Premier Partage De Sperme (En Couple)

-Dis-moi mon cœur, tu as déjà goûté ton sperme ?
Nous étions tous les deux allongés sur le canapé lorsque Candice me posa cette question aussi directe qu'inattendue... Elle avait le don pour ça, me parler brutalement de choses très crues, comme ça, sans crier gare. Juste histoire de me foutre une gaule immense et incontrôlable. Lorsque ça arrivait, comme ce jour-là, nous savions tous les deux que ses arrières-pensées coquines allaient se concrétiser de façon imminente.
A peine avait-elle fini de poser sa question que je savais que j'allais y passer... J'avais compris à travers sa question où elle voulait en venir. Et lorsque ma petite Candice a une idée derrière la tête, elle arrive toujours à ses fins. Une violente excitation m'envahit, et je fus pris d'une énorme érection qu'elle fit mine de ne pas remarquer. Elle savait comment m'exciter, me contrôler, et me dominer... Et nous aimions tous les deux ça.
Je déglutis lentement (ce qui préfigurait ce qui allait arriver) avant de répondre, d'une voix un peu rauque.
-Ça m'est déjà arrivé ouais, avouais-je, quand j'étais ado.
J'essayais d'avoir l'air détaché afin de ne pas donner trop d'importance à ce petit secret honteux. Mais c'était foutu.
-C'est vrai ? Raconte ! Je veux tous les détails !
Elle se redressa et se mit à califourchon sur moi, les yeux pétillants. Je décelais dans son regard une petite lueur perverse.
-Euh... Disons que je l'ai fait une fois, juste comme ça quoi, pour goûter. Je m'étais masturbé, comme tous les ados de mon âge, et... Et j'avais fini dans ma main...
-Et ?
-Je sais pas pourquoi, mais j'ai eu envie de goûter, pour savoir... J'étais jeune et con, à cet âge-là tu sais, on est curieux de tout... Du coup, j'ai léché un de mes doigts. Un petit coup de langue, rapide. C'était... Surprenant. Un drôle de goût, pas déplaisant... Mais je n'en avais pas goûté beaucoup, juste une petite goutte.
-T'as aimé ?
-Euh, je sais pas trop.

Comme je te l'ai dit, c'était juste une petite bouchée.
-Tu l'as refait ?
-Non. Je veux dire, ça m'est arrivé de penser à le refaire... Mais une fois que c'était sorti, tu sais, c'était fini, l'excitation retombait.
Je savais exactement comment cette discussion allait finir. Je le lisais dans les yeux de Candice.
-Et tu l'as jamais fait avec quelqu'un ?
-Comment ça ?
Je faisais semblant de ne pas comprendre, mais Candice insista.
-Tu sais bien, gros bêta... D'embrasser après une pipe, murmura-t-elle. D'avoir ton propre sperme dans ta bouche.
Ces mots furent violents. Je bandais instantanément un peu plus. Elle ne pouvait maintenant pas ne pas avoir remarqué la bosse qui déformait davantage mon jean. Elle me tenait. Elle avait la ferme intention de me toucher dans mon orgueil, de me rabaisser dans ma stupide fierté de mâle en me faisant goûter mon propre foutre. J'hallucinais. Non pas parce j'avais compris qu'elle allait y arriver, et elle le savait aussi, mais parce que j'en avais soudain très envie.
-Euh, non...
-Tu aimerais essayer ?
Elle baissa légèrement la tête, le regard braqué sur moi. Je ne pouvais pas mentir, j'en étais incapable. J'appréhendais en même temps que je désirais ce qu'elle allait me faire subir.
-Je ne sais pas... Peut-être...
J'avais dit ça dans un souffle qui ne pouvait la tromper.
-Peut-être ?
Je restais silencieux.
-Je suis sûre que oui.
Son ton était plus ferme, presque autoritaire. Elle rentrait frontalement dans ce jeu qui nous excitait tant. Elle pouvait faire de moi ce qu'elle voulait. Elle posa une main sur mon épaule, et tout en me regardant, les yeux légèrement plissés, comme une chatte, son autre main descendit le long de mon torse et de mon ventre. Elle s'arrêta au niveau de mon entrejambe. Posa doucement sa paume sur la bosse de mon pantalon. Elle caressa lentement mon sexe, comme on caresse un chien.
-Je le savais. Tu bandes comme un âne depuis tout à l'heure. Tu crois que j'avais pas remarqué ? Ça t'excites de parler de ça, hein mon cochon ?
Le changement de ton était brutal. Ma bouche tremblait. J’acquiesçai de la tête, totalement obnubilé par son regard de chienne. C'était fou. Comme d'habitude, Candice avait le chic pour faire monter la température en quelques instants. Une vraie déesse du sexe qui savait comment me manipuler et me rendre fou par quelques mots. Il avait suffi de quelques paroles, d'un regard de braise, d'un secret inavouable que j'avais confessé. Putain, quel con... Maintenant que je lui avais avoué ça, elle allait en profiter. Elle allait me gaver de foutre quand elle en aurait envie. Ma gorge était sèche, mais je savais qu'elle serait bientôt imbibée de sperme... Une peur et une excitation s'emparaient physiquement de moi. Je sentais un creux dans mon ventre, qui serait bientôt comblé de ce liquide blanc et épais.
