Une Fermière Salope

L'éducation sexuelle des adolescents peut revêtir de nombreuses formes, mais de mon temps, il n'existait pas de cours à l'école, des associations, des conseillers ou internet. Quand la puberté arrivait avec son cortège de maux, les changements du corps, l'acné et autres, nous étions obligés de tâter les filles maladroitement dans des endroits obscurs ou de se documenter par la lecture d'un "magazine cochon" qu'un de nos amis pouvait nous passer sous le manteau. Mais nous, dans notre village de campagne, nous avions un phare brillant d'éducation et de connaissances: Mlle Mollie.
Nous vivions dans une banlieue d'un gros bourg de campagne, les activités agricoles étant la principale source de revenus. Dans le village, tout le monde se connaissait ou presque, et les commérages allaient bon train. La majorité des habitants n'avaient pas de mots assez durs pour qualifier Mollie, et dans leurs conversations entre adultes ils chuchotaient des qualificatifs tels que débauchée, catin, traînée et surtout salope qui pouvait être le plus utilisé.
Mollie était encore toute jeunette quand elle est arrivée au village. Une orpheline de l'Assistance placée chez M. Franklin, un veuf, qui avait besoin d'une "bonne à tout faire" pour s'occuper de son intérieur pendant qu'il était aux champs. Elle s'occupait tellement bien de tout dans la maison que M. Franklin avait fini par la mettre dans son lit. Ça lui coûtait moins cher de la payer en nature et de la considérer comme sa compagne, plutôt que comme une employée de maison qu'il fallait rémunérer!
Mollie était une fille simple qui s’accommodait de tout, son seul problème c'était ses démangeaisons dans le bas-ventre. Familièrement, on pouvait dire qu'elle avait le feu au cul. Et au village, on avait plein de jeunes pompiers volontaires pour éteindre son incendie, en utilisant leur lance personnelle, bien sûr!
À l'époque des faits, Mollie devait avoir 25 ans, et M. Franklin le double, à peu près.

Bien évidemment, il était au courant des frasques de sa concubine, les mégères du village, souhaitant qu'il la mette au pas, l'avaient informé depuis longtemps. Il essayait de la coincer sur le fait, ou de la tenir à la maison mais Mollie, vive et légère, parvenait toujours à s'échapper pour rejoindre un galant dans la verte campagne!
Tous les gamins du village connaissaient le terrain de jeu favori de Mollie, et nous nous amusions beaucoup de la détresse et de la colère du pauvre homme qui arpentait les routes et les chemins à la recherche de la "salope".
Derrière chez M. Franklin, il y avait un bois épais et touffu, envahi de broussailles, difficile à pénétrer et qui couvrait plusieurs hectares. Dans ce bois, une clairière avec une vieille grange à l'abandon qui se trouvait dans un état de délabrement avancé.
Les parents nous en interdisaient l'accès, pour quelque raison que ce soit, la grange étant dangereusement instable et pouvant s’effondrer à tout moment. Bien entendu, l'interdiction des parents rendait l'expédition encore plus amusante, et lorsque mon copain Paul a vu Mollie y entraîner un jeune fermier des environs, la grange est devenue notre centre d'intérêt pour l'été.
Tôt, un matin, j'étais encore en train de déjeuner sur la terrasse, lorsque Paul a surgit, hors d'haleine.
"J'ai vu le vieux Franklin, ce matin." Dit Paul avec enthousiasme. "Il cherchait Mollie partout, criant et jurant après elle, peut-être elle a pu se sauver jusqu'à la grange?"
J'ai crié à ma mère que je partais avec mon copain et, ne prêtant aucune attention à ses menaces, ses avertissements ou ses recommandations, nous nous sommes tous les deux dirigés vers le bois en courant.
C'était l'occasion que nous attendions. "Dépêche-toi! Elle ne va pas nous attendre!"
Pas le temps de passer prévenir nos copains, tant pis s'ils nous en veulent, qu'ils puissent être jaloux de notre bonne fortune rajoutait à l'excitation du moment! En plus, si nous avions la chance d'avoir quelque chose de sulfureux à raconter, nous deviendrons des héros aux yeux des membres de notre clan! Et même, si vraiment nous avions une anecdote croustillante, mais alors là, vraiment salace, peut-être que la belle Janine me laisserait glisser la main dans son soutien-gorge si bien rempli!
