La Belle Saison 7/8
La jolie Dolores, cliente affamée de sexe, a retrouvé son mari. Je lai croisée à son bras.
Un grand type costaud, dune cinquantaine dannées qui la serre de près. Quand je les ai croisés, elle sest serrée contre lui, mais en passant, ma fait un clin dil de connivence.
A laccueil, je retrouve Marie-Pierre et Jackie.
« Jai limpression quil va te falloir trouver une nouvelle partenaire de tennis » me lance Jackie.
« Ah, si ça tintéresse, jai une ancienne joueuse classée qui cherche un partenaire de jeu »
mindique Marie-Pierre qui a levé la tête
« Il faut quelle soit vraiment très en forme » précise Jackie « Cest que cest très exigent physiquement. » ajoute telle avec une pointe dironie à mon intention.
« Hé,là, je vous arrête ! Je suis déjà pas mal crevé avec le boulot, et je joue avec Chris. Donc désolé, mais je ne peux pas moccuper de vos clientes qui sennuient. Je lai fait, exceptionnellement pour la cliente de la 308. »
« Et qui a gagné ? » demande Marie-Pierre, sans humour
« Oh, je suis sur quil la défoncée. » commente Jackie sans me lâcher du regard.
Marie-Pierre, ignorant le double sens de cette répartie me regarde.
« Vraiment ? »
« Oui, enfin, javais lavantage de lâge. Bon je vous laisse. Jackie, on se voit au déjeuner ? »
A lheure du déjeuner, je décide Jackie à sortir le soir même avec moi. Après une sieste réparatrice, et une soirée de travail sans surprise, Je la retrouve à la terrasse dun café, et nous voilà parti pour la côte dans son véhicule, un utilitaire transformé en Van, dont je découvre lexistence, car jai toujours vu Jackie avec une petite citadine.
« Cest mon frère garagiste qui ma aménagé ce fourgon. Je men sers pour partir en vacances, et de temps en temps quand je sors sur la côte. Si je suis trop fatiguée, je marrète et je dors à larrière. » explique Jackie
Larrière du véhicule tolé, est aménagé, parois habillées de tissu et tout larrière est transformé en un immense lit, avec dans un recoin, un petit placard à vêtements, et un recoin pour ranger les chaussures.
« Je savais bien que tu étais un dragueur impénitent, mais là, on est pas seuls.. »
« Je ne fais rien de répréhensible, et dailleurs, tout le monde regarde le ciel. »
Elle pousse un soupir et sa main qui était venue bloquer la mienne, lattire vers sa poitrine. Deux boutons de sa robe sont ouverts et je nai aucun mal à faufiler mes doigts sous le tissu,
Dans le soutien-gorge, jusqu'à toucher la pointe dun sein menu, mais dur. Je la sens plus que je ne lentends soupirer de nouveau, dans la pétarade des fusées multicolore. Je masse son sein tandis quelle se cambre et pousse son fessier contre mon jean, ne pouvant ignorer mon érection déjà prononcée.. Mes mains redescendent ensuite sur ses hanches et longent les cuisses avant de sinfiltrer sous la robe, et de remonter doucement
« Tu cherches quoi, là ? »
« Chht, laisse toi aller » dis-je en vérifiant que les personnes autour sont suffisamment captivées par le feu dartifice, et ne soccupent en aucun cas de ce qui se passe autour deux.
Mes doigts effleurent ses cuisses et viennent semparer de ses hanches, sous la robe.
La foule autour de nous commence à se disperser. Jackie se penche et récupère sa culotte noire, encore accrochée à une cheville, quelle chiffonne dans sa main avant de me la tendre.
« Tiens, garde moi ça dans ta poche. Tu mas faite jouir salaud. »
Jempoche le trophée, et la prends par la taille. A quelques dix minute de marche, nous rejoignons une discothèque, où les estivants se pressent..
A lintérieur, cest bondé. La musique Disco nous prend aux tripes par ses basses, et les projecteurs colorés rivalisent avec les stroboscopes et les lasers.
