La Belle Saison 8/8
Après ma sortie avec Jackie, je passe deux jours sans vraiment faire autre chose que la croiser, car nos horaires sont assez décalés. Je consacre un peu de temps à Joelle pour qui les massages se terminent inévitablement par des galipettes. Je passe ensuite quelques soirées avec jackie. Restaurant, ciné, et parfois discothèque. Quand nous rentrons tard je dors chez elle, et nous nous livrons à quelques caresses buccales, mais elle ne veut toujours pas faire lamour. Elle mexplique quelle vit seule depuis quelques mois et ne prend plus de contraception. Elle ne veut pas risquer de se retrouver enceinte.
Un soir, alors que nous sommes allongés dans son lit, échangeant quelques idées, elle me dit :
« Tu sais ma collègue comptable ? »
je vois très bien une blonde mignonette avec une silhouette a damner un saint.
« hmm, je vois oui. Et alors. »
« Elle ma raconté que son copain a voulu la prendre par derrière. »
« et ? »
« alors ils lont fait. »
« Et elle a aimé ? »
« Apparemment, mais elle ma dit quelle avait mal au cul, et avait du mal à sasseoir aujourdhui. »
« Et tu voudrais essayer ? »
« Je me suis dit que, si tu en avais envie
on ne risque pas de faire de bébé ainsi. »
Ce disant elle est venue caler ses fesses contre ma virilité qui nen demandait pas tant.
Jenvoie ma main et trouve sa chatte bien lubrifiée.Je la retourne à quatre pattes et vient derrière elle. Elle pousse son cul contre moi. Après quelques tatonnements je mintroduis dans sa chatte inondée et fais quelques va-et vient.
« Non, pas comme ça » implore telle
« Je prépare la suite » dis-je en ressortant mon gland pour le présenter à son anus déjà un peu dilaté. Je pousse un peu. Elle avance et méchappe, avant de revenir vers moi.
« Détends toi. » lui dis-je « je vais faire doucement. En même temps je pousse un peu sur sa rondelle qui se dilate petit à petit.
Jackie gémit sous la douleur mais ne se dérobe pas.
« Ah, aie ! ça fait mal !. »
« Tu veux que jarrête ? Le plus dur est fait, tu sais. »
« Vas-y, continue » souffle telle
Ma progression est maintenant un peu plus facile, et en quelques poussées je viens mabuter à elle. Je reste quelques instants sans bouger, puis je mincline sur son dos et passe ma main par devant pour venir caresser sa chatte. Je la trouve juste un peu humide mais elle est réceptive à mes doigts qui senfoncent en elle, à mes caresses sur son clito, et elle souvre rapidement . Une fois bien lubrifiée, elle commence à faire coulisser mes doigts dans son vagin. Le mouvement davant en arrière se communique à son popotin qui coulisse maintenant sur ma queue. Elle gémit encore mais narrête pas son mouvement.
Je profite de laubaine et amplifie le geste, ressortant presque de son cul avant de my replonger. Elle halète de plus en plus. Sa main a rejoint mes doigts et elle se titille le clito pendant que je la branle de trois doigts. Rapidement elle se met à couler sur ma main quelle écarte.
« Vas-y maintenant, plus fort ! » commande telle
Je lempoigne par les hanches et la ramone de plus en plus fort. Elle se met à brailler, mais ce nest plus de douleur. Mon pubis vient claquer en rythme sur ses fesses.
« Oh oui cest bon ! ah, plus fort ! mets la bien au fond ! »
Elle jouit bruyamment en remuant frénétiquement son cul. Je sens une lame memporter et je gicle avec de grands coups de reins dans son intestin.
Un moment après, alors que nous sommes allongés côte à côte, elle mavoue
« Je ne pensais pas prendre du plaisir mais tu mas bien enculée. Dommage que tu naies quune queue. »
« Tu veux dire quil faudrait quon soit deux ? »
« ca ne va pas non ? Jai accepté la sodomie pour te faire plaisir mais je ne suis pas une pouffe qui va baiser avec la terre entière ! »
« Qui te parle de la terre entière, cétait juste une question.
Comme Jackie ne prend pas de contraceptif, et que je naime que modérément les capotes, la sodomie devient vite lusage et son petit trou shabitue vite à être visité.
