Les Vacances 10: Première Plongé Dans La Piscine Et Laurent

Je viens de me faire sodomiser sous la douche par Laurent, le mec de l’office du tourisme qui m’avait indiqué les plages naturistes. Maintenant il me pousse dans mon fauteuil roulant en plastique de salle de bain. Il m’installe autour de la piscine et va chercher de quoi protéger mon pansement.

Pendant qu’il me plastifie la jambe droite, on sonne à la porte, je me dégage pour aller ouvrir. Je réalise que je suis nu sur mon fauteuil juste à temps, je crie vers la porte:
« Un instant! »
Et je demande à Laurent d’aller me chercher un drap, à la place il enfile son pantalon et va ouvrir pendant que je roule jusqu’à ma chambre. Pendant que j’essaye d’enfiler un caleçon j’entends discuter jovialement. Je prends mon drap qui sent encore le sexe et je me couvre les jambes.

Quand je retourne dans le salon, j’entends la porte d’entrée claquer. Je vais vers Laurent et lui demande qui c’était, il me répond:
« Delphine »
Merde d’où il l’a connait??? Trop curieux je lui pose la question, en roulant vers le jardin il m’explique que c’est son ex qui l’a formée au métier. Mon air interrogateur le fait continuer:
« Je t’ai parlé de mon ex l’infirmier! Je suis toujours en contact avec lui, on se voit régulièrement. Plusieurs fois quand je suis allé déjeuner avec lui j’ai rencontré Delphine. Du coup je lui ai expliqué que je m’occupais de toi et qu’elle pouvait repartir »
Il conclut par un clin d’oeil.

Ensuite il m’abandonne pour aller examiner la descente de la piscine, il observe un peu de l’extérieur. Je l’observe ouvrir les boutons de son pantalon, son regard croise le mien. Il prend encore plus son temps pour dégrafer les deux derniers liens qui maintiennent son pantalon. Il glisse ses deux pouces dans son jean et joue un moment avec.

Il fait bouger sa queue en la faisant ressortir sous le tissu ce qui ne manque pas de m’exciter. Ensuite il baisse lentement son pantalon sous lequel il ne porte rien d’autre et me dévoila la base de sa queue.

Mais il le remonte et se retourne, Laurent remue un moment son cul et baisse légèrement son pantalon. Je découvre lentement la raie de son cul et en fin toutes ses fesses.

Laurent a une main devant et une autre derrière, il se cambre en avant et se met à se fesser. Il se retourne alors que sa main est posé sur son paquet qui déborde de ses doigts. Il se frotte la queue à travers son pantalon qui grossit et mon drap se soulève de plus en plus. Il met un moment à faire tomber son jean pour enfin me dévoiler sa nudité.

Une fois complètement nu, il s’astique la tige lentement, sa main descend sur ses couilles pour les serrer. Au bout d’un bon moment de ce petit jeu, il se retourne pour caresser ses fesses. Chacune de ses mains tourne lentement sur chacun de ses globes, mon drap se soulève encore plus. Ensuite il écarte ses fesses et se titiller la rondelle en me fixant du regard.

Rapidement son doigt s’enfonce dans ses entrailles sans aucun mal, je n’en peux plus je retire mon drap pour me branler. Son index fait des allers retours de plus en plus rapide dans son cul, je lâche ma queue et roule vers lui. Avec mes mains j’écarte bien ses fesses et dès que son doigt se retire je le remplace par ma langue. Je n’en reviens pas à quel point son cul est déjà bien ouvert, j’ai envie d’y rentrer ma bite.

Malheureusement il me laisse le lécher que quelques minutes et me dit:
« D’abord on a dit qu’on se faisait un bon bain! »
Il rentre dans l’eau comme si de rien était et descend la pente en se tenant à la rampe. Quand il arrive sur le premier palier il s’arrête et l’examine, l’eau s’arrête juste en dessous de fesses. Je repense à son petit trou bien ouvert et bande de plus belle.

