Revanche
C'est un souvenir douloureux, impossible à effacer de ma mémoire. Je me souviens de chaque détail comme si c'était arrivé hier.
Les bruits surtout. J'ai l'impression de les entendre encore. Quand j'ai une insomnie, la nuit, je revis cette journée inlassablement. Certains bruits font plus mal que d'autres, ce sont les rires de mes camarades de classe. Mes meilleurs copains que j'avais invités pour mon anniversaire qui se foutaient de moi. Le claquement des chairs. Les premiers gémissements de ma petite sur. Et puis ses supplications, pour qu'il la baise plus fort.
Elle en voulait encore. Elle quémandait. Et elle s'est avilie devant lui, elle s'est agenouillée pour le sucer. J'étais tellement mal, j'aurais voulu mourir.
L'histoire est trop pénible à raconter, je vais donc simplement la résumer.
Pendant toute ma scolarité au collège, ce type m'a tourmenté. À peine plus âgé que moi de quelques mois, mais beaucoup plus costaud, il prenait du plaisir à me rabaisser devant les autres. Pendant quatre longues années, j'ai été son souffre-douleur, sa tête de turc. Tous les jours, il me traitait comme de la merde.
Ce jour-là, je fêtais mon anniversaire (18 ans) avec quelques amis et ma petite sur, bien sûr. Je dis toujours ma petite sur parce qu'elle est plus petite que moi en taille, mais en réalité nous sommes jumeaux.
Mon tourmenteur est arrivé en fin d'après-midi. Impossible de l'empêcher d'entrer. Il s'intéressait seulement à ma petite sur. Ils ont fricoté ensemble un moment, comme s'ils étaient amis depuis longtemps. Ils ont dansé et flirté, et je me suis éloigné parce que j'étais trop jaloux de les voir ensemble.
Mes copains sont venus me chercher, tout excités, et m'ont entraîné vers la chambre de ma petite sur.
Devant un auditoire d'une demie-douzaine de personnes, allongée sur son lit, à moitié nue, ma petite sur se faisait baiser par ce salaud, et à en juger par ses encouragements, elle aimait çà! Elle avait tout oublié, les spectateurs qui filmaient avec leur portable, sous ce salaud, elle s'offrait, impudique, et devant cette orgie de sexe, les quolibets de mes camarades, un voile rouge est passé devant mes yeux et j'ai perdu conscience.
J'aimerais pouvoir dire que j'ai perdu la mémoire en même temps, mais ce n'était pas possible. Les moqueries de mes copains jusqu'à la fin de l'année scolaire ont entretenu mon humiliation. Et la rumeur, ceux qui n'étaient pas là, qui n'avaient rien vu, mais qui racontaient en amplifiant les événements. Mais le pire c'était l'attitude dévergondée de ma petite sur, qui poursuivait son séducteur de ses assiduités comme une chienne en chaleur, soumise et complice. D'ailleurs, maintenant, j'ai rompu tout contact avec elle.
J'aimerais pouvoir dire que je me suis révolté ce jour là, mais je me suis juste écrasé, vaincu et docile.
Cependant, je suis sur le point de prendre ma revanche. J'ai bossé dur, et j'ai réussi socialement. J'ai une femme désirable, aimante et attentionnée, un bon emploi, un appartement, une voiture. Jeune cadre dynamique, je suscite l'envie. J'ai tellement bien réussi que je fais des envieux. Et parmi ces envieux, il y a la sur de mon tyran, mon tortionnaire, mon bourreau, celui qui m'a pourri la vie tout au long de mes années de collège.
Car il s'avère que sa sur, par une étrange coïncidence, a essayé de reprendre contact avec moi. Elle meurt d'envie de me revoir pour effacer les malentendus qui ont perturbé nos deux familles. Elle a repris contact avec moi par l'intermédiaire d'un réseau social et j'en ai parlé tout de suite à ma femme. Je ne veux surtout pas mettre en danger mon ménage, car je suis fou amoureux de ma femme. Je suis marié avec une femme splendide, intelligente, douce, et je ne veux pas prendre de risque pour ma vengeance.