Avec ma jeune bite qui raidissait d'impatience dans mon pantalon, Paul et moi avons couru vers le bois.

Il faisait frais et sombre dans le bois; la canopée nous protégeait du chaud soleil d’été et nous fournissait le camouflage nécessaire pour nous déplacer sans être vus. Nous avions joué ici depuis tant d'années, nous en connaissions tous les recoins.
En approchant de la clairière et de la vieille grange, nous avons ralenti notre allure en nous courbant progressivement jusqu'à ramper silencieusement sur le sol en sortant de l'abri des arbres. Dans la clairière se trouvait l'ancienne structure en pierre partiellement effondrée. Nous nous sommes arrêtés pour écouter. Pas d'autres bruits que notre propre respiration et les battements sourds de nos cœurs. Le mur de la grange qui nous faisait face était percé de trous, ce qui nous offrait le point de vue initial idéal. Paul et moi nous nous sommes blottis contre le mur pour risquer un coup d'œil. À part quelques rayons de lumière poussiéreuse qui pénétraient dans le bâtiment, l’intérieur était sombre et il a fallu quelques instants à nos yeux pour distinguer les contours. Après quelques secondes, ma vision est devenue plus nette et mon cœur s'est effondré de déception lorsque j'ai réalisé que l'intérieur était vide.
"Merde!"je soufflais de rage "Personne!"
"J'espérais qu'elle serait là!" s'excusa Paul, "Veux-tu qu'on monte se cacher dans le foin, au grenier? Si elle venait maintenant, nous aurions le poste d'observation idéal!"
Nous savions que le grenier à foin nous était strictement interdit. "Bonne idée!" J'ai répondu avec enthousiasme.
Nous nous sommes faufilés à travers l'un des plus gros trous du mur pour nous retrouver au milieu d'un capharnaüm. La vieille grange était un nid à poussière et un asile pour les araignées et les mulots. Quelques rayons de soleil perçaient le toit en ruine et traversaient la pénombre comme des rayons lasers. Une vieille échelle vermoulue était le seul moyen de monter au grenier. Sans la moindre pensée de peur ou de prudence, nous avons commencé à grimper.

Je posais le pied dans le grenier et Paul était encore au milieu de l'échelle quand nous avons entendu des voix.
"Grouille!" J'ai soufflé "Quelqu'un vient, bouge-toi le cul!"
Paul réagit rapidement et gravit les derniers échelons restants. Nous avons plongé sur les planches vermoulues pour nous recouvrir de foin odorant, retenant notre respiration pour être aussi discrets que possible. Des voix masculines et féminines s'approchaient, en plaisantant et en riant.
Nous nous sommes regardés et nous avons souri en reconnaissant la voix de Mollie. Nous nous sommes tassés prudemment. Hors de question d'être découverts maintenant, aucune fuite n'était possible, et nos efforts auraient été réduits à néant. Bien que recouverts d'une bonne couche de foin, nous pouvions voir la majeure partie de la grange.
Mollie était accompagnée de deux jeunes et robustes ouvriers agricoles. Ils chahutaient et embrassaient Mollie à tour de rôle en riant. Elle se laissait embrasser et tripoter en gloussant, visiblement ravie.
Paul et moi avons regardé comment Mollie s'est dégagée adroitement des mains baladeuses des deux gars et, les défiant du regard, elle a commencé à dégrafer lentement sa blouse paysanne en se tortillant sur place. Les deux jeunes mâles étaient scotchés sur place, dévorant la femelle du regard. Finalement, l'ouverture de sa blouse fut suffisante pour faire glisser le vêtement sur ses épaules.
Mollie faisait durer le spectacle, retenant le vêtement afin qu'il glisse doucement de ses épaules et, pour la première fois, j'ai eu droit à la vision d'une femme seins nus. En regardant sa poitrine et ses gros tétons turgescents, ma queue est devenue douloureusement dure, à l'étroit dans mon slip. J'ai jeté un coup d’œil à Paul qui avait déjà sorti sa bite pour lui faire prendre l'air, et je l'ai imité.
Je ne pouvais pas m'empêcher de comparer cette plantureuse poitrine qui se balançait doucement devant mes yeux exorbités, à celle de mon fantasme sexuel, Janine.
