Dégradation D'Une Bourgeoise 4
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Deux semaines se passèrent sans que jaie de nouvelles de Gérard. Jétais à la fois soulagée et frustrée. Je maperçus avec horreur que je prenais goût à cette soumission continuelle ; que jattendais son coup de téléphone sans oser me lavouer. Un jour vers 17h le téléphone sonne :
- Bonjour salope ; je passe te prendre dans une heure : maquillage de pute
pour le reste je men fous, tu seras quand même à poil.
Il raccrocha sans attendre ma réponse. Javais honte car cet appel, si bref fut il avait trempé mon entrejambe. A lheure dite il vint me prendre. Nous avons quitté la ville et roulé durant une dizaine de minutes dans une banlieue sinistre pour arriver dans une zone industrielle désaffectée. Devant nous : une usine en ruine. Il me fit sortir de la voiture, fixa un collier à mon cou, y attacha une laisse et me banda les yeux.
Comme une chienne, il memmena. Je sentais sous mes pieds que je marchais sur du béton assez inégal. Il sarrêta après ce qui me parut une centaine de mètres, mordonna de me mettre nue et attacha mes poignets en hauteur, fixés par des menottes.
Je ne dû pas attendre longtemps pour quun fouet frappe mes seins dabord, puis mon dos et mes fesses pour terminer sur mon sexe.
Puis une main vint triturer mes seins et pincer durement les tétons. Je poussai un cri de douleur. Une autre main sattaqua à mon sexe et y enfonça un, puis deux doigts en me branlant violemment.
Je pris conscience quil y avait plusieurs mains qui parcouraient mon corps et que par conséquent il y avait dautres personnes dans la pièce.
Un pincement plus aigu de mes tétons me fit mettre à genoux et aussitôt une queue força ma bouche.
La voix de Gérard retentit :
- Amusez-vous ; vous avez payé pour une heure. Quand vous avez fini, vous lattachez car cette pute a encore un client. Quant à toi salope, naie crainte sils te baisent sans capote ; jai vérifié : ils sont cleans.
Ainsi pour lui jétais devenue une pute quon louait à lheure. On menleva mon bandeau et je vis trois hommes, deux jeunes et un vieux, le sexe dressé qui me contemplaient en ricanant.
- On va te combler sale pute ; on te prendrait bien par tous les trous, mais il paraît que ton cul est réservé au suivant.
Je mis un certain temps à comprendre que jallais être sodomisée. Javais toujours refusé ce rapport que mon mari aurait bien voulu forcer. Je me savais très étroite et une tentative avec un gode mavait causé une telle douleur que je ne désirais pas renouveler lexpérience. Paniquée, je suppliai Gérard de mépargner cette épreuve mais un des hommes me répondit :
- Te fatigues-pas, il est parti ton Gérard ; il paraît quil avait autre chose à faire.
Jétais donc à la merci de ces hommes inconnus qui pouvaient faire de moi ce quils voulaient
et ils ne sen privèrent pas ; les queues se succédaient dans ma bouche et dans mon sexe, puis le vieux qui avait lair le plus vicieux me fit mettre à genoux, mordonna douvrir la bouche et surtout de la garder ouverte. Presque aussitôt un jet sortit de son sexe et lurine envahit ma bouche.
- Bois et jusquà la dernière goutte.
Le goût de lurine me soulevait le cur, mais je fus obligée dobéir. Les autres se soulagèrent de leur urine sur mon visage. Jétais dégoulinante, honteuse et complètement avilie. Quavait-on fait de moi, une mère de famille respectable, BCBG, devenue en quelques mois contre mon gré (mais étais-ce vraiment contre mon gré) la dernière des putains livrée au premier venu.
La sarabande continua ; ils voulaient profiter de leur heure. Tour à tour, ils vinrent vider leur semence dans mon vagin. Jétais pleine de sperme. Il inondait mes cuisses.
- Bon maintenant quon sest vidé les couilles, on tattache pour le suivant.
Mon cou, mes poignets et mes chevilles furent attachées à un poteau par des cordes rugueuses, ce qui donna lidée à mes tortionnaires dun passer une dans mon sexe et de lattacher à la corde du cou, mempêchant pratiquement de faire le moindre mouvement.
- Ah voilà la pute dont je dois déflorer le cul.
Il se déshabilla et laissa apparaître un sexe gigantesque, à limage de sa taille.
Je tremblais de peur.