Nous passons ainsi une paire de semaines. Nos emplois du temps nous laissent peu de moments libres mais je les passe avec elle. Jai un peu oublié les autres filles qui considèrent peut-être que je suis casé.
Pour le 15 août, la direction de la station nayant rien prévu, je demande aux cuisines de préparer un menu amélioré. Après quelques répétitions, jai préparé avec mon collègue barman et guitariste un petit répertoire de chansons françaises. Jackie ma surpris car elle joue du violoncelle et vient sur certains morceaux apporter un complément non négligeable. La proximité de la forêt ne permet pas de tirer un feu dartifice mais jai prévu quelques feux de bengale pour encadre la terrasse et un punch maison.
Le soir venu, la salle de restaurant est comble. Les pensionnaires semblent apprécier ce repas de fête, et nous avons complété par des convives extérieurs qui se sont laissés tenter par le menu festif aux tonalités régionales au point que nous navons plus une table de libre.
La météo est avec nous. La soirée est chaude, et sans vent. Le buffet est déjà dressé à lextérieur. Les convives sont invités, à la fin de leur repas, à se transporter sur la terrasse.
Pendant que les serveuses finissent de débarrasser, je vérifie la sono, et me rends au vestiaire pour me changer.
Jackie my rejoint dans une robe longue, très classe tenue en haut par deux bretelles qui se prolongent en un décolleté vertigineux. Le bas de la robe st fendu très haut sur une jambe et la découvre jusquà laine à chaque pas. Je la complimente sur sa tenue. Elle me sourit et écarte le pan de sa robe dévoilant son sexe libre de tout vêtement
« Jai une surprise pour toi. » dit elle
« Effectivement, je vois.
« Non, une autre surprise. »
« Quoi donc ? »
« Tu verras. »
Et refermant sa robe sur ses trésors elle senfuit.
Je la rejoins au dehors. Elle est déjà en place ainsi que le guitariste. Jempoigne la deuxième guitare, et nous attaquons. Evidemment cest un peu amateur mais le punch joue son rôle et le public est enthousiaste. Les messieurs sont surtout attirés par la violoncelliste qui, assise , linstrument coincé entre ses genoux a une jambe entièrement découverte jusquà la taille, laissant deviner sa fesse et ne laissant aucune équivoque sur la présence dun sous-vêtement. Les titres senchainent et les gens tapent dans leurs mains. Notre répertoire est plutôt court et nous navons dautre choix pour répondre aux rappels que de reprendre des morceaux déjà joués. Finalement nous nous levons et nous inclinons pour signifier la fin de notre prestation, devant un auditoire conquis . Jackie séclipse en évitant plusieurs admirateurs, et je la suis, laissant le guitariste avec les gens qui discutent de musique. Je la rejoins dans larrière salle du restaurant maintenant déserte.
« Alors ? cest quoi la surprise ? »
Elle sapproche de moi et vient nouer ses bras autour de mon cou
« Ce soir, on va coucher ensemble. »
« Enfin jackie, ça fait un moment quon couche ensemble. »
« Oui mais ce soir, on va faire lamour »
« Hé là ! mais moi je ne veux pas ds !. »
« Moi non plus, jen ai déjà un. Cest pourquoi je prends la pillule. »
Je comprends soudain son cadeau. Elle sest décidée.
Je lembrasse aussitôt et mes mains parcourent son corps, dégageant ses seins que je triture avec passion.
« Jai dit ce soir. » précise telle
« On est ce soir, et je ne peux plus attendre »
Je dégage les bretelles et les baisse, le haut de la robe dévoile ses seins, puis elle glisse jusquau sol, laissant Jackie nue dans ses escarpins.
« Tu es fou ! » commence telle.
Je ne la laisse pas finir et lattire à moi, la baillonnant dun baiser.
