Claudine

Claudine

Je vieilli, c’est un fait, cela m’amène à repenser à ce qui m’a amené à devenir ce que j’ai été : un dominant pervers !
C’était l’été 1976, un été de canicule. J’étais un obsédé du sexe… Une petite collégienne, m’avait sucé et j’avais pu la dépuceler un peu plus tard…
Dans notre immeuble, l’immense majorité des habitants étaient quelconques…Mais, juste au-dessus de nous, vivait un couple avec un . La trentaine, ils étaient sympas. Claudine, restait seule toute la semaine, car Pierre travaillait sur Paris. Cette femme avait un truc en plus. Je la sentais très salope, mais pas moyen d’avoir des preuves.
Un soir, elle discutait depuis sa fenêtre avec ma mère et je l’entendis dire :
« Avec cette chaleur, je suis quasi toujours à poil dans l’appartement. Au plus, je mets une culotte mais j’avoue que c’est rare ! »
Une salope !!! Pas le moindre doute… Personne d’autre que ma mère n’était sensée l’avoir entendue et elle ignorait que j’étais à la fenêtre de ma chambre. J’en bandais !
Comme une évidence se fit dans ma tête. Il fallait que je rentre chez elle et que je la baise ! Pour le prétexte, j’avais ce qu’il me fallait. De temps à autre, le couple me demandait de faire du baby-sitting lors de leurs sorties du samedi. Le lendemain, vers 17h15, en rentrant de l’entrainement de foot, je montais chez elle pour savoir s’ils allaient avoir besoin de moi, le samedi. Cela faisait au moins un mois et demi que je n’avais pas été sollicité.
En plus, vu la chaleur, je pensais qu’elle allait être à poil lorsque je sonnerais et qu’il lui faudrait enfiler un truc à la va vite. Deux coups de sonnettes, une réponse orale me demandant d’attendre un peu et elle m’ouvrit. Elle portait une sorte de chemise lui arrivant à mi cuisses. Je me demandais immédiatement si elle était sans culotte, mais je voyais surtout qu’elle n’avait pas de soutif.
« Tiens, salut Dimitri, tu as besoin de quelque chose ? »
« Bonjour Claudine.

Non, enfin, je voulais savoir si Frédéric et vous auriez besoin de moi samedi ? »
« Non, en fait, Fred ne rentre pas ce Week end. Il est de service ! Mas, j’y pense, tu dois être déçu de ne pas te faire un peu d’argent !!! »
« Ho, ce n’est pas grave… Mais j’étais un peu inquiet… Je me disais que, si ça se trouve, vous aviez trouvé une autre personne. »
« Ben non, voyons. Tu es parfait dans ce rôle ! Et Jérémy t’adore… »
« Bon, je suis rassuré. Je ne vais pas vous déranger davantage. A bientôt… »
« Attends, puisque tu es là, est ce que tu serais capable de changer ma bouteille de gaz ? »
« Bien sûr, pas de problème. »
Elle me sourit et me fit entrer. Une fois dans la cuisine, elle m’indiqua où trouver la bouteille de rechange et je lui demandais où étaient les outils de Fred… Elle alla me chercher la boîte et je me mis au travail. Je m’agenouillais et je constatais qu’elle restait à un mètre de moi, bras croisés. Je lui demandais où était Jérémy et elle me répondit que sa mère l’avait emmené pour deux jours à la campagne.
« Il ne vous manque pas ? »
« Non, il est bien chez mes parents…Et comme ça, je suis plus libre ! »
Surpris, je me tournais vers elle et je vis distinctement sa chatte découverte par les deux boutons non attachés du bas de la chemise. Le faisait elle exprès ? Elle sourit et me dit :
« Tu as bientôt fini ? »
« Oui, Claudine, je serre le détendeur et c’est bon ! »
« Je te sers une boisson fraîche ? »
« Un coca, s’il vous plait. »
« Au fait, tu devrais me tutoyer, on n’a pas 30 ans de différence. Je n’ai que 28 ans… Tu me trouves vieille ? »
J’ai senti, à ce moment-là, une furieuse envie de lui dire que je bandais rien qu’en pensant à elle. Je me levais et je pris conscience que j’étais en érection. Et sous mon bermuda, c’était évident !
« Tu sembles apprécier ma tenue ! »
Elle s’approcha de moi, souriante, elle finit de déboutonner sa chemise, me révélant son corps nu.
Chose rare pour cette époque, elle n’avait qu’un minuscule ticket de métro au dessus de sa magnifique chatte. D’un mouvement d’épaule, elle fit tomber ce vêtement et me prenant la main, elle m’entraîna vers sa chambre…
Il ne lui fallu que quelques secondes pour me mettre nu, puis, elle me fit assoir sur le lit et s’agenouillant à mes pieds, elle commença à me branler. Au moment où elle me prit en bouche, je su qu’elle allait surpasser ma collégienne salope ! maligne, elle ne poussa pas trop sa fellation et très vite, elle se mit en levrette pour que je puisse la prendre. Jeune et fougueux, je ne ménageais pas mes coups de butoirs. Je compris vite que Claudine adorait être rudement traitée et je lui pris les cheveux pour lui faire comprendre que j’étais le maître du jeux… Je l’ai faite jouir avant de me vider dans sa chatte… Elle s’est allongée près de moi, sur le lit conjugal et elle m’a dit :
« Tu es doué, mon salop ! J’ai pris mon pied comme rarement. Faut qu’on le refasse, je vais, enfin, pouvoir me faire monter comme une chienne !!! »
Avant de descendre chez moi, elle me tailla une pipe intégrale et elle me demanda de me libérer le samedi soir, pour une nuit de débauche ou elle me donnerait son cul de chienne…
Une fois dans ma chambre, je ne mis pas longtemps pour me rendre compte que sa soumission ferait mon bonheur. Claudine allait être ma salope soumise dés ce prochain samedi et j’allais apprendre beaucoup avec elle !

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