Femme De Ménage 2

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je t’écris cette lettre pour te signaler une situation qui a lieu depuis quelque temps chez Nini.
Tu ne le sais pas, mais je suis au courant de tout

Évidemment, tu sais que Nini a embauché il y a quelques semaines une nouvelle femme de ménage. C’est une algérienne, bien en formes, nommée Kadidja...
Ta mère, qui approche de la soixantaine, est devenue la soumise, l’esclave, la chose de cette femme de quinze ans sa cadette... voici comment...

C’est au début de l’été que cette algérienne s’est pointée et a pris son service auprès de Nini.
Au fil des semaines, les rencontres sont devenues plus... moins... enfin voilà!

Premier mouvement: prélude
Elles étaient dans la salle de bains, occupées à ranger le linge...
-Madame Nini, votre culotte propre je la met où?
-Oh, ranges là dans le débarras Kadidja.
Kadidja prend la culotte, la caresse et la sent.
-Que fait-Tu, s’insurge Nini.
-Je sens votre odeur madame...
-Euhhh... bon ça suffit!
Et ta mère a récupéré sa culotte en rougissant...

Second mouvement: variation
Dans la salle, Kadidja aide ta mère à mettre une robe.
-Mais enfin Kadidja, tu n’as pas à toucher mon derrière!
-Oh excusez-moi madame, c’est qu’il est si beau, si large...
-Euhhh, mais tu es quand même bizarre ma petite Kadidja!
Et malgré son trouble évident, ta mère l’a laissée continuer pendant un moment... puis.
-Bon! Tu arrêtes maintenant Kadidja: je ne mange pas de ce pain là moi...
Kadidja s’est exécutée, le sourire aux lèvres.

Troisième mouvement: fugue
Ta mère est dans sa chambre tandis que Kadidja s’affaire en cuisine.
Nini est nue, étalant son gros corps sur l’ensemble du lit. Sa main droite fouille sa chatte poilue et elle rêve à l’homme qu’elle voudrait avoir à ses côtés.
Kadidja, ayant fini sa vaisselle entrouvre la porte et voit les boucles brunes de ta mère tressauter au rythme de sa jouissance.

Elle s’avance et voit les gros seins qu’elle désire tant goûter un jour se mouvoir également tétons bien dressés.
Alors Kadidja entre doucement dans la chambre et relève sa robe tout en dévorant des yeux le pubis et les seins de ta mère.
Elle se caresse doucement, sans faire de bruit et profite du spectacle de cette femme grasse, jouissant sans entrave.
Nini ouvre alors les yeux et voit son employée.
-Kadidja, que fait-tu?
Kadidja reste stoïque, la main dans sa culotte, ses gros seins pointants en avant...
-Je vous regarde madame, vous êtes si belle...
Interdite, ta mère se lève et lui colle une gifle.
Kadidja s’en va, claquant la porte...

Quatrième mouvement: toccata
Kadidja est assise aux côtés de ta mère, discutant de choses et d’autre autour d’un café. Elle aborde enfin le sujet qui l’intéresse.
-Pour hier...
—Kadidja, on ne va pas parler de ça!
La main de ta mère enserre violemment sa tasse de café.
-Mais enfin madame, je vous trouve tellement belle!
Ta mère rougit.
-Non je suis grosse. Et puis je ne suis pas comme ça!
-Mais non vous n’êtes pas grosse, vous êtes juste comme moi, un peu plantureuse... dans mon pays, les hommes aiment ça tu sais... les femmes aussi d’ailleurs...
Ta mère, devant cette invite à peine voilée, résiste encore.
-Non Kadidja: tu es gentille mais non: j’aime les hommes un point c’est tout!
Kadidja n’insiste pas, sentant toutefois que la préférence inébranlable de Nini est en train de perdre du terrain...