Ma femme sait tout de mon adolescence perturbée. Mon tortionnaire qui a pourri mon adolescence. Ma petite sur que je ne vois plus. Je lui ai tout raconté et d'ailleurs, à une époque, ma femme avait essayé de renouer les liens avec ma petite sur, mais sans succès. D'ailleurs, c'est à la suite de ses démarches infructueuses que la sur de l'autre salopard a voulu me revoir. Comme quoi, les grands esprits se rencontrent parfois.
Donc, la sur de mon bourreau voulait me revoir et c'est ma femme qui m'a insufflé la force d'effec la démarche. C'est elle qui a élaboré ce plan machiavélique qui devait faire tomber cette fille dans un piège qui jetterait le déshonneur sur son frère et qui me vengerait.
Depuis quelques semaines, la sur de mon tortionnaire et moi tchatchons sur un réseau social bien connu. Non, je ne veux pas tromper ma femme, je veux juste me venger. D'ailleurs, ma femme est à mes côtés, et c'est elle qui me dicte ce que je dois lui écrire. Ma femme sait tout du calvaire que j'ai vécu, son amour m'a beaucoup aidé à surmonter la douleur qu'il m'a infligé, mais elle me dit que la vengeance finira de cicatriser mes plaies.
Donc, au bout de plusieurs semaines de tchatche, la conversation a commencé à glisser sur la pente sexuelle. Sans ma femme à côté de moi pour me dicter les mots, je n'aurais jamais pu aller aussi loin dans l'érotisme, et finalement la sur de mon bourreau m'a avoué qu'elle me désirait depuis longtemps et qu'elle souhaitait ardemment être ma maîtresse. J'étais à la fois abasourdi par cette révélation et inquiet car elle me demandait de garder le secret vis-à-vis de ma femme!
Je ne voyais pas bien comment arriver à me venger dans ces conditions, mais encore une fois ma femme avait tout prévu, tout organisé, tout planifié! Je devais me rendre chez cette fille, lui demander de me faire une fellation comme preuve de son désir pour moi, elle agenouillée devant moi debout, la filmer avec mon portable pendant l'acte, décharger mon foutre sur sa gueule, et poster le tout sur notre réseau social préféré. Elle serait parfaitement reconnaissable, moi pas, et son frère aurait la honte de sa vie!
Ma femme, cette épouse extraordinaire, imaginait tout cela depuis le début, étape par étape. Elle était parfaitement consciente que mon souhait n'était pas de me faire sucer la bite, ou de la tromper avec une maîtresse, mais d'embarrasser son tyran de frère.
J'ai toqué à sa porte, le cur battant. Je n'étais jamais venu ici auparavant. Dans le temps jadis, on se voyait au collège, on se croisait dans un bar, ou dans la rue. De mémoire, elle était plutôt bien faite, et sympa. Mais je la fuyais à cause de son frère.
Finalement la porte s'ouvrit. Elle se tenait là, devant moi, et j'ai pensé qu'elle était plutôt bandante. Non, je n'étais pas excité par l'idée de la baiser. Je ne pensais qu'à me venger. Mais quand même, c'est plus agréable avec une jolie fille plutôt qu'avec un laideron. Elle était court-vêtue et, dans mon souvenir, elle n'avait pas les seins aussi plantureux ni les hanches aussi rondes. Mais quand même, j'étais content de ce que je voyais et je lui ai souris. Elle m'a rendu mon sourire. Elle avait une grande bouche avec des lèvres charnues peintes en rouge vif. Et la seule idée qui m'est venue à l'esprit c'est que très bientôt, elle allait s'agenouiller devant moi et que j'allais mettre ma bite dans cette bouche!
Mais je ne voulais pas prendre le moindre risque d'éprouver des sentiments pour cette femme. J'étais là pour me venger, et c'est tout! Pas pour prendre du plaisir! Ou pour tromper ma femme!
