Véhicule Motorisé, Dans Le Chalet, Chapitre 4, Volet 2
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Véhicule motorisé,
Dans le chalet.
Chapitre 4, volet 2
« Chérie, Charles et moi, nous allons maintenant vous conditionner à subir des s plus souffrantes les unes que les autres. Il serait préférable que vous n'opposiez pas de résistance. »
« Je vais me laisser faire! »
« Charles, retirez la bande de matériel que vous avez placée sur l'abdomen de notre petite chérie. »
Charles retire la bande de velcro.
Le Doc prend un bord roulé de ta tunique et dit à Charles :
« Prenez l'autre bord. »
Charles se déplace de l'autre coté de la croix et prend l'autre bord de la tunique.
« Nous allons remonter sa tunique et la passer par dessus la tète de notre petite pute qui a un pénis mais qui est sans seins pour le moment. »
Ils remontent ma tunique et je me retrouve le haut du corps entièrement nu. Les seuls vêtements que je porte maintenant sont ma petite culotte dont mon pénis a été extirpé et mes sandales romaines à talons hauts.
« Charles, vous allez replacer la bande sur l'abdomen de notre petite pute adorée et la fixée fermement au point que son abdomen soit compressé. »
Je sens la bande passée contre mon abdomen : elle est tendue au point que mon thorax devient proéminent. Heureusement, j'éprouve aucun problème à respirer.
« Charles, passez deux autres bandes que vous allez tendue au maximum sur chacun de ses genoux. L'immobilisation de ses jambes doit être totale. »
Fixée de la sorte à la croix, je ne suis plus en mesure de faire le moindre geste : je me retrouve à la merci totale de mes assaillants.
« N'est-ce pas, Charles, qu'elle est belle et excitante notre poupée? »
« Oui, Charles, elle est très belle et surtout très excitante. »
Charles s'approche des montants sur lesquels mes bras son attachés.
« Maître, je peux? »
« Bien sur! »
Il retire la planche sur laquelle ma tête repose.
Ma tête s'incline vers l'arrière.
Je vois Charles baisser le fermoir-éclair de la braguette de son pantalon : il baisse le devant de son caleçon et en extirpe son pénis qui est énorme, bandé à l'extrême et d'une longueur qui doit faire environ 15 centimètres.
Je devine ce qui m'attend.
« Poupée, ouvre ta bouche! »
J'ouvre ma bouche tout en humidifiant mes lèvres.
« Tu ne me suces pas mais tu laisses ta bouche ouverte. »
Son énorme dard pénètre lentement dans ma bouche. Le bout de son gland glisse contre mon palais alors que ma langue lèche et humidifie le dessous de ce pénis monstrueux.
Le gland de ce monstre atteint le fond de ma gorge.
J'ai un léger haut de cur que je réussis à contrôler.
Charles se penche vers moi : son pénis pénètre encore un peu plus profondément dans ma gorge alors que du bout de ses doigts, il titille mes mamelons.
J'adore cette caresse : je frisonne.
Mes mamelons ne peuvent dissimuler ma satisfaction..
Je ferme légèrement ma bouche et j'appuie mes lèvres contre son pénis
Charles semble apprécier mon geste : il retire légèrement son pénis pour l'introduire à nouveau très lentement, le plus profondément qu'il peut, dans ma gorge.
C'est le bout de sa langue qui titille maintenant tour à tour mes deux mamelons.
Je bombe mon torse pour lui signifier que j'apprécie les caresses qu'il me prodigue.
« Maître, je peux lui mordre les mamelons? »
« Non, Charles, pas maintenant : vous devez vous retenir pour ne pas les mutiler tout de suite. »
« Maître, juste un peu? »
« Retenez-vous Charles, sinon je vais devoir sévir et vous savez ce qui va vous arriver? »
Charles continue à sucer tour à tour mes mamelons.
Mon pénis prend du volume.
« Charles, notre petite chatte semble apprécier ce que je lui fais : elle bande. »
Charles continue à sucer mes mamelons mais avec plus de force.
Je savoure du mieux que je peux ses caresses sachant très bien que je ne suis pas ici pour me faire caresser mais r.
« Charles, ça suffit : aidez-moi à préparer notre poupée pour ses injections. »
Charles arrête de me sucer et il retire son pénis de ma bouche alors que son membre glisse entre mes lèvres humides.
Charles laisse échapper :
« Tu m'excites petite pute! »
Charles replace son pénis à l'intérieur de son pantalon.
Il replace la planche sous ma tête.
« Charles, fixez le pénis de notre hôte sur son ventre. »
Charles se dirige vers la table où sont disposés tous les instruments nécessaires à ce qu'ils désirent me faire subir.
Il revient avec une chaînette en acier inoxydable munie d'une pince alligator à chacune de ses extrémités.
Du bout de deux doigts il prend mon pénis et le serre de sorte que mon méat s'entrouvre.
Il ouvre les mâchoires de la pince et en introduit une de quelques centimètres dans mon urètre alors que l'autre se trouve sous le gland directement sur le frein.
Il laisse la pince se refermer.
Les dents de la partie de la mâchoire qui se trouve dans mon urètre pénètre dans les chairs tendres alors que celles qui se trouvent sur le frein, le pique douloureusement.