Cinquième mouvement: canon
Alors qu’elle se rend chez sa cliente, Kadidja est excitée...
C’est pour aujourd’hui, c’est sûr et certain. Avant ce soir cette salope blanche sera à elle...
Elle entre dans l’appartement dont elle a la clef et trouve Nini assise dans son canapé, à regarder la télé, comme d’habitude.
Elle lui fait la bise et commence à épousseter les meubles. Lorsqu’elle arrive au canapé, Nini se lève.
En faisant cela, le haut de sa robe mal fermée laisse entrevoir un sein lourd car elle ne porte pas de soutien gorge.
-Vous pouvez continuer Kadidja.
Kadidja est certaine qu’elle a fait exprès. Elle n’y tient plus, elle se sent complètement excitée... heureusement qu’elle n’a pas mis de culotte aujourd’hui...
Alors elle att Nini par derrière et la force à se retourner.
-Mais que veux-tu enfin? fait Nini l’air outrée
Kadidja essaie de l’embrasser mais se fait repousser...
-Ne me touche pas, je vais crier! À présent sa voix est affolée...
-Je sais que tu en as envie grosse salope, alors laisse moi faire...
Alors ta mère s’affole et essaie de fuir, sans succès. Kadidja la tient fermement pas un de ses bras et l’entraîne jusque la chambre. Elle la jette sur le lit qui craque et se met sur elle, l’embrassant à pleine bouche tandis que ses mains déchirent la robe d’intérieur qu’elle portait.
Elle tient un de ses gros seins dans sa main et le malaxe jusqu’à ce que le téton ressorte bien. Alors elle le mord violemment, faisant crier sa victime...
Dans le même temps, sa main déchire la culotte de Nini qui se tord pour essayer de se retirer de ce piège.
-Arrête Kadidja, tu me fait mal!
Enfin les doigts de Kadidja entrent dans la fente de Nini: elle est mouillée, voire détrempée, ce qui dément la colère dont elle essaie de faire preuve...
Kadidja trouve rapidement le bouton d’amour de sa maîtresse qui se calme soudain, prise d’un orgasme inattendu.
-Alors grosse pute, tu aimes bien les arabes, hein?
La peau brune de Kadidja semble se mêler à la peau très blanche de Nini qui répond enfin aux baisers de son employée. Alors enfin, les mains de Nini commencent à caresser le corps de Kadidja, s’enfouissant dans ses replis si odorants et caressants les décorations au henné qu’elle découvre autour de ses seins.
L’employée est presque heureuse: elle a mâté sa maîtresse, de belle manière et à présent elle en profite, goûtant tous ses recoins, léchant l’ensemble de son corps, la faisant jouir comme elle n’avait joui auparavant.
..
Ta mère s’est laissée faire, se faisant violer ses intimités par Kadidja...
Enfin, repues, les deux femmes s’assoupissent, nues, sur le lit brisé...

Dernier mouvement: magnifico
Kadidja se lève doucement, laissant sa maîtresse dormir..
Elle récupère l’objet dans son sac et se le ceint autour de ses hanches larges. Elle s’approche de Nini qui dort sur le côté et lui met une claque d’une main en tenant sa gorge de l’autre.
Ta mère se réveille brutalement et écarquille les yeux devant ce qu’elle voit.
-Suce ça grosse pute de colonialiste, je suis sure que tu vas aimer, salope...
Un énorme gode se trouve devant le visage de Nini qui se voit contrainte de l’avaler tandis que Kadidja imprime des mouvements de va et vient. L’engin est énorme, il mesure au moins trente cm de long et sa circonférence est d’une taille indécente. Nini a peur à présent. De ses mains, elle essaie de repousser Kadidja qui la frappe violemment...
-Plus tu me suceras, moins t’aura mal quand je te le mettrai, pigé?
Alors ta mère, en pleurs, s’exécute et met le maximum de salive sur ce gode qu’elle redoute... pendant ce temps, Kadidja attache les bras de ta mère aux montants du lit, la paralysant.
Enfin Kadidja retire l’engin de la bouche de ta mère et l’oblige à écarter ses cuisses grasses. Ta mère bat des jambes et essaie de se détacher et Kadidja est obligée de lui donner des claques pour la calmer...
-Tu vas m’obéir grosse lope: c’est mon tour de commander, compris?
Ta mère, les joues rouges des coups qu’elle a reçue, humiliée, se laisse enfin faire, terrifiée...
-Oui maîtresse, répond ta mère d’une voix entrecoupée de sanglots...
Alors Kadidja pénétre le vagin de ta mère violemment, lui faisant écarquiller les yeux... Nini sent la douleur monter tandis que l’énorme objet navigue en elle, défonçant tout son appareil génital.. la douleur se mêle au plaisir tandis que Kadidja continue de l’insulter à chaque coup de boutoir.
..
Enfin Kadidja se retire et laisse sa victime humiliée au milieu du lit, coulant de son vagin martyrisé.
Kadidja rit à gorge déployée devant la détresse de Nini. Elle caresse le gland de son gode et vient se placer sur le côté de sa maîtresse... elle détache l’un des liens, lui permettant ainsi de se mettre sur le flanc. Kadidja att alors les deux gros seins de ta mère et, s’en servant comme support, donne un bon coup, entrant violemment dans son gros cul...
Ta mère crie comme une damnée tandis que sa tortionnaire la travaille, lui détruisant son fondement à l’égal de son vagin...

Voilà ma chère, c’est ainsi que ta mère est devenue la pute d’une algérienne qui à présent la viole tous les jours que dieu fait.

Anonymous...

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