Les Aventures De David 18
LES AVENTURES DE DAVID 18
Ep 18 : PANIQUE AU MUSEE
Dans le quartier il y avait de l'animation, dans la ville pas vraiment mais dans le quartier ou habitait David
Oui ! Le stationnement était interdit dans la rue et on avait prié la magnifique voiture de David d'aller voir à se garer ailleurs ou de ne plus sortir du garage pendant les opérations
Elle avait obtempéré et se garait un pâté de maison plus loin dans la journée
Après de nombreuses discussions il avait finalement été décidé que les voitures qui étaient dans le garage se rendraient au musée par leurs propres moyens
Elles étaient toutes en état de rouler. La route serait sous haute surveillance, des agents assureraient la circulation pour éliminer tout risque d'accident. Les voitures étaient déplacées par groupes de cinq à la fois
Compte tenu de leurs valeurs il n'y avait que cinq chauffeurs autorisés à en prendre les commandes
Il fallait les sortir du garage avec le plus grand soin, ensuite c'était un mini défilé de voitures d'exception à travers la ville
Arrivé à destination il n'était pas question de les laisser sur un parking les voitures étaient installées à leur place définitive dans le musée
Toutes ces manuvres prenaient du temps et il fallait donc la semaine ou presque pour vider le garage.
La télévision locale était là, la presse aussi et les trottoirs se remplissaient au passage des cortèges. David avait fait plusieurs fois le voyage à la place passager bien sûr. Sa préférée était une magnifique décapotable, capote relevée, il jouait à la star à la place arrière et les spectateurs le reconnaissant l'acclamaient comme un chef d'état, c'est son grand père qui était au volant
Eh oui cette voiture là lui avait appartenu
Après cette semaine un peu folle le calme revenait dans son quartier mais pas vraiment dans le quartier du musée
D'autres voitures arrivaient tous les jours dans des camions fermés
Quand David venait visiter la salle d'exposition quelques jours plus tard.
''
C'est en montant dans cette voiture que Mr Luc Brosso s'est pris de passion pour cette marque automobile. En en sortant il aurait déclaré (hurlé plus que déclaré) :
J'adore cette voiture ! J'en veux une pareil !
Cette passion ne l'a jamais quitté ce qui explique la présence de trente six voitures de cette marque lui ayant appartenu ! ''.
La seconde voitures, juste derrière la première était hors norme également, sur un petit écriteau on pouvait lire
'' Cette voiture est un modèle unique construit sur mesure, elle a demandé trois ans de préparation dans le plus grand secret et a été offerte par Mr Jérémy Brosso à son frère pour ses cinquante ans. Elle a coûté, à l'époque, plus de dix huit millions de DI ( Dolars Internationaux )
Nul ne sait à combien elle pourrait trouver acheteur aujourd'hui
''
David déambulait dans la salle d'exposition et se disait que dans l'avenir sa propre voiture trouverait tout naturellement sa place juste derrière celle de son arrière grand oncle Luc. Il commençait aussi à comprendre un peu mieux le délais d'une semaine pour obtenir sa voiture alors qu'en général il faut six mois, entre sa famille et cette marque prestigieuse c'était une longue histoire d'amour. Seul son père n'en avait pas eu
David avait le vertige
Des voitures de sport, des limousines, des berlines, des 4X4 qui avaient appartenu à Antoine ( le fils de Djé ) Philippe ( son grand père ) et même quelques voitures qu'il reconnaissait ( il était monté dedans quand il était ) elles avaient appartenu à son père ou à sa mère
Quand David ressortait de la salle du musée, il avait le tournis. Ces ancêtres sur seulement quelques générations avaient vécu dans une grande richesse, il était l'héritier. C'est à ces moment qu'il parvenait à ressentir à quel point il était riche, quelle était l'importance, la taille de son héritage
David prenait les escaliers, il était perdu dans ses pensées, arrivé au palier inférieur il tournait sur sa droite et prenait les escaliers qui suivait et descendait encore un palier
Un autre palier, encore un palier
Il tournait enfin sur sa droite et
Un mur !
