Corinne Au 'Congo'

Comme chaque mardi soir, Corinne et Viviane se retrouvaient dans le petit gymnase abritant leur cours de gym hebdomadaire. Ayant toutes les deux atteint la cinquantaine, la première depuis peu, la seconde d'un peu plus loin, elles éprouvaient le besoin de faire travailler leur corps pour ne pas subir trop tôt les atteintes de l'âge. Bien que de physiques dissemblables (la première longiligne à mèches blondes, la seconde frisottée et ronde), elles y parvenaient mais non sans transpirer, ajoutant à ces cours des séances de footing que ces deux amies accomplissaient en commun.
Depuis quelque temps, elles s'étaient liées avec une Africaine prénommée Myriam dont elles enviaient la souplesse malgré ses formes opulentes. C'était celle qui, à la gym, réussissait le mieux les exercices imposés, qu'elle accomplissait dans un grand rire. N'ayant pas de voiture, elle était raccompagnée chez elle par Corinne après le cours et c'est ainsi qu'une relation particulière était née. Les deux amies avaient été invitées plusieurs fois chez l'Africaine pour déguster des boissons et produits très exotiques qui s'étaient révélés particulièrement aphrodisiaques. Mais si Corinne pouvait assouvir ses besoins sans difficulté avec son mari Christophe, Viviane, du fait de son divorce de cinq ans et de sa vie solitaire, en était le plus souvent réduite à recourir à la masturbation via son gode, ce qui augmentait sa frustration déjà grande. Car comme pour Corinne, le sexe était sa grande affaire et avait été à la source de sa rupture conjugale. Insatisfaite au lit, elle avait commis l'adultère avec un collègue de travail dont la femme avait provoqué un scandale, lequel s'était traduit à la fois par la rupture du couple adultérin et par celle du couple légitime. Ce que Viviane avait traduit par un lapidaire : "J'ai eu tout faux".

Depuis, elle se défoulait dans des liaisons éphémères et enviait Corinne par sa manière habile de jouer sur les deux tableaux : le conjugal et l'adultérin.

Une complicité particulière était née, liée par le secret de confessions inavouables.
Ce soir là, Corinne raccompagna Myriam et Viviane en même temps après le cours. C'est alors que Myriam déclara :
- Samedi, c'est notre fête nationale et nous nous retrouvons avec ma communauté dans une petite boite typique, le "Congo". Je vous invite à venir passer la soirée.
Corinne et surtout Viviane acceptèrent avec enthousiasme, la seconde trop heureuse de sortir de sa routine solitaire des week-ends. Myriam proposa à Corinne de venir avec son mari. Interrogé plus tard, celui-ci déclina, n'ayant que peu de goût pour les boites de nuit, africaines ou non et encouragea d'autant plus Corinne à s'y rendre qu'un match de foot était télévisé ce soir là et il était passionné de foot. L'affaire fut donc conclue.

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Il faisait chaud ce soir là et les deux amies s'étaient présentées à la porte de la boite de nuit africaine en tenue légère. Corinne était vêtue d'une mini robe sans manches, très décolletée dans le dos, révélant ainsi l'absence de soutien-gorge tandis que Viviane se présentait en pantalon corsaire moulant et en débardeur mettant en valeur ses seins lourds, largement découverts.
- Je te promets un grand succès auprès de nos amis africains, ils aiment les gros nichons, lui avait lancé Corinne.
- On fait ce qu'on peut, je n'ai pas la chance comme toi d'avoir un corps de mannequin, répondit Viviane.
- Tu parles. J'ai pris des fesses et des cuisses à tel point que j'ai dû changer de taille de pantalon, je suis passé du 40 au 42, c'est la cata.
- Tu as de la marge alors que moi, je commence vraiment à faire mes 55 balais et je n'ose même pas te dire ma taille.