Je nai quà appuyer un peu en avant et sa chatte souvre et engloutit mon chibre. Je menfonce avec bonheur dans ce fourreau bouillant. Jackie a relevé les jambes et entoure mes reins, ses talons venant griffer mon dos. Je me lance dans un coït effrené quelle accompagne dencouragements. La table grince et oscille sous mes coups de boutoir mais elle tient bon. Notre envie est si impérieuse que nous jouissons rapidement ensemble dans un râle de bonheur.. Je messuie et me rhabille avant de tendre sa robe à Jackie qui lenfile, et se rajuste, A part la coiffure un peu dérangée, rien ne semble sêtre passé
« C était un peu hatif, mais drôlement bon » me dit elle. »Je vais aller ranger mon violoncelle. »
Je sors derrière elle et nous croisons Flora et Nathalie. Flora me jette un sourire moqueur
« ça va chef ? pas trop crevé ? »
Je suis sur que ces petites coquines nous ont un peu espionné
15 jours plus tard, je suis en train de boucler mes valises. Je nen ai pas parlé à Jackie, mais jai eu une offre pour un poste intéressant. Jai dû négocier avec la direction de la station pour me libérer plus tôt. Ils nont pas été trop intransigeants car la station se vide peu à peu. Encore un mois et tous les clients seront partis. Nathalie est déjà repartie chez elle. Notre collègue Barman a été viré quelques jours après le 15 août. Il y avait trop de coulage dans les stocks dalcool. Jai repris son poste en plus du mien en attendant la fin de saison.
Chris sest installé chez Marie-Pierre en attendant des jours meilleurs : sa femme du genre jalouse, les a aperçus un soir dans un restaurant à Argelès. Le plus étonnant cest quelle semble men vouloir, alors que je ne lui ai jamais servi dalibi.
Cet après-midi,à la terrasse de notre QG, jai appris la nouvelle à Chris.
« On a quand même vécu une saison exceptionnelle. » conclut il après avoir évoqué nos fortunes féminines. « Tu as dit quoi à Jackie ? »
« Rien pour linstant, je ne sais pas quoi faire. Je laime bien, mais je ne ferais pas ma vie avec elle. De toute façon ça se serait arrêté un jour. Cest ce que je vais lui dire, je crois. »
« Elle va souffrir, tu sais. De toutes les nanas quon a connues ici, cest la plus fragile à cause de son passé. »
« Tu ferais quoi alors ? »
« Je lignore. Jétais déjà sur le cul quand jai appris quelle couchait avec toi. Je mattendais à tout sauf ça. Elle a lair délurée comme ça, mais elle vivait comme une nonne avant toi. »
« ça ne maide pas beaucoup. »
« Elle va souffrir de toute façon. Alors, ne dis rien. »
« Et ? »
« Je la connais depuis longtemps. Jessaierais de la consoler. »
Cest décidé, demain matin je pars. Mes affaires son en ordre, et mes bagages dans le coffre de ma Chrysler. Je passe une soirée sans histoire au restaurant. Jackie nest pas libre ce soir. Elle a son fils.
Le lendemain matin jai déposé ma clé et je suis sur le point de monter en voiture quand je vois Joelle débarquer, trainant une lourde valise, vétue dune courte jupe noire évasée dont le bas révèle au travers de la dentelle, la dernière partie encore couverte de ses cuisses halées. Un débardeur jaune très échancré dévoile ses seins, libres de tout soutif, plus quil ne les cache. Ses nus-pieds, à semelle de corde aux talons démesurés ne facilitent, certes pas , sa progression, bagage à la main, mais ils contribuent à affiner encore le galbe parfait de ses jambes.
« A la réception, ils mont dit que tu partais. Tu peux me déposer à la gare ? »
« Bien sûr. Mais je ne passe pas par Perpignan. Je peux te laisser à Prades. »
« Super, jai mon billet au départ de Prades »
Je mempare de sa valise, et la dépose dans mon coffre, heureusement, peu encombré, pendant quelle sinstalle sur le siège avant.
Nous traversons la petite station encore endormie, et jattaque la route en lacets, pour les quelques kilomètres menant à la prochaine ville.
Joelle sest installée confortablement et sa jupe qui a remonté dun cran laisse voir une fine culotte de dentelle noire sans quelle sen soucie.
Après quelques kilomêtres, elle me demande de trouver un endroit pour sarrêter pour satisfaire une envie pressante. Je ralentis, et trouve un chemin senfonçant dans la forêt, dans lequel je mengage, avant de stopper. Je sors du véhicule et allume une cigarette tandis quelle séloigne pour aller se cacher dans le sous bois.
Mais voilà quelle sarrête au milieu du chemin, se retourne, et, glisse les doigts sous sa jupe et fait descendre sa culotte et lenlève avant de saccroupir face à moi, genoux écartés.
