Véhicule Motorisé, Dans Le Chalet, Chapitre 4, Volet 3
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Véhicule motorisé,
Dans le chalet.
Chapitre 4, volet 3
« Poupée, il est temps de vous conditionner aux souffrances que nous allons vous faire endurer. »
« Je vais être capable de les supporter? »
« La dose de morphine que je vais vous injecter va faire effet sur votre système en général. Votre cur et vos poumons vont pouvoir supporter le très haut degré de souffrance que nous allons vous faire endurer, mais il n'est pas dit que vous ne perdrez pas connaissance même si votre niveau de tolérance à la douleur est extrême. »
« Vous pouvez me parler des souffrances que vous allez me faire endurer afin que je puisse m'y conditionner? »
« Je vais commencer par vous injecter dans une aisselle, une forte dose de morphine et attendre quelques minutes que le produit fasse effet. Entre-temps, nous allons débuter la féminisation partielle de votre corps en vous créant des seins. »
« Je vais avoir des seins? »
« Tout à fait : je vais transpercer vos mamelons avec deux aiguilles .Une fois en place, je vais passer un oeillet dans chacune des extrémités des aiguilles. Je vais fixer des oeillets à un crochet du bout d'une chaînette tandis que l'autre bout va être fixé à un mécanisme de levage. Ce mécanisme de levage va être actionné jusqu'à ce que je juge que votre mamelon soit suffisamment étiré pour me permettre d'injecter une quantité suffisante de solution saline dans vos chair pour que vous ayiez des seins. À cette solution saline va être ajouté un produit visqueux permettant de mainenir la forme que vos seins va atteindre. »
« Quand vous allez avoir terminé avec mes seins, est-ce que ma poitrine va reprendre sa forme originale? »
« Non, vous allez conservé vos seins pour le reste de vos jours à moins que vous acceptiez que je vous fasse une opération à froid qui consiste en une incision sous le dessous du sein pour que je puisse y retirer la substance injectée.
« Cette opération,vous allez pouvoir me la faire ici? »
« Bien entendu! »
Sur ces paroles, le Doc se rapproche de mon aisselle droite.
« Charles, apportez-moi la seringue contenant la morphine. »
Charles tend au Doc la seringue.
La seringue est d'une bonne taille : elle contient beaucoup de liquide.
La grosseur de l'aiguille fait peur.
« Désinfecter son aisselle. »
Il passe sur mon aisselle un tampon imbibé d'alcool.
« Prenez une forte respiration et maintenez là. »
J'obtempère à l'ordre du médecin.
Il dirige la pointe de l'aiguille contre mon aisselle : elle touche à ma peau.
« Essayez de ne pas contracter vos muscles : l'injection va être très douloureuse. »
Je ferme les yeux : je sens l'aiguille pénétrer profondément dans mes chairs.
« Doc, vous me faites mal! »
« Ce n'est rien comparé à ce qui vous attend! »
Je sens la morphine se répandre dans mon aisselle.
« La morphine va protéger vos organes vitaux et les empêcher de défaillir sous la douleur que vous allez devoir endurer. »
« Qu'allez-vous me faire qui soit si douloureux? »
« Je vais commencer par transpercer vos seins de bas en haut et de l'intérieur vers l'extérieur avec de longues aiguilles. »
« Combien d'aiguilles, Docteur? »
« Quatre aiguilles dans chaque sein. »
« Puis? »
« Votre pénis et vos testicules. »
« Vous allez leur faire quoi? »
« La pénétration complète et e d'une longue tige urétrale à boule dans l'urètre de votre pénis et des injections de solution salive dans vos testicules et dans votre scrotum. »
« Mon cul? »
« J'allais y venir : vous allez être enculé avec une poire d'angoisse métallique. Une fois profondément entrée dans vos intestins, je vais actionner un mécanisme qui aura pour effet de faire élargir les pièces mobiles munies de dents pointues et acérées. En s'élargissantl les segments mobiles vont dilater votre intestin alors que les pointes vont s'introduire dans vos chairs et les strier quand je vais retirer la poire de votre intestin.
Mon corps se couvre de chairs de poules et tous les muscles de mes bras et de mes jambes se crispent. Par contre, l'effet de la morphine qui commence à agir m'empêche de paniquer.
« Je ne serai jamais capable de supporter toutes ces souffrances. »
« Malheureusement pour vous, oui, vous allez être en mesure de toutes les supporter et ce n'est pas tout, il reste ce que je considère être les parties de votre corps les plus excitantes et le plus tentantes à r : vos pieds. »
« Mes pieds? »
« Vous n'avez rien remarqué de spécial quand vous avez chaussé vos sandales? »
« J'ai remarqué que les semelles étaient traversées de deux trous minuscules. »
« Ça veux dire que ces sandales ont été portées deux fois avant vous. »
« Je n'ose pas imaginer le pourquoi de ces trous! »
« C'est le spécial de la fin du vidéo : vous connaissez le châtiment du Christ? »
« Il a été crucifié? »
« Ses pieds et ses poignets ont été transpercés de clous. »
« Noooonnnnnnnnnn! »
« Je vais épargner vos poignets : ils seront remplacés par vos chevilles. C'est d'ailleurs pour cette raison que j'ai identifié clairement au moyen d'un petit point rouge quatre endroits dont deux sur vos chevilles et deux sur le dessus de vos pieds. »
Je ne peux esquiver le moindre mouvement pour me dégager.