Et c'est dans cet état d'esprit que les deux amies firent leur entrée. Aussitôt accueillies par Myriam, vêtue d'un boubou épousant étroitement sa plantureuse poitrine et son fessier proéminent, elles furent présentées à la cantonade et accueillies par force boissons et mignardises fortement épicées et complaisamment tendues. Une musique assourdissante régnait dans les lieux. Certains couples dansaient et les deux amies furent invitées à en faire autant par des cavaliers très empressés. Viviane passait de l'un à l'autre avec enthousiasme et Corinne se demanda si ses seins n'allaient pas finir par jaillir du débardeur tant elle y mettait du coeur à l'ouvrage. Un grand gaillard musclé avait jeté son dévolu sur elle et ils ne se quittaient plus. Pendant ce temps, Corinne était outrageusement draguée par le propriétaire des lieux, un élégant quadragénaire en chemise bariolée et au sourire éclatant et elle devait parfois repousser ses mains baladeuses sur ses cuisses largement dénudées.
La soirée était déjà bien avancée lorsque Viviane, en nage, s'approcha de Corinne, un verre à la main.
- Alors, tu t'amuses bien ?
- Oui, c'est sympa ici, ça change des habitudes. Et toi ?
- Follement. Tu as vu le garçon qui me drague ? Beau mec, non ? Il a bien vingt ans de moins que moi et il a un corps de rêve. Je n'en reviens pas qu'il s'intéresse à moi, ça me change de ma consommation habituelle. Je crois qu'on va baiser dès ce soir.
- C'est un peu rapide, non ?
- Tu ne crois quand même pas que je vais faire des manières. Cela fait des semaines que je n'ai pas vu de bite. Et cella-là, je crois, promets beaucoup. Je l'ai sentie en dansant, elle est dure comme du teck.
- Fais ce que tu veux mais je vais peut-être rentrer avant toi. Le proprio me fait du plat et je ne voudrais pas qu'il se fasse des idées.
- Il est pas mal pourtant, il est même très stylé, si un gars comme ça venait dormir chez moi, je ne coucherais pas dans la baignoire, comme on dit. Enfin, c'est vrai que toi, tu es mariée. Bon, je reviens voir mon chevalier servant, je ne voudrais pas me le faire piquer. Tu as vu Myriam ? Je ne la vois plus.
- Elle était avec un mec tout à l'heure, ils avaient l'air de bien s'entendre.
- Ils sont peut-être partis baiser. Bon, à ce sujet, je te laisse, à tout à l'heure peut-être.

A peine Viviane était-elle partie que le propriétaire vint s'asseoir à nouveau à côté de Corinne. Une longue discussion s'engagea sur l'Afrique, ses atouts et ses handicaps, facilitée par la baisse d'intensité de la musique. Il était environ trois heures du matin lorsque Corinne leva les yeux pour s'apercevoir qu'il n'y avait plus grand monde sur la piste de danse. Pas de trace de Viviane.
- Il faut que je retrouve mon amie, indiqua Corinne au propriétaire.
- Je crois savoir où elle est. Vous m'accompagnez ?

Corinne, interdite, se leva et suivit le propriétaire pour un couloir débouchant sur une porte fermée, que le propriétaire ouvrit lentement, comme s'il craignait de réveiller l'occupant. C'était en fait une salle assez grande entourée de miroirs et il y avait du monde à l'intérieur. Plusieurs personnes, hommes et femmes, étaient réunies autour d'une sorte de vaste natte où figuraient deux couples en pleine activité sexuelle. Corinne reconnut aussitôt Viviane et Myriam avec deux Africains qui les honoraient. Silencieux, les spectateurs assistaient aux ébats comme ils auraient vu une pièce de théâtre. Entièrement nues, les deux femmes semblaient parfaitement indifférentes à leurs observateurs et se concentraient sur ce qui les préoccupait au premier chef : leur accouplement. Et c'est dans un certain état de sidération que Corinne découvrit son amie sous un angle pour le moins inhabituel.

Accroupie au-dessus du membre viril de son jeune amant, elle se laissait tomber sèchement, faisant claquer la peau de ses fesses sur le bas-ventre de son partenaire. Corinne capta son regard extatique, signe du plaisir qu'elle prenait, et ce spectacle imprévu commença à produire dans sa culotte une humidité qui la troubla. D'autant que tout à côté du couple, Myriam et son amant se déchainaient aussi. La souple africaine s'écartait les jambes en se tenant par les pieds et Corinne regardait fascinée les mouvements ondulatoires du jeune africain qui honorait son amie avec une vigueur identifiable au mouvement de ses muscles fessiers.
- Ils prennent du bon temps, hein ? lui souffla à l'oreille le propriétaire.