- Monsieur, je vous en supplie, je vous paierai le double de ce que vous avez payé ; baisez-moi comme vous voulez ; fouettez-moi si vous voulez mais ne me sodomisez pas.
- Dans des pays des putes comme toi se paient une fortune ; alors je tai eu pour pas cher ; tu ne timagines pas que je vais te laisser en paix. Commence par me sucer, truie. La seule pitié que jaurai pour toi, cest que je ne tenculerai pas à sec
tu auras droit à du gel.
Je pouvais à peine enfourner son sexe dans ma bouche. Je me dis quil allait me déchirer. Sa queue grossissait et avait presque la taille dun concombre.
- A genoux et vite.
Il menduisit lanus dun produit gluant, y mit un doigt puis deux. Déjà la douleur semparait de moi. Je le suppliai en pleurant de mépargner, de renoncer à me sodomiser. Tout ce que jy gagnai, cest une paire de gifles. Lorsque je sentis quil me pénétrait, jessayai de lui échapper, mais il me tenait les hanches avec ses deux grosses mains. Je hurlai lorsque sa queue savança dans mon ventre. Cela sembla lexciter davantage et insensible à la douleur quil me causait, il commencer à me marteler les fesses. Petit-à-petit, le mal satténua et fit place à un sentiment de chaleur. Javais limpression que son énorme sexe remontait dans mon ventre. Ses couilles frappaient contre mes fesses
. il se servit de moi durant de longues et interminables minutes et tout-à-coup une chaleur étrange menvahit ; je commençai à haleter, puis à couiner ; une jouissance extrême se termina dans un long râle.
Il se releva et se rhabilla, me laissant effondrer sur le sol en béton. A ce moment je réalisai que Georges était parti et que jallais rester seule dans cette usine désaffectée, loin de la ville.
- Sil vous plait Monsieur, ne partez pas sans moi.
- Jai payé pour te baiser, pas pour jouer le taxi. Bon
rhabilles-toi, on part dans deux minutes.
Une fois encore, je paniquai ; où étaient mes vêtements. Je cherchai en vitesse dans la pénombre. Je trouvai ma jupe, mon chemisier, mes escarpins et mon sac, mais impossible de repérer mon soutien et mon string.
- Alors, tu viens ou tu restes ici ; moi je file, tant pis pour toi.
Je le suivis en courant. Nous roulâmes une bonne dizaine de minutes avant darriver dans la banlieue. Il sarrêta à une station de tram.
- Voilà ici tu descends et tu démerdes.
En attendant larrivée du transport en commun, je fis le point. Jétais à moitié nue à une dizaine de kilomètres de chez moi, sans soutien, sans culotte avec un chemisier transparent qui laissait entrevoir ma nudité. Je marchais bizarrement, tant mes fesses me faisaient mal. Mes cheveux étaient encore mouillés de lurine de mes tortionnaires. Javais juste de quoi me payer le tram, donc je ne pouvais prendre un taxi, ni rentrer à pied à cause de la douleur.
Heureusement un tram se présenta rapidement. En voulant masseoir, je maperçus que ma jupe était tâchée de sperme et dun peu de sang. Je restai donc debout dans un coin, sans oser bouger. Cest que je sentais que de mon anus sortait une partie de la quantité de sperme du noir. Je serrai les cuisses, mais la semence coulait sur mes cuisses dénudées. Un voyageur sen aperçut et me regarda dun drôle dil. Je ne savais où me mettre tellement, jétais honteuse, humiliée et salie.
Lorsque jarrivai chez moi, je jetai mes vêtements dans un coin et je restai une demi-heure sous la douche en pleurant. Je regagnai ma chambre et je vis avec stupéfaction que Gérard my attendait, nu, la queue dressée.
- Alors on ta dépucelé le cul
. Couche-toi sur le lit
je vais voir si cest bien fait.
- Pitié Maître jai si mal, laissez-moi ce soir
- Jai dit : couchée sur le ventre
Pleurant toujours, jobéis contrainte et e, ne voulant pas ajouter le fouet à mon martyr.
Gérard senfonça en moi sans ménagement, et jouit rapidement.
- Voilà, jai donc une voie de plus. Je remercierai Mamadou de tavoir si bien préparée. Passe une bonne nuit salope.
Je vidai une demi bouteille de whisky pour tenter doublier ce que javais vécu. En y réfléchissant, je crois que ce qui mavait le plus humiliée, cest davoir joui en étant sodomisée. Finalement, je mendormis dun sommeil peuplé de rêves abominables.
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