Avant de descendre plus profondément dans l’eau, il s’agenouille jusqu’à ce que l’eau soit à la moitié de son torse. Un fois qu’il n’a plus que les épaules et au dessus de sec, il plonge, fait quelques brasses et reviens vers moi par les escaliers pour me dire:
« Il y a deux possibilités soit je te porte pour rentrer dans l’eau soit je descend avec le fauteuil par la pente »
Le choix est difficile parce que j’ai la possibilités de ne prendre aucun risque et d’être tranquillement assis ou alors de coller nos corps nus l’un contre l’autre.

Les étreintes j’en ai eu et j’espère que j’en aurai encore alors je choisis la sécurité. Il retourne mon fauteuil et me fait descendre en arrière pour le retenir en cas de problèmes. Nous arrivons sans soucis au premier palier, l’eau me recouvre jusqu’au dessus du ventre. Je reste à ce niveau à profiter d’être presque totalement immergé parce que si je descends plus bas je vais me retrouver la tête sous l’eau.

Laurent bloque mon siège et me demande s’il peut me laisser seul pour se baigner. Je lui dit qu’il n’y a pas de soucis et en plus pendant qu’il fait quelques longueurs en nageant la brasse je peux admirer son joli cul que j’ai adoré bouffer il y a quelques instants. Je ne pense plus qu’à ça, mon envie de le sodomiser ne fait qu’augmenter et ma queue gonfle.

Quand il arrête de nager, comme par hasard il se met à faire la planche et m’expose son sexe. Il ne se touche même pas mais sa bite grossit, je me dis que j’aimerai bien savoir à quoi il pense. J’ai envie de venir le rejoindre, j’att la rampe pour essayer de continuer à descendre en me tenant au rebord mais j’ai trop peur de me faire mal en sortant de mon siège.

Le mouvement de l’eau a dû l’alerter car il nage vers moi, quand il se met debout à ma hauteur j’ai son sexe en face des yeux. J’ai très envie de le caresser et même le sucer mais il se penche sur moi. Il place mes bras autour de son cou et les siens sous les miens en les serrant dans mon dos. Il me soulève et m’entraine vers les profondeurs de la piscine.

Je colle contre lui en faisant frotter ma bite contre la sienne, nous sommes tous les deux raides et nos sexes s’entrechoquent. Je pose mes lèvres sur les siennes, sa bouche s’ouvre et j’y rentre ma langue. Elles dansent ensemble alors qu’une de mes mains lui caresse la tête et l’autre se balade sur son dos.

Ses mains descendent jusque sous mes fesses et il me soulève en me serrant bien. Il avance et me plaque contre le rebord de la piscine, je pose mes bras dessus. Avec ma jambe valide j’entoure son corps alors que je maintiens l’autre droite. Laurent recule tout doucement et mon entrejambe remonte le long de son corps.

Dès que je commence à flotter, il se penche sur moi et se met à sucer mon gland. Il me soulève un peu plus pour m’enfoncer encore plus dans sa bouche. Ses lèvres coulissent le long de ma tige très lentement pendant que sa langue tournoie autour de ma bite. Ensuite il s’attarde sur mon gland qu’il titille d’abord avec le bout de la langue.

Il fait pression dessus avec sa lèvre, il augmente de plus en plus la pression. Il pose la paume de sa main sur mes couilles et glisse son majeur entre mes fesses. Quand il appuie sur ma rondelle je sens ma queue encore plus gonfler et ses lèvres se serrent plus fort autour de moi. Je crois que s’il continue comme ça je vais jouir dans sa bouche.

Mais depuis tout à l’heure j’ai envie de ses fesses alors je lui dit entre deux gémissements:
« Et si on sortait de l’eau, j’ai très envie de toi! »
Il continue de me sucer un moment puis remonte tout doucement ses lèvres le long de ma tige en les serrant de plus belles. Il s’arrête un moment sur mon frein avant de s’occuper de mon gland avec sa langue qui est devenue folle puis finit par m’abandonner.