Les seins de Janine étaient gentils, mais c'était des seins d'adolescente, accrochés haut avec les tétons qui pointaient fièrement. Les seins de Mollie étaient deux grosses masses laiteuses, avec des tétons si énormes qu'on était pris d'une envie irrésistible de les sucer!
D'ailleurs, les deux gaillards n'ont pas pu résister longtemps. Ils se sont approchés d'elle, les mains en avant, pour saisir ses lolos, les pétrir, les soupeser de leurs grosses mains puissantes. Chacun accroché à un sein, ils se sont mis à les embrasser, les lécher, les téter avec ferveur et passion. Mollie haletait tandis que les deux gaillards massacraient ses seins.
Mais Mollie ne restait pas passive. Ses mains s'agitaient en cadence sur la bosse qui se formait sur le devant du pantalon de travail des deux hommes. L'attention qu'elle leur prodiguait ne laissa pas ses deux partenaires insensibles, et ils eurent tôt fait de lui retirer son pantalon de travail et sa culotte pour qu'elle se retrouve entièrement nue.
Des lèvres de Mollie s'échappait une lente mélopée tandis qu'elle dansait sur place pendant que les deux gaillards se dépêchaient de retirer leurs vêtements. Mollie dansait les yeux fermés, les bras levés au-dessus de sa tête, balançant ses hanches et sa lourde poitrine.
L'érotisme que dégageait cette femme dodue à la peau laiteuse, dansant pour augmenter l'excitation de ses amants, était torride.
Ma propre queue était douloureuse et très enflée. J'ai regardé Paul à côté de moi. Il se caressait silencieusement et respirait profondément.
Je n'étais pas sûr de ce que je ressentais pour être si proche du sexe tendu d'un autre garçon, mais je savais que je devais l'imiter. J'ai commencé à décalotter mon gland, repoussant le prépuce pour avoir accès au frein si sensible. Au moment où j'ai levé les yeux, Mollie à force de tourner sur place était face à moi. Sa chatte était rasée comme celle d'une petite fille!
Les deux gars avaient fini de se déshabiller et revenait se coller contre Mollie lorsqu'elle se laissa tomber à genoux entre eux, saisissant leurs membres dressés pour les caresser, les embrasser et se caresser le visage avec.
Le plus trapu des deux avait un sexe absolument immense. D'une longueur et d'un diamètre hors normes, il semblait faire le ravissement de Mollie. J'enroulais mes doigts autour de mon propre sexe, de proportions évidement plus modestes, en me demandant si je pourrais un jour atteindre la même taille. Le grand garçon se baissa à côté de Mollie. Son énorme bite raide se balançait lentement devant lui quand il l'entoura de ses bras musclés.
"Tu me laisses passer en premier, Jean-Louis?" plaida-t-il "Cette chienne a besoin de ça!" Il enroula sa main autour du large manche en le pointant vers Mollie.
Jean-Louis acquiesça de la tête et s'écarta. Mollie a éclaté de rire.
"Ooh, oui, Charlie ... J'en ai besoin .... Je suis ta petite chienne et j'ai besoin de ta grosse bite bien dure dans ma petite chatte!"
"Fous-toi à quatre pattes!" gronda Charlie "Je vais te baiser à quatre pattes, salope!"
Tout le monde s'est figé quand Paul a gémi. Je me suis rapidement retourné et j'ai appuyé sa tête dans la paille pour ses gémissements. Il était toujours allongé sur le ventre et je pouvais voir du sperme épais et blanc suinter de son sexe et souiller son jean. Je me demandais comment il expliquerait cela à sa mère!
J'ai regardé en bas. Mollie était à quatre pattes, cuisse écartée, nue et obscène, attendant la saillie. Charlie était accroupi derrière elle, sa bite à la main, prêt à l'enfourner dans la chatte humide de la femelle en chaleur. Ils regardaient tous dans notre direction.
"Bah, c'est sûrement des rats!" dit Jean-Louis, "Cet endroit en est plein à craquer! Allez, Charlie, baise cette pute! Il faut que l'on soit rentrés avant que le patron ne remarque notre absence!"
Je soupirais doucement en entendant la longue plainte de Mollie quand la grosse bite de Charlie pénétra doucement dans sa chatte avide.
"Putain! Comme elle est bonne cette chienne! Sa chatte est serrée comme une pucelle et chaude comme une pute!" s'exclama Charlie alors qu'il commençait à accélérer le rythme de son monstre dans le corps de Mollie. "Hé, Jean-Louis! Présente-lui ta bite pour qu'elle te suce!"