Là le pauvre il ne savait plus vraiment ou il était
A quel sous sol était-il rendu ? Il y avait un couloir très large et sombre.
David continuait à avancer et là
Là il était complètement perdu
En passant devant une ouverture il entendait des bruits, des voix humaines
David : ( dans sa tête ) Ça y est je suis sauvé !
Il avançait vers ces bruits et finissait par entendre clairement
'' Oui vas y c'est bon ce que tu me fais là
Ooooo Ouiiiiii !
David se disait alors toujours dans sa tête
David : A mon avis ils ne sont pas en inventaire ces deux là !
Une autre voix ...
'' Tu fais ça vraiment bien, vas y continue, il a a raison
''
David :
Ces trois là
Il faisait sombre, à peine une lumière sur trois était allumée. Une réserve, la nuit, l'éclairage était suffisant
David approchait doucement, sans faire de bruit, il apercevait d'abord sur le sol une veste d'uniforme comme celui que porte le personnel du musée
Il penchait discrètement la tête, il était dans l'ombre et ne pouvait pas être vu.
Trois hommes, un était à genoux, il était torse nue. L'uniforme devait être le sien. Juste devant lui il avait un second personnage de grande taille, son pantalon était baissé et il tenait la tête du premier avec les deux mains. Il guidait le premier qui lui suçait la queue tout en gémissant de plaisir. Le troisième personnage, plus petit et trapu, avait lui aussi le pantalon baissé, il ne portait pas lui non plus de dispositif de chasteté et sa bite se relevait avec vigueur. Il se masturbait doucement sans vouloir conclure, il attendait son tour.
Le personnage à genoux se tournait vers le petit homme et le suçait à son tour, celui-ci tirait la tête de son partenaire avec force et avançait son bassin à chaque mouvement. Il revenait au premier puis au second. Il alternait ainsi à chaque fois qu'un de ses partenaires le réclamait. Il avait l'air d'aimer le gars. David sentait une pression dans son dispositif de chasteté. Les deux hommes debout étaient sexy et il se disait qu'il en aurait bien pris un. Pour le plaisir, c'est vrai quoi ça fait envie
Vous feriez quoi vous dans une telle situation ? Si il y en a un qui me répond
: '' Oh moi rien bien sûr voyons ! Moi je reviens sur mes pas sans faire de bruit et détourne mes yeux chastes pour ne pas voir une telle scène
''
Je ne le crois pas !
David n'osait pas, mais il ne loupait rien. Il s'était installé et regardait avec intérêt. Sur le sol le gars changeait de partenaire plus vite. Il se retournait vers un de ses partenaires qui lui tendait sa queue, il l'avalait rapidement pendant qu'on lui appuyait sur la tête. Il se faisait limer la bouche un moment puis passait à son autre camarade qui faisait de même. David devait reconnaître que le gars, il maîtrisait bien
Il connaissait son affaire
Il n'y avait pas de violence, pas de contrainte, c'était évident. On pouvait deviner que c'était un employé du musée qui profitait d'une occasion qui s'était présentée. Un des deux hommes debout rappelait à son camarade qu'ils ne devaient pas traîner trop longtemps
Pour toute réponse le second se retournait vers celui qui était à genoux
'' Relève-toi et vient te pencher contre ces caisses toi ! ''. L'employé du musée sexécutait, aussitôt un des deux hommes se plaçait juste derrière lui, lui baissait son pantalon puis sans plus de formalité se lubrifiait la queue et l'enfonçait dans le cul du garçon qui était volontaire
Très volontaire même !
La scène était chaude et David sentait cette pression dans son dispositif PK, il le sentait bien son truc.