Jackie se déchaine sur la piste de danse, et je me démène avec les aures dans la joyeuse cohue.Les filles sont bronzée et court vétues, exhibant largement leut appas aux garçons qui tentent de les intéresser en se déhanchant à qui mieux-mieux autour delles.
Après une bonne heure de ce régime nous nous interrompons pour nous frayer un chemin jusquau bar, Aucune table nest libre et nous devons lutter pour nous accaparer quelques centimêtres carrés de comptoir. Nous sifflons, coup sur coup plusieurs Mojitos, en nous dévisageant, sans parler, ce qui serait inutile , vu le volume de la musique. Je lui souris. Je caresse son bras du bout des doigts. Mon genou, à cause du faible espace, est coincé entre ses jambes, juchés tous deux sur de hauts tabourets de bar. Elle me regarde et ses genoux viennent enserrer le mien. Ma main sappuie sur sa cuisse découverte.
« Ca nest pas si simple ! » me hurle telle dans le vacarme, avant de se lever dun bond et de rejoindre le dancefloor.
Je la suis sur la piste, et, comme elle, me laisse emporter par la musique, dans cette ambiance festive débridée. Les jupes tournoient dévoilant très haut des cuisses halées, les décolletés sont profonds, les mains sattardent, les corps se frôlent, les lèvres se butinent : le jeu de la séduction est en place et tout le monde profite de cette parenthèse éphémère de lété,de cette insouciance des vacances, de ces aventures quon magnifiera plus tard avec nostalgie dans des souvenirs dont on ne gardera que le bon.
La lumière décroit tout à coup, la musique se fait plus langoureuse et les couples , rompus à ces codes, se forment au gré de leurs inclinaisons. Jackie fait mine de ne pas remarquer plusieurs chevaliers servants et vient se suspendre à mon cou.
Je lenlace et mes mains viennent se poser sur le bas de son dos.
« Finalement, cest bien de sortir avec un chaperon » me glisse telle alors que nous oscillons sur place dans la pénombre. « ça permet de ne pas se faire trop importuner. »
« Avoue que tu as tout fait pour les exciter » fais-je remarquer
« Vous les mecs, dès quune nana danse devant vous, vous vous dites quelle est daccord pour coucher, alors que nous on ne veut que samuser.
« Ne fais pas linnocente, je pense que les filles savent très bien aguicher les mecs, et quelles veulent savoir si leur pouvoir de séduction fonctionne bien. »
« Pas difficile, il vous en faut si peu. »
En disant cela elle est venue sincruster contre moi. Sa longue silhouette épouse mes formes et son bassin se frotte doucement sur le mien. La réaction ne se fait pas attendre.
« Tu vois, cest facile. » dit elle, en constatant mon érection. »pourtant, je nai presque rien fait
« A ce jeu là, tu tes déjà laissée prendre » dis-je en lui rappelant lépisode du feu dartifice.
« Une femme ne donne que ce quelle veut. «
« Ce serait donc mon jour ? » dis-je en descendant mes mains sur ses fesses
« Va savoir »murmure telle avant de membrasser fougueusement.
Isolés au milieu des couples qui flirtent sous la lumière noire, nous continuons à danser sur place, nos langues se mélant , nos mains saventurant à la découverte de nos corps.
Le quart dheure américain prend fin et les danseurs se séparent pour entamer une série de jerks endiablés. Nous conformant aux rêgles, nous faisons de même.
Nous faisons une nouvelle pause au bar. La foule a encore grandi, et il ny a plus la moindre place libre. Nous sirotons, deux nouveaux cocktails, debout dans un coin. Elle est venue sappuyer sur moi.
« Je suis un peu pompette. » mavoue telle « On va rentrer ? »
Nous finissons nos verres et nous dirigeons vers la sortie.