Hou la la! C'était ça que j'attendais. J'avais vu des photos dans un magazine. Des femmes prenaient des pénis d'hommes dans la bouche, mais pour en faire quoi? J'ai pris mon sexe dans ma main et je savais que je me joindrais bientôt à Paul pour vider le contenu de mes bourses dans le foin.
Jean-Louis semblait emballé par cette idée et s'agenouilla devant Mollie. Je pensais qu'elle serait réticente à le faire, mais j'avais tort. Dès que la bite de Jean-Louis a touché ses lèvres, elle a ouvert sa bouche en grand pour engloutir le membre tendu. Plusieurs choses se sont produites simultanément: Charlie gémit en poussant sa bite en avant, bien au fond de la vulve gourmande. Mollie gémit et la poussée derrière elle la força à s'avancer directement sur le chibre de Jean-Louis. Jean-Louis gémit en entrant dans la bouche insatiable et mon foutre explosa en longs jets chauds. Je me mordis les lèvres pour ne pas crier et sentis de délicieuses sensations me submerger.
Bâillonnée par la bite de Jean-Louis, forée par le monstrueux chibre de Charlie, les gémissements de Mollie étaient montés d'un ton, entrecoupés de grognements lubriques. Je connaissais peu l'orgasme féminin, mais j'en savais assez pour comprendre qu'elle prenait plaisir à se faire baiser des deux côtés à la fois, tout comme les hommes profitaient des avantages de sa bouche et de sa chatte. J'ai été surpris par le fait que ma bite restait dure et ne montrait aucun signe de faiblesse. J'ai regardé Paul. Il se masturbait rageusement.
Soudain, la vieille porte délabrée de la grange, que les amants avaient soigneusement refermée, a volé en éclats, propulsée par le pied puissant d'un M. Franklin extrêmement énervé. Son visage était rouge et ses yeux brillaient de fureur lorsqu'il vit la jeune femme dans une position aussi obscène. La carabine qu'il pointait sur le groupe n'aidait pas à adoucir son apparence.
Charlie et Jean-Louis se figèrent, tétanisés par l'apparition du vieux. Mollie a immédiatement roulé sur elle-même jusque derrière une botte de paille, pleurant toutes les larmes de son corps quand elle a vu son homme armer la carabine.
"Foutez le camp d'ici!" gronda Franklin en regardant les deux gaillards. "Allez vous faire foutre et n'y revenez plus jamais ou je vous troue la peau, saloperies!"
Charlie et Jean-Louis ne prirent pas le temps de se rhabiller, heureux de s'en tirer à si bon compte! Saisissant leurs frusques, ils se précipitèrent dehors tout nus en essayant d'amadouer le vieux: "Ne fais pas de connerie, mec! On y va! On y va!"
Les yeux et l'arme de M. Franklin suivirent les deux hommes qui couraient hors de la grange pour disparaitre dans les bois.
Son regard furieux revint sur sa perverse compagne nue et terrorisée.
"C'est pas ma faute, Henri! Ils m'ont obligée! Je ne voulais pas!"
"Ferme ta gueule, salope!" cria M. Franklin. "Je sais qui tu es. Tout le monde le sait! Il est temps que je te donne une leçon!"
Je me demandais ce qu'il lui passait par la tête. M. Franklin allait sûrement attr la femme et la ramener chez lui. N'est-ce pas?
Le vieux fermier a déposé son arme pour attr la femme par le bras. Mais au lieu de l'emmener, il la coucha à plat ventre sur une grosse botte de paille.
"Couche-toi là-dessus, salope!" il cria. "Je vais te baiser dans tous tes orifices. Il est temps que tu saches qui est ton maître!"
Mollie avait visiblement un peu moins peur mais n'était pas en position de désobéir aux instructions du fermier. Paul et moi n'en perdions pas une miette. On pouvait voir sa chatte gonflée avec ses jus qui suintaient. M. Franklin pouvait la voir aussi.
"Alors, petite salope, t'a bien joui, hein? T'as aimé sa grosse bite à l'autre trou du cul, t'as pris ton pied, grosse pute!" murmura-t-il en enfonçant deux doigts la chatte distendue.