« Ça ne sert à rien de paniquer et de tenter quoique ce soit pour vous dégager : c'est impossible, pensez plutôt aux 25 000,00$ que je vais vous donner. »
Je contrôle de moins en moins le stress que me cause l'énumération des sévices qui m'attendent.
Ma respiration s'accélère et elle devient chaotique.
Je ne réussis plus à m'oxygéner uniquement par ma respiration nasale : je dois également respirer par mes voix buccales.
Ma bouche et ma gorge s'assèchent.
« J'ai la bouche et la gorge sèches, pourriez-vous au moins m'hydrater avant de continuer à me décrire les sévices que vous vous proposez de me faire subir? »
« Bien sur, jolie poupée :Charles va se charger de vous hydrater.
« Charles, votre vessie est suffisamment pleine pour hydrater notre jolie poupée? »
« Bien sur, Maître! »
« Faites-lui, la totale! »
«À vos ordres, Maître! »
Charles s'approche de me tête et il me dit :
« Poupée, tournez votre visage vers moi! »
J'obtempère à sa demande.
Charles baisse le fermoir-éclair de sa braguette, il baisse le devant de son caleçon et sort son pénis déjà en pleine érection.
Charles approche le gland de son pénis près de ma bouche.
« Lécher le bout de mon gland et plus particulièrement mon méat. »
Je m'empresse à le satisfaire.
Son gland se gorge de sang.
Charles pince légèrement les lèvres de son méat : elles s'écartent.
« Faites entrer le bout de votre langue à l'intérieur de mon urètre. »
Je fais entrer le bout de ma langue aussi loin que je peux dans son urètre.
« Poupée, c'est tellement bon! »
Je fais bouger le bout de la langue alors qu'elle est à l'intérieur de son méat.
« Une vrai petite chienne avec un os! »
Je retire ma langue de son urètre et je prend bien soin de titiller son méat.
« Merde, vous allez me faire venir et il ne le faut pas, du moins pas pour le moment. »
Je retire ma langue sans auparavant lui donner un dernier coup de langue.
« Laissez votre langue sortie. »
J'obtempère.
Charles pose le bout de son gland contre ma langue.
« Goûtez! »
Il laisse couler quelques gouttes de liquide sur ma langue : je goûte ce liquide : il est légèrement salé et un peu acide.
« C'est de l'urine? »
« Oui, ma poupée! »
« J'aime son goût! »
« Fermez vos yeux. »
Je ferme mes yeux.
« Vous avez la gorge sèche, je vais l'hydrater! »
Je ne fais aucun mouvement de la tête pour tenter d'éviter ce qui m'attend.
« Laissez votre bouche grande ouverte. »
Je sens un jet d'urine chaude atteindre mon front, mes yeux, mes joues, mes lèvres puis, finalement se répandre dans ma bouche.
Charles dirige son pénis de sorte que son urine atteigne mon palais, ma langue et le fond de ma gorge.
Le goût de son urine n'est pas désagréable.
Il est légèrement acidulé et quelque peu salé.
Charles finit de se soulager en propulsant son pénis dans le fond de ma gorge.
J'ouvre mes yeux : Charles fixe mon regard et il me sourit tout en laissant son pénis dans ma bouche.
« C'est la première fois que la bouche d'une poupée me sert d'urinoir : wow, quelle sensation!. »
J'appuie mes lèvres humides contre son pénis.
Charles commence à le retirer très lentement de ma bouche.
Je le serre entre mes lèvres tout en me servant de ma langue pour le caresser : je le sens grossir.
Lorsque je sens son gland contre ma langue, je serre les lèvres contre son pénis pour le maintenir en place et je lui titille le frein.
Charles prend appuie contre les montants du haut de la croix.
Sa respiration se saccade.
« Ouuuuiiiiiiiiii, jolie petite putain, fais-moi jouir! »
Je lui titille le frein le plus rapidement possible.
« Ouuuiiiiiiiii, mon bébé, je vais jouuuuiiirrrrrrr! »
Une giclé de sperme atteint le fond de ma gorge.
Je nettoie son gland de ma langue pour m'assurer que j'aie toute sa semence dans ma bouche.
J'entrouve mes lèvres : Charles retire son pénis.
J'ouvre ma bouche pour que Charles constate que son sperme est bien dans ma bouche.
« Avalez-le! »
Je referme ma bouche et j'avale son sperme.
« Il goûte bon! »
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