Toujours nos corps l’un contre l’autre, il me ramène jusque sur mon fauteuil. Il me fait tourner lentement le fauteuil mais s’arrête à mi chemin et vient devant moi en me donnant le dos. Il écarte les jambes et recule jusqu’à ce que ses fesses que je convoite soit à quelques centimètre de moi. Il se penche en avant, pour bien se cambrer et prend appuie sur les accoudoirs de mon fauteuil.

Immédiatement je pose mes mains sur ses fesses pour les écarter et je plonge la langue la première sur son petit trou. Soit il est toujours ouvert depuis tout à l’heure soit il a le cul en permanence dilaté. Je fais directement rentrer ma langue dans ses entrailles. Alors que je la fais rentrer et sortir de plus en plus rapidement, Laurent gémit de plus en plus fort.

Maintenant que je fais tourner ma langue dans son cul je sens une de ses mains quitter mon fauteuil. Il la pose sur mon entrejambe et se met à m’astiquer lentement. Alors que j’accélère mes mouvements entre ses fesses sa main a de plus en plus de mal à s’occuper de moi alors il la pose sur mes couilles qu’il serre.

Au bout d’un moment je sors ma tête de son postérieur et lui redemande de rentrer dans la maison, j’ai trop envie de le baiser. Il se décolle de mon visage et avance les jambes bien ouvertes autour de mon fauteuil. Ensuite au lieu de me remonter hors de l’eau, il se place sur le côté et se met à tripoter mon fauteuil. Il retire l’accoudoir qu’il pose sur le rebord de la piscine et fais la même chose avec le deuxième.

Il me branle un peu pour bien faire durcir ma bite et se retourne pour s’assoir sur moi. J’écarte bien ses fesses et je pointe mon gland sur son petit trou, quand il me sent en position Laurent s’assoie tout doucement. Malgré l’eau je vois mon champignon disparaitre lentement entre ses fesses. Une fois qu’il est passé, Laurent ne s’arrête pas avant qu’il soit totalement assis sur moi et ma bite enfoncer dans ses entrailles.

Je pose mes mains sur ses fesses pour l’aider à se soulever, une fois que le replis de mon gland et contre son anneau je le relâche pour m’enfoncer en lui. Je recommence avec son aide en allant à chaque fois de plus en plus vite, l’eau s’agite autour de nous rapidement. Des fois ma queue sort de ses entrailles, je le soulève et écarte ses fesses pour admirer son trou bien ouvert avant de l’assoir à nouveau sur moi.

Au bout de quelques minutes Laurent s’assoit entièrement sur moi et fait bouger son cul pour me faire vibrer en lui. Je passe ma main devant lui et j’en profite pour le masturber tendrement. J’adore sentir ses veines contre mes doigts, ça me rappelle quand je les sentais dans mon cul. J’insiste bien sur son frein ce qui ne le fait plus gémir mais crier son plaisir. Mes doigts le serrent encore plus et son cul se serre autour de ma tige.

Dès qu’il se relâche il reprend ses vas et viens sur moi mais beaucoup plus sauvagement. En plus il contracte tous les quelques temps ses sphincters et je peux vous dire que de ce côté là il est aussi musclé. Le plaisir m’envahi de plus en plus, je le préviens mais il continue de s’agiter sur moi encore un bon moment avant de se lever pour me faire déculer.

Quand il se relève, il se dépêche de me pousser hors de l’eau et me porte pour m’allonger sur un transat. Il vient s’allonger sur moi en 69, pendant qu’il empoigne ma bite j’ouvre la bouche pour accueillir la sienne. Nous nous suçons violemment et mutuellement, je profite de sa position pour lui caresser les fesses et envahir avec mes doigts ses entrailles.

Je suis le premier à céder au plaisir, pendant que j’éjacule entre ses lèvres sa bouche s’agite de plus en plus sur moi. Il se met à m’aspirer pour tirer les dernières gouttes de mon jus ce qui me fait sursauter dans sa bouche. Une fois que j’ai repris mes esprits mes doigts récidivent vigoureusement dans son cul.