Candice me caressa le visage.
-Tu sais mon cœur, je crois bien que tu vas y passer.
-Qu... Quoi donc ? arrivai-je à articuler.
Elle posa un index sur la bouche, leva les yeux au ciel, jouant à l'indécise, faisant mine de chercher ses mots.
-Comment le dire clairement... ? Eh bien... Goûter à ta semence... Avaler ton propre foutre... Moi je le connais déjà. Tu sais, il n'y a pas de raison pour qu'il n'y ait que moi qui me régale lorsque tu éjacules dans ma bouche.
C'en était trop. J'allais exploser. Je sentais mon sexe qui se dressait, presque douloureusement.
-Fais-le alors, dis-je dans un souffle.
Candice sourit.
-Quoi bébé ? Je n'ai pas bien entendu...
Je déglutis avant de répondre, d'une voix toujours douce, mais plus ferme.
-Fais-le...
-Faire quoi mon cœur ? Dis-le. Dis-le à voix haute, et je le ferais.
Quelle chienne. Quelle perverse. Elle me forçait à dire des choses sacrément honteuses pour un mec. Elle prenait du plaisir à m'humilier. Je me redressai vers elle, avec un regard que je savais implorant.
-Fais-moi... Fais-moi goûter mon sperme.
Les dés étaient joués. Candice avait gagné. Elle me fixa quelques secondes, en silence. Des secondes interminables. Ma respiration était déjà haletante.
Puis avec la rapidité d'une vipère, elle dégrafa ma braguette, baissa la tête vers mon sexe. Elle caressa ma bite à travers le tissu, massa mes couilles. Tout en se mettant à genoux, aux pieds du canapé, elle lécha mon boxer, renifla mon sexe. Puis elle le sortit et le prit en bouche.
Quelle pipe d'enfer... Candice me suçait avec avidité. Ses lèvres entouraient ma bite, sa langue joua avec mon gland. Ses va-et-vient étaient vigoureux.
-Oh oui bébé... Vas-y, suce-moi comme jamais... Putain...
Je reprenais momentanément le dessus sur elle. Je posai mes mains sur sa tête, caressant ses cheveux. J'enfonçais sa tête plus profondément. Elle leva les yeux vers moi. Je savais qu'elle prenait elle aussi son pied, se sentant soumise, totalement dominée, le temps d'un instant. Mais les rôles allaient s'inverser à la fin...
Au bout d'un moment terriblement bon, elle releva la tête quelques instants pour reprendre son souffle. Ses joues étaient luisantes, un peu de bave coulait sur son menton. Elle me branla avec vigueur. Je gémissais de plaisir.
-T'aimes ça quand je te branle, hein enfoiré ? T'es vraiment qu'un petit salaud...
Ses mots crus, dans sa petite bouche de chienne, ça me rendait toujours fou. Elle replongea sur ma bite, s'étouffant presque. Putain, elle savait vraiment y faire...
Elle se redressa soudain, posa sa main sur ma poitrine.
-Attends.
Je me laissai faire. Elle vint s'asseoir à côté de moi sur le canapé.
-Tu vas me goûter un peu.
Puis, en quelques gestes, elle retira sa petite culotte, noire et rose, la porta à son visage, renifla un bon coup, ne me quittant pas du regard.
-Tiens mon cœur, c'est pour toi.
Elle mit sa petite culotte sous mon nez. J'aperçus brièvement le fond noir du sous-vêtement, luisant... Ses effluves piquantes envahirent aussitôt mes narines. Je me shootais avec cette odeur d'excitation féminine. Une odeur brute et exquise à la fois.
Elle fourra ensuite sa petite culotte dans ma bouche. Elle était entièrement trempée. Candice devait mouiller depuis un bon moment. Sa main se plaqua sur ma bouche, m'empêchant de recracher sa culotte remplie de mouille, mais me permettant de la savourer comme un salaud. Le goût de sa chatte était divin, sucré... Je fermais les yeux, au bord de l'extase.
De son autre main, Candice recommença à me branler. J'étais totalement à sa merci. Elle approcha son visage de chienne perverse pour me chuchoter dans l'oreille.
-Je vais te sucer encore un peu.... Je veux que tu jouisses dans ma bouche et que tu la remplisses de foutre. Quand tu auras fini, je vais tout recracher dans ta bouche, pour que tu dégustes ton propre sperme.
Les yeux ouverts, je hochais la tête. Je ne pouvais rien faire de plus tandis qu'elle me branlait de plus en plus fort. Elle enleva soudain sa main de ma bouche. Je recrachais sa petite culotte toute remplie de sa mouille, qui tomba sur ma poitrine. Candice s'agenouilla de nouveau, et entreprit de me lécher les boules.
-Je sens que tes bourses sont pleines... Il va falloir les vider...
Elle goba entièrement mes couilles, me les mangea pendant un bon moment ; Elle savait que ça me rendait dingue. Puis, soudain, elle leva son visage et empoigna violemment mes testicules.
