Attachée

« À genoux. Maintenant. »

Je pose le verre que je tenais à la main, regarde mon maître qui tenait mon collier à la main et m'exécute lentement. C'est ce que j'adore avec lui, sa manière d'interrompre le moment présent pour me soumettre pour assouvir ses pulsions. Je frémis lorsque la boucle métallique de mon collier entre en contact avec ma peau, je sens ma chatte être de plus en plus mouillée alors qu’il tire légèrement sur ma laisse. Je le regarde, si charismatique avec ses cheveux poivre et sel, son regard froid dans lequel brille la lueur de la luxure.

« Aujourd’hui, je vais te priver de tes mains petite chienne. Croise tes poignets dans ton dos, je vais t’attacher, tu ne pourras plus les bouger. »

Un gémissement m’échappe alors qu’il serre fort, trop fort, le lien qui entrave mes mouvements. Aussitôt une impulsion dans ma laisse me corrige, sa voix rocailleuse résonne au creux de mon oreille :

« Si je t’entends encore une seule fois protester, je te punirai. Alors maintenant, sois une bonne soumise et tais-toi. » Il me pousse en avant, je suis déséquilibrée et je tombe à quatre pattes, le cul totalement offert à sa vue, la tête écrasée au sol. Sa main s’abat sur mes fesses, je sens la douleur, la honte m’envahit d’être si vulnérable. Et puis, je m’abandonne… Le plaisir m’envahit alors qu’il continue son châtiment sans relâche. Et soudain, plus rien. Mon cul est brûlant, je peux encore sentir sa main, ma chatte trempée exposée n’attends que d’être remplie.

Du bout de ma laisse il me relève, je ne me sens jamais aussi soumise que lorsqu’il utilise cet accessoire, la pression sur ma gorge m’excite et il le voit…

« Relève toi, ouvre la bouche salope. Suce-moi, applique-toi. »

Sa main agrippe ma queue de cheval, et il commence à me baiser la bouche, il m’impose son rythme, je ne peux rien faire, les mains liés derrière le dos comme ça. Il force ma gorge et enfonce sa bite de plus en plus profond, ma langue le caresse alors qu’il fait des va-et-vient de plus en plus rapide… D’un coup il se retire, sa main saisit ma gorge et lève mon visage vers lui, il se branle et claque sèchement ma joue, pour me rappeler que je ne suis qu’une soumise.

Il branle son gland gonflé sur ma langue que je tends au maximum, je vois dans son regard qu’il hésite à jouir sur mon visage.

« J’aime te voir être aussi chienne… Ma soumise, incapable d’utiliser ses mains… Tu seras encore plus belle quand j’aurai couvert ton cul de sperme. »

Je n’en peux plus, ces paroles vulgaires m’excitent encore plus si c’est possible, je prie pour qu’il me baise sauvagement là, tout de suite. Je me retrouve à nouveau la tête sur le sol, il me prend en levrette, ses coups sont violents, ses couilles claquent contre mon cul. Je gémis, essayant de retenir mes cris, ma jouissance, mais lorsque je sens un doigt s’introduire dans mon cul je cède et ma voix remplit l’appartement. Il tire sur mes cheveux, il me fesse, ne cesse de me rappeler que je suis une salope, ses coups ne faiblissent pas. Je jouis, je jouis fort, bruyamment, mes jambes tremblent de plaisir, et rapidement il se retire. Je sens les jets de sperme sur mes fesses, sa semence coule lentement dans mon dos, il caresse mon cul rougit. Il m’ordonne de ne pas bouger et part chercher son téléphone.

« Il faut immortaliser ce tableau, tu es magnifique, les fesses rouges, souillées, tes mains liées, ton collier… Il faut que tout le monde puisse voir à quel point tu es une belle chienne soumise, je la posterai bientôt. Laisse-moi te libérer maintenant. »

Mes poignets sont endoloris, après m’avoir nettoyée il me les masse, m’embrasse tendrement, me récompense de mon obéissance par ses gestes attentionnés. Je m’endors, toujours nue, mes accessoires posés sur le lit à mes côtés. Jamais bien loin pour une nouvelle utilisation…