La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1252)
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) (suite de l'épisode précédent N°1251) -
Le Seigneur d'Evans saisissant Kate par la nuque, la forçant à le suivre jusqu'à la grande table de bois massif, laquelle avait été préalablement poussée contre un mur. Il la fit s'allonger sur le dos sur le plateau épais de la table et lui releva la croupe, s'installant entre les cuisses de la belle, tout en baissant ses chausses... Kate, regardait le grand plafond et ferma les yeux de plaisir, quand elle sentit le gland dur et violacé du Maître contre sa chatte déjà toute humide d'excitation. Ses lèvres se mirent à trembler légèrement et son souffle saccéléra lorsqu'elle sentit la grosse queue dressée et si raide se frotter contre sa fente intime de haut en bas puis de bas en haut. Le Seigneur savait ce qu'elle aimait et prenait un malin plaisir à lui faire subir cette exquise de la faire languir et de lui donner envie au point qu'elle se cabre pour essayer de le sentir plus en elle. Kate n'y tenant plus supplia :
- Hummmmm !
Maî
Maître, pitié, s'il vous plait, prenez-moi, comme une chienne.
- Tu veux ma queue, chienne ? Alors supplie-moi mieux que ça, correctement.
- Ô Maître adoré, je vous en supplie, baissez-moi, besognez-moi, pitié Maître Vénéré, je vous en prie, et si vous ne me mainteniez pas ainsi sur le bas du dos, je vous le demanderais à genoux. Ouiiiiii, prenez-moi comme un vulgaire trou
Replissez-moi de Votre Noble Verge
- Il manque quelque chose dans ta requête, la chienne !
- Ah oui, cest vrai
pardonnez-moi
Sil vous plait, Maître
Sil vous plait
- C'est mieux ! En effet, il manquait le Sil vous plait
Je vais t'accorder cet honneur de te faire prendre comme une chienne en chaleur
Le Seigneur et Maître était d'humeur joueuse ce soir-là après cet excellent repas et cette fin de soirée savoureuse à l'initiative de Ses chiennes.
- Surtout chienne ne jouit pas, j'ai d'autres projets.
- Bien Maître, parvient elle à articuler, haletante et déçue que le Maître ne lui accorde pas la jouissance.
Après plusieurs minutes de ce traitement intensif à être ainsi besogner, il en fit de même avec son cul quil bourra plus que raison à grands coups de boutoirs puissants et inquisiteurs jusquà quil jouisse tout au fond de ses entrailles dans de longs râles de mâle tel un cerf en rut
Durant ce temps, Lucie, quant à elle, se retrouva à genoux. Ronan derrière elle, s'occupant de sa chatte et devant Messire Léon. Celui-ci ne tarda pas à dégager sa volumineuse queue déjà bien bandée de ses chausses. Lucie la pris en main afin de la masturber avec douceur et savoir-faire. Elle rêvait de prendre cette grosse verge en bouche. Messire Léon adorait cette sensuelle bouche, si accueillante avec ses grosses lèvres fort développées, qu'il n'hésita donc pas une seule seconde à pénétrer entre ses douces lèvres. La jeune Lucie pris ce phallus au plus profond de sa gorge, n'hésitant pas à serrer ses lèvres sur toute la longueur de cette verge si raide pour la sucer, en aspirant bien à fond chaque fois qu'elle la sentait s'enfoncer.
Et quelques instant plus tard, ce fut Ronan qui après l'avoir bien pris sa chatte par une torride baise à grands coups de reins cadencés, lâchât, lui aussi, sa jouissance en elle, éjaculant de tout son sperme, tout au fond du vagin de la soumise, en se vidant les couilles abondement. La jeune fille aimait être prise ainsi avec dominance et virilité et elle en gémissait de désirs orgasmiques forts
Il fallut une dizaine de minutes pour que les deux hommes retrouvent une érection virile après leur éjaculation respective. Bandaisons possibles grâce aux soins prodigués par la belle qui les suça à tour de rôle étant accroupie entre les deux mâles debout autour delle... Une fois donc de nouveau en forte érection, ce fut de nouveau Ronan qui présenta encore et encore sa queue à la bouche de Lucie tandis que Messire Léon encula alors Lucie virilement tout en lui claquant violemment la croupe d'une main ferme...
Pendant ce temps, Kate toujours renversée sur la table et ses cuisses largement ouvertes, le Seigneur dEvans y enfouit sa langue avide, plongée au plus profond de cette grotte humide, envahie d'une impressionnante quantité de cyprine. Mais le Maître était un homme gourmand du plaisir féminin. Kate gémissait très fort, ses cuisses tremblotaient, tandis que la langue habile et baladeuse du Maître la titillait si bien qu'elle en était parcourue par une vague de plaisir sans fin... Ce n'était que gémissements, râles et soupirs.