Il arrête de nettoyer ma queue alors que ma bouche s’acharne encore plus la sienne. Il gémit de plus en plus fort, il enfonce encore plus ma bite entre mes lèvres. Son gland tape ma glotte férocement, ses veines palpitent autour de mes lèvres. Il rentre dans ma gorge et se déverse en moins, je n’ai pas d’autres choix que de directement avaler.

Apres la troisième giclée son gland retourne dans ma bouche, je sers mes lèvres autour de son frein pour accueillir les trois suivantes en reprenant ma respiration. Comme il me la fait il y a quelques instants, j’aspire sa bite pour récupère les dernières gouttes. Pendant que j’avale son jus, Laurent continue à coulisser entre mes lèvres et ma langue s’agite encore sur lui.

Alors qu’il se soulève, je le compresse encore plus dans ma bouche et quand son gland se rapproche de mes lèvres je titille son méat du bout de la langue. Quand il me quitte j’appuies sur ses fesses pour l’embrasser une dernière fois avant de le laisser se lever. Il se retourne et vient s’allonger sur moi en faisant attention à ma jambe.

Nos lèvres s’agitent, nos bouches s’ouvrent pour accueillir la langue de l’autre et nos salives au gout de nos spermes se mélangent. Notre baiser devient tellement sauvage que nos corps rentrent dans la danse et nos bites, qui ramollisses, se cajolent l’une l’autre.

Au bout de quelques minutes il se relève et s’installe sur le transat à côté de moi. Nous nous prélassons entièrement nus au soleil depuis un moment quand tout d’un coup il interrompt le silence pour me dire:
« Marc m’avait prévenu que ton cul était accueillant mais je vais pouvoir lui parler de ta bite »
Je le regarde avec un air interrogateur et il m’explique que son ex est mon infirmier de l’hôpital, Marc, celui qui adorait prendre ma température.

Je suis assez halluciné à quel point le monde est petit, nous discutons un peu de lui. Après une bonne heure de bronzette, Laurent se lève et me dit qu’il serrait peut être temps de prendre une douche pour se rincer surtout qu’il va devoir me quitter dans pas longtemps.

Notre douche a duré une bonne heure, nous nous sommes sodomiser alternativement sous le jet de l’eau jusqu’à jouir dans le cul de l’autre. Ensuite nous nous sommes réellement laver. Laurent s’est vite rhabillé, il doit rentrer et en plus mon cousin ne va pas tarder à rentrer. Avant de partir il m’aide à enfiler un caleçon.

Quand je le ramène vers la porte, j’entends la voiture de mon cousin arriver. En entrant il demande à qui est la voiture, je lui présente Laurent et lui explique qu’il est venu me tenir compagnie mais qu’il allait partir. Ils se serrent la main et mon cousin après l’avoir regardé des pieds à la tête lui dit:
« J’espère que ce n’est pas moi qui te fais fuir! »
Laurent rigole et lui dit que non et part s’en même me dire au revoir.

Une fois la porte fermée Stéphane me demande si lui aussi je l’ai baisé en rigolant. Sans aucune gêne je lui répond que oui, il arrête de rigoler et après un moment d’hésitation il me demande:
« C’est lui qui te prend ou toi? »
« Les deux. »
Je n’obtiens aucune autre réponse qu’un « Ah! » et il file à la salle de bain et va se coucher sans en reparler. Je crois que le poisson est ferré!

Le lendemain en fin de matinée j’ai reçu un texto de Laurent qui me dit:
« On a encore parler de toi avec Marc et on s’est dit qu’un petit plan à trois serait sympa. »
Je lui réponds que ce serait avec plaisir mais qu’il faut que je trouve un moment où mon cousin n’est pas là. Il me répond qu’il viendra me chercher jeudi prochain si je me sens bien. Décidément je suis de plus en plus content d’avoir eu cet accident…