Le troisième personnage se masturbait en regardant le spectacle
'' Il a l'air d'aimer ça ! Ouai vas y défonce lui le cul ! ''. L'employé du musée qui était penché sur la caisse râlait de plaisir alors qu'il recevait de véritables coups de burin dans le cul. Il se cramponnait a la caisse
'' Tiens pendant ce temps là, tourne la tête vers moi, tu vas me sucer
''
Il continuait à obtempérer, et se prenait une queue par la bouche et une par le cul
Il ne pouvait plus que pousser des sons gutturaux bizarres. Les deux autres continuaient à gémir en enfonçant bien à fond leur queue dans le corps de leur copain
Celui qui était derrière se contractait, ne bougeait plus, il était bien à fond et retenait sa respiration, il se retenait
Il se retirait peu après et proposait à son camarade d'inverser les positions.
Un instant plus tard l'employé du musée se retrouvait toujours dans la même position, seuls ses partenaires avaient bougé. Il semblait apprécier ça le gars, une bite dans le cul, une autre dans la bouche qui lui rentrait jusque dans la gorge, il se tenait fermement à la caisse. Ses deux camarades ne se retenaient pas, surtout celui qui lui défonçait le cul. Celui là il y allait de bon cur, ses mouvements étaient violents, rapides, amples et violents.
Les respirations devenaient plus fortes, les deux hommes gémissaient de plaisir, le troisième poussait des bruits étouffés. Celui qui lui entrait sa bite dans la gorge gémissait plus fort
'' Oh Oui ! Je vais jouir
'' . Il se retirait et éjaculait à la figure de son camarade qui semblait en redemander. Il en avait partout sur la figure.
'' Ça y est tu as joui ? Moi je ne vais pas tarder
''
Celui qui était derrière continuait à se lâcher, il accélérait le mouvement, il voulait éjaculer, il ne se retenait plus
Les mouvements de son bassin devenaient vraiment rapides et vraiment violents, il respirait fort. Il s'enfonçait bien à fond et poussait contre les fesses du pauvre gars toujours cramponné à la caisse et qui râlait de plaisir
Il continuait comme ça un bon moment
'' Alors ça vient, c'est pour aujourd'hui ou pour demain ?''
'' Ça vient mais bon laisse moi, ne me stresse pas
''
Il continuait à buriner le cul de gars qui à la longue semblait apprécier de moins en moins et lui criait
'' Arrête, là tu me fait mal ''
Pour toute réponse
'' Attend ça vient ''
Il continuait sans faiblir en retenant bien son partenaire qui semblait vouloir se dégager
Ça durait encore un moment puis on l'entendait jouir, il hurlait de plaisir avec quelques dernier mouvements du bassin
Cramponné sur la caisse le troisième gémissait de soulagement au moment ou son partenaire se retirait de son cul et restait là sans bouger encore un bon moment.
C'est aussi ça la PK se disait David en réajustant son dispositif de chasteté dans son pantalon. Si mon ancêtre Jérémy voyait ça
Je ne suis pas sûr qu'il soit fier de ce qu'est devenu la PK
Moi j'aime bien mais
Il y avait de la pression dans son dispositif de chasteté, il était retourné le pauvre David avec ce spectacle. Il regrettait bien un peu de ne pas y être allé mais, c'était peut être préférable
Et puis il se disait qu'il avait un copain régulier
Les deux hommes debout remontaient leurs pantalons et réajustaient leurs vêtements, rapidement ils étaient présentables. Le troisième mettait du temps avant de se relever, il avait son pantalon sur les chevilles et était torse nue. Il réajustait son pantalon, puis son T-shirt et enfin son uniforme. C'était bien un employé du musée, l'uniforme qu'il enfilait en était la preuve.
Les trois hommes se préparaient pour ressortir. Voyant qu'ils venaient dans sa direction David s'éloignait rapidement sur la pointe des pieds, faisait demis tour et revenait en appelant
David : Il y a quelqu'un, je suis perdu
C'était pour ne pas les embarrasser en fait
David était à quatre ou cinq mètre de l'ouverture de la salle quand les trois hommes ressortaient et David venait dans leur direction.
'' Attention toi tu ne bouges pas ! J'ai une arme !''