Je ne voulais pas m'attarder ici. J'ai décidé d'aller droit au but. Je lui ai demandé de me conduire vers sa chambre à coucher. Elle a ri. Un rire clair, sonore, qui secouait sa poitrine. Un instant, j'ai perdu pied.
J'avais envie d'enfouir mon visage entre ses seins lourds. Mais elle m'a dit que nous ne pouvions pas du tout utiliser la chambre. Elle m'a dit que sa meilleure amie, une femme mariée, a-t-elle précisé avec un clin dil complice, avait besoin d'un endroit sûr pour rencontrer son amant, et qu'elle lui avait prêté sa chambre.
"Tu veux écouter? En fait, ils sont assez bruyants, et c'est plutôt drôle!"
J'ai pensé que c'était plutôt une bonne idée.
Elle m'a prit par la main pour m'entraîner derrière elle dans l'escalier qui menait aux chambres. Je regardais fasciné son cul danser devant moi.
Elle avait une cambrure de rein à damner tous les saints du paradis. Un instant, j'ai regretté de devoir me contenter d'une fellation.
En approchant de la porte, j'ai réalisé à quel point elle avait raison. Ils étaient incroyablement bruyants. Le lit craquait, le sommier grinçait, et la tête de lit claquait contre le mur. Et puis, j'ai entendu la femme gueuler.
Je n'avais jamais entendu une femme exprimer sa jouissance de cette façon.
Des vocalises qui passaient alternativement de l'aigu au grave, accompagnées de gémissements, de grognements, entrecoupés de halètements.
D'une puissance vocale sans égale, éperdue de luxure, elle jouissait sans discontinuer. J'ai immédiatement pensé que ce n'était pas possible, que ça n'existait pas! Qu'elle avait mis un porno amplifié par une chaîne stéréo et que c'était une actrice qui jouait ce numéro! Elle voulait me sucer dans ce couloir et elle avait préparé cette mise en scène, ces sons derrière cette porte close, pour m'exciter pendant l'acte.
Mais même si cela ressemblait à du porno, ce n'en était pas. La femme était réellement en transe, perdue dans l'extase, et elle ne réagissait pas aux propos très dégradants de son amant. Par contre, elle réagissait parfaitement aux coups de bite qui lui foraient la chatte. L'homme la dominait, l'insultait, la baisait et elle adorait cela, réclamant plus encore!
J'ai demandé à la sur de mon bourreau si cette femme était vraiment mariée.
"Ouais, son mec est impuissant. Elle vient ici se faire baiser par des mecs plusieurs fois par semaine."
"Ce n'est pas toujours le même?"
"Ouais, c'est une tordue! Elle aime le sexe brutal! Être insultée, dominée,
tout ça, quoi!"
Doucement, elle a caressé ma braguette et la bosse qui se formait dans mon pantalon. Je commençais à avoir du mal à écouter les cris de cette salope qui trompait son mari.
"Hé, tu es à l'étroit là-dedans, pourquoi ne te mettrais-tu pas à l'aise?"
Joignant le geste à la parole, elle a dégrafé mon ceinturon et ouvert mon pantalon. J'ai sorti ma bite et elle a commencé à jouer avec.
Sa douce main a repoussé le prépuce, puis elle s'est craché dans la main pour me caresser le gland. Elle a caressé mon gland en effectuant une rotation, glissant ma bite entre son pouce et son index formant comme un anneau, enserrant ses doigts dans le creux entre la tige et le gland pour exciter le frein si prompt à démarrer!
Avec tout le boucan que faisait ce couple dans la pièce à côté et l'attitude de la sur de mon intimidateur qui me masturbait, j'étais sûr de ne pas pouvoir résister longtemps. Puis elle sortit son téléphone pour envoyer un SMS.
J'ai trouvé cela bizarre alors j'ai bloqué sa main pour qu'elle arrête de me masturber.
"Désolée, ne m'arrête pas. Je viens juste de penser que je dois répondre à un ami."
Je la relâchais pour qu'elle continue, mais presque instantanément, le boucan de l'autre côté de la porte a cessé.