-Tu vas me vider tout ça, petit salaud.
Elle eut un petit rire de garce.
-On peut dire que je te tiens par les couilles là, pas vrai mon cochon ?
Les mains serrées autour de mes boules, elle se remit à me sucer encore. Une fellation d'enfer. Je sentais la fin approcher. J'en avais peur, j'en avais honte par avance, car cette salope allait vraiment me faire goûter mon jus et me le faire avaler. Elle releva la tête un bref instant, me fixa intensément, pour achever de me dominer mentalement.
-Quand tu auras la bouche bien remplie de ta semence, je veux que tu avales tout. Je veux que tu boives ton foutre mon cœur...
Elle vit à mes mains soudain crispées et à mon regard que j'allais exploser. Elle reprit aussitôt mon sexe en bouche, au moment même où j'éjaculais.
Je n'avais jamais giclé autant de sperme. La quantité était impressionnante. Je me vidais littéralement dans la bouche de Candice. La bouche bien remplie, elle releva la tête, et quelques derniers jets de sperme finirent de maquiller son visage de petite cochonne... Elle avait les joues gonflées, du foutre maculait ses lèvres et dégoulinait sur son menton, s'écoulant et tâchant sur son petit haut. Putain, quelle image délicieuse... J'étais secoué de spasmes. L'orgasme avait été très puissant. Mais la séance n'était pas finie.
Candice se remit à califourchon sur moi. L'odeur forte de sperme me monta directement au nez. Candice me saisit par le menton, me releva la tête. Quelques uns de ses doigts ouvrirent ma bouche. Je sortis instinctivement la langue. La tête penchée au dessus-de moi, elle visait ma bouche. Elle s'approcha lentement. Quelques gouttes dégoulinantes de son menton atterrirent sur ma langue. Elle, dominante et perverse, au dessus de moi, totalement soumis, et sur le point d'avaler une grosse dose de ma propre semence. Le moment à la fois redouté et attendu arriva.
Candice me fit un clin d’œil, et ouvrit enfin la bouche. Une énorme quantité de foutre mêlé de salive se déversa dans ma bouche. Elle me maintenait la tête pour que je n'en rate pas une goutte. J'allais tout boire, absolument tout, et je le savais. Et, honteux, j'en avais envie.
Le goût était fort, puissant, salé. Ça me dégoûtait autant que ça m'excitait. Une fois tout le sperme déversé dans ma bouche, Candice laissa échapper un petit « ah » de surprise, ravie de me voir dans cette position, complètement à sa merci.
-Maintenant bébé, fermes la bouche.
Je m'exécutai. Un peu de sperme coula de mes lèvres. Candice, qui ne me quittait toujours pas des yeux, passa un doigt sur mes lèvres, faisant rentrer les quelques gouttes dans ma bouche.
-Tu sais ce qu'il te reste à faire. Avales. Avales ton sperme. Bois tout, mon cœur.
Je déglutis deux fois. Putain, j'y étais. Elle avait réussi. J'avalais ma semence, en regardant Candice droit dans les yeux. Le liquide était épais, gluant, chaud. Je le sentis descendre dans mon gosier. Il restait un peu de sperme au fond de mon palais et sur mes dents. Je passais la langue partout, récoltant les dernières gouttes de foutre pour bien tout avaler. Une fois tout ce nectar consommé, j'ouvris la bouche pour prouver à cette chienne que j'avais bien obéi.
-Tu as tout avalé mon cochon ? C'est bien mon cœur... Il en fallait du courage pour avaler tout ce foutre...
Elle baissa les yeux, posa sa main sur mon ventre, le caressant.
-T'imagines, tout ce sperme dans ton estomac... Je suis vraiment fière de toi.
D'un petit saut, elle se leva. Sa jupe laissa apparaître furtivement sa chatte luisante. Putain, elle était divine, avec son petit air narquois et son visage maculé de sperme.
-Reprends tes esprits mon cœur. Je vais aller nettoyer tout ça (elle montra le sperme qui coulait de son menton), et prendre une petite douche. Tu me rejoindras quant tu te seras remis ?
-Oui...
Ma voix était si faible. Je n'avais plus aucune force. Allongé K.O. sur le canapé, puant le sperme, du foutre coulait aussi de mon menton et tâchait mon tee-shirt... J'étais vidé. Candice se pencha pour me faire un baiser langoureux. Nos bouches et nos langues échangeaient les derniers fluides, sperme, salive et amour.
-Je t'aime, parvins-je à articuler lorsqu'elle se releva.
-Je t'aime aussi... Mon cochon tout couvert de sperme.
Elle s'apprêtait à filer dans la salle de bains lorsqu'elle se retourna une dernière fois, une lueur malicieuse dans son regard.
-Tu sais mon cœur... Je pense que je vais profiter de ton petit secret. J'aime bien l'idée de te nourrir avec ton sperme. Mais la prochaine fois, je veux que tu jouisses en moi. Et après, tu nettoieras ma petite chatte toute souillée de foutre avec ta langue.
Elle me sourit, me décocha un nouveau clin d’œil qui m'acheva. Je n'avais pas fini de passer à table...