Pauline 2 La Surprise

Pauline 2
La surprise

Nous avons laissé Pauline sur le boulevard au bras de son maître, et ils rentrent à pied à l’appartement du maître. Pauline nous conte cette nouvelle histoire.

Le maître me prend par le bras et m’entraîne dans la rue qui mène à son appartement. Arrivés au niveau d’un renfoncement donnant sur l’entrée d’une maison, je connais car je passe devant chaque fois que je me rends chez mon maître.
Le maître me fait entrer dans ce recoin très sombre, et il ouvre mon manteau pour me caresser d’abord les seins et me pincer fortement les tétons jusqu’à me faire mal, puis avec son autre main il s’occupe de ma vulve, tirant sur les chaînettes et les poids afin d’allonger mes babines.
Puis il introduit deux doigts dans mon vagin et m’astique énergiquement et il fait tourner son pouce sur mon bouton ; en quelques instants je suis de nouveau chaude comme de la braise, mon sexe coule sur sa main, les doigts dans mon vagin font un bruit de clapotis.
Emportée par un tourbillon érotique, je perdais toute retenue, en laissant tomber mon manteau et en m’appuyant
Sur le mur je lève ma jambe gauche afin de m’offrir encore plus aux doigts inquisiteurs.
Mais derrière nous une voix se fait entendre et me fige complètement : « J’ai de quoi occuper la petite dame si tu veux bien mec !!!! »
Le maître retire ses doigts et d’une poussette m’envoi valdinguer sur un type couché derrière nous, je suis à peine tombée sur l’homme qu’il me retourne sur les cartons où il dort, mais c’est surtout l’odeur de fauve qui me saute au nez, un mélange d’urine de crasse et de vinasse.
Aussitôt l’homme est sur moi et déjà il me doigte, au moment où je vais crier mon dégoût, il plaque sa bouche puante sur la mienne mais j’en profite pour le mordre, je reçois une gifle, et le maître se penche et me dit
« Laisse-toi faire et prend ton pied, je sais que tu en crève d’envie, ta chatte réclame de la bite, et je suis là avec toi !!!! ».


Alors docilement j’obéis au maître et je laisse l’homme prendre possession de mon corps, des doigts que je suppose sales fouillent mon sexe, si ses doigts sentent aussi mauvais que le reste de son corps, je me dis qu’il va me pourrir le vagin, et quand ce sera sa bite, ce sera bien pire.
J’essaye comme je peux de lui prendre le sexe à travers de ses vêtements ; alors il me lâche quelques secondes pour retirer son pantalon, bon sang une odeur de ménagerie me saute au nez, je me sens comme dans un cirque au coin des fauves, ça pu littéralement.
Le clodo prend ma main et la met sur son sexe, il bande comme une bête en rut. Mais ses doigts me donnent déjà un début de plaisir, et je le branle énergiquement, espérant le faire jouir rapidement.
« Tu vas pas me faire cracher avant petite salope, je vais te la mettre bien profond, allez écarte bien les jambes ».
Je l’ai laissé me pénétrer j’en avais trop envie comme m’a dit le maître, et puis ne dois-je pas lui obéir en tout.
Alors après m’avoir bien prise il fait basculer nos corps afin que je sois au dessus de lui et bien empalée j’ai replié mes jambes de chaque coté de son corps afin de le sentir bien au fond de mon vagin, l’odeur de bête en rut commence à me rendre folle, alors je me démène sur la queue qui me fouille et pollue la fente, afin de le faire jouir le plus vite possible, pour mettre fin à cet accouplement de bêtes en chaleur.
Mais soudain une main se pose sur mes fesses, je pense que c’est mon baiseur, mais une autre voix se fait entendre à coté de moi.
« Petite salope tu baises sans moi ? ».
Le maître allume son portable pour nous éclairer, de voir l’homme qui me prend je lui roule une pelle tellement c’est bon, sa bouche a le goût de la vinasse et des dents pas lavées, mais je m’en fiche je suis en train de jouir.
Sous l’effet de mon baiser, la bite gonfle un peu plus et le clochard me déverse une quantité phénoménale de jus au fond de ma fente.

La bite se ramollie et sort de mon vagin, l’homme qui me caresse les fesses me retourne vers lui, et il me dit : « Regarde ce que je vais te mettre !!! ».

A la lumière du téléphone j’aperçois une bite aussi grosse que celle de mon maître, mais complètement difforme, un gland comme un champignon mais plus gros d’un coté que de l’autre, et la hampe coudée vers la droite, et puis plus bas coudée vers la gauche. Un véritable sexe de monstre, je ne m’étais jamais posé la question, est-ce que cela pouvait exister ? Et bien j’avais la réponse !!!!!
Mais pas le temps de penser plus longtemps, le premier clochard avait ouvert la voie, le deuxième allait sûrement l’élargir. Et c’est ce qu’il fait, le gland difforme s’introduit dans mon vagin sans aucune douceur, pour se propulser jusqu’à ma matrice, tandis que les deux sursauts de la hampe, raclent mes parois. Tout mon sexe est fouillé en même temps, mon utérus, mon point G et même mon clitoris.
Quelques allers retours et j’ai un nouvel orgasme, mais la bite est bien loin d’être rassasiée, l’homme me secoue, prolonge mon orgasme il ne s’éteint jamais tout à fait, un changement de rythme rallume le feu qui me dévore de l’intérieur, cette bite difforme me rend dingue, le clapotis de nos sexes affoles mes sens, et cette odeur de fauves, j’ai vraiment l’impression de me trouver au moment du rut, à la merci de tous les mâles. Mon maître prend des photos, je suis en nage nos corps glissent l’un sur l’autre, nous mêlons nos sucs et nos transpirations, n’en pouvant plus je prend la tête de mon baiseur et je lui roule une pelle mêlant nos langues et nos salives. Alors une véritable fontaine de sperme se déverse dans mon vagin, la surpression éjecte la queue de mon baiseur qu m’envoi ses dernières giclées sur le ventre et les seins.

Grosse bite se recouche à coté de moi, épuisé, moi aussi mais je fini par me relever je m’essuie un peu avec une des couvertures, et je sort dans la rue, j’ai trop envie de faire pipi.
Je m’accroupie au dessus du caniveau, et je commence à uriner. Bite tordue surgit devant moi nu il s’accroupie lui aussi et tandis que j’urine il passe sa main sur mon sexe, trempant mes cuisses et tout mon sexe avec mon urine.

« Ça va te rincer la chatte ma belle !!!! » bite tordue se relève et tandis que je fini ma miction il commence la sienne, m’arrosant de pisse depuis le visage jusqu’au sexe. J’en tombe les fesses dans le caniveau prise par un nouvel orgasme.
Pour finir le maître me relève et m’emmène nue vers l’appartement j’entends la voix de bite tordue qui me dit au loin : « tu viens me voir quand tu veux, quand on a goûté à ma queue on ne peux plus s’en passer !!!! ».

Rentrés à l’appartement, le maître me fait couler un bain, et reste au bord de la baignoire pour me savonner tendrement, puis il me met un drap de bain autour du corps et m’emporte vers la chambre, à peine couchée je m’endors comme un bébé.
Nuit sans rêves demain m’attend avec d’autres aventures.


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