« Maître, je la fixe solidement? »
« Bien sur! »
Charles pèse fortement du bout de deux doigts sur le dessus de la mâchoire et sur le dessous de mon gland.
« Aaaiiiiiieeeeeeeeee! »
Les dents des mâchoires pénètrent profondément dans les chairs de mon urètre et dans la peau de mon frein.
Un léger filet de sang sort du méat alors que de fines gouttes de sang jaillissent de la peau sensible de mon frein.
D'une main, Charles colle mon pénis contre mon ventre tandis que de l'autre, il tire sur la chaînette et fixe la seconde pince alligator à la bande de velcro qui est fixée sur mon abdomen.
« Bien, très bien. »
« Vous voulez que je vous apporte la première seringue? »
« Oui, Charles! »
Charles remet au Doc une seringue.
Le Doc la pose sur le bas de mon ventre et il me dit :.
« Vous avez déjà eu une injection de prostaglandine dans votre pénis? »
« J'ignore si c'était de la prostaglandine, mais oui, il y a plusieurs années, j'ai déjà eu une injection dans le pénis. »
« Et l'effet? »
« Mon pénis est devenu d'une longueur et d'une rigidité exceptionnelle : il est resté dans cet état pendant plus d'une heure. »
« Vous avez fait quoi, pendant ce temps? »
« Je suis allé dans un Peep Show pour me masturber, »
« Et? »
« Un homme m'a demandé si je voulais entrer dans sa cabine. »
« Je suis entré dans sa cabine. »
« Il a deviné mon état en voyant la bosse sur le devant de mon pantalon. »
« Il vous a soulagé? »
« Alors que j'étais debout devant lui qui était assis dans un fauteuil, il a dénoué la ceinture de mon pantalon, baissé le fermoir-éclair de ma braguette, déboutonné le bouton qui retenait mon pantalon en place. Mon pantalon est tombé par terre. Il a baissé le devant de mon caleçon. Mon pénis gonflé de sang et en pleine érection s'est automatiquement positionné en face de sa bouche. »
« Vous pensez que je vais résister à une telle provocation? »
« Surement pas! »
« Il s''est approché et il a embouché mon pénis sur toute sa longueur. »
« Faites-moi une fellation. »
« Puis? »
« Il m'a sucé pendant une très courte période avant que j'éjacule dans sa bouche. »
« Que vous a-t-il demandé en retour? »
« Tout en conservant mon sperme dans sa bouche, il s'est levé de son fauteuil et il m'a signifié de m'y agenouillé : j'ai fait ce qu'il m'a demandé. »
« Voua avez deviné ses intentions? »
« Ouiiiiiiiii! »
« Vous n'avez pas trouvé sa demande exagérée? »
« J'étais trop excité pour lui refuser quoique ce soit. »
« Alors? »
« Il a baisse l'arrière de mon caleçon et il s'est servi de mon sperme comme lubrifiant et il m'a enculé d'une façon très brusque. »
« Il vous a fait mal? »
« Oui, très mal! »
« Il portait un condom? »
« Non et il a éjaculé dans mes intestins.
« Et, c'est tout? »
« Il s'est retiré de mon cul. »
« J'ai remonté tant bien que mal mon caleçon et mon pantalon. J'ai quitté sa cabine et je suis passé par les toilettes avant de quitter le Peep Show. »
« Bien, maintenant fini la jasette, nous allons passer aux choses sérieuses. »
Le Doc prend la seringue: il dit à Charles :
« Passez de l'alcool sur toute la longueur de l'envers de son pénis. »
Charles s'exécute.
Le Doc dirige la pointe de l'aiguille vers le corps caverneux situé à gauche de mon pénis.
L'aiguille pénètre dans cette partie de mon membre.
Je sens la prostaglandine se répandre lentement dans cette espace.
Le Doc retire l'aiguille une fois que toute la dose de prostaglandine y a été introduite.
Charles remet au Doc une seconde seringue.
Cette fois, l'aiguille s'enfonce dans le corps caverneux droit de mon pénis.
Toute la dose de ce produit se répand dans cette nouvelle section de mon membre.
Le doc retire l'aiguille et dit à Charles :
« Masturbez notre poupée mais ne la faites surtout pas éjaculer. »
Charles se penche vers mon sexe : il passe sa langue sur toute sa longueur avant de s'attarder sur le frein de mon gland.
« Ouuiiiiiiiii, votre poupée est bien! »
Tout en continuant à lécher mon frein même si la mâchoire de la pince alligator s'y trouve toujours enfoncée, Charles entoure mon pénis de sa main droite et entame un lent mouvement de va et vient.
Mon pénis grossit de plus en plus jusqu'à ce qu'il atteigne des proportions en longueur et en grosseur dont, jamais je ne me serais imaginé atteindre.
« Maître, je crois que le pénis de notre petite pute a très bien réagit au produit que vous lui avez injecté. »
« Je suis d'accord avec vous, Charles. »
« Vous voulez que je vous apporte les tiges urétrales? »
« Je vais préalablement lui injecter une forte dose de morphine pour que notre petite chatte puisse résister sans défaillir aux traitements que je me propose de lui faire subir : aidez-moi »
« Bien, Maître »
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