Corinne fit oui de la tête, incapable de prononcer le moindre mot. Viviane et son amant venaient de changer de position et son amie lui faisait face maintenant, fouillée en levrette avec une fougue faisant trembler ses seins lourds entre ses bras et lui arrachant des "hou" sonores chaque fois que son baiseur la percutait de toute sa vigueur. Le regard des deux amies se croisèrent et Viviane adressa à Corinne un sourire radieux entre deux onomatopées de plaisir. Avec une symétrie quasi parfaite, Myriam recevait l'hommage en levrette d'un métis mince particulièrement bien membré, à ce que constata Corinne du fait de la position de profil du couple par rapport à elle. Si bien membré que l'observatrice pensa à un glaive qui pénétrait la chair pulpeuse de l'Africaine à cadence soutenue, entrant et sortant, sortant et entrant sans mollir. La vision de cette inlassable pénis lui mit cette fois le feu au bas-ventre au point qu'elle ondula légèrement sur place.

D'autant que deux autres couples étaient venus se joindre aux ébats pour consti une véritable partouze en noir et blanc, car une deuxième blonde était venue s'allonger, plus âgée que les deux amies mais au corps encore harmonieux et vibrant. Elle suçait son jeune amant africain avec fièvre, engloutissant le dard épais jusqu'à la racine, preuve d'un incontestable savoir-faire. Corinne sentit son jus intime dégouliner le long de sa cuisse et lorsqu'un doigt fureteur s'en vint écarter l'élastique de sa culotte, elle n'opposa aucune résistance. C'était la main du propriétaire, lequel avait bien perçu l'évolution de l'élégante quinquagénaire et s'était mis dans la tête de la baiser séance tenante.

Corinne se sentit poussée vers la natte, buta sur un couple en pleine action et se retrouva les quatre fers en l'air à côté de Viviane, toujours à quatre pattes, qui la salua d'un "bienvenue au club". Sans hâte, le propriétaire la délesta de sa mince culotte et enfouit son mufle entre ses cuisses. Les yeux clos, Corinne s'abandonna à la bouche experte de l'Africain non sans adresser une brève pensée à son mari qui dormait au même moment dans le lit conjugal. Pensée bien vite chassée par l'impatience d'être remplie. L'homme la débarrassa de sa robe et de ses sandales, coiffa un préservatif et se positionna sans difficulté entre ses cuisses largement ouvertes en V après avoir constaté la béance de sa vulve. Malgré le volume du pénis, la pénétration fut aisée et Corinne marqua aussitôt son adhésion en entourant le dos de son partenaire de ses longues jambes et même en répondant à la sollicitation de sa bouche pour un baiser vorace. Ainsi confirmé dans ses intentions, l'homme besogna dur. Il avait compris que Corinne était de ces femmes exigeantes qui nécessitent d'être copieusement labourées pour atteindre le plaisir. De même, celle-ci avait acquis la conviction que cet amant provisoire allait lui fournir la dose de sexe à laquelle tout son corps aspirait pour un moment intense et sans lendemain dans un contexte propice à un orgasme puissant. Ce n'était pas la première fois qu'elle baisait en groupe (voir épisodes précédents) et elle savait d'expérience qu'elle prendrait son pied. Maintenant allongée à côté d'elle, Viviane subissait le même assaut mais de la part d'un partenaire différent, plus mûr que le précédent. Celui-ci honorait désormais Myriam avec une vigueur qui faisait trembler ses couilles et bramer l'Africaine. La pièce bruissait de halètements, de soupirs, d'exclamations, parfois de mots crus lâchés dans l'extase par des couples enfiévrés, désormais une bonne demi douzaine sur la vaste natte. La sexagénaire blonde était la plus volubile et ne cessait d'admonester son partenaire par des mots crus produisant une ambiance torride sur la natte.