- Ho Maî
Maître, s'il vous plait, plus viiiiiite
Hooooooooo, ouiiiiiiiiiiiiii
continuez ... c'est bonnnnnnnnnnn!
Il s'arrêta juste le temps de lui dire :
- Alors, jouit Ma chienne, je le veux
- Ahhh, ouiiiiiii Maaaaîîîîîîîîîîîttttttrrrrreeeeeeee
Hooooooooo, ouiiiiiiiiiiiiii
Le Maître s'abreuva à la chatte dégoulinante de Kate dont le corps était secoué de puissants spasmes telles des décharges électriques parcourant tout le corps de la belle et dont les cuisses enserraient son visage. Il ne cessait de la lécher, savourant son plaisir, sa jouissance comme un divin Nectar. Et lorsqu'elle se détendit enfin, elle osa dire :
- Merci Maître, Votre noble langue est si habile et bonne
Il la releva en l'attirant à Lui. Il la prit dans ses bras, lui murmurant
- Mmhh, Ma petite chienne, tu es tellement délicieuse, mon ami Antonin, en a bien de la chance.
Voyant qu'elle était très fatiguée par ce torride orgasme et même si elle essayait de ne rien montrer, Il lui ordonna :
- Aller, maintenant, va te coucher Ma belle, tu en as besoin.
- Bien Maître, merci Maître, bonne nuit à Vous
.
Durant ce temps, Ronan se retira également suivi peu après par Messire Léon. Le Seigneur appela Lucie. Il retourna s'assoir à Sa place et lui lança :
- Aux pieds, chienne.
Lucie se dirigea vers Lui et attendit à genoux, tête baissée, mains dans le dos. Il lui prit un téton, le pressa, le vrilla, et létira fortement, en disant d'un ton sec.
- Regarde-moi, salope.
Lucie leva sur le Maître avec des yeux emplis de dévotion et de larmes, tant il malmenait son téton, mais cela lui plaisait car elle aimait ce genre de traitement qui lexcitait toujours et le Seigneur le savait très bien.
- Tu sais ce que j'attends de toi, en cet instant, chienne ?
- Heu
non Maître, je vous présente mes excuses, mais je ferai tout ce que vous exigerez.
- Tu n'as donc pas de mémoire... La dernière fois que j'ai pris possession de ta bouche de salope, tu ne m'as pas satisfait.
- Je m'en souviens Maître et subirai votre juste sanction pour cette faute inacceptable de ma part.
- Alors sache que j'ai décidé de ne pas te sanctionner car je n'étais pas au courant que tu étais très fatiguée car tu passais toutes tes nuits quasi sans dormir, pas plus d'une heure ou deux, afin dassurer la surveillance dAmélie dans le couloir. Et grâce à cela, nous avons démasqué la traitresse
Lucie baissa la tête et disant d'un ton très humble.
- Merci à Vous Maître, merci de Votre clémence.
- Donc maintenant, tu vas recommencer et tu as intérêt cette fois à Me satisfaire. Dans le cas contraire, je doublerai la sanction que j'avais prévue pour toi
Lucie commença alors à lécher de bas en haut avec une infinie douceur et savoir-faire cette verge dressée qui se présentait devant sa cavité buccale, puis elle le prit totalement en bouche et suça, aspira, faisant tourner sa langue tout autour en descendant doucement. Modifiant la pression de ses lèvres sur le membre dressé du Maître et Seigneur adoré. La belle soumise faisait aller et venir cette queue si raidie dans sa bouche repassant de nouveau sa langue sur tout la longueur. Par moment, elle suçotait le gland lui donnant de petits coups de langue et une quantité infinie de baisers sur la totalité de la Verge du Maître, sans oublier ses bourses remplie qu'elle suça, aspira, goba aussi. Au bout de longues minutes, elle entendit le Seigneur dEvans émettre des sons de plaisir qui devenaient de plus en plus forts pour se transformer en râles presque jouissifs. La jeune fille le reprit alors totalement en bouche et se remit à sucer avec avidité, quand soudain le Maître saisit une touffe de cheveux et maintint fermement sa tête pour imposer le rythme des va-et-vient jusquà enfin lâcher Sa noble semence dans la bouche de Lucie qui avala le tout avec délice et reconnaissance... Puis elle se prosterna au pied du Maître, attendant le verdict de sa prestation emplie de dévotion... Le Maître lui dit légèrement essoufflé :
- Tu as été parfaite, Ma salope
Il est même rare que l'on m'ait prodigué une si exquise fellation...
(A suivre
)
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