Dégradation D'Une Bourgeoise 3
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS -- ------------------------
Un soir mon téléphone sonna : « Je passe te prendre demain matin pour le week-end ; tenue et lingerie sexy ; je serai là vers 9h » et il coupa sans attendre ma réponse.
A lheure dite, il était là, assez jovial.
- Tu vas passer un week-end de rêve ; je tenvie ; dommage que je ne puis pas être là pour te voir ».
- Vous ne maccompagnez pas Maître, dis-je dune voix un peu paniquée.
- Non, je toffre pour le week-end, dit-il en ricanant.
Je reconnus lendroit ; cétait le magasin « Tout pour le cheval ». Je compris à ce moment-là que jallais être livrée à la femme du magasin.
- Ah voilà lesclave, dit-elle en menrobant dun regard vicieux.
Elle membarqua dans sa voiture et nous roulâmes durant près dune heure en silence, rejoignant un village de campagne. La propriété où nous étions jouxtait une grande prairie où plusieurs chevaux sébattaient.
Un corps de logis, une grange, lécurie et un petit bâtiment constituaient lensemble.
Une fois dans la maison, elle mordonna : « A poil et en vitesse ».
Jétais nue dans cette maison que je ne connaissais pas et avec cette femme au regard cruel qui mavait si durement fouettée. Elle me fixa un collier au cou et des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles. Puis elle mattacha une laisse et collier et me fit sortir nue de la maison pour me mener dans le petit bâtiment séparé de la maison. La pièce était assez sombre et je mis le temps à découvrir lintérieur. Des chaînes pendaient au plafond ; des crochets étaient fixés un peu partout et une croix de St André tapissait le fonds de la pièce.
- Tu vas vivre un super week-end ; jai deux amies qui amèneront leurs esclaves ; on va se régaler.
Elle fixa mes poignets aux crochets du mur et les ferma avec un cadenas. Puis elle me pinça fortement les tétons provoquant une onde de choc.
- Arrêtez, je vous en supplie, cest insupportable.
- Ta gueule putain, je tai payée pour le week-end et je ferai de toi ce que je veux. Ton Maître est bien trop bon avec toi. Ici tu vas connaître la véritable vie de lesclave.
En disant cela, sa main sétait portée sur mon entrejambe et deux doigts pénétrèrent brutalement mon intimité.
- Tu mouilles salope, tu aimes ça.
Effectivement, malgré la douleur, je sentais en moi une excitation qui montait. Elle continua son va-et-vient dans ma chatte et brutalement jexplosai
la jouissance était venue dun coup ; je poussai un rugissement.
- Dis donc tu pars vite toi ; il faudra que je tinterdise de jouir ; une esclave na pas le droit au plaisir.
Elle quitta la pièce, en fermant la porte à clé. Le temps passé fixée à ce mur me parut une éternité. Jentendis une voiture, des rires, puis des cris et la porte souvrit. Une fille jeune, très jeune, à peine 20 ans, entra nue, à quatre pattes, poursuivie par une femme de mon âge qui la fouettait à laide dune cravache.
Voilà ces salopes presque au complet. On va les attacher puis aller prendre le thé pendant quelles méditent sur leur sort. On va les bâillonner car je nai pas envie quelles échangent leurs impressions. Sachez que cette pièce contient micro et caméra. Si lune dentre vous parle, elle subira un châtiment dont elle na pas idée.
Le silence se fit. Je nosais faire le moindre mouvement de peur que cela soit mal interprété et e de subir une punition.
Après un temps qui me parut interminable, des voix et des rires se firent entendre. La porte souvrit avec fracas et un homme nu fut projeté dans la pièce poursuivi par une très belle femme qui le cravachait sans pitié.
- Vous nallez pas le croire, mais cest mon mari ou plutôt celui qui croit lêtre. Lorsque nous nous sommes mariés, il y a trois mois, cet imbécile a préféré boire avec ses amis plutôt que de soccuper de moi.
- Merci Maîtresse
- Vous les putes, vous allez lexciter. Sa queue emprisonnée va lui faire un mal de chien quand il va bander.
On nous détacha. Mes poignets me faisaient mal.
- Alors salope, branlez-vous devant lui ; il aime ça.
Plusieurs coups de cravache sabattirent sur le postérieur du pauvre homme dont les fesses étaient déjà en sang.
- Tiens, prends celle-là et encore celle-là
Les coups étaient de plus en plus fort.
- Pitié Maîtresse
arrêtez, cela fait trop mal.
- Tu nas pas de pitié à attendre de moi. Ton seul salut cest de divorcer et de me laisser tout ce que tu as.
- Je vous aime trop Maîtresse.
- Alors tu fermes ta gueule.
Nos maîtresses nous forçaient en riant à exciter lesclave. Tout-à-coup, il se mit à gémir et de sa cage de fer sortit du sperme par saccades.
- Elles te plaisent hein ces putes. Tu sais que tu seras puni pour ça.
On nous mit dans une autre pièce et le temps passa.
Lheure du dîner arriva et on nous fit sortir toujours nues.
Les Maîtresses étaient à table, servies par une esclave que nous navions pas encore vue. Cétait une petite eurasienne superbe, de 20 ans maximum. Son dos, ses fesses et ses cuisses étaient striés de rouge. Elle devait avoir subi une intense séance de fouet.
- Vous aurez à manger dans vos cellules. Vous passerez notre dîner sous la table à nous lécher et tachez de nous faire jouir.
Nous nous sommes appliquées mais je ne suis pas arrivée à provoquer lorgasme de ma Maîtresse.
- Tu nas pas lair douée avec les femmes. Je vais te punir pour tapprendre.
Elle échangea quelques mots avec la Maîtresse de lhomme qui partit dun grand éclat de rire.
- Mets-toi à quatre pattes et toi gros cochon, tu vas la baiser avec ta cage
mais gare à toi si tu jouis. Je te promets que tu auras affaire à moi.
Je sentis le sexe en métal qui me pénétrait ; cela faisait très mal, car la cage était formée danneaux qui blessaient les lèvres de mon sexe. Je nosais pas bouger, de peur dexciter le pauvre homme. La cage entra entièrement dans mon vagin. Lhomme restait immobile de peur déjaculer. Cest alors que sa démoniaque maîtresse se mit à le fouetter durement. Je sentis quil se vidait en moi en poussant des petits cris. Sa Maîtresse lui donna un coup de pied qui le fit sortir brutalement de mon sexe. Cétait très douloureux et humiliant car sa semence sortait et se répandait sur mes cuisses.
La maîtresse gifla violemment son esclave.
- Salaud ; dès que tu vois un trou, il faut que tu le remplisses
et tu voudrais me baiser moi ; ce ne sera pas pour demain. En attendant, attends-toi à une semaine denfer. Tu ne pourras pas tasseoir durant un mois.
En disant cela, les deux Maîtresses saisirent un fouet et se mirent en cadence à punir le pauvre esclave.
- A ton tour salope, cest toi qui la excité.
On mattacha les poignets à une poutre et la Maîtresse se mit à me fouetter les seins. Dabord doucement puis de plus en plus fort. Des lignes rouges et même bleues décoraient ma poitrine.
Ravie du spectacle, ma Maîtresse mordonna de me rhabiller.
Elle me ramena chez moi.
Je me couchai en pleurant ; javais à peine fermé les yeux que le téléphone sonna.
- Alors la pute, contente de ton week-end. Cest bien ça ma rapporté de quoi entretenir ta salope de fille.
- Soigne bien tes nichons ; il paraît quils sont dans un triste état.
Je raccrochai en pleurant.
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