Corinne était désormais à fond dans son coït. "C'est bon hein ?" lui souffla Viviane à l'oreille en lui prenant la main. Son amie fit oui de la tête, trop préoccupée par ce qui se passait dans son tréfonds pour entreprendre une discussion, fût-elle d'ordre sexuel. Elle levait de temps à autre la tête vers son bas-ventre pour observer le travail de la bite volumineuse qui la pilonnait sans concession tout en posant les pieds au sol pour bien renvoyer la balle. Enchanté par sa partenaire, l'homme lâcha plusieurs fois : "tu es bonne, tu es bonne"... Ce à quoi Corinne répondit : "Tu me baises bien, continue surtout, ne t'arrête pas". Prisant fort la levrette, Corinne prit l'initiative de se mettre à quatre pattes et se retrouva la nez sur les fesses de l'homme qui tringlait Viviane. C'était trop tentant pour qu'elle résistât. Tout en subissant le joug de son amant, elle laissa courir sa langue sur la raie et les couilles du chevalier servant de son amie, lequel se retourna, la traita de "salope", mais n'en poursuivit pas moins son labeur avec une énergie décuplée, ce qui fit hululer Viviane à la grande joie de son amie, ravie de contribuer à son plaisir.

En tournant la tête, elle se vit dans un miroir renvoyant sa situation, genoux et mains au sol, ses longues mèches pendantes et ballotant au rythme des coups de boutoir, le propriétaire en train de la limer, sa bite longue et fine entrant et sortant de son antre. Cette vision provoqua chez elle un gémissement où on aurait pu identifier de la douleur mais qui était en fait une profonde satisfaction. Elle aimait se regarder baiser et observa son accouplement quelques minutes en changeant d'angle avant de voir dans le miroir que le partenaire de Viviane s'était retiré et lui offrait sa bite à sucer, ce qu'elle fit. Une bite épaisse qui lui remplissait la bouche et qu'elle engloutit avec volupté, stimulée en même temps par celle qui s'activait en elle.
- Deux pour toi toute seule, tu ne t'embêtes pas, lui lança Corinne.
- Tais-toi et baise, lui répondit Viviane tout de go avant de reprendre sa succion.

Mais Corinne avait toujours un oeil sur le miroir, ce qui lui permettait tout en se regardant d'observer les ébats voisins. Myriam venait de pousser un cri profond qui s'expliqua par le fait qu'elle venait de se faire prendre en sandwich, un homme dans son sexe, un autre positionné derrière elle dans son vaste cul qui tremblotait sous les assauts. Corinne vit surtout un magnifique athlète debout, encore en érection, qui la regardait en se masturbant. Elle se détacha du propriétaire, qui venait d'ailleurs d'éjaculer et l'embrasser en guise de remerciement, pour s'intéresser à ce beau mâle en parfait état de marche. Car elle n'était nullement rassasiée, au contraire de Viviane qui éprouvait maintenant le besoin de souffler et se contentait de mater les couples en action.

L'homme se présenta sous le prénom de Boubacar et célébra sa beauté ce qui, pour une femme venant d'atteindre les 52 ans, constituait la meilleure des entrées en matière et elle lui répondit en l'embrassant sur la bouche. Ils poursuivirent en se caressant mutuellement le sexe et en se disant des mots doux, prélude à un coït que tous deux pressentaient torride. Le pénis de Boubacar, droit et ferme, évoqua à Corinne un bâton de berger, ce long saucisson exposé en charcuterie. Il saillait de son torse splendide comme une fabuleuse excroissance de Licorne. Sa destination était ment son vagin qui béait d'impatience. Dans cette ambiance de râles, de chocs de peaux et de chair en surchauffe qui régnait sur la natte, les mots doux entre Corinne et Boubacar devinrent des mots crus, notamment de Corinne qui, après s'être exprimée sur la "bite" de son partenaire dont elle vanta la raideur et la longueur, joignit le geste à la parole en gobant le gland avec volupté. Après l'avoir bien humidifié, elle lui imposa de la prendre par derrière, face au miroir. Elle voulait mater son torse sculptural pendant qu'il la possédait et ainsi savourer l'hommage rendu à la quinquagénaire qu'elle était par un corps masculin digne d'un magazine sur papier glacé. Et de fait, elle entra dans une longue jouissance provoquée non seulement par la vigueur de la bite qui la fouillait profondément mais aussi par la vision via le miroir du mâle musculeux en train de la percuter sans aménité, les mains crispées sur ses hanches et le visage concentré sur son oeuvre, à savoir satisfaire celle qu'il considérait comme la plus belle femme de la soirée. Loin d'être passive, Corinne ondulait de la croupe, venait chercher la bite et interpellait son baiseur en le sommant de conserver un rythme soutenu tout en captant son regard et son torse splendide via le miroir, lequel lui renvoyait en même temps son visage de femelle en chaleur, rayonnant et exigeant à la fois.