"Henri, chéri, je te jure …"
"Ferme ta gueule, ça fait un moment que je suis derrière la porte à t'écouter gueuler, traînée!"
Il la sondait avec deux doigts en faisant glisser les bretelles de sa salopette avec sa main libre.
"Bien, ça veut dire qu'elle sera douce et lubrifiée pour ton vieux papa!"
La combinaison de Franklin tomba autour de ses chevilles et il baissa son caleçon. Sa main saisit sa bite semi-rigide et il s'en servit pour gifler les fesses de la jeune femme. Mollie gémit et supplia, prétendant être une innocente victime et ne méritant en aucun cas d'être punie.
"Tais-toi, chienne." gronda Franklin "Tu me soûles avec tes mensonges! Je t'ai assez entendue!"
Sur ce, il posa ses deux mains sur les reins de Mollie et s'enfonça dans la chatte béante. Mollie a crié sous la pénétration, mais son cri n'exprimait plus la peur ou la douleur. Visiblement, elle ne redoutait pas la punition.
"Ooh!" gémit le vieux en martelant la fille docile. "Salope! Qu'est-ce que t'es bonne à baiser!"
M. Franklin avait une excellente maîtrise, bien meilleure que Paul et moi, car nous n'avons pas pu résister au spectacle du vieux martyrisant la fille. Plusieurs minutes se sont écoulées pendant lesquelles M. Franklin a pilonné la chatte de la fille, avec aucun respect ni aucun soucis pour autre chose que son propre plaisir, et peut-être un peu de vengeance.
"Maudite catin! Ta chatte est trop relâchée! Avec sa grosse bite, l'autre salaud t'as élargie! Je ne sens plus grand-chose, Mollie, je vais être obligé de te la mettre dans le cul!"
"Non! S'il te plaît, Henri! Ça fait trop mal, chéri! Je suis toute sèche ici! Tu vas me déchirer!"
"Encore des mensonges, toujours des mensonges, ma petite salope!" dit Franklin en présentant son chibre devant l'anus de Mollie. "La moitié de la ville t'es passée dessus! Et tu veux me faire croire qu'aucun de ces connards n'a essayé ton cul!"
Mollie couina comme un goret en pleurant à chaudes larmes pendant que le vieux la pénétrait sans ménagement.
Il grogna et s'enfonça davantage: "Ooh oui ... C'est vrai que tu es étroite de ce côté! C'est peut-être vrai que ton cul n'a jamais servi! Et ben, tu ne pourras plus le dire, enculée! N'est-ce pas mieux, comme ça, Mollie? Est-ce que tu me sens bien au fond de ton cul? Tu en veux plus? Plus profond?"
À l'expression de son visage, on pouvait deviner que Mollie ne souffrait plus. Son visage était déformé par une grimace lubrique et elle cambrait ses reins pour que son homme ait le meilleur angle d'attaque pour labourer et élargir son cul. Si je ne l'avais pas vu par moi-même, jamais je n'aurais pas cru possible qu'un sexe de la taille de celui de M. Franklin pourrait aisément s'insérer dans un si petit trou.
"Oh mon Dieu oui! Oui… oui… baise-moi… baise le cul de ta salope!!"
Puis, soudain, M. Franklin s'est retiré. Se dressant sur ses jambes noueuses, il a empoigné Mollie par ses cheveux pour la tordre en arrière, approchant le visage de la fille tout contre sa bite, forçant sa bouche pour éjaculer à l'intérieur. Passant directement de son cul à sa bouche, sans s'essuyer, mais cela ne provoqua aucun dégout chez Mollie. Simplement, elle n'a pas pu avaler la totalité du sperme que le vieux a déversé dans sa bouche avide. Mais une fois que le flot s'est calmé et qu'il a lâché sa crinière, elle a continué à le sucer, nettoyant son pieu pour le rendre tout propre.
Paul et moi n'avions plus de jus pour l'imiter, mais cela ne nous empêcha pas de nous masturber les queues rageusement.
M. Franklin se rhabilla et abandonna la jeune femme nue et épuisée, étendue contre la botte de paille, sans un mot. J'ai regardé Paul.
Nous pensions tous les deux la même chose: en avait-elle assez, ou pourrions-nous éventuellement la persuader d'éduquer deux jeunes adolescents à la pratique du sexe?
Lentement, nous nous sommes dirigés vers l'échelle pour le découvrir!

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