Elle me fixe du regard, et un jet clair jaillit de sa chatte imberbe.
Sa miction terminée, elle se relève et sessuie lentrejambe avec sa culotte avant de se relever et de marcher vers moi.
Troublé par ce spectacle, jécrase ma cigarette avec précaution (les incendies sont nombreux dans cette région), et la laisse sapprocher avant de la saisir par la taille.pour lembrasser. Elle me rend mon baiser, et va ouvrir le coffre pour farfouiller dans sa valise doù elle sort un string noir propre, en échange de lautre. Puis elle referme la malle et , au lieu de rejoindre sa place, se dirige vers moi.
« Je ne vais pas remettre une culotte tout de suite si ce nest pas utile » me murmure telle avec un sourire enjoleur.
Je la serre contre moi et lembrasse de nouveau. Mes mains caressent son dos, et remontent son débardeur qui finit sur le capot de la voiture. Je malaxe ses seins dont les tétons pointent déjà durement. De son côté, elle passe ses mains sous mon polo et me caresse le dos, avant de revenir vers lavant et de glisser une main dans mon jean, à la recherche de mon érection naissante. Il ne lui faut quun instant pour déboutonner mon pantalon, et en extraire ma verge qui se dresse fièrement à lair libre. Nous nous caressons mutuellement quelques minutes, nos langues profitant de nos peaux dans cette étreinte qui, nous en avons conscience sera la dernière.
Elle sagenouille devant moi, et caresse mes bourses. Elle sourit en face de ma verge maintenant bandée au maximum
« Elle a envie, on dirait. Je vais lui laisser un bon souvenir. » dit elle avant de lemboucher. Sans plus attendre elle enfonce mon sexe au plus profond de sa gorge, jusquà ce que je sente son nez sur mon pubis, et entreprend un mouvement de succion, tantôt aspirant et resserrant ses joues autour de moi, tantôt les relachant, sa langue senroulant autour de mon axe dans une furieuse sarabande. Ses lèvres serrées sur ma hampe coulissent et laissent échapper mon gland, sur lequel je sens lair encore frais du matin. Sa main serre la base de mon sexe et descend sur mes boules quelle serre. Je sens le chaud étui de sa bouche en aspirer une, puis lautre, les agaçant du bout de la langue. Pendnat que ses doigts titillent mon frein et le bout de mon gland. Elle remonte et saisissant mes fesses à pleine main, commence à pomper mon gland, ressortant à chaque fois, en me dévisageant par en dessous, accélérant la cadence de plus en plus.
Je sens mon plaisir monter.
Je voudrais quelle sarrête, mais elle accentue sa prise,et me pompe de plus belle. Un de ses doigts vient violet mon anus, et déclenche mon plaisir en spasmes quelle absorbe courageusement . Le sperme sécoule au commissures de ses lèvres, mais elle continue sa fellation, jusquà ce quelle me sente ramollir dans sa bouche.
Elle crache par terre lexcédent, et me reprend en bouche jusquà ce que je sois parfaitement nettoyé.
Elle se relève, lair satisfaite delle même, mais moi je ne le suis pas.
Sans attendre, je la saisis par la taille et lassois dautorité sur le capot de ma voiture. Je tête avidement ses seins, et je la sens réagir, mais je contine et la pousse en arrière, lallongeant sur le capot, les jambes pendantes. Je nai quà repousser la dentelle de sa jupe pour découvrir son intimité sur laquelle je me jette gouloument. Je cherche son clito que je débusque aisément et commence à le suçote, le faisant grossir. La belle passe ses jambes sur mes épaules pour me signifier son assentiment. Je lape longuement la mouille qui suinte de sa fleur de corail qui souvre, comme un hibiscus à la rosée. Rapidement elle se met à geindre et cambre les reins, décollant ses fesses du métal, pour venir à la rencontre de ma caresse buccale. La mouille dégouline entre ses fesses . jintroduis deux doigts dans sa chatte et la fiste doucement. Cest chaud et humide et déjà bien ouvert. Mes doigts suivent la coulée de liqueur et arrivent sur sa rosace déjà humectée. Jy introduis un doigt sans rencontrer de résistance, puis un deuxième, qui provoque quelques plaintes, mais je sens, petit à petit, cette gaine là sélargir sous mes doigts.