Tout à côté, Viviane ne perdait pas une miette de cet accouplement intense qu'elle regardait en se masturbant, réveillant un désir dont elle savait qu'il lui faudrait l'assouvir sous peu avec la première bite qui passerait à sa portée. En attendant, obéissant à une inspiration subite, elle s'allongea dans le prolongement du couple et glissa son visage entre les genoux de Boubacar afin de lui gober les couilles. Surpris mais nullement réfractaire, l'homme la laissa opérer mais cette succion habile eut pour effet immédiat d'accélérer le rythme de ses coups de boutoir. Corinne ouvrit grand la bouche pour laisser fuser une série de cris qui s'ajoutèrent à ceux déjà très présents sur la natte au point de provoquer un petit vacarme stimulant pour les sens des différents protagonistes. Incapable de résister à la langue de Viviane et déjà bien échauffé par le tourniquet de la croupe de Corinne, Boubacar éjacula dans un gémissement après avoir atteint sa partenaire si profondément que celle-ci le rejoignit dans l'orgasme. Elle bascula sur le côté, haletante, comblée, pour découvrir Viviane toujours le museau entre les cuisses de Boubacar, lequel s'en dégagea pour l'embrasser sur la bouche en signe de reconnaissance.

Viviane n'eut pas à chercher longtemps un serviteur pour assouvir ses derniers désirs. L'un des rares encore vaillants sur la natte, un jeune gaillard mince comme un fil, avait été émoustillé par cette plantureuse cochonne à la langue experte. Il la prit par les chevilles, les écarta et s'enfonça entre ses cuisses dodues sans même s'être présenté. Surprise mais intéressée, la quinquagénaire marqua aussitôt son accord en lui talonnant les reins et bientôt en lui griffant les fesses, allant même jusqu'à insinuer un doigt dans son anus, histoire de lui montrer qui menait la danse tant et si bien qu'après une rafale de coups de bite, le jeune homme gicla dans sa capote surmenée, offrant à Viviane une dernière salve de plaisir au moment où la plupart des femmes présentes récupéraient leurs vêtements et quittaient les lieux. Ce que les deux amies finirent par faire elles aussi alors qu'il était cinq heures du matin.

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Dans la voiture conduite par Corinne qui les ramenait à leur domicile respectif, les deux amies commentèrent avec force détails leurs ébats récents :
- Je ne m'attendais pas à ça, je croyais juste que c'était une soirée festive, je suis lessivée, commença la conductrice.
- Et moi donc ! C'est plus de notre âge, des trucs pareil.
- Parle pour toi. J'ai très bien tenu le choc.
- Hypocrite. Avec tous les mecs que tu t'es tapée, je suis sûre que tu vas marcher en canard demain.
Viviane n'avait pas tort. Lorsqu'elle rentra chez elle, la première chose que fit Corinne fut de prendre une douche et d'avaler un anti douleur. Le bâton de berger mettrait un certain temps à faire oublier son passage. Néanmoins, cette contrariété, du reste relative car très inférieure au plaisir qu'elle avait pris, ne fut que peu de poids face à la scène que lui infligea Christophe le lendemain au saut du lit après que sa femme se fut levée en début d'après-midi. Son mari ne comprenait pas pourquoi une soirée destinée à la danse se fut terminée aussi tard. Corinne biaisa, atermoya, justifia par la nécessité d'attendre Viviane (c'était un peu gros) et s'en sortit par un gros baiser sur la bouche. C'est alors que Christophe voulut la culbuter pour lui faire savoir qui était le mâle dans la maison. Corinne pouvait difficilement lui refuser cette privauté conjugale mais ses chairs meurtries criaient grâce. Alors, elle eut cette inspiration au moment où Christophe, après avoir libéré son dard, la débarrassait de sa mince chemise de nuit et la bloquait sur la table de la cuisine pour la prendre en levrette :
- S'il te plait, encule-moi, j'ai envie de te prendre dans mon cul.
C'était le privilège de Christophe, ce qu'il ne savait pas, mais stimulait toujours sa libido. Et c'est ainsi que Corinne passa une nouvelle fois en quelques heures à la casserole, sans dommage pour son déduit mais à la satisfaction totale de son époux, comblé par cette disponibilité tant il aimait les fesses de sa femme.