David : Je ne suis pas un voleur ! Je suis David Brosso, j'étais venu pour l'installation et je me suis perdu en cherchant la sortie pour repartir
L'employé du musée : Tu ne bouges pas avant que je t'ai identifié !
David ne bougeait pas, l'autre le regardait et finissait par le reconnaître.
L'employé : Ah c'est vous Monsieur Brosso
Excusez moi mais j'ai des consignes et normalement il ne devrait y avoir personne ici à l'heure qu'il est
David : Bein oui je sais bien et puis
Quand le chat dort les souries
Les trois hommes semblaient devenir livides.
L'employé : Oui
Monsieur Brosso
En fait
David : Mais je dis ça comme ça
Pourquoi il y a un problème ?
L'employé : Non tout va bien, on est seulement surpris de voir quelqu'un ici.
Il semblaient reprendre leurs couleurs !
David : Je me suis perdu comme je vous disais, et je crois que sans vous je passais la nuit ici, là j'ai surtout envie de sortir et de rentrer chez moi.
L'employé : On va vous accompagné à la sortie.
David : Vous étiez d'inventaire ?
Un des deux hommes : On peut le voir comme ça !
Ils parlaient entre eux tout doucement mais David comprenait parfaitement une phrase
'' A cinq minutes près on était mal ''
David suivait le groupe.
David : Vous êtes sûrs que la sortie c'est par là ?
L'employé : Vous n'êtes pas entré par là mais à l'heure qu'il est c'est la seule sortie encore utilisable
Ce n'était pas la grande porte de l'entrée principale. C'était une porte dérobée mais c'était bien la sortie
Aussitôt dans la rue une lumière violente les éblouissait tout les quatre
'' Police ! Plus personne ne bouge ! Mr Brosso ne restez pas là sil vous plaît ! Vous allez bien ? Vous n'avez pas été brutalisés ? ''
Sans que personne n'ai le temps de réagir, Philippe s'était rapproché et avait attrapé David dans l'idée de l'arracher aux mains de ses ravisseurs. Voyant le grand père de David s'exposer ainsi quatre policiers se sentaient obligés d'intervenir, et attrapaient à leur tour David et Philippe pendant que leurs collègues sautaient sur tout ce qui bougeait c'est à dire les trois malheureux qui ne bougeaient pas
En quelques secondes, avant que David n'ait le temps de réagir il se retrouvait derrière un mur de policiers qui faisait obstacle de leurs corps alors que les trois hommes du musée se retrouvaient plaqués au sol un pistolet sur la tête
Ils étaient tétanisés et ne bougeaient même pas une oreille
( On dit bouger une oreille
vous savez qu'il y en a qui y arrivent ? Enfin moi j'y arrive ! Euh
bon
Ok
Je suis hors sujet là ?
Je continue mon histoire ... ).
C'était la panique, donc plus personne ne bougeait même pas les oreilles
Euh
Enfin
Bon
Il n'y avait plus un bruit et on entendait clairement un voix
'' Vous pouvez dire au maire que tout va bien, Mr Brosso a été retrouvé sain et sauf et que trois suspects ont été neutralisés ! ''
Il était tard, David était resté un long moment à déambuler dans le musée puis dans son sous-sol puis
Bon passons ! La voiture voyant les portes du musée se fermer puis les lumières s'éteindre puis n'obtenant pas de réponse sur le téléphone avait averti la police redoutant un enlèvement
David : ( gueulant ) Mais c'est quoi cette histoire ? Je sors du musée, je m'étais perdu dans les réserves et là ce sont des employés du musée qui me montraient la sortie ! Mais ça va pas là ! Il faut se calmer !
Les policiers sursautaient à cette intervention, il n'avaient pas pensé une seconde à une situation aussi simple et commençaient à se détendre, ils laissaient se relever les trois hommes qu'ils avaient plaqué au sol
Rapidement une vérification d'identité calmait tout le monde et mettait fin à l'incident
L'inspecteur : Mais je croyais que le téléphone marchait parfaitement dans le sous sol du musée moi !