Son plaisir montant a dopé mon désir et jai de nouveau une bonne érection.
Sans attendre, je la fais glisser au bord du capot, et tenant ses jambes, je menfonce en elle dun trait. Cramponné à ses cuisses ouvertes, je la besogne vigoureusement, mais la position nest pas idéale.
A sa demande, je me retire et la laisse se relever. Nue sur ses très hautes chaussures, elle saccoude au capot, et cambre les reins, jambes légèrement écartées. La hauteur de ses talon fait que je suis parfaitement à la bonne hauteur, et , je viens lembrocher avant de la limer longuement, attentif à ses encouragements
« Là, cest bon, vas y, bien au fond. Hummm, cest bon là, un peu plus vite. Ah, ah ah, ah,
cest çà ! encore ! encore ! Je la sens bien tout au fond. Pince mes seins !
Elle prend son pied tandis que moi, ayant déjà joui une fois, jai gagné en endurance.
Ses cris augmentent en intensité au fur et à mesure, et nont plus rien de retenu.
« Ah oui, cest bon ! cest bon de baiser dans les bois ! dans la nature qui nous écoute ! ah, je jouis ! ahhhhhhh !. »
Elle se relache dun coup, et pose son front sur le capot métallique, entre ses coudes.
« Cétait bon. Tu es encore bien raide. Tu vas pouvoir menculer maintenant, je le veux. »
Sans mot dire, je sors de sa vulve et présente mon sexe contre son anus.
Elle tend les bras en arrière et vient écarter ses fesses.
« Maintenant, vas y ! »
Je pousse et entre le début du gland dans son anneau froncé qui se détend progressivement.
« Jai un train à prendre, vas y tout de suite ! »
Je le saisis aux hanches et menfonce dun trait dans son cul, provoquant un hurlement de douleur.
« Aiiie ! salaud, tu mas bien défoncée ! jai mal ! »
« tu veux que
»
« Continue, ça fait mal mais ça va passer. »
je commence alors à la bourrer avec force, sans me préoccuper de ses cris de douleur, ma queue bien serrée dans son étroit conduit
Peu a peu ses cris se transforment, Je sens que je passe plus librement dans son intestin qui se détend. La douleur semble faire place, peu à peu à du plaisir, ce qui me galvanise.
Bien campé sur mes jambes, joscille derrière Joelle comme un métronome et mon pubis claque avec régularité contre ses fesses qui viennent maintenant au devant de moi. Je glisse deux doigts dans sa chatte et je la sens qui dégouline.
Elle scande maintenant les allées et venues par des onomatopées rauques
« Ah, ah, oui, jai le cul en feu,argh ! argh ! »
Dun coup elle savance et méjecte. Sa main saisi ma queue et la plante dans sa chatte que je bourrine de plus en plus fort, tandis que des secousses de plus en plus violentes secouent son bassin. Elle finit par jouir dans une longue plainte. Figée, extatique pendnat que je continue à la limer.au bord de lexplosion.
Elle se retourne en méchappant, et se penche pour me prendre de nouveau en bouche pour une fellation aussi énergique quefficace qui me conduit très vite à asperger sa bouche et ses seins. Elle me lèche avec un air gourmand et un sourire radieux éclaire son visage quand elle se relève.
« Je crois quon la bien fait » conclut elle
Je récupère une serviette dans mon sac et lui tend pour quelle sessuie.
« Il va falloir y aller » me dit elle en se rhabillant « sinon je vais rater mon train. »
Quelques minute plus tard, je laccompagne sur le quai de la gare, laide à monter sa valise dans le train, et, après un rapide baiser, elle sen va. Elle réapparait quelques instants plus tard, à la fenêtre dun compartiment. Il y a déjà un type assis, qui se lève pour laider à mettre son bagage dans le filet, avant de se rasseoir, non sans lorgner sur sa courte jupette et ses seins toujours pointés. Elle me fait signe et le train séloigne. Je suis un peu jaloux de ce type.
Je rejoins ma voiture, et, au moment de démarrer, aperçois un objet de tissu qui traine négligemment sur le siège passager.
« Joelle a encore oublié sa culotte dans ma voiture ! »
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