Et aussitôt, la femme a commencé à se lamenter: "Bébé, n'arrête pas, baise moi encore, s'il te plaît?"
Bizarrement, sa voix ressemblait à celle de ma femme, mais en plus vulgaire. Elle voulait qu'il continue, elle s'avilissait, le suppliant, tantôt larmoyante, tantôt ordurière.
Puis la sur de mon agresseur a fait coulisser sa main tout au long de ma bite. Elle a dit qu'elle voulait que je termine bientôt. En disant cela, elle se passait la pointe de sa langue sur ses lèvres rouge d'un air gourmand. Avec sa main qui pressait fermement ma tige, elle a lentement et doucement caressé le prépuce avec l'ongle de son pouce. Si elle me donnait juste un coup de pompe ou deux, je savais que j'exploserais. J'étais au bord du gouffre et clairement, elle le savait aussi. Elle me défiait du
regard, son corps appuyé tout contre le mien, et j'étais obligé de me concentrer pour me retenir encore un peu.
Obnubilé par l'effort de retenir la montée du plaisir, je n'avais pas réalisé qu'elle avait ouvert la porte de sa main libre, jusqu'à ce qu'elle repousse la porte qui s'est ouverte en grand. J'ai détourné mon regard dans la chambre. Juste à côté de la porte, debout, un homme nu me tournait le dos. Agenouillée devant lui, se trouvait la salope que nous entendions jouir à haute voix.
Alors que la sur de mon tortionnaire me taquinait encore le gland, j'ai entendu l'homme dire:
"Quand tu seras prête, enlève ma bite de ta bouche."
J'ai tout de suite reconnu la voix. C'était celle de mon tyran, mon bourreau, mon tortionnaire. Mais avant même que je puisse réagir, la femme a retiré la tête arrière, libérant le sexe de l'homme. Il posa son pied sur la tête de la salope et abaissa son visage contre le tapis. Puis il s'est retourné, m'a fait un sourire vainqueur, a contourné l'épouse infidèle, qui était maintenant à quatre pattes, visage appuyé sur le sol, fesses pointées vers le haut, prête à se faire sodomiser par son amant.
Il s'est accroupi derrière elle, a craché sur l'anus de la traînée, la saisit par les hanches pour s'arcbouter contre son cul. Il l'a pénétrée d'une seule poussée, d'un grand coup de bassin, l'empalant avec brutalité dans un éclat de rire sardonique. Le hurlement qu'a poussé la femelle m'a glacé le sang, heureusement sa sur avait continué de me branler doucement sinon j'aurais débandé.
Dès que la salope s'est calmée, il a commencé à la baiser, puis il a attrapé une poignée de ses cheveux.
Enfin, sa sur a relâché sa prise ferme sur mon sexe sans cesser de me masturber.
Mon tortionnaire a commencé à relever la tête de sa salope en tirant sur sa tignasse, sa sur a accéléré sa masturbation.
Un coup ... deux coups ... J'ai sentis mes couilles se serrer et envoyer mon foutre dans la tige.
Juste au moment où j'allais décharger, j'ai pu enfin voir le visage de la femme. Au moment même où mon premier jet a jailli, adroitement la sur de mon bourreau a dirigé le jet de foutre vers le visage de la femelle grimaçante de plaisir qui a ouvert la bouche en tirant la langue pour recueillir quelques gouttes.
J'ai éjaculé de longs jets de sperme sur le visage de ma femme, ma tendre épouse, ma chérie, sans pouvoir me retenir, toujours branlé par la sur de mon bourreau qui dirigeait adroitement mon jet de foutre vers la bouche de ma salope de femme.
Le rire de mon tortionnaire. Le claquement des chairs, le pubis de mon bourreau qui claque contre le cul de ma femme. Et puis, ces grognements de pur plaisir charnel qui sortent de la bouche de ma femme pendant qu'il la
sodomise violemment. Et le pire, le rire de ma petite sur, assise nue sur le lit et qui contemple la scène en se caressant la chatte. On ne peut faire confiance à personne quand on veut se venger.
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