L'employé : En temps normal oui ! Mais nous avons eu un petit problème électrique dans la journée, la maintenance est rapide mais ne peut pas intervenir avant demain matin
Le maire arrivait complètement affolé
Le maire : Mr Brosso
Mr Brosso ( avec Philippe il y avait deux Brosso ) Vous allez bien David, J'ai le gouverneur en ligne il voulait envoyer l'armée
Philippe : Oui tout va bien on va t'expliquer
L'armée ? Mais il est pas un peu fou lui ?
David se disait que décidément ça ne rigole pas. Ils ne s'étaient pas un peu affolés pour rien là ? Chacun retrouvait son calme, surtout les policiers et le maire. Philippe se retournait vers la voiture à David et lui lançait en la montrant du doigt
'' Toi tu rentres au garage moi je ramène le petit à la maison
'' . La voiture de David prenait la direction de son garage sans personne à ses commandes.
Un peu plus tard sur la route du retour
Philippe : Tu sais que tout le monde s'est affolé ?
David : Je ne comprends pas vraiment pourquoi !
Philippe : C'est ta voiture
L'endroit ou tu était entré était fermé
Les lumières étaient éteintes
Tu ne répondais plus au téléphone
Son programme à déclenché l'alerte
Les policiers on un peu paniqué
Voilà !
David : J'ai eu une de ces frousse quand je suis sorti, je ne te dis pas !
Je ne savais pas que ces voitures
Philippe : Elle garde un il sur toi
Et elle n'est pas la seule dans cette ville !
Quand David entrait finalement dans son appartement ses camarades Mathieu et François arrivaient comme des fous à la porte et le prenaient dans leurs bras.
François : On à eu peur ! Tu ne peux pas t'imaginer !
Matthieu : Tu n'as pas été brutalisé ?
François : La police n'a pas eu trop de mal à te libérer ?
David : Mais enfin quoi vous n'allez pas vous y mettre vous aussi
Je m'étais perdu dans les réserves du musée ! C'est tout !
David leur racontait toute l'histoire et ses deux camarades rassurés finissaient par en rire
François : C'était la journée des mauvaises nouvelles
David : Allons bon ! Et qu'est-ce qu'il se passe encore ?
Matthieu : C'est Linda
David : Mais qu'est-ce qui lui arrive à cette petite ?
Matthieu : Cette petite !
Cette garce oui !
Ses camarades le regardaient sans rien dire
Matthieu : Elle m'a largué
La garce
Toutes les mêmes
David : Surtout certaines
Matthieu : Et toi ça te fait rigoler !
David : Mais non mais
Matthieu : Et en plus il est moche !
David : Alors que toi tu es si mignon !
Matthieu : Je veux un câlin !
David : Moi aussi je veux un câlin !
François : Tu as eu des émotions aussi il faut dire !
Matthieu : Non c'est pas lui qui a eu des émotions
C'est nous !
François : Câlin !
Les trois garçons se serraient dans les bras, François embrassait David et Matthieu voyant ça réussissait à s'incruster et à embrasser David puis François
Pendant que David embrassait amoureusement son ami sur la bouche, Matthieu en profitait pour leur donner des baisers dans le cou, quand deux lèvres se libéraient il prenait la place
David avait été échauffé par ce qu'il avait vu plus d'une heure plus tôt et c'est frénétiquement qu'il retirait ses vêtements et retrouvait à poil entre les bras de ses camarades
Pendant que Matthieu retirait ses vêtements à son tour François prenait son amant dans ses bras et le caressait amoureusement, David ressentait comme une émotion particulière. Une heure plus tôt ils avaient cru que David avait été nappé, c'était peut être ça
François avait l'air particulièrement amoureux ce soir là
David sentait les bras de Matthieu qui se refermait sur lui et sa queue qui se redressait entre ses cuisses. Il retournait la tête pour l'embrasser. François se retirait pour se déshabiller à son tour avant de prendre à nouveau David dans ses bras. A ce moment David s'agenouillait et prenait la queue de François dans sa bouche avec douceur. David sentait les deux mains de François qui lui caressait la tête et une main de Matthieu qui le poussait en avant pour lui faire bien avaler la bite à François. David le tenait fermement par les cuisses et ne résistait pas !
