire une fellation rapide afin de minimiser les douleurs à la mâchoire.
Il ne faut pas longtemps avant que ses ongles ne s'enfoncent de plus en plus dans la chair de mes épaules et que sa queue ne grossisse encore dans ma bouche.
Le membre tressaute et le sperme en quantité importante gicle dans ma gorge.
Vu comment la grosse verge occupe ma cavité buccale j'ai du mal à avaler le liquide et je me recule pour le faire tout en laissant échapper de la semence qui coule sur mon menton.
Je me relève et m'essuie avec de l'essuie-tout prélevé sur un rouleau posé sur la table.
L'énorme queue de Bastien est toujours aussi raide et imposante.
Après avoir caressé et masturbé doucement le gros membre je retire mon string, je roule ma jupe et enlève mon pull.
Bastien en profite pour se débarrasser de son pantalon et de son caleçon qui entravent ses mouvements.
De nouveau je m'approche et me colle contre lui en mettant mes bras autour de sa taille.
<<ma poitrine te plait, tu peux la caresser>>.
Il hésite, il ne me paraît pas très expérimenté.
Il déplace mon soutien-gorge puis pelote maladroitement mes seins pendant un moment avant de triturer les tétons qui s'érigent.
Mes mains enserrant toujours sa taille je l'attire vers la table sur laquelle je me couche après avoir repoussé les choses qui s'y trouvaient.
J'écarte les jambes que je laisse pendre dans le vide offrant mon intimité à sa vue.
<<viens, ma chatte attends ta queue>>.
J'appréhende la pénétration vu comment il est monté.
Avec les mains j'écarte les lèvres de mon sexe pendant qu'il s'approche de moi et que son pénis bute contre mon intimité.
Ses mains agrippées à mes cuisses il pousse avec le poids de son corps et sa très grosse verge s'enfonce péniblement dans mon ventre.
Pendant la pénétration je ressens fortement le coulissement de son membre qui repousse fortement les chairs de ma grotte et qui finit par venir buter dans le fond de mon vagin.
Bastien commence à bouger et les sensations sont fortes pendant les va-et-vient de la verge en moi.
Après un petit moment, comme il me fait mouiller, la queue devient plus libre et il accentue l'amplitude et le vitesse de ses coups de reins.
La verge tape en permanence au fond de mon vagin.
Je ferme les yeux et apprécie le plaisir qu'il me donne et qui augmente au fur et à mesure qu'il me défonce.
La grosse verge me faisant de plus en plus d'effet, au bout d'un moment mon corps se tend et prise de spasmes je jouis pendant que des jets de cyprine sortent de mon vagin.
Mon partenaire continue à me défoncer pendant quelques minutes avant que je ne sente son pénis grossir encore et s'agiter dans mon intimité pendant qu'il arrose mon vagin de son sperme.
Il se retire et va s'essuyer puis me tend la serviette pour que j'en fasse autant.
Il va pour se rhabiller mais je lui demande de ne pas le faire.
Bien que ne sachant pas ou je veux en venir Bastien reste tranquille, tout en triturant sa grosse queue ramollie je sors mon portable de mon sac à main et j'appelle Manon.
<<viens me rejoindre, j'ai un problème>>.
<<c'est grave, j'arrive>>.
Après avoir demandé des informations à Bastien, qui surpris par mon initiative a mis la serviette devant son sexe, je lui indique par quelle porte elle peut entrer.
<<tu es où>>.
<<ici>>.
Manon entre dans la pièce.
<<tu as des ennuis>>.
<<non, c'est ce jeune homme qui veut que tu participes>>.
<<je n'ai rien dit>>.
<<non mais tu l'a pensé très fort>>.
<<Laura tu as du culot, tu n'avais pas besoin de moi pour satisfaire ses envies>>.
<<non, mais c'est mieux que tu participes aussi et profites de son énorme queue>>.
Je m'approche de mon amie, je déboutonne son pantalon et sans qu'elle ne réagisse je le fais descendre le long de ses jambes.
Son string suit le même chemin.
Sans dire un mot elle se débarrasse des vêtements devenus gênants.
Pendant ce temps notre proie nous regarde la bouche ouverte et les yeux exorbités.
Elle s'approche de Bastien, prends ses mains et les glisse sous son sweat.
<<tu peux caresser, tu verras comme c'est doux>>.
Ne pouvant faire autrement il a laché sa serviette, il déplace le soutien-gorge et pétrit les seins de Manon.
Manon caresse puis masturbe la queue de Bastien pendant un moment.
Il finit par bander de nouveau.
<<ah oui! il est énorme ton engin, la nature t'as bien gâté>>.
<<tu vois pourquoi je t'ai demandé de venir, tu ne pouvais pas rater ça>>.
<<tu as bien fait, ce n'est pas tous les jours qu'on voit un engin de cette taille>>.
Elle s'adresse au jeune homme.
<<allonges toi sur la table, je vais m'occuper de ton monstre>>.
Fabien obéit docilement.
Manon lui fait une fellation, sa mâchoire est écartelée et pendant les va-et-vient elle ne fait disparaître que la moitié du pénis dans sa bouche.
Au bout d'un moment prise de crampes elle arrête de sucer et grimpe sur la table.
Elle s'accroupit au dessus du jeune homme les jambes de chaque côté de son corps.
Avec une main elle guide la verge vers sa grotte et quand elle abaisse son corps elle ferme les yeux et grimace pendant que le membre pénètre doucement et difficilement dans sa chatte dont les lèvres se trouvent bien déformées.
Enfin elle s'immobilise quand le pénis, bien que pas entièrement entré, est en butée au fond de son vagin.
Elle commence à faire bouger son corps pour faire aller et venir l'énorme membre en elle.
Pendant ce temps j'embrasse Fabien et lui fais goûter à son sperme, ainsi il aura lui aussi le goût et l'odeur dans sa bouche.
Manon s'active de plus en plus vite tout en gémissant.
Fabien résiste pendant un bon moment aux assauts de mon amie, en regardant le visage de Manon je vois que le plaisir augmente en elle.
Comme c'était prévisible, à cause des sensations de plus en plus importantes ressenties, elle ne peut pas se retenir et jouit en râlant puis reste sans bouger.
Son partenaire la retourne sur la table et se retrouve sur elle.
Sa queue étant sortie de la chatte de mon amie il la pénètre de nouveau et la défonce à grands coups de reins pendant qu'elle s'exprime toujours bruyamment.
Manon n'a pas le temps d'avoir un autre orgasme que Fabien éjacule et se relève après avoir laissé son sperme dans le vagin de sa partenaire.
Il s'essuie avec la serviette avant de la passer à Manon qui en fait autant.
Rhabillés nous gagnons tous les trois la salle.
<<bon maintenant nous allons te quitter et te souhaiter une bonne fin d'après-midi>>.
<<et la note! vous n'avez pas payé votre repas>>.
<<si, nous t'avons payé en nature et ça vaut largement le prix du repas>>.
<<je ne peux pas faire ça, il va manquer de l'argent dans la caisse>>.
<<mais si tu peux nous faire ce cadeau après ce que nous t'avons donné. Profiter le même jour du corps de deux femmes cela ne t'arriveras pas souvent>>.
En mauvaise posture il n'ose pas nous contredire.
<<bon allez y, je vais me débrouiller>>.
Nous sortons du restaurant laissant le serveur et son problème d'addition impayée.
Evidemment pendant un moment le sujet de conversation est la taille du pénis de Fabien.
Pendant notre promenade le long de la plage nos strings très humides, à cause du sperme qui s'échappe de nos vagins, nous rappellent la petite aventure que nous venons de vivre.
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