Dehors, nous profitons de la fraicheur relative, et déambulons à pas lents dans les rues quasi désertes. Je profite dune ruelle sombre pour attirer Jackie contre moi, et lembrasser goulument tout en la pelotant. Elle se laisse faire un instant, puis séchappe en riant.
En deux ou trois étapes nous retrouvons son fourgon. Elle a manifestement trop bu et me demande de prendre le volant. Je mexécute et prends le chemin du retour, mais je me rends vite compte que la fatigue et lalcool ont eu raison de moi. Javise un chemin de terre et y engage le véhicule avant de stopper
« Je crois que je ne peux pas aller plus loin »dis-je
« Pas grave, on va sallonger quelques heures à larrière »
Je sors de la voiture et la rejoins de son côté. Elle a déjà ouvert la porte latérale.
« Cest mieux de se désaper dehors. A lintérieur cest moins pratique. » dit elle.
Et sans hésiter elle fait passer sa robe par dessus sa tête, et dans le clair obscur, se retrouve en soutien gorge et chaussures. Elle se rend alors compte quelle na pas remis sa culotte.
« Oups, javais oublié ça » dit elle « nessaie pas den profiter. Je ne suis pas une pute, quand même. »
Là dessus elle sasseoit au bord du camion et ote ses chaussures avant de se faufiler à lintérieur. Suivant son exemple je me deshabille et jette mes affaires dans un coin à lintérieur avant de la rejoindre. Il fait très noir mais les vitres arrières distillent une faible lueur qui me permet de découvrir quelle sest glissée sous les draps. A mon tour, je la rejoins, et me rapproche delle. Elle a gardé son soutien-gorge, seul rempart à sa pudeur relative. Mes mains partent a lexploration de son corps, et elle vient membrasser encore une fois avant de me repousser.
« je te lai dit, je ne couche pas si facilement. »
« Pourtant, javais cru comprendre. »
« Tu me plais bien, cest vrai. Alors je vais faire quelque chose pour toi »
Elle descend le long de mon corps et je sens ses mains agripper mon slip qui descend le long de mes jambes jusquà ce quelle lenlève carrément.
Une main douce sest emparée de mon sexe et le caresse doucement.
Lautre main soccupe de mes couilles et les malaxe sans violence. Le résultat ne se fait pas attendre et mon érection se développe instantanément. Je sens alors ses cheveux effleurer le devant de mes cuisses et ses lèvres se referment sur mon penis. Elles coulissent le long de mon mandrin et une langue brûlante vient agacer mon frein. Le mouvement samplifie doucement. La bouche abandonne mon sexe et sa langue vient courir sous ma hampe jusquà mes bourses qui sont gobées lune après lautre. Ses ongles égratignent doucement lintérieur de mes cuisses et un doigt fureteur titille mon anus. Pendant ce temps, elle ma repris en bouche et me pompe de plus en plus vite. Je sens le plaisir monter dans mes reins. Elle aussi, car elle assure sa prise sur moi et entame une gorge profonde, avant de repompe de plus belle jusquà ce que jexplose dans sa bouche. Elle ne peut tout avaler, et nettoie avec une serviette ce qui déborde et dégouline sur elle. Après quoi, elle vient se blottir contre moi et membrasse dun baiser encore parfumé à mon propre sperme.
« Javis déjà joui plus tôt » explique telle. Puis elle sendort immédiatement.
Quand jémerge dun profond sommeil, je mets un moment à comprendre que le fourgon est en train de rouler. Jenfile mes vêtements et je tape à la cloison métallique. Le fourgon sarrête. Jenfile mes chaussures et la rejoins à lavant.
« Bien dormi ? » demande telle avec un sourire
« Peu mais bien. Il est tôt non ? »
« Oui mais je travaille à 8h, et je voudrais prendre une douche avant »
Après une halte à son appartement , elle revient fraiche et pimpante, vétue dune jupe fleurie et dun chemisier bleu. En arrivant à la station elle me dépose sur le parking de ma résidence, et je cours vers mon lit pour un complément de nuit.
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