Un moment plus tard, ils inversaient les rôle, seul David gardait la même position
Pour lui c'était définitif, ce serait toujours la même position, toujours la même frustration. Il sentait la pression dans sa cage de chasteté, elle se relevait devant lui, entre ses cuisses, et se balançait au rythme de ses battements cardiaques.
Il aimait bien sucer les queues David
Matthieu le soulevait en passant une main sous son bras, il suivait le mouvement sans résister. Matthieu le guidait vers la table et lui faisait signe de se pencher en avant. David revoyait l'employé du musée, deux heures plus tôt, penché sur la caisse dans la réserve. Il revoyait les deux autres hommes qui savaient bien en profiter. Il portait aussi un dispositif de chasteté l'employé du musée mais David n'avait pas vu le modèle, la lumière était trop faible.
Matthieu guidait la tête de David vers sa queue et David savait quoi faire, sans rien demander il l'avalait jusqu'à la garde. À cet instant il sentait une pression sur son anus, il ne résistait pas, il sentait alors la queue de François s'enfoncer en lui. Il revoyait ces trois hommes dans la pénombre de la réserve. Ils étaient dans la même position
Le ventre de François frappait violemment contre ses fesses et avec la bite de Matthieu dans la bouche en guise de bâillon il ne pouvait que pousser des gémissements incompréhensibles
Comme l'employé du musée deux heures plus tôt.
François frappait les fesses de David avec force, il savait que David aimait ça ! David se demandait quel modèle devait porter l'employé du musée, son modèle à lui était brillant, c'était pas ça. François accélérait le mouvement. Matthieu lui aussi prenait toute la place. David se cramponnait à la table et ne résistait pas, il se laissait faire. Balancé comme il était sa PK frappait la table à chaque coup de rein qu'il prenait et rythmait le mouvement plus fort, plus vite, moins fort, moins vite
Le modèle du gars dans le musée était sombre mais il existe des modèles en métal sombre et mat
François se retirait sans prévenir, perdu dans ses pensées David ne l'avait pas vu venir, pourtant sa respiration était devenue plus forte
Il continuait à se masturber pendant que Matthieu prenait sa place et se plaçait juste devant le visage de David. David regardait en tirant la langue pour essayer de le sucer quand il recevait une giclée de sperme dans la figure puis une autre aussi forte et enfin deux autres plus faibles
Matthieu se lâchait à son tour sur les fesses de son camarades, David gémissait, on lui avait enfin laissé la bouche vide
Matthieu aussi râlait et gémissait de plaisir, sa respiration devenait plus forte et laissait deviner que
Un violent coup de rein, David gueulait de plaisir. Matthieu gueulait aussi avant de donner un second coup de rein bien violent, il continuait à appuyer de toutes ses forces contre les fesses de son ami. Il jouissaient, il tremblait.
David était envahi d'une sensation de plaisir, de bien être, il sentait que son sperme fuitait de sa cage de chasteté, il gémissaient également, il jouissait
Le plaisir était partagé. Ils jouissaient
François s'était laissé tombé sur le canapé, David se laissait tomber sur la table et Matthieu s'effondrait sur David. Pendant un long moment plus personne ne bougeait
Quand les trois garçons se relevaient un peu plus tard ils se rappelaient qu'ils n'avait pas mangé. Il était tard, rien n'était prêt
Il faut dire que David avait disparu et ses camarades pensaient à autre chose qu'à manger ! Il était très tard et tous les restaurants étaient fermés. Il ne restaient plus qu'un restaurant fast-food, un truc américain, vous connaissez peut être
C'était pas dans leurs habitudes mais finalement c'est pas mauvais du tout
Ce soir là ils se sont bâfré de hamburgers, de frites, de glaces et de soda ...
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